CHAPITRE 16 : UN TRIO VERSUS TOUT UN VILLAGE
Les habitants du village nous encerclaient et s'approchaient dangereusement de nous, armées de pierres ou de quoique ce soit d'autres qui puisse blesser.
-- Vous allez me répondre ?, relança Sam.
-- C'est marrant, on vous cherchais justement, déclarai-je en essayant de paraître le moins apeuré possible.
-- ... Allez suivez-moi. Je vous emmène dans mon garage.
Quoi ? Ça paraît trop simple...
Nous décidâmes tout de même de le suivre sous les regards haineux des habitants. Nous arrivâmes devant un batîment, le garagiste en ouvrit la porte et nous laissa entrer dans une immense pièce, le garage.
-- C'est ici que je travaille, je bricole les voitures, les remets à neuf et les revends. Bon maintenant, si cela ne vous dérange pas, je vais me charger de votre cas.
Il se jeta sur nous avec une clef à molette. Nous esquivâmes chacun ses coups avec une certaine aisance. Après une esquive, je glissai sur le sol et m'arrêtai près d'une voiture.
Je pense qu'elles doivent lui tenir à cœur ses voitures...
-- Lyvia, penses-tu qu'une bagnole ayant reçu un coup de hache peut s'en remettre ?
Comme elle avait compris où je voulais en venir, elle me répondit en surjouant :
-- Difficilement, elle serait sacrément amochée...
-- Non ! Surtout pas ! Ne les touchez pas !
-- Toucher comment ? Comme ça ?, lui demandai-je en faisant glisser mon doigt sur la carrosserie de l'une d'entre elles.
-- Non !
-- Et si on crache dessus ?, ajouta Thélio en riant.
-- Pas ça !
-- Je me demande si une simple rayure se verrait de loin, déclara Lyvia.
-- Je vous en supplie ! Arrêtez !
Nous nous approchâmes un peu de lui afin d'entamer une discussion par rapport à notre venue ici.
-- Vous faîtes partir du réseau des Renaissangs n'est-ce pas ?
-- Oui...
-- ...
-- Qu'il y a-t-il ?, nous demanda Sam.
-- Eh bien, commençai-je, je m'attendais à ce que vous vous obstiniez à renier la vérité.
-- Moi je m'attendais à ce qu'on soit tenu en embuscade dans ce garage, avoua Lyvia.
-- C'est trop simple en fait, affirma Thélio. On en est même déboussolé, on ne sait pas trop quoi faire maintenant. Il faudrait vous arrêtez mais la mort est inutile comme solution.
-- Que fait-on de lui alors ?, me questionna Lyvia.
-- Très bonne question. Je ne me l'étais jamais posé. Que fait-on à ce qui font partie du réseau des Renaissangs ?
Cette question nous posait une colle.
-- Eh, intervint Lyvia, quelque chose me tracasse.
-- Quoi donc ?
-- Eh bien notre adversaire est un Renaissang, alors pourquoi n'a-t-il pas utilisé son pouvoir pour se b-
Elle n'eut le temps de finir sa phrase qu'elle tomba en avant, inconsciente.
-- Lyvia !
-- Une de moins, qui sera le suivant ?
Sam était resté à sa place mais avait réussi à assommer Lyvia qui était à plus de deux mètres de lui.
-- Comment est-ce possible ?
-- Mon corps est élastique, je peux l'étendre et le mouvoir comme bon me semble.
Enflure !
-- Je m'occupe de lui, toi, va mettre Lyvia à l'abri ! s'écria Thélio.
-- Tu en es sûr ?
-- Ne t'inquiète pas pour moi, allez fonce !
Je m'enfuyai alors avec Lyvia sur le dos laissant Thélio et Sam se battre. À peine sorti du batîment, je me fis repérer. Je courus alors dans la direction opposée. Là, je me retrouvai à un carrefour.
Je ne connais pas du tout les lieux, je suis loin d'être avantagé...
