j'ai faim.s
《 Purée comment j'ai fais ça ? 》 Me dis-je.
- Rappelle-moi de jamais t'énerver ! Raille t-il en s'approchant.
Troublée je reste muette devant la nana coucher par terre, tu es consciente. Un homme a couru pour relever sa collègue, sans se départir d'un regard gêner par la façon dont elle a agi. L'homme la déposa sur un des canapés en cuir qui entouraient la piste de danse, il revient vers eux le corps crispé par l'inquiétude.
En fait il s'agissait du patron qui s'est excusé platement du comportement de sa rabateuse .
- Je suis sincèrement désolé, elle vous ennuyera plus je vous promets !
- Pas de souci, dis Ben.
Je hausse les épaules silencieuse le poing maintenant douloureux, j'ai pas l'habitude de frapper quelqu'un. Une fois l'homme parti, jex me fonce dessus sans un mot s'empare de mon visage entre ses mains et colle sauvagement ses lèvres sur les miennes. Dans un baisé tellement torrides, que ma culotte prend feu instantanément. A bout de souffle, il relâche ma bouche et pose son front contre le mien; essoufflé et attend un peu pour pouvoir se reprendre.
- Putain ce que tu es sexy quand tu es jalouse ! Dit-il d'une voie rauque, les yeux braqué dans mes yeux.
- Pfff n'importe quoi, je men's en bougeonnant.
Il rit pas dupe mais garde le silence trop heureux de ma réaction violente puis juste après son regard se baisse sur mes mains que je tentais de dissimuler. Le long de son corps et je lis de l'inquiétude les sourcils froncés.
- Ta main souffle t-il en la prenant dans la sienne délicatement.
Je grogne de douleur ne pouvant pas le cacher, sa me lançait à t'elle point que c'était à la limite de tourner de l'œil et jex le compris en passant son bras autour de ma taille pour sortir du bar avant d'avoir demandé des glaçons pour les mettrent sur ma main.
Je fus incapable de bougé mes doigts tant la douleur pulsait dans toute ma main, même la glace n'y change rien alors jex la traîna à l'hôpital pour faire une radio de main qui avait gonflé à force d'être manipuler. La radio démontra aucun fracture, juste un muscle froissé. Ce qui était en soit, un soulagement car la guérison serait moins longue.
- Je suis soulagé que tu es rien de cassé mais sa m'empêchera pas, de te faire l'amour pour ce que tu as fait pour moi dit-il apparemment toucher.
Jex tenait mon visage entre ses mains et m'offrit un tendre baisers qui me troubla encore plus, pour éviter qu'il le voie je décide de le charrier en voulant donné dans l'auto dérision.
- Pfff je dois pas être la seule dis-je mélodramatique
Son regard se fit tout à coup plus sérieux, fronce les sourcils et avance vers moi en me collant au mur en faisant attention à ma blessure. Je me retrouve collée entre le mur et lui appuyer sur mes hanches, sans comprendre ce qu'il cherche vraiment mais attend, voulant savoir se qu'il voulait exactement.
- Oh non ma belle, je vois que tu as pas encore compris ! Les trois quarts des femmes qui ont traversé ma vie sont passé en coup de vent. Pas assez longtemps pour ça, en montrant ma main .....alors non tu es la seule qui s'est battu pour moi dit-il, le regard chargé de tendresse.
Putain il m'aide pas ce con il va finir par me faire chialer mais je retiens pour pas passé pour une mauviette. Alors je me racle la gorge pour endiguer ses larmes qui menace de couler et sourit l'air de rien en reculant et pendant que nous sortons des lieux. Il me prend la main blessé pour embrassé du bout des lèvres, mes phalanges et prit ensuite mon autre main pour mélanger ses doigts au mien.
Une fois dehors ébloui par la clarté, nous marchons sous le soleil qui nous plombe. Un vent frais est le bienvenue nous cueille et nous rafraîchi en balayant notre visage de bien être. Je soupire en fermant brièvement les yeux et tourne mon visage tout continuant de marcher vers le taxi, qu'on avait commandé et je le voie me regarder avec de la malice au fond du regard.
