douce nuit
Hein mais il est sérieux...si…ok. Il veut jouer on va jouer, de plus ça me permettra de mieux le cerner et voir se qu'il cherche vraiment, si c'est moi qui l'intéresse ou mon cul. Heureusement avant de partir j'avais acheté, il y a quelques semaines avant un petit ensemble assez c'est mignon. On va bien voir si il résiste, de toute manière je me fais pas d'illusion sur mes capacités physiques, malgré ce que Justine me dit à chaque fois qu'on se change dans les vestiaires à l'hôpital.
[ Émeline tu es badass bordel, j'en suis presque jalouse. Tu as un corps superbe ma vieille t'en ferais bander un aveugle ! ]
- Peu importe, choisis je dois aller mettre mon pyjama.
Toujours entouré de ma serviette, je me dirige vers ma valise; je farfouille dedans et trouve mon ensemble que je colle sur moi. Je retourne dans la salle de bain sous son regarde plein interrogations. Une fois la porte fermé, je me dépêche de le mettre tout en dentelle de couleur clair et vaporeux.
En me regardant dans le miroir, je fais un tour sur moi-même. Je tourne la tête sur le côté pour regarder mon dos à travers la glace et quand je vois le résultat je rigole toute seule.
Jex doit m'entendre car il me demande à travers la cloison de la porte
- Eh tout va bien la dedans ? Pourquoi tu ris je peux savoir, j'aimerai participer moi aussi dit-il un brin déçu mais curieux.
- Ouais t'inquiète tu le sauras bientôt ! Dis-je hilare.
Je sais qu'il est collé à la porte pour écouter, son impatience s'entendait dans sa voix. Il va pas être déçu le bougre mais pas touche eh eh.
- Retourne te coucher j'arrive ! Dis-je calmement mais un brin irrité.
- Ok ok gauche ou droite ? Insiste t-il.
- Comme tu veux, ça m'est égal râlais-je.
- Ok comme tu veux dit-il un brin amusé.
Je m'arrête deux minute pour entendre ses pas s'éloigner et reprendre ce que j'étais en train de faire < m'habiller >.
《 Je sais pas je le sens mal cette histoire de gauche, droite mais bon on verra 》
J'attrape le peignoir que l'hôtel à mis à ma disposition et l'enfile rapidement. En le serrant légèrement, ayant une idée en tête et j'avoue m'en délecter d'avance de sa réaction avenir. J'attrape la poignée, souffle un bon coup puis sort de la salle de bain et ce que je vois m'angoisse légèrement mais je ne dis rien car ce que je lui prépare, il va pas s'en remettre.
Jex est installé au milieu du lit, les deux bras derrière la tête, un sourire séducteur au lèvre, les yeux braqué sur moi scrutant mes moindre réactions. Figé prêt du lit mon regard descend plus bas, sur son corps que le draps couvre à peine. Couvrant juste le bas du corps et une jambe sortie reposant nonchalant sur le matelas au dessus du tissus. Je lève les yeux au ciel car Jex dans cette attitude ressemble à un acteur porno qui attend sa partenaire. Je m'approche l'air de rien, en penchant la tête sur le côté en plissant des yeux et je vois son expression changé rapidement. Ce qui au fond de moi, me fait bien rire car je lus le doute à présent dans son regard. À la place de la malice que j'y voyais, il y a quelque seconde et pour accentuer son malaise je souris en portant mes mains à la ceinture de mon peignoir et dit d'une voix suave
- Dis tu peux te pousser ? Cette balade à cheval m'a achevé ? Dis-je en feignant la fatigue.
Je garde mes yeux ancré dans les siens pour ne rien loupé, mes mains commencent à s'activer sur la ceinture du peignoir en défaisant le noeud lentement sous ses yeux qui suivent le mouvement de ces dernières hypnotisé.
Une fois le nœud défais, j'ouvre lentement en le laissant glisser de mes bras en lui faisant découvrir entièrement ce que je porte et je suis ravie de voir sa réaction qui me comble de joie. Jex ne prononce pas un mots, il est à guard, la bouche grande ouverte, les yeux éxorbité et déglutissant bruyamment, la bave qui lui coule sur le menton.
《 Yes yes 》
[ Vilaine fille, c'est pas bien regarde le, le pauvre ! ]
Je me délecte de la vue, qu'il m'offre et m'approche encore plus en faisant une moue coquine
- Tu te pousse ?
- Euh..bah..oui..oui at...attend bafouille jex.
Je ris encore plus, en se poussant dans des gestes désordonné pour enfin me laisser de la place, en me regardant m'installer dans des gestes lents et sensuels.
- Tu tu veux ma mort ! C'est sa bégaie t-il.
- Bah non pourquoi ? Dis-je innocente.
- Je me suis promis d'y aller en douceur mais si tu me cherches tu va me trouver ! Grogne t-il.
Et moi aucunement effrayé, je me tourne en me cambrant un peu plus et juste derrière moi je l'entend râler en marmonant des mots incompréhensible et gémir d'envie la seconde d'après.
J'ai envie de rire tellement fort que je me mord les lèvres à l'abri de son regard. Pour pas qu'il m'entende, je me m'installe sous les draps l'air de rien en fermant les yeux; la tête posé sur l'oreiller. Quelques minutes plus tard, je sens le lit s'affaissé sous son poids en soupirant bien fort pour me faire comprendre son agacement. Je souris fière de moi.
- Écoute moi bien Eméline, je laisse passé pour aujourd'hui car j'ai eu une long route pour venir ici, surtout faire comprendre enfin à une tête de mule que je suis prêt à tout pour l'avoir. Alors continue à me chercher et je resterai pas sage longtemps. Je te baiserai tellement fort qu'on t'entendra même à l'autre bout de la terre c'est clair ! Dit-il le plus sérieusement du monde.
Oups je crois que je l'ai énervé alors pour ce soir je n'insiste pas mais j'ai pas dit mon dernier mots.
- Oui très clair.
- Bien dit-il en éteignant la lumière de la lampe de chevet à ses côtés.
Je sais pas la suite de la nuit que j'ai passé avec lui, dans le même lit car je me suis endormie sans m'en rendre compte.
Je pensais pas être réellement fatigué de la journée que j'ai passé avec Steve et après avec Jex, qui je l'avoue à été forte en émotions. C'est s'en doute sa qui ma épuisé, tout compte fait.
J'ai eu le temps, je crois l'entendre soupiré dégoûté de pas pouvoir me montrer à qu'elle point je lui plaît et de dormir sur une béquille juste à mes côtés sans pouvoir me toucher comme il aimerait. Sur ce charmant monologue je m'endormais comme une masse trop épuisée par ma journée .
Par contre c'est le lendemain que j'allais moins aimer, la nuit je bouge beaucoup.
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Corriger par jess
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