Chapitre 12 :
"Légende" :
Italique : pensées du personnage principal.
N.D.A. : (Note De l'Auteur) Info supplémentaire sur un mot (définition ou explication).
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-- Eh bien, Bleu me regarde depuis tout à l'heure et j'aimerai bien lui parler.
-- C'est vrai ce qu'il dit ?, demanda Rouge à son équipier.
-- Ouais, ouais.
Bleu recula afin d'être à côté de moi.
-- Tu voulais me parler de quoi ?
Il me semble bien décontracté.
-- Cela fait plusieurs fois que tu te retournes afin de me regarder et je préfère de le dire tout de suite : je suis déjà avec quelqu'un.
Il leva un sourcil avant de, quelques secondes après, éclater de rire.
-- Tu vas bien ?
-- T'as vraiment cru que je te regardai pour ça ? Laisse moi rire ! Tu n'y es pas du tout ! C'est juste que, je te trouve tellement inoffencif. Tu ne ferais pas de mal à une mouche. Enfin regarde-toi, qu'est-ce que tu fais ici ? Même Minus est plus crédible que toi !
... Respire un bon coup. Reste calme. Et crache lui à la gueule !
-- J'imagine que tu ne t'ai jamais fait écrasé par un gros caillou.
-- Euh non.
J'ouvris alors un miroir et en fis sortir un rocher qui tomba juste à côté de Bleu. Que fut son effroi lorsqu'il le vit chuter.
-- Attend, tu as la capacité d'ouvrir des miroirs ?!
-- Oui pourquoi ?, répondis-je avec un air supérieur.
-- Les Renaissangs avec ce pouvoir sont super rares !
Et voilà qu'il devient un lèche-botte. On va devenir pote toi et moi.
Bleu rejoigna ses coéquipiers sûrement pour leur raconter la nouvelle. Quant à moi, je retrouvai les miens.
- Ne vous étonnez pas si ces abrutis deviennent sympa avec moi, ils ont appris que j'avais la capacité des miroirs.
- Au moins ils auront peut-être une once d'amabilité maintenant, ajouta Armand. Sérieusement, comment peut-on travailler avec ces quatre-là ?
- Ils ont beau être insupportables, ils semblent tout de même très puissants, déclara Adélia.
- Mais pas aussi puissants que nous !, lança Tôn.
Sylvain qui commençait à être attristé retrouva rapidement le sourire. Décidément Tôn est le meilleur remède contre le chagrin ! Nous marchâmes encore une vingtaine de minutes avant que les 4 éléments s'arrêtèrent et nous adressèrent enfin la parole.
- Bon, à un moment il faut bien vous dévoiler le but de cette mission donc on va vous faire vite fait un topo, commença Rouge.
Ils décident enfin de nous dire pourquoi on est là !
- Depuis un mois environ, de nombreux laboratoires ont été pillés. Tout est détruit à chaque fois. Personne n'a eu la chance d'être spectateur de la scène. Lorsque nous sommes mis au courant, nous n'avons pas le temps d'arriver sur le lieu du crime que les laboratoires sont d'ores et déjà vides. Nous ne savons s'il y a qu'une personne ou s'il s'agit d'un groupe mais leur efficacité est impressionnante. Notre objectif est de les stopper.
- Ils doivent être très rapides alors..., suggéra Adélia.
- Cette ou ces personnes sont probablement des Renaissangs, dit alors Thélio.
- Avec une capacité de super-rapidité, compléta Vert. On y a pensé.
- Vous ne vous creusez pas assez la tête, lança Arbalèta.
Comme à chacune de ses rares interventions, nous nous retournâmes vers elle.
- Que veux-tu dire par là ? demanda Blanche.
- J'ai compris !, m'exclamai-je. Un pouvoir de super-rapidité est loin d'être la seule solution.
- Mais à quoi cela sert de connaître leur capacité ?, questionna Rouge à son tour.
- Se focaliser sur une seule capacité ne nous donnerait pas d'avantage si l'on vient à se retrouver face à eux, prévins-je.
