34- Message
Pdv Kako :
Kako : Que voulez-vous que je fasse au juste, Dame Tsunade ? Passer au peigne fin la vie de Monsieur Jiraya ? Chercher des informations sur Monsieur Pain, bien que cela soit extrêmement difficile ? Ou encore chercher des informations sur la vie du détenu d'Ame ou d'un des corps de Monsieur Pain ? Ou bien des informations sur le Rinnegan ?
Tsunade : Je sais que je t'en demande beaucoup, mais pourrais-tu aller chercher des informations sur un peu de tout ces sujets ? Rien qu'une toute petite information représente une lueur d'espoir. Je t'en prie...
Kako : Tout en même temps ?! Sans me concentrer sur quelque chose en particulier ?!
Tsunade : ... Oui...
Kako /soupire/ : Je ne vous promet rien... Bien que mon pouvoir soit bien plus puissant que la moyenne, j'ai des limites. Et je ne les ai pas encore repoussées au-delà de réussir un tel miracle... Avec la technique de l'Akatsuki qui m'entrave avec mes visions, c'est compliqué... Je sens bien que je vais être épuisée rien qu'au bout d'une journée...
Tsunade : Merci beaucoup de ton aide Kako.
Kako : Qu'est-ce que je ne ferai pas pour le village ? Reposez-vous également Dame Tsunade. Le deuil n'est jamais facile à accepter...
Haaa... encore plus de boulot...
Je sors tranquillement du bureau de la Godaime Hokage.
Au lieu de rentrer chez moi pour être au calme, je vais au département des renseignements.
Parfois, j'aimerais bien voir le futur au lieu du passé. Certes, voir le passé est bien pour récolter toutes sortes d'informations, bien plus que le futur. Or, voir l'avenir permet d'éviter ce genre de mort qui peut nous fragiliser au point de réduire notre puissance d'un coup sans qu'on ne puisse rien y faire.
J'arrive devant le bâtiment de ma spécialité. À l'intérieur, j'aperçois Ibiki-sensei, je lui fais un simple signe de tête. Celui-ci me répond du même geste avant de retourner à ses papiers à l'accueil.
En cours de route, je croise le chef du clan Yamanaka.
Kako : Monsieur Inoichi, si vous avez besoin de mon aide en particulier, je serai dans mon bureau.
Inoichi : Ne t'en fait pas, j'imagine que tu as beaucoup de travail avec les récents événements. Si nous n'arrivons pas, moi et mon équipe, à accéder à l'esprit du détenu, je ferai appel à toi en dernier recours.
Kako : Bien.
Je me penche légèrement en avant puis je poursuis mon chemin.
La technique pour observer les souvenirs des Yamanaka et le pouvoir des Memorī de la branche principale ont quelques similitudes.
Or, les Yamanaka ne peuvent que visionner les souvenirs d'une personne s'ils entrent dans son esprit grâce à une technique et au corps de la "cible".
Moi, j'ai beaucoup plus de liberté et je n'ai normalement pas de conditions pour voir le passé d'une personne.
Je suis désormais devant mon bureau. Ibiki-sensei m'a autorisé à utiliser cette pièce si je le voulais. Elle est petite, mais cela me suffit amplement.
Je m'installe sur ma chaise, pose mes coudes sur la table, entrelace mes doigts et ensuite je dépose ma tête sur ceux-ci. Je ferme les yeux et me concentre. Par où commencer ?
Je laisse mes visions m'emporter au loin.
Je vois la pluie du village d'Ame, certaines personnes sont floutés, je n'arrive pas à entendre quoi que ce soit de ce qu'ils disent.
En tout cas, la rumeur comme quoi le chef de l'Akatsuki serait réfugié à Ame est bien vrai.
Or, au lieu de voir les six Messieurs Pain, je distingue une septième personne. Bien que les couleurs sont grossières et un peu mélangées, je vois que la teinte des cheveux n'est pas le roux distinctif des Messieurs Pain.
La silhouette m'a l'air d'être celle d'une femme. Elle a des ailes blanches. Envoie des objets blancs. Elle peut changer de forme.
C'est ennuyeux de ne me fier qu'à mon sens visuel. Je ne sais rien du genre de techniques qu'elle emploie. Et cela peut nous être fatale. Du moins, on avance, c'est déjà cela.
