23- L'attaque
Pdv omniscient :
Ken se releva tremblant suite au choc de sa propre attaque. Puis remis assez rapidement sur pied, il se mit à courir en envoyant des projectiles sur Kako, qui était au centre de la zone de combat.
Kunaï et shuriken. Tous étaient sur le sol. Kako les esquivait facilement sans vraiment beaucoup d'effort.
Ken : Mais comment arrives-tu à les éviter ?!
Kako : Je connais ta façon de penser... tu tires à gauche, à droite, en haut et en bas. Tu attends une seconde avant de recommencer à lancer avec le double d'armes, mais en commençant par le bas, puis le haut, mais après tu lances à droite et à gauche en même temps !
Sa voix était enjouée, mais bientôt elle ne parlerait plus. Elle prit une petite bille de son serre-tête et la mit dans sa bouche.
Chôji /chuchote dans les gradins/ : Elle possède des pilules dissimulées comme accessoires... c'est ingénieux.
Sakura : Ce n'est pas une pilule...
Chôji et Ino : Ah oui ?
Ken, pensant aussi que c'était une pilule accroissant la force, il se mit sur ses gardes. Il continua de lancer ses armes, mais de façon aléatoire, son seul but, toucher sa cible.
Mais celle-ci ne se laissa pas faire.
Kako : Si tu crois que courir en rond à cette vitesse pourra te sécher pour ainsi réutiliser le Raiton, tu te mets le doigt dans l'œil !
Il s'arrêta, troublé.
Ken : Comment tu sais ça... ?
Kako : Hahaha... Je te l'ai dit... je connais ta façon de penser... sans le Fûton de ta coéquipière... tu dois trouver de tes propres moyens... pour ne plus être trempé !
Ken : Tu lis dans les pensées où quoi ?! C'est quoi ce délire !
Perturbé, Kako en profita et projeta la bille en concentrant du chakra dans sa bouche pour une plus grande vitesse de projection. Presque personne ne vit cette petite boule arriver vers Ken à part quelques ninjas de haut rang, donc, des jônin.
Une explosion retentit vers Ken, lui provoquant quelques brûlures au niveau de son bras gauche. Il posa un genou à terre, cela le faisait souffrir. Malgré tout, il se releva. Mais son regard croisa celui de Kako.
Les yeux brillants, pétillants de joie, ainsi qu'un sourire ornait ses lèvres. Son coup avait marché, alors que presque personne ne le vit, ce qui causa de l'agitation dans les tribunes.
Soudain, Kako perdit son sourire, d'une main tremblotante, et se tint la tête. Ken en profita pour l'attaquer de face. Mais comme un mécanisme, un réflexe, Kako esquiva et lui envoya un puissant coup de pied qui le projeta violemment loin d'elle.
De son autre main, elle la leva timidement, beaucoup moins à l'aise que quelques secondes auparavant.
Kako : J'a...j'aban...donne...
La foule se leva d'un bond.
L'incompréhension. C'était tout ce que l'on pouvait dire. Ken lui-même, au lieu de s'en réjouir, se posa beaucoup de questions ce qui le perturba encore plus qu'il ne l'était déjà.
L'arbitre lui demanda la raison de son abandon, comme pour Shikamaru.
Kako : J'ai plus... important à faire...
Genma : Plus important que l'examen chûnin ?
Kako : À quoi bon... être chûnin si... le village ne tient plus debout... j'ai d'autres priorités.
Surpris, Genma allait demander plus de détails, mais Kako sauta dans les tribunes.
Alors le public, qui s'était calmé, repris immédiatement du poil de la bête suite à l'arrivée tardive de Sasuke. Le combat allait commencé mais...
Naruto : Qu'est-ce qui t'as pris d'abandonner ! C'était dans la poche !
Kako : Naruto... laisse-moi passer.
En effet, Naruto barrait la route à sa coéquipière pour avoir des explications.