- Il faut s'imaginer toutes les solutions possibles, renchérit Arbalèta.
- Bien vu, lança Sylvain. Et à quoi pensez-vous ?
- L'invisibilité ne serait pas une piste à écarter, déclara Lyvia.
- Oui enfin, on en a rien à faire !, coupa Vert. Nous devons le ou les arrêter, point !
Je sens le pire arrivé...
- Et comment comptes-tu les arrêter, lui demandai-je. Je te rappelle que vous êtes trop lents pour lui ou eux.
Et j'insiste sur le « vous » bande d'incapables !
Comme ils ne me répondirent pas, je m'en occupa.
-- Vous courez après eux et c'est pour cela que nous ne sommes pas avantagés.
-- La solution serait que ce soit eux qui viennent à nous, expliqua Adélia.
-- Vous nous conseillez donc...
-- De les attendre dans un laboratoire, complétai-je.
Comment n'ont-ils pas pu y penser par eux-mêmes ?
Le plan étant expliqué, nous ne tardâmes pas à l'exécuter. Les 4 éléments nous conseillèrent de nous rendre dans un laboratoire qui avait de grandes chances d'être l'une des prochaines cibles. Nous décidâmes de former deux équipes : la première sera à l'intérieur et s'attaquera au(x) criminel(s) tandis que la seconde le ou les stoppera au cas où il(s) s'échapperaient. La première était ainsi composé d'Armand, d'Arbalèta, de Sylvain, de Camryn, de Vert, de Rouge et de moi. Les autres composent donc la seconde équipe.
Nous évacuâmes le laboratoire et attendâmes dans la salle principale le temps qu'elle se fasse attaquer.
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-- Ce que je peux m'ennuyer, déclara Rouge. Ça va faire deux heures qu'on attend.
Pendant tout ce temps, j'avais visité les lieux avec Sylvain et Armand. La combinaison de ces deux-là n'était pas forcément une très bonne idée. Sylvain n'arrêtait pas de dire qu'il serait inutile à la mission et Armand lui hurlait de cesser de se morfondre. Alors qu'un énième round allait être lancé, un bruit de porte se fit entendre. Nous nous préparâmes alors à attaquer.
Tout d'abord, trois hommes entrèrent en faisant le moins de bruit possible. Suite à cela, une vingtaine d'hommes et de femmes entrèrent à leur tour. Nous ne tardâmes pas à lancer l'assaut. Rouge s'occupa des trois premiers hommes en les enfermant dans un torrent de flammes. Armand, Camryn, Arbalèta, Vert et moi nous chargâmes des autres intrus. Seul Sylvain restait en retrait.
-- Vert, j'aurai besoin d'une liane !, s'exclama Rouge alors qu'elle immobilisa une femme.
Elle en attrapa une alors qu'elle était en plein vol.
-- Merci Vert.
-- Mais je n'ai rien fait...
-- Quoi ? Mais alors d'où vient-elle ?
Je me tournai rapidement vers Sylvain qui arborait un grand sourire.
C'est ça, impose-toi.
Nous ne tardâmes pas à immobiliser tous les intrus.
-- Ce fut bien trop facile, dis-je. Mais, j'ai un mauvais pressentiment...
Soudain, une centaine de personnes arrivèrent de tous les côtés. Les choses se déroulèrent très vite et cette fois-ci, ce fut eux qui prirent tout de suite l'avantage. Alors qu'un homme d'une forte corpulence s'était assis sans gêne sur moi, une femme qui m'était bien trop familière entra et nous regarda avec un sourire malicieux. Elle recoiffa d'un mouvement bref ses cheveux bruns.
-- Si on m'avait dit que je te retrouverai ici mon enfant, je n'y aurai pas cru.
