jeu de séduction
Jex
Putain enfin je goutai à ses lèvres, bordel de dieu tout mon corps était en extase à son contact et frissonne de bien être. Quand je senti le mouvement de son corps se raidir par la surprise de mon geste et je rattrape de justesse son poing qui s'apprêtait à s'abattre sur moi. Elle pousse un grognement rageur coincé dans sa bouche bloqué par mes lèvres, je souris quand je vis son regard m'assassiner.
Pour comprendre que j'en avais rien à foutre, j'ai resserré mon bras autour de son corps et bloquer son poignée dans son dos et la colle encore plus au cheval .
J'entendis l'autre nigaud derrière nous rire au éclat en voyant, ce que j'étais en train de faire à Eméline se qui gonfla mon égaux encore plus mais je devais pas le montrer au risque de tout perdre; surtout avec une femme comme elle.
Eméline sentais bon la vanille. C'était agréable, je sentais aussi son corps contre le mien et ma queue en était très contente mais le problème c'est que sa fait mal, je commençais à être à l'étroit dans mon caleçon.
[ Ah non c'est vrai, j'en ai pas ! ]
Coincé contre la braguette de mon jeans, ma pauvre queue frétille d'impatience et là aussi je savais que c'était pas le moment. Car malgré son apparence qui se voulait froide et forte, c'était quelqu'un de fragile cerné par le doute et l'appréhension qui devait la rongé tout les jours de sa vie depuis que ses enflures l'avait humilié ! Il fallait la rassurer en permanence. Et oui elle se méfier de tout et tout le monde, il fallait juste la rassurer jusqu'à se qu'elle comprenne et j'allais m'atteler à la tâche et pas plus tard que maintenant.
Le fait qu'elle ne mets pas vraiment rendu mon baisé m'avait un peu vexé et si je m'écoutais, j'aurais forcé le passage par pure orgueil....mauvais idée je sais.
Alors je quitte ses lèvres à contre coeur et rapproche ma bouche de son oreille pour lui sussurer une vérité qu'elle seul entendra.
- Maintenant que je t'ai trouvé, je te lâche plus et ce dès aujourd'hui !
J'agremente mon discours de quelques baisé léger sur son oreille qui ne la fit pas beaucoup réagir ou tout juste un frémissement mais au moment de mordiller la base de la nuque et son oreille, un frissons violent la parcourus et j'entendis son souffle se coupé < gagné > ! Et je l'a léche par la suite, làou mes dents avait fait son œuvre et elle expire tremble. Je venais de gagner une petite victoire, pas mécontent je continuer ma torture en essayant de trouvé d'autre zone sensible de son anatomie.
- A.. arrête! Bégaie t-elle dans un souffle.
Je sentis ses petites mains essayer de me repousser mais je tenais bon, de plus je suis plus imposant qu'elle. Alors elle avait aucune chance de me décaler pour fuir encore, sa non alors j'étais là et comptais pas me défilés; cette femme était a moi. Dans notre bulle depuis 10 minutes, j'avais complètement oublié le mec qu'il l'avait accompagner mais par contre lui nous avez pas oublié.
- Bon c'est pas que je m'ennuie mais je vais y aller, à plus tard Emeline ! Dit-il en se frottant les mains contre son jeans, un air détendu sur sa face.
Quand je l'ai entendu parler, je me suis raidit sur les gardes prêt à lui rentré dedans, si il tentait quoi ce soit. J'arrêtais ma torture contre ma belle brune qui me rendait dingue et tourna légèrement la tête vers le gars et Émeline en faisait autant l'air perdue. Quand elle se rappela de sa présence, elle lui envoie des appels de détresse avec son regard; le
l
e suppliant de rester mais ce dernier souri légèrement en baissant les yeux vers le sol et secoua la tête négativement avec un sourire en coin puis il rejoignit son cheval d'un pas décidé en réajustant la selle et nous dis sur un ton dépit, avant monter sur la selle.
- Non Eméline, tu sais ce que j'en pense et de toute manière c'est mieux comme ça ! À bientôt.
Je voyais dans le regard de la miss, qu'elle suivait ces faits et gestes jusqu'à le voir partir au galop sans un dernier regard pour nous et moi j'étais content de me retrouver seule avec elle. Je la vis déglutir en proie à la panique et je sais pourquoi.
- T'inquiète pas, j'ai fais un petit tour d'horizon à mon club avant de venir ici ! J'ai prévenu toutes les filles qui traîne là-bas, que je ne suis plus sur le marché ! J'ai décidé de ne plus leur accorder du temps. Et je leur ai dis que je revenais pas sans toi, ils sont tous au courant pour toi dis-je sur un ton qui nous soufflé pas de négociation en la regardant droit dans les yeux.
Alors je la vis reprendre du poil de la bête, elle releva le menton fièrement en me fusillant du regard et afficha un sourire mauvais et dit :
- Mais pour qui tu te prends ? Parce que tu apparais, tu crois que je vais te sauter dans les bras comme si de rien n'était ! Tu me prend pourquoi ? Pour une de tes brebis non mais sans blague dit-elle sacarstique.
Je savais que j'allais en chier avec elle, qu'elle avait une putain de caractère de merde mais c'est pas grave j'assume ! Elle me plaît trop comme ça et je ne veux pas quelle change, j'aime tout en elle. Alors je bloque son menton et relève sa tête d'une main, obligeant ses yeux à rencontrer les miens et dit d'une voix ferme.
- Cause toujours, je ne bouge pas maintenant que je t'ai sous la main et crois-moi tu m'aimeras sois-en sûr !
Étonné ces sourcils se relevèrent très haut sur son front et elle me rit au nez.
- Que de belles paroles comme toujours avec vous ! Mais quand il s'agit de passé à l'action, horsmi faire du mal, c'est que du vent grogne t-elle !
C'est plus fort que moi j'éclate de rire et la maintiens plus fermement, fond sur ses belle lèvres qui me font de l'œil. Mais cette peste réussi à se libérer de mon emprise et tourne la tête au dernier moment. Ce qui fait que j'embrasse sa mâchoire, elle pouffe quand elle m'entend pesté mais je m'en fou j'ai une autre idée en tête. Je l'attrape par la main et la tire vers l'arbre où a été installé avec l'autre gugusse. Il y a quelque heure et l'oblige à s'asseoir par terre. Pour être sûr qu'elle ne s'enfuit pas, je m'installe à califourchon sur elle en bloquant ses hanches. Ce qui l'oblige à étendre ses jambes pour supporter mon poids.
- Bien maintenant tu vas m'écouter et ouvrir grande tes oreilles, je...n'ai pas...l'intention...de repartir...sans...toi, est ce que c'est claire pour toi ? Ou il faut que je le répète ! Dis-je en tapotant son crâne.
Bloqué elle me fusillé du regard, plus buter que jamais mais je ne lâche rien car moi aussi je me suis buté.
- T'inquiète j'ai tout mon temps et de la patience pour que tu me crois bébé
- Je suis pas ton bébé ! Dit-elle revêche.
Quand je vois son air buté, il me fait rire. J'ai jamais vu une femme aussi têtu mais c'est pas grave. Avec elle j'ai découvert la patience et croyez moi, c'est elle qui va craquer.
- Au faite, je vais te prévenir d'une chose dis-je malicieux
Quand je la regarde, je vois apparaître dans ses yeux une lueur de curiosité; elle résiste en se pinçant les lèvres mais fini par flancher et pose la question qui lui brûle les lèvres.
Sans me départir de mon humour, je lui balance avec nonchalance
- Ce soir je dors chez toi !
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Corriger par jess
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