- Si mademoiselle veut bien en m'ouvrant la portière galamment
Prit dans le jeu
- Merci mon brave en lui faisant un clin d'œil coquin
Au moment où je vais m'installer dans la voiture, Jex qui est derrière moi me mets une main au cul en massant bien ma fesse. Je me retourne en faisant un O parfait avec ma bouche, qui le fait jubilé fièrement.
- Jex je murmure à son encontre en m'assayant.
- Quoi il y a un soucis ? Dit-il en assoyant à mes côtés.
- Oui, tes mains ! Dis-je outré par sa mauvaise foie.
- Mais mes mains vont très bien, ma puce.
- Ah le menteur ! Dis-je en riant.
- Ah la menteuse, prenant un air
conspirateurs les yeux plissé.
- Pas du tout ! Dis-je outré.
Et sans crier gare, il glisse sa main entre mes cuisses en déviant mon attention sur autre chose. < Ses lèvres > , qui me fit hocquet de surprise et lui ressemble au chat d'Alice au pays de merveille.
《 Salop 》 grogna is-je.
Arriver devant l'hôtel, je vois l'expression de Jex changer devant son téléphone qui vient de sonner et me jette un coup d'œil.
- Monte Éméline, je te rejoins !
- Ok dis-je sans poser de questions.
Je le regarde partir, alerte en allant plus loin en répondant à son appel et moi un peu déçue, je remonte dans ma chambre. Je fini par craquer au bout de 5 minute et tourne en rond dans la pièce en me mordant la lèvre inférieure, en me demandant qui l'a appelé.... Une de ses femmes qui traîne dans son clubs ou une nana qu'il à soulevé en dehors, dans un bar. Je me torture les méninges à t-elle point que ne l'entend pas rentré mais mon corps très réceptif. Oui car des picotements remonte lentement le longs de ma colonne vertébral, qui me donne la chair de poule. Ne me retournant pas, pour éviter son regard. J'attends sagement qu'il parle, en regardant un point invisible à travers la fenêtre. Le coeur affolé par la peur de mettre trompé sur ses intentions vis à vis de moi, quelques minutes passe quand enfin j'entends le son de sa voix :
- Je dois rentrer ! Dit-il platement.
Déglutissant douloureusement, j'essaye de garder un minimum d'indifférence en lui répondant :
- ok ne puis-je dire les muscles de mon corps tendu a l'extrême
《 Sayait, il va la rejoindre ! 》 Je me dis tristement.
J'entends ses pas se rapprochant de moi, son torse prêt de mon dos et je frissonne en sentant sa bouche caresser mon lobe d'oreille. Il expire lentement et murmure de sa voix chaude et sexy :
- Mais pas sans toi ! Dit-il un sourire dans la voix.
Et moi éberluré, je tourne la tête sur le côté. Le cœur en pamoison pour cette homme, que j'essaye de tempérer.
- À vraiment retenant un sourire !
- Vraiment tu croyais tout de même pas, que je te laisserai parmis ces loups affamés et te laisser te faire dévoré sans que je réagisse.... Si tu crois ça, tu peu toujours t'accrocher ! Car ici le plus affamé c'est moi et personne d'autre dit-il en attrapant mon menton.
Je n'eût pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'il m'avait déjà retourner pour me dévoré la bouche dans tout les sens du terme. Il me relâche le souffle eratique et dit :
- Non c'était pas une femme mais Geko ! Dit-il narquois.
- Oh bafouillais-je.
Il rit de ma jalousie et hausse un sourcils fier de m'avoir percé à jours.
- Mais continue, j'aime quand tu es jalouse ! Sa me montre juste que tu tiens à moi... Comme moi, je commence à t'aimer !
Au moment de vouloir répondre, il mit sa main sur mes lèvres gonflés et secoue la tête et dit :
- Non pas maintenant, pas tant que tu n'ai pas sûre !
Choqué je le remercie du regard et acquiesce sans dire un mots, à la suite de ça. Il me serre dans ses bras et me dit :
- On part demain matin alors on va descendre à l'accueil pour leur dire !
- Ok.....
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Corriger par jess
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