~~~ FLASHBACK ~~~
4 ans plus tôt :
Le vent soufflait très fort ce jour-là. La voiture qui m'emmenait à ma nouvelle demeure en fut secouée à plusieurs reprises. Soudain, elle s'arrêta. Le chauffeur descendit en premier afin d'ouvrir ma portière sans toute fois me lancer un regard. Il ouvrit le coffre et en sortit ma valise qu'il posa par terre. Je la pris et le suivis jusqu'à la porte d'entrée. Il sonna une première fois, sans réponse. Il le fit une seconde fois, rien ne se passa. Il décida alors de tambouriner la porte. Cette fois-ci, une petite fille d'environ dix ans nous accueillit et poussa aussitôt un "Mamaaaaaaan !" Une femme d'une trentaine d'année la rejoignit.
-- Serait-ce...
-- Oui, oui c'est lui. Allez prenez-le qu'on en parle plus.
Il n'ajouta rien et retourna dans sa voiture, la fit redémarrer et s'en alla.
-- Bon, commença la femme, bienvenue...
Je l'interrompit en allant à l'intérieur, je commençai à avoir froid.
-- Donc je disais, reprit-elle en fermant la porte, bienvenue chez toi. Je me nomme Catherine mais tous les enfants préfèrent m'appeler "Maman".
-- Quelle drôle d'habitude...
-- Ouf ! J'ai cru qu'on avait oublié de m'avertir que tu étais muet, lança-t-elle en souriant.
Je ne fis pas attention à ce pic ironique et lui demanda :
-- Je dors à l'intérieur ou je dois occuper la niche du chien ?
-- Nous n'avons pas de chien alors malheureusement, tu vas devoir passer la nuit à l'intérieur.
Catherine se dirigea vers les escaliers et m'invita à la suivre. Elle monta lentement me laissant le temps d'observer ce nouvel environnement. On arriva sur le palier qui était en réalité un immense couloir avec de nombreux embranchements.
-- Tu risques de t'y perdre au départ mais avec le temps ça ira mieux.
Elle ouvrit la porte du fond du couloir principal et salua les occupants. Deux garçons étaient assis par terre en train de discuter. L'un était blond, l'autre était roux. Il se tournèrent aussitôt vers nous à notre arrivée.
-- Il n'y a pas de chambre vide alors tu devras partager celle-ci avec ces deux énergumènes.
-- Salut !, me lancèrent-ils. Comment t'appelles-tu ?
Catherine éclaircit sa voix.
-- Ah oui pardon, reprit le jeune homme blond. Je m'appelle Théo et lui c'est Charles.
Ce dernier leva sa main.
-- Bon maintenant : Qui es-tu ? D'où viens-tu ? Comment as-tu perdu tes parents ? Quel...
-- Stop ! coupa Catherine.
Théo se tut aussitôt.
-- La politesse, cela t'évoque quelque chose ?
-- Pardon Maman...
-- Il vient d'arriver, laisse-le se poser.
Elle quitta la chambre tout de suite après. Je déposai ma valise dans un coin et m'assis sur un lit.
-- C'est le mien..., déclara Charles.
-- Ah excuse-moi.
Théo me pointa le lit qui m'était attribué.
-- Tu peux t'asseoir avec nous si tu le souhaites, dit-il ensuite.
Par politesse, j'écoutai son conseil et m'exécutai. Leur discussion partait dans tous les sens et je perdis rapidement le fil. Ils sortaient des prénoms de personnes qui m'étaient inconnues et rigolaient pour un rien. Cela était encore moins à mon avantage lorsqu'ils me demandèrent "Et toi ? T'en penses quoi ?"
-- Eh bien... J'ai rien compris à ce que vous avez dit donc...
Théo posa sa main sur mon épaule.
-- Ça te dirait un stage de "décoinçage" ?
Je levai un sourcil.
-- Ce que Théo veut te dire c'est que tu es trop coincé, ça se voit. Ouvre-toi, je suis sûr que tu peux être quelqu'un de cool.
C'est avec ces paroles que commença ce fameux stage de "décoinçage". Pendant une année entière, Théo et Charles firent de leur mieux pour me "décoincer". En seulement quelques semaines je trouvai que j'allai mieux mais selon eux, c'était loin d'être assez. Peut-être avaient-ils raison.