Naruto : Mais c'est pas possible ! Il n'était pas assez puissant face à toi ! Tu aurais pu le finir en moins de deux !
Kako : Naruto ! Laisse-moi passer ! Je suis pressée !
Naruto, surpris de savoir ce qui pouvait être plus préoccupant pour qu'elle s'affole comme ça, ne bougea pas d'un pouce.
Naruto : Kako... tu vas bien ?
Elle ne répondit pas et lui sauta par-dessus, en courant par la suite. Shikamaru, qui était avec Naruto ne chercha pas à l'arrêter. Kako partit donc le plus vite possible en direction des gradins les plus en hauteur, celui de l'Hokage et du Kazekage.
Peu de temps après, ce fut autour des deux garçons de partir précipitamment vers les gradins où se trouvait Kakashi. Ils voulaient avertir le sensei du danger que représentait Gaara.
En attendant, Kako venait de pénétrer au dernier étage du bâtiment. Des jônin lui barrèrent malheureusement la route.
Sasuke venait d'utiliser le Chidori, Kako tourna la tête suite au bruit assourdissant de cette technique.
Elle avait vu Sasuke et Kakashi l'utiliser de nombreuses fois dans ses visions mais c'était la première fois qu'elle la voyait de ses propres yeux, dans le présent.
Quand Sasuke s'extirpa de la protection de sable de Gaara, elle trembla de tout son corps. Ses visions étaient terribles.
Kako : Laissez-moi voir l'Hokage ! Monsieur Hiruzen, je veux dire, Hokage-sama ! Cet homme... n'est pas le Kazekage !
Les regards des deux dirigeants se croisèrent, c'est alors qu'un ninja de Suna envoya un fumigène au sol ; pendant qu'un sort de Genjutsu plongeait petit à petit toute personne étant dans les gradins, à part quelques-uns qui remarquèrent la supercherie.
Un ninja prit Kako par le cou, l'étranglant en la soulevant du sol. Puis il la jeta au loin, dans l'arène, violemment. À son « atterrissage », un trou se forma dans le mur où elle était désormais.
Temari, ainsi que Kankuro rejoignirent leur « frère » Gaara au centre de l'arène. Celui-ci étant mal, au point de mettre ses genoux à terre.
Kako vaguait, se rapprochant petit à petit de Sasuke. Elle prit son katana maladroitement, elle savait qu'ils étaient dangereux, ses ninjas de Suna. En plus de sa chute, elle souffrait de ses blessures, avec de nombreux hématomes parsemant son dos. Son ninjutsu médical met pas mal de temps à agir, ce qui la rend un peu plus faible pour le moment.
Malgré tout, elle veut protéger Sasuke. Mais il n'était pas de cet avis, puisqu'il se plaça à son tour devant Kako.
Il l'avait vu tomber, il avait crié son nom, mais la seule réponse qu'il eut, était Kako arrivant médiocrement, se tenant sur ses jambes tremblotantes.
Alors que Baki et Genma allaient s'affronter, la fratrie du désert s'enfuit, puis se fut au tour de Sasuke, aidant Kako à se déplacer en mettant le bras de son amie par-dessus ses épaules. Il l'emmena rapidement en lieu sûr, pour ensuite pourchasser les ninjas du sable.
Sasuke : Kako, ne bouge pas d'ici, tu es blessée. Je ne veux pas qu'il t'arrives autre chose de grave.
Sans s'en rendre compte, Kako rougit, ainsi que Sasuke, même si c'était léger.
Kako : Quelques minutes... me suffisent... pour me soigner...
Sasuke : Peut-être, mais tu seras tout de même affaiblit, alors ne bouge pas d'ici. J'ai déjà perdu ma famille... il ne me reste plus que toi, tu comprends !
Kako : Et alors ! Toi... tu vas combattre ! Il ne me reste plus que toi également ! Et je suis une ninja tout de même ! Ne pas me battre en période de crise... et puis quoi encore ? Demande moi l'impossible pendant que tu y es !
