Chapitre 1 partie 1
Bienvenue !
Je m'excuse, mais il faut que fasse une préface ennuyante.
J'ai référencé mon histoire dans Fanfiction parce que je reprends l'univer et certain personnage de twilight. Pourtant, il n'est pas obligatoire d'avoir lu ou vue les films pour comprendre l'histoire. Il n'y aura pas d'Isabella Swan et Edward n'est pas un personnage important. J'ai dû rompre le couple Alice Jasper pour l'histoire. Pourtant ce n'est pas un Jasper x oc. C'est plus sombre que les livres originaux.
Voilà comme cela vous savez à quoi vous en tenir ^^
Bonne lecture,
Amé
En une semaine tout a changé chez moi, j'ai appris à avoir peur des personnes qui y habitent. Je vis dans un manoir perdu en plein milieu du Texas entouré de fermes et d'un petit village vers Houston. J'y ai toujours vécus et j'en sors que rarement. Père refuse que je fréquente l'école et préfère faire venir les professeurs. Le seul lien que j'ai de l'extérieur, outre la radio et notre poste de télévision, c'est Inès ma meilleure et unique amie. Son père est marchand et fait souvent affaire avec le mien. En bref j'avais une vie bien monotone, mais qui ne me dérangé pas... Enfin ça fait trente jours que je m'en suis rendu compte.
Il y a un mois, une femme est arrivé et a réclamé mon père. Elle est d'une beauté à couper le souffle, une peau porcelaine, des cheveux d'or, mais un regard rouge à vous glacer le sang. L'inconnue c'est présenté sous le nom de Maria et nous a demandé l'asile pour elle est ses hommes, en contrepartie elle nous protégerait de l'étrange épidémie qui ravage le pays depuis presque un an. Ses compagnons ont tous l'âge d'être mobilisés pour combattre en Europe, peut-être Maria les protèges-t-elle de la guerre ? Mon père l'a emmené dans son bureau et une heure plus tard une grange près du manoir à été entièrement vidé et investi par une vingtaine de personnes, sauf Maria, qui dort au manoir. Seuls deux de ses hommes peuvent entrer dans la demeur et lui ressemble d'une manière troublante, mais pas réellement dans les traits morphologiques. Ils ont le même teint porcelaine, les lèvres et les yeux rouges sans oublier leur effrayant beautées. Sans doute le plus apprécié de Maria est un certain Jasper, un grand blond d'entre 17 et 20 ans de carrure militaire. Quelquefois il est accompagné d'un autre militaire brun et trapue. Ils me font tous peur, quand ils me regardent j'ai l'impression qu'ils veulent me manger. C'est sans doute pour cette raison que père m'a ordonné de ne pas sortir du manoir.
Mais après un mois en la seule compagnie de Maria, ses sbires, les domestiques et Père j'ai pris mon courage à deux mains pour descendre au village voir Inès. De toute façon père passe tout son temps quelque part et Maria sort rarement la journée. J'ai fait très attention de ne pas passer devant la grange. J'ai réussi à me rendre sans encombre au village. Le père de mon amie a plusieur commerce ce qui leur permet de louer une grande maison. Nous nous sommes raconté notre mois autour d'une tasse de thé. Je lui ai parlé de ma théorie sur les hommes de Maria. Pour moi ce sont des sortes de démons, c'est la seule explication. Leur chef n'a pas mentie, toutes les villes autour de chez nous on était touché par la maladie sauf nous. Étrange non ? Inès a d'abord suggéré que j'étais devenue folle après tout ce temps confiné dans ma chambre puis elle c'est prise au jeu et a élaboré plein de théorie plus farfelus les unes que les autres. L'après-midi est passé très vite et il est temps de rentrer.
Malheureusement pour moi le ciel se couvre rapidement laissant préfacé un gros orage. Heureusement que ma monture fait partie des plus rapides de notre écurie. Illion est un magnifique mâle à la robe baie. Il est très grand et aussi très doux. Manque de chance au moment où j'arrive au croisement qui mène à la fameuse grange le tonnerre gronde. Éviter cette dernière me rajoute un bon quart d'heure de trajet en poussant ma monture. Rassuré parles paroles d'Ines, je décide de passer devant au galop, aucun humain ne peut dépasser Illion à la course.
A quelque mètre du bâtiment en bois deux hommes apparaissent de nulle part. Ils me tournent le dos, mais je peux les entendre rire. Je ralentis pour faire le moins de bruit possible, j'en viens même à retenir ma respiration. Mon cheval aussi est nerveux, il souffle, bave et piaf de peur. Mes efforts pour passer inaperçue ne sont pas suffisant, les deux hommes se retournent vers moi. Ils sont tous les deux de cette beauté étrange et effrayante. Si je n'avais pas passé un mois a leur côté je ne me serais pas méfié jusqu'à voir leurs chemises blanches imbibées de sang. Rien dans leur posture et leur manière de plaisanter laisse penser qu'ils peuvent être blessés. Lentement ils s'approchent d'une démarche gracile, presque flottante. J'essaie à grand coup de talon d'épronnée ma monture sans résultat. Mon cheval reste immobile sans doute pétrifié par la même terreur qui m'engourdit peu à peu. Trop rapidement ils arrivent à mon niveau tout sourire laissant voir des dents trop blanches.
