CHAPITRE 13 : DINGUE DE TOI

"Légende" :

Italique : pensées du personnage principal.

N.D.A. : (Note De l'Auteur) Info supplémentaire sur un mot (définition ou explication).

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La lame frôlait ma gorge et cette sensation ne me plaisait pas du tout. Charles m'attrapa le bras me rappelant alors pendant un court instant quand j'avais dû quitter l'orphelinat. Il recula et m'entraîna donc avec lui. Il se déplaçait lentement, très lentement et lançait des regards menaçants à tous mes amis. Il fit soudainement un demi-tour et je vis ma vie défiler.

-- Un seul geste et vous verrez une tête chuter !

-- Soyez raisonnable, ajouta Catherine, rendez-vous.

-- Parce qu'on va sagement obéir peut-être ?, rétorqua Armand.

-- Je vais donc devoir lâcher d'autres fauves.

Elle toucha un homme qui était à terre et le multiplia à une vitesse folle. Si bien qu'en très peu de temps elle se retrouva avec une nouvelle armée.

-- Mais combien de clones va-t-elle créer à la fin ?, s'exaspéra Rouge.

-- On va les finir vite fait ceux-là, lança Bleu.

Tous deux se ruèrent sur les clones et les autres les suivirent. Alors que les coups retentissaient dans toute la pièce, mes oreilles entendirent une douce voix.

-- Eh... Pssst.

-- Quoi ?, dis-je en gardant la tête bien droite.

-- Chut enfin, murmura-t-il.

-- C'est quoi ce piège encore ?

-- C'est pas un piège. Écoute, tu es mon dernier espoir pour nous sortir de ce cauchemar.

-- Pardon ? Attend, je parle à la même personne qui voulait me trancher la gorge ?

-- Ce n'est qu'une couverture. Je fais croire à Catherine que je suis dans son camp.

-- Et pourquoi devrais-je te croire ? Je te rappelle que la situation dans laquelle je me trouve me fait penser le contraire.

-- Arrête de compliquer les choses. Bon il faut absolument que tu l'arrêtes toi et tes amis.

Ils ne sont pas tous mes amis mais bon...

-- Ces clones-là ne sont pas très dangereux mais ceux qu'elle garde en réserve sont redoutables. Deux ans après ton départ, elle a été touchée par le second Soufflénergie et jusqu'à maintenant, elle entraîne les enfants afin qu'ils deviennent de véritables guerriers.

-- Elle leur apprend ça ? Je ne pensais pas qu'elle en était capable...

-- Non, un homme d'une cinquantaine d'années est logé dans l'orphelinat et c'est lui qui se charge de l'entraînement, et d'ailleurs...

-- Charles il vaut mieux s'en aller, interrompit Catherine. Cette confrontation ne mène nulle part.

-- Merde... Bon, écoute moi bien. Il existe un réseau très bien organisé chez les mauvais Renaissangs. Il se trouve que chacun d'entre eux...

-- Charles ! Inutile de faire durer le plaisir, je te laisserai le tuer la prochaine fois.

-- Mets-moi à terre.

-- Pourquoi ?

-- Je me laisse faire mais fais-moi tomber.

Je m'exécutai et le fis chuter. Il se releva aussitôt mais lâcha le poignard. Il joigna ses mains aux miennes et débuta une épreuve de force. Il se tourna une fois de plus afin que je me retrouve dos aux autres.

-- Maintenant fait semblant que l'on essaye de savoir qui est le plus fort, ça sera une excuse pour gagner du temps.

J'obéis mais malgré le fait que cela ne soit que de la comédie, je dois avouer qu'il a beaucoup de force. Ces entraînements semblent être très efficace.

-- Donc je disais : chaque Renaissang faisant partie de ce réseau est en contact avec trois autres Renaissangs et pas un de plus et chacun d'entre eux avec trois autres et ainsi de suite. C'est une boucle en quelque sorte. Une boucle qu'il est impossible de briser.

-- Catherine fait partie de ce réseau ?

-- Oui mais je ne sais pas du tout avec qui elle est en contact...