Soudain, j'entendis les pleurs d'un enfant. Il provenait de ma gauche. Alors que je commençai à prendre une autre route en pensant que c'était un piège, mon cœur reprit les commandes et je me dirigeai vers ces pleurs. J'arrivai alors dans une ruelle et vis un petit garçon pleurer seul.
-- Alors petit, qu'est-ce qu'il y a ? Tu es perdu ?
Il me répondit par des pleurs.
-- Tu habites ici ?
Il me fit "non" de la tête. J'entendis ensuite des bruits de pas et cinq personnes apparurent derrière moi.
-- C'est vraiment pas le moment !
Je déposai Lyvia à côté du petit garçon qui pleura de plus belle.
-- Ne t'inquiète pas, elle n'est pas morte.
Cela ne fit qu'intentifier ses pleurs.
-- Ah, euh... elle va bien, elle va bien, bafouillai-je ce qui le calma un petit peu.
Je m'occupai ensuite de mes adversaires en faisant apparaître des billes. Ils tombèrent tous à la renverse.
-- Très pratique ces billes.
J'aspirai ces dernières avec mon miroir, remis Lyvia sur mon dos et tendis la main au petit garçon.
-- Allez viens avec moi, c'est trop dangereux par ici.
Il prit ma main et me suivit. Fut ensuite une course-poursuite. Nous zigzaguâmes dans toute la ville afin d'éviter de se faire attraper. Avec Lyvia sur mon dos, je commençai à fatiguer. Je décidai alors de me poser un petit moment.
-- Pffiou, j'ai besoin de me reposer.
Je m'accroupis pour reprendre mon souffle.
J'ai l'impression de tourner en rond à force d'absolument vouloir échapper aux habitants... Bon, faut pas traîner, on se tire de là, je mets le petit et Lyvia en lieu sûr et je retourne aider Thélio.
Lorsque je relevai la tête, nous étions encerclés.
-- Et merde...
J'entendis soudainement des tirs de pistolet.
Ne me dîtes pas que c'est lui, ne me dîtes pas que c'est lui...
Je me retournai et c'était bien lui, Pistolero. Il avait abattu tous ceux qui nous encerclaient. Il prit par la suite la main du petit garçon.
-- Eh ! Laisse-le tranquille !
-- Ce petit gars est mon neveu.
-- Oh...
-- Je l'ai perdu et je le cherche depuis un bon quart d'heure.
-- Et maintenant qu'allez-vous faire ? Me tuer ?
-- Non, vous avez protéger mon neveu, alors je vous dois une faveur : vous laissez la vie sauve, pour cette fois.
C'est sympa...
-- En attendant, unissons nos forces pour sortir de ce trou à rats.
-- C'est la meilleure chose à faire. Par contre j'ai laissé un ami se battre avec un Renaissang, je ferais mieux d'aller le rejoindre.
-- Je te suis.
-- Vous n'allez pas le tuer au moins ?
-- Non, je tuerai ni toi ni tes amis pour aujourd'hui et je n'ai qu'une parole.
Je me convins de lui faire confiance et nous nous dirigeâmes vers le garage de Sam. Sur le chemin, Pistolero se débarassa de quelques passants.
-- Ils ne sont probablement pas tous des Renaissangs. Tu tues des dizaines d'innocents là.
-- Même s'ils ne sont pas des Renaissangs, ils s'attaquent à nous.
Oui et c'est plutôt étrange d'ailleurs. Ils nous prendraient pour leurs ennemis ? Mais pourquoi cela ?
Nous arrivâmes enfin à l'entrée du garage. Malheureusement, les habitants fous furieux nous avaient déjà rattrapés.
-- Tu t'es finalement décidé de revenir avec du renfort ?, me demanda Sam.
-- Oh non... Si vous êtes là, cela signifie que Thélio... Pistolero ! Je vais voir comment va mon ami !
-- Fais comme bon te semble, je ne suis pas ton père.
Le petit garçon resta avec son oncle tandis que j'emmenai Lyvia avec moi. Dans le garage, je vis mon ami qui gisait sur le sol.
-- Thélio !