Sasuke : Kako, je suis sérieux, fais attention...
Il s'en alla de suite, il venait de découvrir à quel point il n'aimait pas voir Kako dans cet état, en plus de se disputer avec elle. Il partit donc à la poursuite de Gaara.
Pdv Kako :
Je me soigne le plus vite possible. Malgré mes douleurs encore présentes, j'arrive désormais à bouger plus ou moins normalement.
Ainsi, je vais aider à évacuer, le temps de me m'habituer à cette souffrance.
Grand-mère : Merci beaucoup jeune fille.
Kako : De rien... cela est tout à fait... normal...
Petit garçon : Attention ! Derrière ! Des serpents !
En effet, trois serpents se dirigent droit devant nous. N'ayant pas le temps et la force nécessaire pour esquiver, je me fais emporter par les serpents.
La douleur est plus que présente, mais je ne baisse pas les bras aussi facilement. Je commence à réaliser des mûdra pour une technique Suiton.
C'est alors que... Ibiki Morino... selon mes souvenirs, arrive. Il envoie des kunaï pour faire diversion. Grâce à cela, je projette un puissant jet d'eau vers les animaux géant, ce qui les fait reculer de quelques mètres.
Ibiki : Pas mal pour une genin.
D'autres ninjas arrivent en renfort, nous sommes désormais plusieurs shinobis, contre ces bestioles gigantesques.
Ibiki : Petite, tu vas bien ?
Kako : Oui...
Je sens le regard de Monsieur Ibiki sur moi. Il doit savoir que je suis déjà blessée, mais peu m'importe. Les autres, villageois comme ninjas, le village, pour moi, tout passe avant ma personne. Que j'en meurs ou non, je suis une ninja de Konoha !
Je le regarde droit dans les yeux.
Kako : Monsieur Ibiki... la douleur... ne m'arrêtera... jamais...
Je lance des kunaï vers ces monstres. Cela ne fait pas grand-chose malheureusement. Alors je prends une petite bille sur ma tête. Le niveau puissance 3.
Je la mets dans ma bouche et l'expulse à grande vitesse. Une importante détonation survient. Tellement qu'elle est puissante que les serpents en sont encore une fois repoussés.
Je tombe à genoux. Je crache du sang. J'active mon ninjutsu médical. J'ai le souffle court. Le cœur battant. La vue un peu trouble.
Une vision désormais. Monsieur Orochimaru. Sur un serpent encore plus grand.
Maintenant, un sourire sadique sur son visage. Un corps à ses côtés. Il change de corps.
Des expériences. Des enfants. Du sang.
Je ressens sa puissance rien qu'avec des fragments de sa vie. Comment peut-il être humain ?
Après cette question, une autre vision me parvient.
Un enfant. Trois enfants maintenat. Le Sandaime jeune. Les trois Sannin. Ils ont l'air sereins. Et dire que l'un d'entre eux sera un assassin de première classe.
Quand je reviens à moi, j'ai moins mal, mon ninjutsu a fait effet. Mais une puissante chaleur m'entoure. Les ninja envoient d'imposantes flammes avec leur Katon. Les serpents noircissent petit à petit. Mais aucun dégât particulier. Ils sont inarrêtables.
Ibiki : Kuchiyose, Aian Meiden !
Un espèce de chat géant sort de terre. Il s'ouvre et enferme ensuite les serpents à l'intérieur. Des chaines renforcent ce « chat » pour ne pas qu'il s'ouvre. Et ensuite il repart sous terre.
Mais, après une seconde sous nos pieds, les serpents resurgissent.
Arriverons-nous à les vaincre ?
Pdv Sasuke :
Je comprends désormais pourquoi Kako était tant tourmentée par Gaara. Sa puissance est incroyable.