-- L'homme qui vous entraîne en fait sûrement partie lui aussi.

-- Probablement. Enfin, il faut que tu nous sauves. Cela t'apporterait en plus de précieux alliés quand les autres découvriront la vérité. Par contre, inutile de s'occuper de cela tout de suite.

-- J'ai du mal à te suivre Charles.

-- Ce que je veux dire c'est qu'on mange bien, on dort bien. Exceptés ces délits nous vivons dans de bonnes conditions. Simplement, ne nous oublie pas, je n'y arriverai pas tout seul.

-- Tout seul ? Et Théo ?

Il faiblit soudainement et je le fis tomber. Il se releva en une seconde et rejoignit Catherine.

-- Vous me le payerez !, s'exclama cette dernière avant de quitter le laboratoire.

Je m'asseyai par terre pour me reposer.

-- Je n'en peux plus...

-- Quelqu'un connaît cette femme ?, demanda Vert.

Dois-je dire la vérité ? ... Non. Non, ils vivent bien à ce qui paraît. Si elle se fait arrêter, ce sera le cas pour tous "ses enfants".

Je décidai alors de me taire.

-- Je vais emprisonner ces clones, peut-être avoueront-ils qui est leur chef, déclara Vert

-- Ça risque d'être compliqué, répondit Adélia. Tous les clones ont disparu.

-- Quoi ?! Disparu ?!

-- Oui c'est ce que je viens de dire...

-- Putain ! Où sont-ils passés ?!

-- Parce que je dois le savoir...

Nous quittâmes le laboratoire et Vert dûs nous suivre.

-- Cette mission aura été un fiasco !, rouspéta Blanche. Zéro information !

Parle pour toi.

-- Ça c'est de votre faute !, nous accusa Rouge. Quelle idée de nous confier des boulets.

-- Répète un peu !, s'écria Armand.

-- Je me ferais un plaisir d'insister sur le fait que tu ne sois qu'un boulet, boulet !

Armand semblait à deux doigts de laisser un coup de pied partir.

-- Bon, nous avons pas que ça faire, au déplaisir de vous revoir, lança Bleu.

-- Ouais c'est ça, répondis-je.

Les 4 éléments partirent de leur côté tandis que nous prîmes le chemin du retour.

++++++++++++++

-- Un réseau organisé ?, répéta le Boss.

-- Oui, c'est bien ça.

-- Cela ne m'étonne pas d'eux, commenta Thélio. Ils savent qu'on a pour objectif d'en finir avec eux.

-- Alors ils prennent des précautions plus qu'intelligentes, compléta Adélia.

-- Les arrêter semble plus complexe que je ne me l'étais imaginé, avoua le Boss. Je dois réfléchir à une tactique face à ça. En attendant, vous êtes de repos.

Nous retournâmes chacun à nos appartements. Que fut ma joie de revoir Ophélie ! Je l'ai serrée dans mes bras pendant près de cinq minutes. Je pense l'avoir étouffée à un moment... Enfin. Nous passâmes toute la journée ensemble à traîner dans le QG. Les autres firent de même sauf Adélia qui était retournée auprès de sa famille. Ce fut une journée de repos calme comme on les aime.

+++++++++++++++

-- On se réveille ! On se réveille ! Allez ! Debout ! Debout !

-- Ophélie..., marmonnai-je en la poussant ce qui la fit chuter de mon lit. Oh punaise ! Ça va ?

-- Nickel. Pas de bobo.

Alors que je l'aidai à se relever, Armand ne manqua l'occasion de nous hurler dessus, réveillant Sylvain qui occupait dorénavant le lit vacant.

-- Que se passe-t-il ?, demanda ce dernier.

-- Ces deux-là ne cessent de faire un boucan pas possible !, répondit Armand.

Sylvain sortit de son lit, la tête dans le gaz et quitta la pièce en silence. Ophélie et moi firent de même peu de temps après que le grincheux retourne sous sa couette. Nous nous dirigeâmes en direction de la cantine où nous retrouvâmes Tôn, Neven et Lyvia assis à une table.