+++++++++++++++
Un jour, ce jour fatidique, celui qui bouleversa ma vie arriva. Il commençait comme tous les autres : réveil en trombe par Théo et petit-déjeuner avec tous les autres enfants. Ayant fini de manger, je pris mon bol et partis à la cuisine afin de le laver. Lorsque je revins, Charles se précipita sur moi.
-- Bon, que comptes-tu faire aujourd'hui ?
Je n'eus le temps de répondre que... quelque chose ? De... de bleu foncé ? Une sorte de... de vague d'énergie ? Me frappa au torse. Alors que tout le monde paniquait, je restai droit comme un piquet, avant de me ressentir une forte douleur au niveau du cœur. J'entendis des enfants appeler Maman qui accourut aussitôt. Elle me prit dans ses bras et m'emmena dans une petite pièce qui servait d'infirmerie. Elle me demanda de lui signaler la localisation de la douleur ce que je fis, difficilement mais je le fis. Elle découpa aux ciseaux mon T-shirt afin de voir s'il y avait une plaie. Il n'y en avait pas mais une forme bleue foncée brillait sur mon torse. Celle-ci était à l'emplacement de mon cœur et avait celle de ce dernier ! Maman, paniquée, frotta avec un serviette humide mais rien de partit. Elle décida finalement d'envoyer Charles chercher un médecin professionnel.
1 semaine plus tard :
Je discutai tranquillement avec Théo et Charles depuis une heure dans notre chambre. Soudain, Maman fit irruption dans la pièce. Elle n'avait pas toqué, nous en déduisons que c'était important. Elle nous demanda donc de descendre en ajoutant que je devais faire ma valise.
-- Pourquoi ?
Aucune réponse. Nous nous exécutâmes et j'arrivai le dernier, portant ma valise. Deux hommes habillés en costard se tenaient à l'entrée. Maman ne dit rien de plus que "Tu dois partir d'ici". Je ne compris rien à la situation. Je regardai Théo et Charles qui haussèrent les épaules. Alors que je m'avançai, ce dernier me retint par le bras.
-- Ne pars pas.
Je ne savais pas quoi lui répondre. Alors, je retira mon bras de son emprise. Je compris que je n'avais pas le choix de partir. Un homme m'emporta vers l'extérieur tandis que le second prit ma valise et nous rejoignit. Maman et Théo me saluèrent mais Charles resta en retrait.
~~~ FIN DU FLASHBACK~~~
-- Eh bien moi non plus figure-toi... Catherine, déclarai-je avec un peu de peine.
Que fait-elle ici ? Elle serait de mèche avec toutes ces attaques ? Je n'y aurai jamais pensé... Cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vue...
-- Tu as bien grandit, lança-t-elle avant d'ordonner à l'homme assis sur moi de se relever.
-- Inutile de faire de la politesse, rétorquai-je en me mettant en position de combat.
-- Pff... Comme tu voudras.
Elle s'approcha ensuite de l'homme et lui toucha l'épaule. Un tout petit éclat lumineux apparut aussitôt, ce qui m'obligea à fermer les yeux, par réflexe. Quand je les rouvris, il n'y avait pas un homme mais deux !
-- Comment est-ce possible ?!
-- Tu arrives à faire apparaître un miroir et à t'en servir comme un immense hangar alors je peux bien pouvoir dédoubler une personne.
Ça se tient.
-- Bon vu que tu ne veux pas de politesse, on va dévaliser ce labo fissa d'accord ?
-- Dans tes rêves !
-- Tu oserais attaquer ta mère ?
-- Tu n'ai plus ma mère, d'ailleurs tu ne l'as jamais été.
-- Un de mes fils est en colère, que c'est mignon. Kévin, Kévin Clone n°1, attaquez-le, déclara-t-elle sur un tout autre ton.
Ils foncèrent alors sur moi mais je les évitai facilement, ils n'était pas très rapides. J'étais sur le point d'ouvrir un miroir quand quelqu'un me plaqua au sol. Cette personne... avait la même tête que les deux Kévin !