J'écris tout ce qui peut être utile sur des feuilles de papiers. À la fin de la journée, j'irai faire un rapport à Dame Tsunade.
Tiens ? C'est intéressant...
J'écris sur la page des membres de l'Akatsuki :
« 7 membres à Ame.
8ème personne hors Akatsuki --> complice ?
Une femme cheveux bleu/violet --> ailes, projectiles blancs
Six Messieurs Pain --> cheveux oranges
Autre personne, cheveux rouges, dans une sorte de récipient/boite --> que la partie inférieur du corps »
Je me demande qui est cette personne pour que des membres de l'Akatsuki viennent le voir en personne.
Un ami peut être ? Mais est-il au courant qu'ils font partie d'un groupe de criminel ? A moins qu'il soit au courant, mais qu'il ne peut pas les rejoindre ? Mais pour quelle raison ? Peut-être qu'il n'est pas assez fort pour les aider ?
Je commence tout juste à avoir une piste, mais j'ai dû mal à creuser plus...
Nous ne sommes qu'en début de matinée et je suis déjà bloquée quelque part... Haaa...
Je sais, je vais aller au département de décryptage, il me semble que Shikamaru s'y trouve. Il pourra peut-être m'aider, je l'espère.
Je rassemble mes papiers et vais machinalement vers l'endroit où se trouve le ninja de l'équipe 10. J'essaie toujours d'avoir des visions qui peuvent m'être utiles.
Lorsque j'arrive, Shikamaru est avec une femme aux lunettes rondes et les cheveux décoiffés.
Bien-sûr, si je fais l'honneur d'être présente en ce temps de crise, ce n'est pas pour rien, et Shikamaru s'en rend très bien compte.
Shikamaru : Du nouveau Kako ?
Kako : Laisse-moi deux secondes.
Je pose mes papiers sur un coin de la table, prend le crayon à côté de la femme et note ce que j'ai pu découvrir entre-temps qui peut nous être utile.
Kako : Donne-moi de tes lumières Shikamaru.
Shikamaru : Une piste que tu as du mal à développer ?
Kako : Tout juste.
Ce qui est bien, c'est que j'ai déjà eu l'occasion de travailler de nombreuses fois avec lui. Notre duo est plutôt fluide, jusqu'ici, nous avons toujours réussi ce que nous avons commencé tous les deux.
Kako : J'ai du nouveau sur l'Akatsuki. Les six Messieurs Pain ont bel et bien installés leur repère à Ame depuis un petit bout de temps. Mais il y a également un autre membre là-bas avec eux. Je pense que c'est une femme, elle peut changer de forme, parfois elle peut avoir des ailes. Elle envoie aussi des projectiles blancs, mais impossible pour moi de savoir de quoi il s'agit, tout est flou à cause de leur technique qui m'entrave.
Femme à lunettes : Comment pouvez-vous savoir tout cela ?
Kako : Je vois que vous ne me connaissez pas, Demoiselle Shiho. Je suis Kako Memorī, je travaille au département de renseignements.
Shiho : Oh... je... je vois.
Cela se voit qu'elle est un peu éberluée. Après tout, je sais comment elle s'appelle à notre toute première rencontre sans qu'elle ne me le dise.
Shikamaru : C'est quoi ça ?
Pendant ce court instant, Shikamaru avait pris mes papiers pour lire ce que j'avais écrit. Maintenant il me regarde les sourcils froncés. J'essaie de lire par-dessus son épaule de ce dont il faisait référence.
Kako : Oui, c'est justement pour cela que je suis venu te voir. Je vois une huitième personne, toujours isolée. Elle ne combat jamais. Pourtant, cet individu discute souvent avec eux. Je ne sais pas s'il est au courant que ce sont des membres d'Akatsuki ou s'il est complice.
Shikamaru : C'est intéressant ce que tu nous as débusqué. Mais c'est aussi très compliqué comme histoire... Haaaa... qu'elle galère... Tu n'as rien d'autre comme info ?
Kako : Non, c'est une des rares visions que j'ai. Certes, j'en ai eu pas mal, mais ce n'est pas très varié. Leur technique qui empêche mes pouvoirs d'agir est vraiment contraignante...
Shikamaru : Tu ne peux pas essayer d'en avoir d'autres, là, maintenant ?