-- Eh, tu sais que Katrielle n'est pas ici, tu peux mettre un T-shirt, lança mon meilleur ami.

-- Mince..., lâchai-je en rougissant.

-- Tu la revoies quand ta copine ?, me demanda Lyvia.

-- Ce soir. Bon vous m'excusez mais je vais me changer vite fait.

Je partis en courant m'habiller et revint quelques minutes plus tard. Lorsque je revins, Ophélie était en train de manger son petit-déjeûner.

-- C'est sympa de m'attendre...

-- Oh pardon, dit-elle la bouche pleine.

J'allai vers les cuisines afin de me servir avant de les rejoindre à leur table.

-- Au fait, y en aurait-il qui serait disponible pour m'accompagner chez mes parents ?, questionna Tôn.

-- Pourquoi cela ?

-- Ils veulent m'inviter à rencontrer des prétendantes et ça me gonfle donc j'aimerai ne pas être seul.

-- Et ça se déroulerait quand ?

-- Demain. Ils m'en ont informé que ce matin.

-- Cela ne sera pas possible pour moi, déclara Lyvia.

-- J'pourrais pas non plus, les filles m'ont invité pour toute une journée.

Quand on parle des louves. Elles arrivèrent en trombe et l'une se jeta au coup de "son" prince charmant.

-- Nevenichou !!

-- Elles sont déjà là.

-- Ce ne devait pas être que demain cette sortie ?, demandai-je.

-- Si mais elles ont insisté pour que l'on commence dès aujourd'hui et qu'on prolonge jusqu'à après-demain.

-- Cela ne risque pas d'être long ?

-- Pas du tout. On passera du temps sous le signe de l'amitié alors cela ne va pas me déranger loin de là !

Neven... Il faudra que tu ouvres les yeux un de ces jours...

Il quitta alors la cantine avec ses amies après nous avoir saluer.

-- Bon et toi tu peux m'accompagner ?, lança Tôn en s'adressant à moi.

-- Ouais, ouais je serais là.

-- Par contre j'aimerai avoir un avis féminin mais vu que Lyvia ne peut pas...

-- Et si je proposais à Katrielle de venir ? Vous aurez l'occasion de faire connaissance comme ça !

-- Excuse-moi mais là c'est du sérieux et puis je veux pas que vous vous bécotiez alors que je serai déjà dans une situation inconfortable.

-- Dommage mais tu as peut-être raison ahah, répondis-je gêné.

-- Je peux vous m'accompagner moi, déclara Ophélie.

-- Je ne crois pas que...

-- Ouais ça serait génial !, me coupa Tôn. Je suis sûr que tu aurais un avis critique juste.

Voir trop critique.

-- C'est décidé, on part demain midi !

-- Et pourquoi pas le matin ?

-- Parce que j'avais prévu une grasse matinée et on annule jamais un tel évènement !

-- Ouais !, s'exclama Ophélie.

-- Calme-toi. Je te rappelle que tu n'en fais jamais...

+++++++++++++++

Le départ était imminent. Pas pour aller rejoindre les parents de Tôn mais Katrielle. J'étais stressé comme je ne l'ai jamais été auparavant. Mon cœur battait si fort que j'en avais la sensation désagréable de l'entendre. Je cherchais mille et une façons d'engager la discussion sans être lourd et gênant. J'avais notamment peur d'être maladroit face à elle. Sur le chemin, je transpirais à grosses gouttes et mon visage en fut trempé. Lorsque j'arrivai au sommet de la colline, elle m'attendait, allongée sur l'herbe luxuriante, les bras derrière la tête, à contempler les étoiles qui commençaient à pointer le bout de leur nez. Elle était... resplendissante. Elle se tourna dans ma direction et me sourit.

-- Tu es là !

Elle se releva et se jeta dans mes bras de quoi me paralyser.

-- Oh ! Tu es tout mouillé. Il a plu ?

-- Ça ? Non ne t'inquiète pas, ce n'est rien...

Je fuyai son regard et partis m'asseoir. Elle se mit alors derrière moi et ses bras entouraient mon cou.

