rééducation périlleuse.s

Jex

Je suis très fier de mon coup, elle a pas pu répliquer en jouant sur mon handicap. Je sais que ce n'est pas fair play mais putain que j'ai aimé ça et puis ça m'a permis de sentir ce qui se cachait sous cette putain de blouse blanche. Je dois dire que je suis vraiment pas déçu du tout parce que j'ai tâté entre mes doigts. Déjà que je la trouvais très mignonne, alors là je suis au ange. Je me marre parce que maintenant ses joues sont rouges et ses yeux me fusillent mais je m'en tape.

Nous sommes dans le couloir quand elle me dirige vers la salle de rééducation et je reviens à moi alors que j'imaginais déjà la baiser sauvagement dans ce lit d'hôpital et là ma queue me fait comprendre depuis que je l'ai ploté qu'elle est pas contre et ça fait mal putain de bander comme un âne. Je suis surpris j'entends quelqu'un siffloter gaiement une musique, perplexe je tourne la tête et surpris je vois que c'est Émeline, les yeux braqué loin devant elle avec un air détendu sur le visage.

《 Euh pourquoi elle sifflote comme ça ? 》,

J'aime pas ça du tout alors je reste sur mes gardes même si j'affiche un air relax, je surveille mes arrières avec elle, on sait jamais.

Toujours en sifflotant elle me place correctement entre les barres et se penche pour mettre les freins à mes roues, j'observe suspicieux tout ses fait et geste redoutant le pire. Mais finalement non, comme une professionnelle elle m'explique en théorie ce qui m'attend et je me dis《 Franchement trop facile, un jeux d'enfant 》pour me motiver.

《 Vas-y rigole, mais avec tes muscles tu vas en chier 》

《 Ta gueule 》

.

J'attends gentiment qu'elle me donne le feu vert pour commencer, et dès que je la vois m'autoriser je commence tout fière de mes muscles. Je m'agrippe aux barres et en débutant l'exercice je me rends vite compte que je me suis planté en beauté sur ce qui m'attendais et je déchante furieux. Vexé comme un poux. Je l'entends me dire : 

- C'est mon métier tu sais

Trop fier refusant sa main tendue je l'envois bouler

- Rien à foutre reste ou tu es ou barre toi je m'en tape.

Mais aussitôt dit je regrette mes paroles, mais c'était plus fort que moi, je veux m'en sortir tout seul. J'aperçois rapidement passé dans ses beau yeux que mes mots on lui fait mal, alors je me mords la lèvre et pense aux excuses que je lui dirais plus tard, après elle fait que son taf et moi je l'envoie bouler injustement.

Je continue à m'exprimer en rageant sur les barres en voyant une autre nana de l'hôpital avec mon président, qui se fait arrêter par cette dernière qui lui parle à l'oreille pour que personne l'entend, inconsciemment je la remercie, je sais qu'il a voulu m'aider mais je veux le faire seul, questions d'orgueil.

《 Ouais bah colle toi là au cul ton orgueil 》

《 Re ta gueule 》

Pris dans ma rage, je gueule mon désespoirs de patauger dans la semoule, pris dans mon marasme je n'entends qu'une phrase qui sort de sa bouche et qui met à ce moment là le feu dans tout mon être

- Bah alors ferguson on a du mal, dit-elle a haute voix pour que tout le monde l'entend bien.

Je me fige et relève ma tête, ma vue s'obscurci de rage et je vois tout noir ne pensant qu'a une seul chose lui couper la langue. Alors hors de moi à présent j'essaye de desserrer les freins de se putain de fauteuil de merde, mais pour mon malheur il me résiste et j'y arrive pas mais mains ne m'obéisse pas, tremblant de cette émotion qui brûle mes veines, alors de rage je crache .


-tu..ne...prononce...plus jamais...ta bien compris saloperie de kiné


Hors de contrôle je glisse a moitié du fauteuil, je suis coincé et humilié je hurle de rage.《 Quelle poisse putain, elle me colle à la peau 》


Démuni et n'ayant pas le choix au vue de la situation où je me trouve, je ravale tout mon orgueil et ma fierté < mal placé > et hurle à son encontre la bave aux lèvres.


-Raaaah vient m'aider bordel


Et la je les vois tout les trois me regarder, les yeux exorbité pour Geko et pour la nana que je connais pas, elle a une mains sur sa bouche pour la cacher, tandis qu'Éméline reste stoïque et me balance a la gueule.


{ bien fait pour toi, elle te l'avait proposé il y a peu pourtant }


De rage je tape mon fauteuil a l'aveugle et une douleur sourde vrille ma main

《 aïe 》


-Pourquoi tu voulais pas tout a l'heure, me dit-elle narquoise


Maintenant je vois rouge je me retiens comme je peux pour pas tomber par terre et avoir encore plus la loose. Furieux j'abats encore mes mains sur mes roues malgré et la douleur que je ressens encore et heureux hasard ou pas les freins se desserre. Me rendant compte immédiatement et eux aussi vu leur tête.

Alors j'essaye de réintégré mon fauteuil, mais malheureusement encore je glisse et le fauteuil roule en arrière me foutant deux fois plus dans la merde ,mon corps tendue par la colère m'aide pas du tout, trop pris dans ma rage je ne vois rien d'autre que cette peste, qui maintenant s'approche de moi d'une démarche nonchalante avec mon président à ses côtés . Il veut m'aider s'en doute mais Émeline l'en empêche en lui expliquant qu'il pourrait s'en le vouloir me faire plus de mal que de bien. Je le vois s'écarter en faisant un signe de tête dégoûté pour dire qu'il comprend et recule les mains enfoncé dans les poches dépité de pas pouvoir m'aider.


Alors que je m'attendais à voir un infirmier venir nous aider, bah non dans la stupeur je la vois se rapprocher de moi, se poster devant moi et m'attraper par les dessous de bras pour me soulever et me remettre sur mon fauteuil.

Je suis tellement épaté par sa force que j'en reste coï, ma colère à ce moment là disparaît comme par magie, rien qu'a son contact.


- Voilà tu es bien installé Jex, ça va ? me demande t-elle en mettant sa main sur une de mes épaules.


Abasourdi je mets un temps infinie à répondre, mon regard voguant sur elle comme un triso ,à tel point que j'entends Geko pouffer. je mets un temps assez long car j'aurais jamais imaginé même si elle est kiné qu'elle est la force nécessaire pour un homme battit comme moi .


- Eh oh ça va ? insiste t-elle


Je relève ma tête peu sur et cligne des yeux

Voulant pas paraître troublé je bafouille malgré moi : 


- Hein..euh..ouais ouais ca va


Elle recule rassuré 

et je m'éloigne d'elle en me retournant pour me reprendre mais elle me stop en retenant le fauteuil

- Minute papillon c'est pas finit, dit-elle

Il y a la séance suivante insiste encore Émeline

Moi chamboulé par se qu'il vient de se passer

J'acquiesce et je sens le fauteuil avancer vers une table de massage < oups >

- Eh Geko je suis forte mais pas a ce point, aller viens m'aider.

Je me reprends vite quand je sens deux bras costaud me soulever pour m'allonger sur la table.

- Me dis pas merci surtout.



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Corriger par jess

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