Kako : Il ne faut pas me demander la lune. Maintenant, cela m'étonnerais, peut-être dans quelques minutes. Mais je ne peux rien te promettre.
Shikamaru : Tant que tu essaies, c'est bon.
Je me mets dans un des coins de la pièce. Je vois clairement la femme de l'équipe de décryptage en train de me dévisager. Elle se questionne et se demande ce que je fais.
Peu m'importe, ce n'est pas elle qui va m'arrêter.
Je m'assoie en tailleur et ferme les yeux.
Alors que je me concentre, je me rappelle de mes papiers. Je ne veux pas me déplacer à chaque fois pour écrire mes découvertes.
Je me relève et vais les chercher. Dès que je touche leur matière, je suis transportée par une vision.
La personne aux cheveux bleus est en face de moi à une quinzaine de mètres environ. À mes côtés, il y a des ninjas, sûrement des ennemies d'Akatsuki.
Soudain, elle envoie ses projectiles blancs, ils viennent vers les autres ninjas, mais un se déplace vers moi.
Les projectiles sont tout proches, on dirait des papiers qui fendent l'air... Du papier... Mais oui, elle utilise du papier !
Une feuille se dirige droit vers le ninja qui est derrière moi à droite.
Je ne me préoccupe même pas de l'esquiver.
Pourtant, j'aurais dû le faire...
Elles deviennent de plus en plus réalistes, mes visions...
Mes pouvoirs sont puissants, désormais, j'arrive à ressentir la chaleur comme le froid en fonction de l'endroit de la vision. À l'heure actuelle, je suis trempée de la tête aux pieds, à Ame. J'ai même l'impression de picotement sur ma joue.
Pourtant, dans la réalité, mon corps est au sec, et je suis saine et sauve.
Cette fois, j'ai bien l'impression que mes pouvoirs ont encore augmentés... Jamais cela n'était arrivé dans l'histoire des Memorī, enfin, je crois.
Je sors de ma vision suite à la voix de Shikamaru qui m'appelle.
Shikamaru : Kako ! Que se passe-t-il ? Tu saignes !
Shikamaru est un peu inquiet, je n'ai absolument rien fait pour saigner...
Je touche, craintivement, ma joue droite à l'endroit exacte où j'ai eu l'entaille dans ma vision.
Je mets ma main devant moi, du sang. Le bout de mes doigts est recouvert de ce liquide rouge qui émane de mon corps.
Kako : Je n'y crois pas...
Shikamaru : Tu sais pourquoi tu es blessée ?
Kako : Hahaha... je... ne savais pas... que mes pouvoirs... seraient puissants au point... que j'ai des visions qui peuvent désormais me blesser...
Shikamaru : Tu plaisantes ?
Kako : La preuve est là. Maintenant, il faut que je fasse attention, mes visions peuvent devenir mortelles pour moi, j'imagine, littéralement. Comme si je n'en avais pas déjà assez... Hahaha...
Je rigole nerveusement, depuis quand on peut mourir en visionnant le passé ?
Les anciens de mon clan avaient raison, mon don est plus puissant que n'importe lequel dans l'histoire de ma famille.
Après, cela ne m'est arrivé qu'une fois. Mais je ferai plus attention à l'avenir, on ne sait jamais...
Shikamaru : Tu devrais te soigner et rentrer chez toi pour te reposer...
Kako : Ce n'est pas une petite coupure qui va m'arrêter.
Je passe ma main vite fait sur ma plaie et active mon ninjutsu médical. L'entaille se referme bien vite sous la lumière verte de mon chakra.
Kako : Tu vois, je ne saigne plus. Il va juste falloir que je sois un peu plus prudente à l'avenir, c'est tout. En attendant, ces projectiles blancs dont je t'ai parlé, je pense que c'est du papier qu'elle utilise.
Shikamaru : Du papier ?
Kako : Oui, je ne me suis fier qu'au bruit de l'attaque, car ce n'est pas le membre de l'Akatsuki dont je ne peux rien entendre d'elle, qui l'a produit.
Shikamaru : Le papier est blanc, il est fin et peut prendre diverses formes en étant plié. Mais il peut aussi être tranchant.
Kako : Il résistait aussi à la pluie. Elle a sûrement imprégné ses feuilles avec son chakra pour les modifiées à sa guise.