-- Je ne te reconnais pas. Tu es sûr que tu vas bien ?

-- Oui, oui, marmonnai-je en posant mon regard sur le sol.

-- On ne t'a jamais dit que tu ne savais pas mentir ? En tout cas, j'arrive très bien à le voir. Quelque chose ne va pas dans ta vie ?

C'est vrai ça, quel est mon problème ? Ma vie personnelle va mieux que jamais et malgré la situation "professionnelle" dans laquelle je suis, je n'était jamais été aussi heureux... Qu'est-ce qui bloque chez moi ?

-- Eh oh, tu m'entends ?

Je m'extirpai de mes pensées et décidai enfin de la regarder dans les yeux. Qu'elle était belle...

-- Écoute, autant de dire ce que je ressens...

-- Je t'écoute, déclara-t-elle aussitôt avec un large sourire.

Le sien réussit à m'en arracher un pendant un court instant.

-- Je suis stressé, j'ai peur, peur de mal faire, je ne sais pas comment agir, quoi dire. C'est une première pour moi et je ne veux pas que cette relation se résume à une catastrophe...

-- Une catastrophe ? Vraiment ? J'aurai dit une calamité, lança-t-elle en riant.

-- Ce n'est pas drôle, marmonnai-je en faisait mime de bouder.

-- Allons, allons, je plaisantais, déclara-t-elle en m'enlassant.

J'avais chaud dans ses bras, à l'extérieur comme dans mon cœur. J'étais bien auprès d'elle et je ne voulais en aucun cas m'en aller. Je fermais alors mes yeux et ne les rouvrit avant un bon moment.
Quand je le fis, je n'étais plus sur la colline, j'étais... dans une chambre qui m'était inconnue. Allongé, je décidai de m'asseoir avant de faire une rapide reconnaissance des lieux, en vain. Je ne savais pas du tout où je pouvais être. Je me levai et me dirigeai vers une glace, je m'observai et vis, dans le reflet, une pile de vêtements sur une chaise. Je m'en approchais et remarquai qu'au-dessus il y avait un bout de papier.

《Je t'ai acheté une tenue complète au cas où tu voudrais te changer. J'espère qu'elle te plaira. Bisous, Katrielle ♡》

Je rougis pendant que j'examinai la tenue. Elle m'avait pris un T-shirt bleu nuit avec un poing polygonal orangé imprimé dessus et un sweat zippé de la même teinte de bleu. Malheureusement, je déglutis quand je vis qu'elle m'avait également acheté un pantalon.

-- J'aurai oublié de lui mentionner ce problème là ? Il faudra que je le lui explique calmement quand on se reverra...

J'enfilai alors les hauts mais laissa le pantalon sur la chaise.

Même pour toi je crois que je ne pourrai pas mettre ça...

Sous la pile se trouvait un second papier.

《Cela te va à ravir ! ♡ Tu es magnifique dans cette tenue ! Bon, je viens aux faits : j'ai une semaine chargée qui approche donc ça risque d'être compliqué de se voir et je ne veux surtout pas te poser de lapin. Donc je te propose (ou plutôt impose pour le coup ^^') qu'on se voit dans une semaine à la même heure ;)
Passe une bonne semaine... Je t'aime,
Katrielle》

Je rougis tellement après la lecture de ce message que je sentis mes joues chauffer. Une fois celles-ci redevenues à la normale, je décidai d'enfin quitter la pièce. Lorsque que je fus à l'extérieur, je me retrouvai dans un genre de tout petit hôtel. L'unique couloir était à l'étage et formait un "U". En bas semblait se trouver la réception. Je descendis les grands escaliers et me dirigeai vers l'accueil.

-- Bonjour, lançai-je.

-- Bonjour monsieur, répondit une jeune femme. Vous avez passez une bonne nuit ?

-- Oui merci mais je ne sais trop comment je me suis retrouvé ici.

Elle souria avant de me déclarer que Katrielle m'avait amené ici puisqu'elle ne savait où me loger pour cette nuit.

-- Elle est arrivée avec vous sur son dos, continua-t-elle. Elle m'a alors demandé si j'avais une chambre de libre. C'est comme cela que vous êtes venu ici.

