Quelques heure plus tard, enveloppé de bien être comme sur un petit nuage, je garde les yeux fermés sentant un corps dure m'entourer de sa chaleur et de son attention en faisant en sorte que je me sente bien et confortablement installé.

Qui suis-je pour refusé,《 je reste encore un peu》.

Mon ventre finit par se plaindre et me le fait comprendre en silence, en se tordant me faisant mal. Dépité de devoir quitter ce cocon de bien être, je me réveille doucement même si j'ai faim, je m'étire de tout mon long en fermant les yeux , en les réouvrant, Je bloque un peu en étant très très surprise de me retrouver dans ses bras, en ayant momentanément oublié sa présence.

[ Et tu croyais que c'était qui le radiateur douillet mh ] se moque ma conscience.

《 Oh ca va hein ! 》la rabrouais-je

Son regard devenu chaleureux rivé sur moi, m'observe en silence se demandant sûrement comment mon réveille allait se passer. Je savais que je bougeais beaucoup la nuit mais à ce point, merde je me suis sentis très bête sur le moment en l'ayant zappé de ma mémoire, 《 qu'elle idiote franchement 》râlais-je. Mais la douceur qu'il a déployé ce matin pour moi en me câlinant me chamboule encore plus, j'en profite allégrement en fermant les yeux. Et dès que ses lèvres ont rejoint les miennes sans que je le vois venir, je me laisse emporter par ses douces lèvres dans un baisers d'abord doux ,qui devient vite un baisé des plus torrides de l'histoire de l'humanité, nos langues se cherchent, se caressent, s'apprivoisent, en dansant une valse langoureuse pendant un petit moment. A bout de souffle, je suis envahi par une chaleur qui descend directement au cœur de mon être. Je lâche tout ayant trop de mal à résisté en le voyant se rapprocher tout en fixant ma bouche comme un affamé, je craque et mes bras entoure son cou le collant un peu plus à moi pour profiter encore plus de sa chaleur et vu se que je sens plus bas, il a pas l'air contre et nous recommençons notre ballet de langue érotique.

[ Bah il normal qu'il bande, vu que tu te colle a lui ] dit ma conscience moqueuse

《 Fous moi la paix ! 》je grogne

A contre cœur je me détache de cette bouche appétissante et rit en le voyant faire une mine triste de petit chaton égaré. Il me fait pitié mais je dois résister à ne pas aller plus loin, je suis pas prête a céder pas encore je veux qu'il me prouve sa sincérité. Toujours dans ses bras, Jex me tient par la taille et pose son front contre le mien les yeux fermé. Je vois bien qu'il prend sur lui pour ne pas aller plus loin que ses pulsions le pousse, mon cœur chavire mais je tiens bon en lui accordant un petit sourire gêné qu'il rend plus éblouissant et chaleur.

D'un regard il me fait comprendre qu'il a compris ce que je souhaite et me l'accord malgré, que se réfréner soit dure mais il me l'accord, en me caressant lentement les cheveux d'un geste doux, nos regards son aimanter l'un à l'autre.

Pour mettre fin à la torture, c'est lui qui décide de s'écarter de moi. Je lui fais un dernier baiser du bout des lèvres pour ne pas craquer.

Je suis parti me laver la première après ça, Jex m'a laissé y aller la première. Ça m'a permis de réfléchir, de remettre mes idées en ordre et me poser certaines questions puis surtout de repenser à tout ce qui s'était passé jusqu'à aujourd'hui. À toutes les révélations, que j'ai eu en parlant avec Justine et Tanoa.

On a beaucoup parlé toutes les trois, j'en ai appris des choses et pas forcément tout qui puisse me faire plaisir, comme mon passé par exemple. Elle m'a dit que chez eux c'était normal car j'allais m'occuper de l'un des leurs et vu que j'étais nouvelle, ils avaient peur que je sois du clan ennemi me faisant passé pour une personne du corps médical en cherchant à le tuer mais m'a avouer que Jex aussi y était pour quelques chose voulant en savoir plus sur moi. Parce-que je lui plaisais mais il avait peur de faire fausse route malgré ce qu'elle et Tanoa lui disait. Bien-sûr ils lui avaient posé des questions sur mon compte, à tout les deux mais en tant que meilleur amis, ils ont rien dévoilé préférant que ce soit moi qui le face. Mais ils ont jamais osé ces cons. Alors oui ça m'a vexé mais en même je les comprends, j'aurais très bien pu mentir, merde ils auraient quand même du le faire.

Et puis j'appris autre chose aussi qui ma beaucoup plus par contre, depuis le jour ou on s'est embrassé où je l'ai surpris avec une Brebis, il n'a plus recommencer ! 

Tanoa m'a dit qu'il souhaitais, non qu'il voulait que je n'ai pas une mauvaise image de lui. Jex veux que je le découvre sous un autre angle, se refusant de passer pour l'homme qui n'était pas en réalité, c'est à dire un queutard ! 