Shikamaru : Elle ferait aussi des ailes en papier pour voler, ou même modifier son corps en papier pour changer de forme comme tu l'avais précisé. C'est concordant et plutôt cohérant. Ce n'est qu'une simple théorie, mais elle semble assez logique pour être prise en compte.
Kako : De toute manière, que ce soit une simple théorie ou une certitude, Dame Tsunade en aurait pris compte comme une certaine éventualité et unique piste.
Shikamaru : C'est vrai, bien, maintenant, il faut des informations sur cette personne qui s'entretient avec cette femme et les six Pain.
Kako : C'est vrai qu'il faut enquêter là-dessus également... Avant, je préfèrerais creuser d'autres pistes car cela n'est pas ma seule mission. Je dois essayer de vous aider le plus possible également avec le décryptage en fouillant dans la vie de Monsieur Jiraya. Mais il y a aussi le détenu d'Ame, même si Monsieur Inoichi s'en occupe déjà, une vision hasardeuse est toujours la bienvenue. Il faut aussi se renseigner sur Les Messieurs Pain et leurs Rinnegan...
Shikamaru : Des Rinnegan ? Ce n'est pas une sorte de pupilles ça ?
Kako : Oui, figure toi que c'est la légendaire pupille de l'Ermite Rikudô.
Shikamaru : Elle existe vraiment, cette pupille ?!
Kako : Oui, j'ai même eu la chance un jour d'avoir une vision du Sage des six chemins. Ce genre de visions est très rare, pour cause, elles datent de plusieurs siècles ! À notre époque, cela requiert du miracle d'avoir une vision qui date de la création du chakra et seulement par hasard.
Shikamaru : Par hasard ? Tu as déjà essayer d'en avoir ?
Kako : Oui, je voulais savoir comment le monde Shinobi a été créé par simple curiosité. Les légendes ne sont jamais sûres d'être vraies. Or, mes visions le sont.
Shikamaru : Et... tu as réussi ?
Kako /soupire/ : En quelques sortes... mais j'ai passé sept heures assise à me concentrer. Au final, j'ai réussi à voir une courte vision de l'Ermite Rikudô et de son frère. Mais je me suis ensuite retrouvée avec un affreux mal de tête. Deux jours entiers de migraines, ce n'est pas très plaisant... Après, j'avais six ans quand cela s'est produit... Aujourd'hui, si je réessayais, je ne sais pas si j'aurais plus de facilité et les mêmes conséquences... Je devrais tester.
Shikamaru : Eh bah dit donc, quelle galère ces visions... Tu feras tes expérimentations plus tard, maintenant il nous faut d'autres infos.
Kako : Au contraire, si je tentais le coup, là, pour essayer d'en apprendre plus sur cette pupille ? Après tout, les Messieurs Pain l'utilisent. Donc je reste toujours dans le cadre de ma mission de recherches. C'est tentant...
Shikamaru : Mais ça prendra trop de temps, et nous n'en avons pas. Concentre toi sur ça quand tu auras avancé sur tous les autres sujets où nous avons besoin de réponses. Ton pouvoir est un espoir pour Konoha ! Il nous permet d'anticiper et de mieux nous préparer. Ne gaspillons pas ce temps précieux !
Kako : ... Un espoir... ? Tu as raison... je vais m'y mettre de suite...
Un espoir... comme quoi, souffrir apporte parfois du bon.
Aller Kako ! Tes efforts paieront !
J'aiderais le village quoi qu'il arrive. Avec ces informations, nous avons déjà beaucoup avancé, mais il en faut encore plus pour être prêt à toute éventualité.
Shikamaru : Bon, je vais aller interroger Naruto pour essayer de décrypter le message de Jiraya.
Il s'en va.
Interroger Naruto ne sera pas une tâche facile. Il reste cloitré chez lui, toujours dévasté par la mort de son maître.
Peu importe, je dois continuer mon travail, mon devoir.
Ce n'est qu'après pas mal de temps que Shikamaru revint avec Naruto.
Naturellement, je me dirige vers mon coéquipier de l'équipe 7. Je me demande s'il va pouvoir nous aider à déchiffrer le dernier message du Sannin légendaire qui nous a quitté.
Ce n'est qu'après un bon moment que Naruto décida enfin de nous dire à quoi il pensait depuis tout à l'heure.
