délivrance

Je m'approcha de lui d'un pas nonchalant en écartant les bras et lui dit provocatrice :

- Aurais-tu peur de me faire mal, tu te crois si fort que ça, montre-moi comment tu es tout puissant devant une femme ! 


- Émeline je ne suis pas venu pour ça, je suis venu surtout pour te parler et arranger les choses entre nous et te convaincre. Je ne voulais pas ce qui t'es arrivé et à l'époque.


- Pourtant tu l'as fais alors arrête de me baratiner et mets-toi en garde ! Je ne crois pas un mot de ce que tu me racontes, mets-toi en position magne toi ! Criais-je. 


_ Émeline je n'ai pas envie de te faire du mal et surtout de me battre avec toi ! 


_ En plus d'être con et grande gueule, tu es un froussard. Et si j'en ai envie de me battre avec toi ? 

- Mais à ce que je vois, tu t'es pas amélioré avec le temps ! Dis-je colérique. 


Ne lui laissant pas le temps de réagir, je le frappe directement à la tête sur sa mâchoire exactement.

La tête de Julien dévia violemment sur la gauche sous mon crochet et je lui envoie un direct au menton qui partie du bas pour revenir dans vers le haut, sa tête bascule en arrière. 


Éssoufflée le souffle saccadé par les coups que je venais de lui infligé, je continuais de le provoquer. 


- Ben alors on a pas de muscle à ses petits bras... Allez défends-toi bordel ! Criai-je agacé par son inertie.


- Je veux juste que tu reviennes dans ma vie et pas que pour de l'amitié dévoile t-il, je me battrai pas avec toi ! 


Le regard de Julien était déterminé à ne pas bouger et à me laisser le frapper encore et encore mais ce qu'il ne savait pas c'est que ça m'énerver plus qu'autre chose. Je sentais que la cocotte-minute allait exploser d'ici peu, s'il continuait à rester impassible et à se laisser frapper comme il le faisait là depuis quelques minutes.


- Tu plaisantes j'espère en lui envoyant par la même occasion, une droite dans les côtes qui fit devié violemment son corps vers la gauche.


Du sang gicla de sa bouche sous le coup et le nez de Julien est déplacé, t'elle une fontaine le sang immacule son maillot. Julien ne tentant même pas de se défendre, ce qui me déçoit énormément. J'aurais aimé avoir un adversaire à la hauteur mais apparemment il n'a pas l'intention de se battre où se défendre et cette constatation m'énerve un peu plus alors je craque et je lui hurle dessus :


- Mais tu n'es qu'une lopette en fait et tu espères que je revienne dans ta vie mais tu rêves ou quoi après ce que tu m'as fait ! Tu manques vraiment pas culot tout ce que tu mérites c'est que je te défoncés, ta petite gueule de merde j'éructe à bout de patience. Les bras devant moi, en position d'attaque.


Julien tanga en face de moi titubant légèrement sous le poids de la fatigue et essuya avec le dos de la main droite son nez comme il pue tout le sang et entre deux mouvement de la main il me dit sur un ton désespéré les yeux larmoyants. 


- Il fut une époque où j'étais idiot je l'admets, mais là au jour d'aujourd'hui je suis sincère, je veux réellement que tu me laisse une chance dit-il sincèrement. 


- Sérieux j'ai frappé trop fort sur ta caboche ou tu as fumé du shite  parce que jamais, je retournerai avec toi ! Tu te rends compte de ce que tu me demandes mais ça va pas bien dans ta tête sérieux, mon garçon va te faire soigner dis-je outrée part tant de conneries.


Julien secoue la tête de droite à gauche désopiler. 


- Non je suis sérieux, je veux réellement que tu me laisse une chance ! Insiste-t-il. 


À ce moment-là, une voix dur et froide cria :


- Moi vivant, tu ne la touchera pas petite merde ! Elle est à moi et à personne d'autre grogne Jex furibond totalement hors de lui. 


Je tourne la tête vers l'extérieur

du ring et me rend compte, qu'il est dans l'aller entre les fauteuils au côté de Tanao et Justine légèrement à l'écart derrière eux.

Son regard est furieux et rempli de haine, qui est vers Julien. Les poings serrés au point que ses phalanges soit blanches, la mâchoire contractée convulsant à un rythme frénétique. C'est mandibule faisant le yoyo sur le côté de sa mâchoire. Après un petit coup d'œil, je finis par me reconcentré sur mon adversaire et lui indiqua de se mettre en garde décidé d'en finir une fois pour toute avec lui. Ce que Julien fit à contrecœur, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure qui n'avait aucune envie de se battre.


Je l'obligea quand même à se mettre en garde avant de m'approcher de lui d'un pas assuré et commença à armée mon poing pour le frapper, mais je fus étonné de le voir se recroquevillé sur lui-même. Et il mit ses deux bras sur sa tête comme un enfant apeuré attendant sa correction où le coup tomber sur le coin de son visage, ce qui me fait reculer d'étonnement un pas en arrière. Voir cette posture de soumis chez un homme était un comble pour moi pas habitué à ça bien au contraire.


Gardant la tête baissée il me dit :


- Émeline je t'en prie, je suis venu ici juste pour essayer d'arranger les choses. Encore une fois, je te le dis ; je souhaite que tu revienne dans ma vie et s'il le faut je le répéterai tous les jours que Dieu fait. Je suis désolé, je sais que ce n'est pas assez fort et tangible comme excuse mais je sais pas quoi dire de plus pour ce qui s'est passé quand nous étions étudiants. Je sais aussi qu'à ce moment-là, j'étais le roi des abrutis mais j'ai grandi et changer ! Je suis devenu plus mature maintenant essaie de me pardonner, règle le passé en arrière et allons de l'avant supplie t-il la tête toujours baissée entre ses bras.


- Jamais je ne pourrai oublier dis-je une voix froide. 


- Connard c'est ma meuf ! Hors de question qu'elle retourne avec toi dit jex jaloux sur la défensive.


Je jette un petit coup d'oeil en direction de mes amis et Jex le coeur palpitant de joie pour les mots qu'il venait de prononcé. En fait non il les à vociférer la hargne au lèvres, les yeux fou.


Mes amis toujours attentif les yeux comme des soucoupes et la bouche grande ouverte à leur côté mon bikers préféré à bout. Les nerfs à fleur de peau, il vient de crier devant tout le monde comme quoi il tenait à moi en me revendiquant et qu'il n'avait pas l'intention de me laisser partir. Je dois dire que ses mots m'ont énormément touché mais pour l'instant je ne montre rien car j'en ai pas fini avec Julien. Il faut que je mette un point final à cette ancienne histoire pour pouvoir avancer maintenant dans ma vie et être heureuse avec l'hystérique qui se trouve avec mes amis.


Je pouffe à ses mots. 

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Coucou J'espère que cette histoire vous fait toujours, penser aux auteurs quand une Histoire vous plaît penser à mettre une étoile ou un commentaire ça fait toujours plaisir de savoir qu'on nous suit et qu'on lit

Bisous à tous

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Corriger par jess

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