retour à l'hôpital
Et oui mes vacances sont fini, il y en a un qui est pas très très content mais il sait aussi que c'est mon métier et que je l'affection alors il se retient de jouer l'homme des cavernes. N'oubliant pas que lui aussi est occupé et toujours bien entouré et pas que part des hommes.
Alors malgré son air sombre, il l'accepte en sachant que j'ai raison.
- Arrête de faire cette tête, je sais très bien que je vais te faire travailler annule tu peux avoir quand même confiance en moi.
- Ah mais c'est pas ça le problème, j'ai confiance en toi mais pas avec les autres qui t'entoure !
Je baisse la tête déçue, qu'il le prenne de cette façon et il le remarque. Voyant que c'est mots m'ont touchés , il se rapproche et m'entoure de ses bras tendrement en posant son menton sur le haut de ma tête en soupirant fortement pour me faire comprendre qu'il ne cherchait pas à me vexer.
Comme nous sommes dans notre chambre, il me traîne pour me faire asseoir sur le bord du lit, après quelques secondes de silence il se lance :
- Excuse-moi d'être aussi possessif mais il faut me comprendre, je tiens beaucoup beaucoup à toi et tu es loin d'être moche ! Tu es même très belle et très sexy peu importe ce que tu as sur le dos et c'est pour ça que j'ai tellement peur qu'un homme réussi à te détourner de moi alors excuse-moi de jouer les hommes de Cromagnon mais c'est plus fort que moi !
La tête toujours basse, je la relève estomaqué et le regarde droit dans les yeux que lui n'avait toujours pas baissé. Et depuis le début les avaient braqué sur moi pour que je vois à quel point, il était sincère dans ses paroles.
- Arrête de dire que je suis belle c'est pas vrai et deuxièmement tu ne risques rien car quand je suis à l'hôpital, mon métier passe avant tout.
Piqué au vif par mes paroles Jex ronchonne attrape ma main me force à me relever, il me tire dans la salle de bain je me mets en face du miroir pour que je regarde mon reflet à travers celui-ci et me dit sur un ton très sérieux.
- Mais putain Eméline tu es borné, quand tu t'y mets tu es... belle et bordel rentre toi ça dans le crâne. Tu vois pas tous les regards des hommes quand tu rentres dans une pièce et crois-moi l'expression qui se lit dans leurs yeux ne sont pas si innocent que ça. Quand ils te regardes, ils ne pensent qu'à une chose avec toi te mettre dans leur lit alors arrête de dire que tu es moche car ce n'est pas le cas, ce n'est pas clair !
Choqué par ces paroles, je rougis jusqu'à la racine des cheveux.
- Oui dis-je timidement.
- Et je veux plus t'entendre dire que tu es pas belle car au contraire tu es la femme, la plus magnifique j'ai jamais vu de ma vie et crois-moi j'en ai vu passer.
Ses yeux expriment tellement ses pensées que j'en ai la gorge nouée et une larme solitaire coule de mon œil droit que j'efface du bout des doigts en y émettant un reniflement peu gracieux et me mords la lèvre inférieure, j'ai du mal à affronter ses yeux à travers le miroir et me mords la lèvre inférieure en regardant mes pieds et sachant quoi dire je reste silencieuse.
- Tu me crois maintenant oui ou non ?
J'émets un petit 《 oui 》 balbutiant.
- Il était temps soupire t-il.
- Désolé dis-je toujours la tête baissé
- Ne sois pas " désolé ", c'est normal que tu penses ça toute ta vie on t'a rabaisser. Comme dit le dicton les mauvaises manie on la vie dure .
- J'avoue.
- Rafraîchie toi, on descend manger et ensuite au lit, demain tu bosse.
J'acquiesce et tourne le robinet et laisse couler l'eau froide me penche au dessus du lavabo et m'asperge le visage plusieurs fois, ce qui me fait un bien fou. Jex derrière moi me regarde faire en silence, je le voit faire et lui en posant ses mains sur ma taille en faisant de petit cercle du bout des doigts.
Une fois j'attrape une petite serviette qui se trouve accroché sur un patère à côté et m'essuie le visage avec puis le repose.
Nous sortons de la salle de bain toujours en silence et au moment de quitté la chambre, il me retourne en tirant sur ma main en me rapprochant de lui. En m'embrassant délicatement, écarte légèrement la tête en enfoncent ses deux belle prunelles dans les miennes.
- Je sais pas si c'est trop tôt ou pas mais je t'aime mon bébé alors alors comme sa me démange depuis un moment je craque voila c'est dit souffle t-il les yeux remplis d'inquiétude.