Je déposai rapidement Lyvia par terre et accourai vers le corps de "M. Contraste".
-- Thélio tu m'entends ?!
-- ...
-- Répond-moi !
Il cracha un peu de sang alors qu'il ouvrait les yeux.
-- Quel soulagement, tu n'es pas mort.
-- Non, non, je ne suis pas mort...
-- Je n'aurai pas dû te laisser avec ce Sam. Je m'en veux énormément.
Il avait de nombreuses traces de lutte et il saignait un peu au crâne.
Il n'y a pas été de main morte.
-- Excusez-moi, qui êtes-vous ? questionna Thélio.
Ne me dites pas que... Oh non quand même pas ?!
-- Tu ne t'en souviens pas ?
-- Eh bien je dois avouer que non. Et puis, où suis-je ? Et... quel est cet accoutrement que je porte ?
C'est un cas sérieux apparemment.
-- Écoute, ton nom est Thélio. Cette tenue, c'es toi qui l'a choisi et elle fait qui tu es. Pour finir, tu es un Renaissang et tu es en mission avec cette femme là-bas et moi contre un dangereux garagiste nommé Sam.
Je respirai profondément après ce court monologue sans avoir respirer une seule fois.
-- J'ai rien compris. Et qu'est-ce qu'un Renaissang ? Cette femme est-elle morte ?
J'en tombai à la renverse.
-- Bon ok, tu n'as qu'une chose à retenir, tu dois à tout prix protéger mon amie.
-- Et avec quoi ?
-- Tu as un fouet que tu sais manier comme un pro, lui déclarai-je en pointant l'arme en question.
-- Tu en es sûr ?
-- Oui je le suis. Bon maintenant faut que je me sauve, je reviens dès que possible.
-- Euh... ok.
Je repartis aider Pistolero qui semblait avoir du mal à contenir tous ces gens.
-- Ah t'arrives enfin !
-- J'ai rencontré un petit contretemps, lui répondis-je.
-- Cool mais j'en ai rien à faire, file-moi un coup de main.
Ils sont très nombreux et les balles de Pistolero ne seront pas suffisantes. Les attaquer en même temps serait la meilleure solution mais je doute que les billes soient une fois de plus utiles.
-- Et oh tu m'aides ou pas ?! Je sais pas si tu as remarqué mais je dois aussi protéger un enfant !
-- Oui, oui je réfléchissais à la meilleure option et...
-- Arrête de réfléchir et agis !
-- Ok, ok j'agis, j'agis. Canon !
Un énorme canon sortit du miroir et se plaça devant moi.
-- Allumettes !
Elles apparurent dans mes mains. J'en allumai une puis je fis de même avec la mèche du canon. Il eut alors un énorme vacarme quand le boulet fonça sur les habitants.
Je suis désolé...
Tous ceux de mon côté se firent violemment renversés.
-- Eh ! Bien joué !, lança Pistolero qui en avait lui aussi fini avec ses adversaires. Je ne sais pas d'où tu sors ce canon mais ça claque ! Bon, il ne nous en reste plus qu'un !
Sam se tenait bien droit devant nous comme pour dissimuler sa peur.
-- Ne tentez pas de me tuer, vous n'y arriverez pas. De plus, de nombreux habitants sont en route.
-- Expliquez-nous comment se fait-il qu'ils s'attaquent à nous, lui ordonnai-je.
-- Eh bien avec de la comédie et de la manipulation ce ne fut pas très difficile. Je suis arrivé ici en leur faisant croire que j'étais poursuivi par de dangereux criminels. Ils m'ont logé et protéger. Une fois leur confiance acquise, je leur fis croire que tous les Renaissangs qui viendraient dans ce village auront pour objectif de me tuer.
-- Et comme Lyvia est arrivée avec sa hache, ils nous prîmes tout de suite pour des ennemis, complétai-je.
-- Et il se trouve qu'ils sont tous de simples humains ahah ! Vous venez de tuez des dizaines d'innocents !
Inutile d'enfoncer le couteau... Je m'en veux déjà assez comme ça !