Le « 9 » au tout début de la série de nombres était en fait une syllabe et non un chiffre.
La syllabe « Ta » en katakana. D'après Shiho, cela ferait référence à un des livres que Jiraya aurait écrit.
Ce qu'a laissé l'Ermite était destiné à Naruto. Seul lui pouvait le déchiffrer. En effet, même moi avec mes visions, j'aurais eu beaucoup de mal à avoir la bonne qui m'aurait permis d'être sur la bonne voie. Et puis, qui dit que j'aurais fait le lien entre mes visions et ce texte, contrairement à Naruto qui l'a tout de suite deviné ?
Shiho : Bien, maintenant il faut trouver de quel livre écrit par Jiraya le message dont il fait référence. Naruto, as-tu une idée d'un de ces roman qui commence par « Ta » ?
Kako : Il en a écrit cinq en tout. Et il y en a qu'un seul qui commence ainsi. « Tactiques de drague ».
Naruto : Mais oui ! C'est le livre que l'Ermite pervers écrivait lors de notre voyage !
Shikamaru : Bien, maintenant il nous suffit de nous procurer ce livre.
???: Pas la peine, il est juste ici.
On se retourne tous vers le bruit produit par la personne qui nous a parlé. Ce n'est autre que Kakashi-sensei, avec le livre en question dans sa main.
Kako : Vous arrivez pile au bon moment Kakashi-sensei.
Shiho : D'ordinaire, lorsque l'on a des numéros qui font référence à des écrits, cela signifie généralement les nombres des pages ou des lignes. En premier, on vérifie les pages, soit la 31, la 8, 106, 7, 207 et 15 peuvent correspondre à des informations dans le livre. Commençons par la page 31. Pourriez-vous vous y rendre ?
Le ninja au masque commença à tourner les pages de son roman.
Kakashi : Voyons, page trente-et-une... que dois-je faire maintenant ?
Shiho : On relève tout simplement le premier caractère en haut de la page. Lisez le début à voix haute s'il vous plaît.
Kakashi-sensei sembla soudainement un peu dérangé. Par simple curiosité, je vis une courte vision sur ce que voyait exactement le ninja au Sharingan.
... Si toutes les pages du livre contiennent ce genre de phrases, Kakashi-sensei sera bien embêté à la fin...
Kakashi : Euh... C'est-à-dire que...
Naruto : Que quoi ?! Ce n'est pas compliqué donc lisez !
Le ninja copieur commença à suer à grosses gouttes face à Naruto qui se montrait insistant.
Je suis désolée pour lui, mais je suis obligée de rajouté mon petit grain de sel. Ce n'est pas tout les jours que l'on peut voir notre cher et grand Kakashi-sensei dans un tel état.
Kako : Mais oui, voyons Kakashi-sensei, nous n'avons pas toute la journée, nous devons pour la plupart travailler, alors dépêchez-vous.
Kakashi-sensei me scruta un instant.
Kakashi : Si nous sommes si pressés, pourquoi ne dirais-tu pas ce que veut dire le message ? Tu as bien des visions, il suffit de voir la bonne page et de relever tous les caractères. Ainsi, en quelques secondes à peine, on peut savoir le message.
Kako : Kakashi-sensei, n'abusez-vous pas un peu de mon pouvoir ?
Kakashi : Cela nous ferait gagner du temps.
Je vois... il est déterminé à ce que je fasse le boulot à sa place ! Mais je ne vais pas me laisser faire !
Kako : Vous êtes sur ? Vous savez, j'utilise mes visions depuis ce matin, et je commence un peu à avoir mal à la tête. Qui sait, peut-être que cela va s'aggraver et que je mettrais plus de temps ? La douleur n'est jamais à ignorer...
Kakashi : Eh bien...
Kako : Et vous avez peut-être oublié, mais je ne suis pas encore majeure, comme toutes les personnes dans cette pièce sauf vous. Et ce texte contient des passages pour adultes, ce n'est une surprise pour personne. Obligez-vous votre ancienne élève à lire du contenu qui n'est pas adapter à son âge, MONSIEUR Kakashi ?
Naruto : Ça vient, bon sang ?!
Il est dans une impasse. Merci Ibiki-sensei pour vos bons conseils en manipulation mentale. Je pense que je me suis un peu améliorée grâce à vous.
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