prologue et présentation
Je suis une femme blessé par la vie et par la race humain en général.
Ils sont mauvais, blessant et nombriliste cherchant à détruire ce qui ne leur ressemble pas. Si tu n'es pas une reine de la beauté et différente d'eux et d'un style qui n'est pas à leur hauteur. Tu deviens une abomination à leurs yeux
Mon père nous à quitter, il est mort d'un Avc. J'avais 11 ans, ma mère a été mon soutient chaque jour.
Je suis heureuse même si mon père n'était plus là.
Je suis heureuse malgré mon surpoids
Je mesure 1metre 65 pour 80 kilos.
J'ai vécu l'enfer au collège ainsi qu'au lycée, subissant des moqueries ou des insultes mais je gardais la tête haute quoi qu'il arrive comme mes parents me l'ont toujours appris.
Mais ce que je savais pas, c'est ce qu'il me préparait les autres dans mon dos. Le stupide pari et cruelle à mes dépends.
Mon dieu mais qu'est ce que j'ai fais pour mérité ça.
Pendant mon apprentissage dans le métier de kinésithérapeute, un garçon c'est présenté à moi un jour où j'étais au plus bas. Un jour où j'y croyais plus vraiment, profitant de cette état de faiblesse.
Il avait utilisé les bons mots placé au meilleur moment pour remonté mon estime déjà bien abîmé, usé par la haine et la méchanceté. Julien avait pour moi des attentions ciblé et calculé pour me faire craquer. Sa patience à sut atteindre mon cœur craintif et malmené par tant d'années de souffrance.
Mais julien m'a menti, tromper avec une fille qui était avec moi en apprentissage c'est aussi avec elle qu'il m'a trahi, humilié et offensé.
Quand je les ai découvert enlacé à se tripoter, j'ai quitté précipitamment les lieux désespéré, pleurant à chaude larme le cœur déchiré, précipiter dans l'abîme de la souffrance.
Quand j'ai entendu les phrases cruelles :
{- De tout manière, elle est tellement obèse que même le plus moche des hommes n'en voudrait pas. A tellement point que son père est mort de honte} et c'est rire .
Ce soir là, j'aurais pas dû conduire le cœur malade et les yeux noyers de larmes.
J'ai pas vu ce camion, bien trop tard j'ai vu ses phares incandescent et éblouissant.
Il m'a emmené avec lui dans le fossé sombre et humide.
Lui s'en est sorti oui mais moi....moi j'y suis resté.
Je suis seul dans la voiture coincé cloisonné comme dans un sarcophage, respirant à peine. Quand ils m'ont découvert le regard attristé posé sur moi disait tout, pas besoin de mots pour exprimer mon état, pour eux j'étais condamnée.
Mais je me suis battu férocement contre la mort et j'ai gagné.
Maintenant après quelques année à me remodelé, me reconstruire à tout réapprendre, marcher, manger, parler, mon cerveau n'a pas été touché grâce à dieu j'ai toute ma tête.
5 ans de dure labeur et j'y suis arrivé. Mon diplôme en poche maintenant je suis maître de mon destin et personne ne me fera flanché.
Je suis Emeline 23 ans 1m 65 et 50 kilos de muscle et sportive. Je veux plus être celle que j'étais avant la grosse doudou qu'on malmenait, c'est plus moi.
La nouvelle Emeline martins est forte,combative.
Je travaille dans un hôpital public dans l'Idaho en tant que kinésithérapeute pour réparé les gens blessé et peut-être cassé par la vie.
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Quelque 3 ans plus tard
- Bonjour madame Derek
- Bonjour docteur Martins, puis-je avoir un rendez-vous pour ma rééducation ?
- Bien sur, que vous à dit le docteur Ribéro ?
- Dès que je prendrais rendez vous pour commencer ma rééducation, je pourrais sortir d'ici le plus tôt possible.
- Et votre sortie se fera en fin de semaine c'est ce que je voie sur votre dossier.
Alors je vous propose de me rappeler, voici ma carte de visite. Appelez moi au heure d'ouverture dis-je en la déposant sur sa table de chevet prêt de son lit.
- Merci docteur bonne journée !
- Bonne journée madame.
Je souffle de satisfaction d'avoir vu ma dernière cliente de la matinée et songe à tout ce que j'ai eu depuis ce matin. Je suis contente d'avoir passé une bonne matinée pas trop surchargé pour une fois.
- Dans mon bureau : Hurle et rentre une tornade en furie dans mon bureau sans frapper !
Mon ami et collègue Justine débarque en me faisant une peur bleue et sous coup de la surprise, je sursaute.
- Purée tu m'as fait peur
- Salut Emeline mais non ma poulette
- Bonjour Justine dis-je déjà fatigué de son tempérament.
- Bon poulette, tu laisse tout et on va manger. En plus, j'ai plein de truc à te raconter bichette alors tu lève ton gros derche et me suis moi dit-elle contournant mon bureau; tirant sur mon bras comme une forcené en m'obligeant à me mettre debout. Je sais d'avance qu'elle ne lâchera pas l'affaire alors je cède sur son insistance et puis on dit bien...Quand elle à quelque chose dans la tête, elle la pas ailleurs, ah la la sacré Justine, je l'adore.
Alors que nous sortons de l'hôpital tout en rigolant, nous voyons des dizaines de superbe motos et un bikers parmi d'autre, les bras croisé avec un sourire enjôleur quand nous croisons son regard.