J'avoue que cette image va être dur à écarter de mon esprit après ce que j'ai vu rentrer dans sa chambre ce soir Là. À ce moment-là on se devait rien lui et moi, c'était mon patient et moi sa kiné. Je me demande si je dois lui laisser le bénéfice du doute car à ce moment-là, je sais pas qu'il était intéressé, je ne savais pas qu'il avait des vues sur moi et qu'il préparait un plan, pour pouvoir se rapprocher. Bien sûr je vois bien tout ce qu'il a fait pour paraître sous un jour nouveau, rien que le fait qu'il soit là avec moi. Qu'il ne cache plus rien vis à vis de ses intentions. Jex veut que je vois, qui il est vraiment et ce rapprochement ce matin m'a pas mal perturbé alors je décide de le tester le reste de mes vacances pour voir à qui j'ai affaire. Si je peux lui faire confiance et jusqu'où il est prêt à aller pour moi.

Cogitant quelques secondes en me grattant le front, pour trouver une idée. Tout à coup sa me revient en tête, je sais ou l'emmener ce soir. Dans un clubs branché ou règne la même atmosphère que dans un clubs de bikers, sauf que là-bas on ne les appels pas des brebis mais des hôtesses ou escorte girls. Elle agissent de la même manière voir pire,on va voir si il résiste longtemps à leurs charme et leur bagout car elles sont très belle et peu habillé. Forte de cette idée, je sors de la douche pour me séché rapidement, mon ventre cette fois grogne sans discrétion, ce qui me fait râler en essayant de me dépêcher pour le rejoindre. 

《 Le pauvre doit avoir faim ! 》me dis-je. 

Dans mes pensées, je sursaute en entendant sa voix :

-   Te presse pas ma douce, la vue est très agréable de la où je me trouve ! Dit-il sur un ton joueur.

Prise de panique, je colle ma serviette sur ma poitrine en essayant de camoufler le reste de mon corps dénudé avec le bout de serviette qui pend dans le vide et relève la tête aguard. Je plisse des yeux suspicieuse en voyant son air amusé, son grand corps adossé à la porte un sourire malicieux suspendu à ses lèvres.

Et moi je beug comme une adolescente, les hormones en ébullition devant cet homme torse nu et juste son caleçon camouflant à peine ses attribut masculin attendant sans doute son tour pour aller se laver.

-   Sa fait longtemps demandais-je dérouté.

De son pouce il se gratte le menton en penchant la tête sur le côtés, les yeux se baladant partout sur moi. Ce qui me fait resserré un peu plus le tissu sur moi, rouge de honte, fuyant son regard. Il rit en voyant qu'il a réussi à me déstabiliser et je vois à son regard devenu intense, que la vue lui plaît parce-qu'il enfonce le clou de l'indécence.

-   Oui...depuis le début et je dois dire sincèrement que sa vos vraiment le détour Eméline.

A ses mots il se détache de l'encadrement et s'avance dans ma direction, s'arrêtant à ma hauteur alors que je n'ose plus bougé, ni respirer. Du coin de l'œil je le vois sourire, je peine maintenant à respirer le souffle court déstabiliser en sachant que ses yeux et sa personne son concentré sur moi. 

Jex entoure délicatement mon épaule de son bras en me rapprochant de lui, dans un geste possessif et se penche en enfouissant sans attendre son nez sous mon oreille en émettant un son guttural qui me fait frissonner de la tête au pied. Il me hume bien fort comme en manque de mon parfum corporel, il me susurre en me faisant de petit baisé. 

-   Ton corps est d'une beauté sans pareil, peu importe le passé. Tes courbes sont toujours les mêmes, quoi qu'il arrive.

Tu es énormément désirable et je me retiens avec peine car je ne veux pas que sa soit qu'une histoire de sexe, ma douce... Je veux plus, je veux ton cœur aussi dit-il en me caréssant le cou avec l'arête de son nez. 

Je sens mes défenses vaciller durement face à lui, me mordant pour que mon esprit me ramène à la raison et m'oblige à rester de marbre. Ce qui le fait sourire, il me relâche et se déshabille en rentrant rapidement dans la douche, tandis que moi je me prépare à sortir de la pièce mais sa voix me stoppe un petit instant. Je reste tourné à lui pour éviter de le mater sans retenue car je ne l'ai pas encore vu entièrement nu pour le moment et c'est bien mieux comme ça. C'est déjà dur de lui résister, quand il joue de ses charmes alors si en plus je le vois nu, c'est mort .

-   Le petit déjeuner t'attends ma belle, va prendre des forces. Tu en auras besoin dit-il sur ton qui se veux fier. 

Il sait ce con que j'étais à deux doigts de craquer et il en était fier. Alors sans attendre, j'acquiesce et fuit la salle de bain en retrouvant mon souffle, soulager d'être sortie de cette enfer. 
À travers la porte, j'entends l'eau couler et lui chanter et sifflé gaiement.

《  T'inquiète mon grand, ta gagné une bataille mais pas la guerre ! 》

A cette pensée, je file rapidement m'habiller pour pouvoir déjeuner tranquillement.

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Corriger par jess