A l'entente de ces mots je reste planté comme une idiote à le regarder halluciné et décide de faire
mariner un petit peu et je dois dire que ça marche bien car je le vois anxieux à trépigner d'un pied sur l'autre comme un ado à sa toute première déclaration. Ce qui me fait doucement rire mais contre toute attente je décide d'arrêter de le torturer et dit :
- C'est vrai dis-je nonchalante
Jex bafouille
- Mais mais
- Chutttee je plaisante !
Je vois ses épaules se détendre, elle
qui était tendue à l'extrême et il murmure, j'accueille ses mots avec un sourire en coin.
- Tu n'es pas....
- Je t'aime le coupais-je !
D'abord statistique en clignotant ses yeux à l'expression agards en premier et il finit quand même par me sauter dessus un air heureux. À la fois soulagé sur ses trait, il m'embrasse avec passion et moi aussi je suis soulagé. Après ces aveux mutuel nous descendons mains dans la mains rejoindre les autres pour se mettrent à table où tout les autres nous attendent, nous regardent arrivé en silence. Nous nous installons parmi eux l'air de rien, mais le coeur léger.
L'esprit tranquille je regarde les yeux brillants de Jex qui se moque ouvertement de ses frères, qui sont médusé en nous voyant sereins.
- Un problème mes frères ? Balance t-il.
Aucun ne bronche et je sais pourquoi ils sont étonné, parce-que Jex n'a jamais eu de femme officielle, préférant les brebis à une vraie relation alors je comprends leurs étonnement. Jex voulant éclaircir immédiatement la situation avant qu'une ambiguïté s'installe, grogna pour que tout se concentre sur lui car depuis mon arrivée c'est comme ça en fait mais je le remarque que maintenant pourtant deux régulières avec qui j'ai sympathisé me l'on avouer plusieurs fois cette semaine et celle d'avant. Au début j'y avais pas porté d'attention mais maintenant il y a plus de doute.
Jex appuie ses coudes pour montrer qu'il était très sérieux dans ce qu'il allait dire et ses frères le compris, même le président qui gardait le silence pour le laisser s'exprimer.
- Mes frères je vois depuis quelques jours que vous vous demandez si c'est officiel entre Emeline et moi
Un des bikers prit parole pour les autres, il s'appelle Spike
- Oui on te cache pas que l'on est tous surpris et qu'on est curieux de savoir mais ne te prend pas le chou si c'est le cas. On est heureux pour vous hein dit le biker pour le rassuré .
- Pas moi dit un autre < Cup >
- Ah bon dit Jex en le regardant et pourquoi ? Se renfrogne t-il.
Sans détour Cup balance avec un air déçu
- Parce que si c'est pas officiel, j'ai peut-être mes chances ! Elle me plaît beaucoup dit-il l'air malicieux en me jetant un coup d'œil.
Je vois Jex sur le point de péter un câble, quand il entend cup mais se retiens en croisant mes yeux qui le supplie de rester calme.
- Alors oui c'est officiel, je veux rien précipiter bien que sa me démange dit-il en me regardant un sourire en coin me narguant ouvertement devant eux.
Ce qui fit rire toute la tabler de bikers comprenant le sens de ses mots, qui me fit rougir et augmenta par la même leurs hilarité même le président Geko semblait heureux pour nous, ce qui me rassure et moins quand il se tourne vers moi.
- Je pouvais pas rêver mieux pour lui et j'espère que le faira chier un minimum ce con, dit-il en le regardant.
Jex se renfrogne mais connaissait assez Geko pour encaissé sa vanne mais ne s'attendait pas à ma réponse qui le Scotch sur son siège.
- Mais j'y compte bien ! Lancais je hilare.
- Saloperie grogne Jex.
- Moi aussi je t'adore Jex.
- Pas moi sale peste !
- Mais oui je sais que tu m'aimes !
- C'est pas vrai emmerdé use !
- Oui Cromagnon !
- Je suis pas un homme de Cromagnon, je suis possessif nuance !
《 Ouhhh 》dit tout l'assemblé.
- Ah bon dis-je innocemment
pourtant tu viens de dire que tu m'aime pas.
- BIENSÛR QUE SI criais t-il.
- De quoi ?
Il se lève d'un bon
- MAIS PUTAiN TU LE SAIS MERDE !
- Quoi donc qu'est ce que je dois savoir ? Dis-je en gardant difficilement mon sérieux.
Il tape du poing sur la table et d'un air rageur gueule
- QUE JE T'AIME BORDEL TU LE SAIS clame t-il.
Et moi heureuse je regarde tout les autres qui ont compris mon stratagème.
- Je le sais et maintenant tout le monde le sait dis-je malicieuse.
Moi qui croyais qu'il allait s'énerver, fait le tour de la table sans attendre, m'emprisone entre ses bras une fois à ma porté et me soulève et dit haut et fort :
- Oui je t'aime petite sorcière !
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Corriger par jess
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