-- Je n'oublierai pas de la remercier. Combien je vous dois ?

-- Elle a déjà payé.

-- Oh zut...

-- Si vous voulez la rembourser en mains propres je peux vous donner le numéro de sa chambre, je ne l'ai pas encore vu quitter l'auberge.

C'est donc une auberge.

-- Excusez-moi mais pourquoi me faîtes-vous cette proposition ? Je pourrais être un dangereux psychopathe.

-- Katrielle et moi sommes amies et elle m'a beaucoup parlée de toi et en bien.

Je fus quelque peu gêné de poursuivre cette conversation.

-- J'ai quelques pièces j'espère que ça suffira, lui dis-je en lui tendant de la monnaie qui était dans les poches de mon short.

Elle compta les pièces et me répondit que cela était largement suffisant.

-- Et bien rendez le prix de la chambre à Katrielle et gardez pour vous ce qui reste.

-- C'est très généreux de votre part.

-- Ce n'est rien. Aussi, j'ai laissé des vêtements dans la chambre mais là où je vais je ne pourrais pas les garder avec moi alors si vous pouviez, j'aimerai que vous les donniez à quelqu'un qui en aurait besoin. J'ai déjà assez de vêtements. Sur ce, il faut que j'y aille.

J'avais regardé l'horloge de la réception qui indiquait 11h30.

J'ai autant dormi ?

La jeune femme me salua et je partis en toute hâte vers la gare.

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Je courus le plus vite que je pus afin de ne pas manquer le train. Arrivé au quai, je sautai dans le bon train (j'ai vérifié six fois que c'était bien celui-là) en espérant que Tôn et Ophélie seraient déjà à bord. Je traversai tout le train en les cherchant. Évidemment, je les trouvai dans le dernier compartiment.

-- Vous êtes là.

-- Bah alors qu'est-ce que tu faisais papa ? On t'a cherché ce matin.

-- Désolé je n'ai pas dormi au QG.

-- On a bien remarqué.

-- Cela a dû être une chouette soirée, lança Tôn en me faisant un clin d'oeil. Que s'est-il passé ? Vous avez couchez ensemble ou tu t'es simplement pris une cuite ?

-- Tôn ! Ne dis pas ça devant Ophélie !

-- Tu sais quand je dormai dans les égouts, il y avait souvent des hommes bourrés qui revenaient de soirée et la scène n'était pas belle à voir... Tout ça pour dire que je connais tout ça.

Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre.

-- Alors ?, relança-t-il.

-- Je me suis seulement assoupi.

-- Ah, après l'acte ?

J'avais envie de me cogner la tête contre un mur.

-- Tôn, sincèrement... ferme-la.

2808 mots.

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Wouah ! Quelle conclusion de chapitre ^^
Bon, voilà un chapitre qui annonce deux perspectives importantes : la relation Héros-Katrielle qui avance très vite mais aussi et surtout une découverte sur l'organisation des vils Renaissangs. Rappelons que nous sommes qu'au début de l'histoire (Perso je me crois au chapitre 25 ^^') et qu'il reste des rebondissements et de l'action mais ce chapitre marque un tournant comme le chapitre 9.

Dans le prochain chapitre, le héros et Ophélie rencontreront les parents de Tôn qui sont... différents de ce dernier XD J'ai vraiment hâte de voir vos réactions à ce qui va se produire dans ce chapitre. Vous ne serez pas prêts héhé (ceci est du sadisme pur).

Si vous voulez en savoir un peu plus sur ce chapitre, abonnez-vous ^^ Dorénavant je poste une annonce sur mon compte 1 semaine avant la publication d'un chapitre qui contient un ptit teaser (dialogue et/ou description) de ce qui va se produire dans le chapitre à venir. Comme je l'ai fait pour le chapitre 12 et 13.

Aussi, si cette histoire vous plaît, ajoutez-la à votre bibliothèque/liste de lecture et partagez-la. Plus on est de fou, plus on rit héhé ;)

Publié le 22/02/2020

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