-- Bien joué Kévin Clone n°2. Maintenant, débarasse-toi de lui, s'il rapporte que je suis l'auteure des attaques je suis fichue.
Kévin Clone n°2 leva son poing pour me frapper quand un nuage apparut au-dessus de sa nuque et lâcha un éclair. La victime s'écroula, inanimée.
-- Oh merde ! Je voulais qu'lui faire perdre connaissance moi.
Neven entra dans la pièce suivi de tous ceux qui étaient restés à l'extérieur.
-- On trouvait que vous mettiez beaucoup de temps alors on a décidé de vous rejoindre, lança Lyvia.
-- Ce que vous pouvez être lent parfois, pouffa Tôn.
Blanche et Bleu rejoignirent leurs coéquipiers en se débarassant des personnes sur leur chemin. Thélio, Tôn et Lyvia s'en occupèrent de quelques uns eux aussi.
-- Bon, tu vas rester là à te la couler douce, déclara Neven en m'aidant à me relever.
-- Fascinant !
Nous tournâmes la tête et vîmes Adélia en train de faire une autopsie à Kévin Clone n°2.
-- Mais c'est dégueulasse !, m'écriai-je.
Blanche fit semblant de vomir.
-- Excusez-moi je me suis précipitée c'est vrai.
Précipitée ? C'est même plus que ça, on aurait cru que c'était un cadeau emballé.
-- Pourtant c'est très intriguant, reprit-elle, son corps est identique à celui d'un véritable humain enfin, reste à voir s'il est exactement comme l'original...
-- Ne te donne pas cette peine, lançai-je en lui faisant comprendre que c'était une très mauvaise idée.
-- Je ne voudrais vous mettre la pression mais pendant que vous discutiez j'ai eu le temps de me faire une petite armée, déclara Catherine.
En effet, une autre centaine de personne se tenait debout derrière elle.
-- Hmm... Qui est prêt pour tout défoncer ?, s'écria Neven
Nous lui répondîmes par un sourire malicieux.
-- Regardez, ce sont tous des Kévin, fit remarquer Sylvain.
-- Ça veut dire que ce sont quasiment que des clones, compléta Lyvia.
-- Ça veut dire qu'on n'a pas besoin de retenir nos coups alors !, rajouta Tôn avant de se fondre dans la masse de clone.
Plusieurs d'entre eux furent éjectés dans tous les sens. Ce fut ensuite au tour de Lyvia de s'armer de sa hache et d'en découper quelques uns. Sylvain fit apparaître des lianes qui fouettèrent les clones. Ainsi, il les regroupait en un même endroit pour permettre à Armand d'enchaîner les coups de pied et de jambe. Arbalèta, quant à elle, se mit en retrait et tira sur les clones sans interruption. Un carreau tiré était égal à un clone éliminé. Très rapidement, tous avaient été abbatus. Catherine était alors sans défense.
-- Ce n'était qu'un avant-goût. Kévin est l'un de mes enfants les plus faibles.
-- Tu élèves les enfants pour en faire des combattants ?!, m'exclamai-je.
J'aurai voulu continuer à parler mais une lame sous ma gorge m'en empêcha.
Un sourire diabolique s'afficha sur le visage de Catherine.
-- Tu arrives au bon moment.
-- C'est qui celui-là ?, demanda Neven.
Je pouvais voir du coin de l'œil mon agresseur et le reconnaître sans problème.
Charles...
2823 mots.
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Alors ce petit flashback ? Il vous a plu ? Évidemment il y a une suite à ce flashback ;) Quand ? Je ne sais pas XD
Plus important, la gérante de l'orphelinat revient sous un tout autre visage ! Pour le coup, le héros ne semble pas si déstabiliser de la voir dans ce nouveau rôle mais comment réagira-t-il avec Charles ?
Au prochain chapitre, on assistera à une petite confrontation entre le héros et Charles. Quel en sera l'issue ? La mission sera-t-elle un succès ? Quelle information des plus importantes vont-ils soutirer de Catherine ?
Publié le 08/02/2020
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