Moi je reste froide alors que Justine sans gêne lui fait du charme, lui fait signe de la main que l'autre gros bras tatoué et arrogant lui rend d'une manière disons très très directe sur ses intentions envers elle. Quand il essaye avec moi en espérant nous avoir tout les deux dans son lit ce soir,j e lève un sourcil. narquois avec un sourire en coin que lui prend pour un accord tacite. Je lui fait un fuck avec tout la colère dont je suis capable et se connard me répond d'un geste obscène de sa langue entre deux doigts en la faisant bouger comme pour un cuni. Toujours en me regardant effrontément.
Cette joute nous fait rires nullement embarrassé loin de la mais l'homme ne rit plus quand un autre débarque en le fusillant du regard. Tout d'abord Justine et moi nous nous moquons de lui mais quand l'autre qui à débarquer nous regarde méchamment en se tournant vers nous pour nous faire part de son mécontentement pour avoir distrait l'autre. Justine hoquet troublé en se ratatinant sur elle gênée, moi borné relève le défi en ne baissant pas les yeux pendant que son pote derrière lui me fait signe d'arrêté en gigotant sa tête frénétiquement me faisant des signes négatif. Apparemment c'est un de leur chef, rien à foutre je me laisserai plus faire par un homme et part nonchalamment avec Justine en faisant un autre fuck à l'encontre du deuxième abrutie décérébré du manche.
- Arrêt de rire Justine râlais-je
Tout en regardant derrière son épaule elle me dit :
- Ils matent nos culs, les deux beaux mâles glousse t-elle les joues rouges d'excitation
Je lève les yeux au ciel en pouffant devant les gamineries de Justine.
- M'ouais ils sont la pour quoi demandais-je soudain curieuse
- Leur vice président ses faits prendre en embuscade et une balle ses apparemment logé là ou il fallait pas tu vois dit Justine pensive
Tout en arrivant devant notre restaurant habituel, frustré en sentant la poisse qui allait me tomber dessus. Je me tourne vers elle avant d'entrer la main sur la poignée.
- Tu vas voir que c'est bibi qui va être de corvée soufflais-je sourcils froncé
Justine me fit un beau sourire
- Normal tu es la meilleure
Malicieuse je lui dit :
- Lèche cul dis-je sur ton faussement sarcastique
- Oh fit Justine les yeux grand ouvert
J'éclate de rire et rentre en laissant planté Justine sur place dérouté.
Arrivé je me stoppe en voyant la tribu de bikers déjà installé bruyant et grognant me faisant bousculer par mon amie qui sur le coup râle que je suis sur son passage et se décale pour pouvoir passé devant moi en m'injuriant copieusement et hoquet en repérant tout ses bikers buvant, riant et braillant .
Dégoûté j'avançais allant à la seul table de libre entouré de ses testostérones en puissance ce qui ravie ma copine mais pas moi !
[ putain mais c'est ma journée bordel c'est pas possible et l'autre qui glousse]
Voyant mon air ronchon en la fusillant du regard elle me glisse discrètement en essayant de pas se faire entendre
- T'inquiète ils mordent pas
- Va savoir gueule l'un d'eux
《raté pour la discrétion 》
Surprise nous nous tournons vers la voix qui avait parlé derrière notre dos, moi les sourcils lever et Justine bavant littéralement sur le beau spécimens qui nous reluquer. Le silence c'était fait autour de nous, les autres écoutant la conversation.
- Vous êtes quand même des mets de choix faut pas se le cacher dit le brun tatoué et tout en muscle.
- Eh tu crois quoi ? Parce-que tu as dit sa qu'on va tombé dans tes bras raillais-je
- Emeline m'averti Justine
- Quoi ? J'aimerai mangé en paix si c'est possible dis-je à Justine tout en maudissent l'autre dégénéré en le tuant du regard.
- Oh oh une sauvage j'adore ca je m'appelle Ken
A votre service mesdames dit ken les yeux remplie de malice et se faisant un jeu de sourcil qui laisse aucune place au doute
[ Ok lui il me cherche] fulminais-je
- Merci mais non merci dis-je avec une moue écœuré au possible et m'exclame fortement en levant mon corp a mis hauteur pour chercher du regard la serveuse.
- BON ON PEU COMMANDER ICI!!! criais-je en fulminant cherchant la serveuse.
Ce qui fit rirent tous les bikers ici présent et le dénommé ken acquiesce sourire au lèvres. Je vis de loin la serveuse qui minaude en rougissant devant un autre groupe qui se gêne pas pour tâter de la marchandise et la voie me jeté un regard torve venimeuse.
- EH TOI VIENS PRENDRE NOS COMMANDES dis-je en la pointant d'un doigt tremblant, la serveuse me fusillant du regard agacé par mes paroles.
- Emeline calme toi, respire
Hors de moi je n'écoute plus Justine, énervé j'attrape mon blouson sur le dossier de la chaise que j'avais retiré étouffant à moitié par tout ses yeux masculin braqué sur moi, aggravent la situation. Commençant à manqué d'air, respirant difficilement faisant gonflé ma poitrine frénétiquement en furie et sans demander mon reste sous les plaintes de mon amie je pars.
" Emeline ,Emeline reviens quoi ? "
Mais non je peux pas, j'exècre l'humanité au plus haut point alors non je me calmerait pas et sa Justine le sait; il me faudra du temps.
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En cours de correction par jess
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