-- Et vous ? l'interpellai-je. Vous n'avez aucun poids sur la conscience ?
-- Moi ? Pas le moins du monde.
-- Aucun regret ? Vous êtes très fort.
-- J'accepte ton compliment à bras ouverts.
-- Malheureusement, c'est la mort qu'il va falloir que tu acceptes.
-- Comm-
PAN !
Sam chuta en arrière, le regard vide. Pistolero rangea son arme et retira sa main qui cachait les yeux de son neveu.
-- Évite de regarder s'il te plaît.
Quel calme. Il n'était pas ainsi lors de notre première rencontre. J'ai même envie de dire qu'il a l'air sympa même si je sais pertinemment qu'il veut ma mort.
-- Allez on s'en va, déclara-t-il.
-- Et on laisse tous ces corps ici ?!
-- Ne me dis pas que tu veux t'en charger ?
Il n'a pas tort sur ce point.
-- À la prochaine, et cette fois-là je m'occuperai de ton cas.
Gloups...
Il quitta alors le village, le petit garçon sur ses épaules.
Comme quoi, certaines personnes peuvent en changer d'autres. C'est beau ce que je viens de dire, non ?
Je rejoignis ensuite Thélio et Lyvia.
-- Elle ne s'est toujours pas réveillée, lança-t-il.
-- Dans ce cas, peux-tu la porter parce que je suis plutôt fatigué ?
-- Oui, tu m'as l'air de confiance. Et où va-t-on ?
-- À un endroit qui t'aidera peut-être à retrouver la mémoire.
Ce fut notre tour de quitter le village, le laissant dans une atmosphère macabre et déprimante.
Quelle horrible mission. Sommes-nous obliger d'agir ainsi afin de ramener l'ordre ? N'avons-nous pas le choix ?
+++++++++++++++
À notre arrivée, nous demandâmes à ce que Lyvia soit prise en charge tout de suite. Thélio insista sur le fait qu'il n'avait besoin d'être soigné. Ensuite, je me dirigeai vers le bureau du Boss afin de lui faire un rapport. Je lui expliquai toute la mission dans les moindres détails.
-- Il aurait perdu la mémoire... Peux-tu me l'amener ici ?
-- En fait, il est juste devant la porte.
J'ouvris à mon ami amnésique et lui laissa ma place. Alors que je traînais dans les couloirs, le sécrétaire fit soudainement son apparition.
-- Euh... Salut...
-- Bonjour. Sylvain, Armand et Neven viennent tout juste d'arriver. Ils doivent encore être vers l'entrée.
-- Ah eh bien merci, lui dis-je avec un sourire forcé avant de passer mon chemin.
Toujours aussi étrange celui-là.
Comme me l'avait dit le secrétaire, mes amis étaient à l'entrée du QG.
-- Salut ! Ça a été votre mission ?
-- Je n'ai jamais fait une mission aussi courte, s'amusa Armand. Nous avons passé plus de temps à faire l'aller-retour qu'à boucler notre mission.
-- Comment cela se fait-il ?
-- Eh bien, nous devions nous occuper d'une Marie et lorsque nous sommes entrés dans sa boutique, elle a eu un coup de foudre pour Neven, expliqua Sylvain.
-- Elle n'arrivait même plus à parler, c'est pour dire, compléta Armand.
-- Et qu'avez-vous fait ?
-- Eh bien ils ont conclu un marché, grogna Neven. Si je lui donnais un baiser...
-- Oh ! l'interrompai-je. Vous lui avez appris un nouveau mot ?
-- Oui ça commençait à me gonfler qu'il passe par quatre chemins au lieu de dire tout de suite le bon mot, avoua Armand. Alors on lui a dit le mot "technique".
-- C'est cool ça on progresse !
-- J'peux reprendre ?
-- Ah oui vas-y.
-- Donc, j'disais : Si je lui donnais un baiser, elle devait se retirer du réseau.
-- Parce que vous pensez qu'elle va tenir parole ? leur demandai-je.