- Regarde ça Arthur ! Nous avons déjà dîné, mais je ferais honneur à Madame, ricane l'homme de droite.
- Mademoiselle, corrigeais-je machinalement d'une voix blanche.
- Excusez le manque de manière de mon comparse, réplique le deuxième, Andres n'a jamais côtoyé une Dame aussi bien élevé.
Ils sont si proches maintenant qu'ils peuvent facilement me faire tomber de cheval. J'ai déjà parlé de leurs yeux rouge, mais les leur sont encore plus écarlate que ceux de Maria, Jasper et Peter. Arthur et Andres sont encore plus effrayants que les autres.
- Est-ce bien prudent pour une si jeune personne de monter une aussi grande monture ? Me demande Arthur d'une voix mielleuse. Mieux vaut que vous descendiez.
Il me tire d'un coup sec vers lui et me rattrape avant que je tombe par terre. Sa peau pâle ne dégage aucune chaleur est ses mains sont froides.
- Mieux vaut pour vous que nous vous raccompagnons chez vous, surtout avec l'orage qui approche.
Andres s'empare d'Illion et se place derrière moi et son compagnon se met devant. Ainsi encerclé je suis obligée de les suivres et ma robe n'est pas l'habit le plus pratique pour courir. Nous partons à l'Est du manoir pour nous enfoncer dans la plaine. Ma gorge est sèche et mon coeur tambourine à cent à l'heure dans mes tempes. J'aurais dû obéir à Père, mais c'est toujours trop tard que l'on se rend compte de ce genre de choses.
- Hé là ! interpelle une voix au loin. Qu'est-ce que vous faites ?
Trop loin pour moi je discerne à peine le propriétaire de la voix. Pourtant en moins d'une seconde il arrive près de nous. La tête haute et le torse droit, je reconnais sans mal Jasper.
- Mademoiselle Ange, me salue-t-il. Ils ne vous importunent pas j'espère ?
J'ai l'impression d'être dans les livres romantiques d'Inès où la princesse capturé tient une conversation badine avec le beau prince qui va la sauver. Sauf qu'ici le beau prince est aussi menaçant que les ravisseurs.
- Ne... ne m'approchez pas, ordonnais-je en essayant de contrôler ma voix. Et dites-leur de me libérer !
Je ne prends pas la stratégie de la conversation calme et rassemble le peu de courage qui me reste.
- Messieurs je pensai les règles de Maria claire, grogne le blond. Il vous est interdit d'attaquer les gens sur les terres du manoir ! Pourquoi diable je m'embête à vous emmener loin pour satisfaire vos envies !
Mes deux ravisseurs recule apeuré, je ne peux que les comprendre, si mes jambes accepteraient de bouger moi aussi je reculerai. Leurs envies, une bonne centaine de scénarios défilent dans ma tête. Le fameux Jack l'Eventreur qui a sévit à Londres en 1888 serait-il une de ses créatures ? Impossible, aucun meurtre n'a fait la une ces derniers temps. Pourtant, il ne faut pas être très intelligent pour comprendre que les fameuses "envies" ne concernent pas des tartes aux fraises.
- Filez, rentrez à la grange je ne veux plus vous voir ! crache-t-il.
Andres et Arthur partent ventre à terre vers la vieille bâtisse en bois. Ils vont si vite que je n'arrive pas à les apercevoir, à moins que ce soit à cause de l'obscurité du soir mêlé à celle des nuages. Sitôt parti Jasper semble se détendre malgré qu'il garde une posture droite rappelant un garde à vous. L'atmosphère chargée de tension et de peur se dissipe pour devenir presque rassurante.
- Je vais vous raccompagner Mademoiselle... Vraiment.
Sans rien ajouter de plus il m'aide à monter sur Illion et attrape les reines pour le guider. Arrivé en vue du manoir mon escorte s'arrête et me regarde droit dans les yeux. Son regard de sang me traverse de par en part pourtant la peur qu'il m'inspire semble étrangement contenue au fond de mon esprit. Ce n'est pas plus mal j'arrive mieux à réfléchir de ce faites.ue au fond de mon esprit. C'est pas plus mal j'arrive mieux a réfléchir de ce faite.
- J'espère que cette rencontre vous a servi de leçon et qu'à partir de maintenant vous prendrez en compte les mesure de protection de M. Antonio, articule-t-il lentement la mâchoire serrée.
- Vous n'avez pas à me donner de leçon, monsieur, dis-je d'un ton hautain et cassant.
Il n'ajoute rien et continue de me mener jusque chez moi. En arrivant dans le grand hall, ma malchance continue de me suivre. Un comité d'accueil m'attends en bas de l'escalier, constitué de nulle autre que mon père et de Maria.
XOXOXOXOXOXOXOXOX
Hey !
Nous voilà parti pour une nouvelle aventure ! L'histoire est déjà complètement écrite donc vous êtes sûre qu'elle aura une fin... Pas bâclé hein ! ^^"
Je n'ai pas de rythme pour pister les chapitres, selon ce que la fac me permet !
Hésité pas à dire votre avis s'il vous plaît.
Bisous ❤❤ Love !
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