-- Eh bien pour l'instant c'est le cas, ria Armand.
-- Qu'est-ce qui t'amuses à ce point ?
-- Neven l'embrassa et elle fit... une sorte de crise, raconta Sylvain.
Une de ses amies a eut la même réaction ! Ça m'intrigue... Pas que je veuille qu'il m'embrasse ! Non pas du tout ! Je trouve ça juste bizarre...
-- Vous ne trouvez pas cette crise étrange ?
-- Y a que la crise qui dérange ?! s'exclama Neven. On m'a forcé à embrasser une inconnue ! Encore une amie ça passe mais pas une inconnue !
Alors il connaît le mot "baiser" mais je crois qu'il ne sait pas à quoi on le rapproche. On fait des progrès, c'est déjà ça.
-- Bon, on rigole bien mais il faut que j'aille faire mon rapport au Boss, lança Armand.
-- Il est occupé avec Thélio, lui signalai-je.
-- Et pourquoi cela ? questionna Sylvain.
-- Il a perdu la mémoire pendant notre mission.
Ils me regardèrent tous trois avec un regard surpris.
-- Il ne se souvient de rien ?
-- De rien du tout. Il a même oublié qui il était.
-- Ça blague pas son truc, fit remarquer Neven.
-- Ouais enfin ça ne va pas m'empêcher de m'incruster dans la discussion.
Armand partit alors en direction du bureau du Boss les mains derrière la tête.
-- Moi aussi faut qu'j'y aille, ajouta Neven. Faut que j'm'repose un peu.
Il nous quitta à son tour avant de se faire rattraper par ses fans qui le prirent par le bras et l'embarquèrent je ne sais où.
-- Et toi Sylvain, que comptes-tu faire maintenant ?
-- Je ne sais pas vraiment. Je vais peut-être faire un saut au terrain d'entraînement. J'ai réellement besoin de m'améliorer. Je ne me trouve pas assez puissant.
-- Tu n'as aucunement la nécessité de te mettre la pression. Tu es arrivé il y a peu. Ta force augmentera progressivement, ne t'inquiète pas pour cela.
-- C'est gentil de m'encourager...
-- Je ne fais que te dire la vérité. Tu as du potentiel, ne le gâche surtout pas.
-- Cela ne sert à rien d'en faire des tonnes.
-- Mais je n'en fais pas ! riai-je.
-- C'est que ça me fait tout drôle. Je n'ai pas de frère pourtant, j'ai l'impression d'en avoir un face à moi.
Je rougis légèrement.
-- J'aimerai te dire la même chose en retour mais je sais pas du tout si j'ai un frère... Enfin, il y a toi c'est largement suffisant.
Je le pris dans mes bras et je l'entendis me souffler :
-- Heureux de t'avoir rencontré.
-- Moi de même, lui répondis-je avec un ton un peu bourgeois.
Soudain, un cri hystérique brisa ce moment de fraternité.
-- CHÉRIIIIIIIII !!!!
Oh non, ce n'est pas vrai...
Lyvia traversa le couloir à une vitesse folle et fonça sur moi.
Collision imminente ! Fuit bon sang ! Fuit !
Elle se jeta alors dans mes bras.
-- Merci ! Merci ! Merci ! Et encore merci !
Comme si cela ne suffisait pas, elle me fit tomber en arrière.
2796 mots.
***************
Pas si simple que ça cette mission. Surtout que Lyvia et Thélio n'en sont pas sortis intacts...
Enfin, il faut voir le bon côté des choses, Neven a appris un nouveau mot ! *applaudissement*
Dans le chapitre suivant, le Héros accompagné d'un autre Renaissang vont devoir ramener Thélio chez lui. En chemin, ils rencontreront une personne qu'ils espéraient revoir depuis un moment...
☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆
Ce chapitre fait partie de la "série des derniers chapitres". Donc ils s'enchaîneront plus bien plus rapidement. Je vous dirige vers une annonce que j'ai fait le 16 mars où j'explique rapidement le planning ;)
Publié le 18/03/20
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