Ma marque me fait mal. Je ne peux plus bouger. Gaara arrive à toute vitesse sur moi.
Je ne suis pas assez fort pour accomplir ma vengeance ? Serait-ce la fin ?
Pdv Kako :
Les bâtiments autour de nous s'effondrent. Il y a de la poussière partout. Mais, ce qui est sûr, c'est qu'au centre de ce bazar, se trouvent des monstruosités.
Ils doivent bien avoir un point faible. Les déflagrations ne leur font ni chaud ni froid, tout comme le feu. Les immobiliser... reste une tâche très dure. Comment réussir ?
Pdv Sasuke :
Que font Naruto et Sakura ici... ?
J'ai mal, mais si je veux un jour accomplir ma vengeance, il faut que je réussisse à contrôler cette maudite marque !
Pdv Kako :
Je regarde désespérément aux alentours. Nous sommes tous essoufflés. Notre lutte acharnée n'a aucun effet contre cette chose.
Mon regard divague vers mon katana au sol.
Je revoie mon père me présenter pour la première fois son sabre. Ima, les étoiles aux yeux, avec non-loin, Yūki avec une pointe de jalousie en lui.
Nous avions vu d'innombrables fois où notre père acceptait de nous montrer comment il faisait pour trancher des arbres ou porter des coups aussi grandioses et majestueux qu'apporte cette arme maitrisée à la perfection.
Il était doué. Je me suis toujours dit, qu'un jour, comme j'étais la petite dernière, je me procurerais moi-même une épée. Un katana, spécialement pour moi et moi seule.
Avec une lame aussi tranchante que celle de mon père. Avec une telle finesse pour le manier aussi simplement.
Je voulais une arme comme celle-ci, à l'époque. Mais les circonstances ne sont malheureusement plus les mêmes.
Ce katana que j'enviais, aujourd'hui, il est mien. Et grâce à lui, je vais protéger le village !
Je l'empoigne fermement dans mes mains. Je saigne de partout, mais j'avance, je marche, cours à toute vitesse vers les reptiles. Je m'élance, mon sabre brandit devant moi.
Je saute et lève ma lame. Puis avec concentration, je réunis mon chakra pour augmenter ma vitesse et ma force.
Ce bout de métal se coince légèrement dans le cou du serpent. Lui trancher la tête. C'est le seul moyen pour l'arrêter.
Mais cela risque d'être plus dur que je ne l'imaginais. J'utilise toute ma force, le chakra nécessaire pour la dupliquer. Tellement que je serre mon épée que j'en saigne.
Ma lame progresse de plus en plus profondément, mais cela n'est pas assez. Je force encore plus. Mes mains sont en sang, et mes bras se déchirent de l'intérieur.
J'ai mal !
« ??? : Ma petite Kako, sais-tu que le passé, peut être éprouvant ? De nombreuses guerres ont éclaté, et nous deux, nous voyons tout. On dit parfois qu'il faut savoir tourner la page. Mais quand on vit, avec les souvenirs d'autrefois, chaque jour ; il est difficile de passer à autre chose. À l'avenir. Mais malgré tout, le temps passe.
??? : Le passé peut nous pourrir l'esprit, comme les autres temps. Mais contrairement au futur, ou au présent, le passé nous offre une incroyable possibilité.
Kako : Laquelle ?
??? : Celle de nous améliorer. Toutes ces techniques, aussi puissantes, créées par de grands shinobis. Apprend à les reproduire. Entraines-toi pour les réaliser à merveille.
??? : Nous incarnons l'espoir, la mémoire de notre monde. Nous pouvons savoir chaque secret et mystère irrésolus. Mais nos visions nous apportent la puissance. La force de bâtir un monde meilleur, avec des vestiges horribles.
??? : Utilise le passé, pour avancer. Et ainsi, créer le monde que tu veux voir, avec tes yeux, dans la réalité. »
Moi... je veux voir... le village de Konoha paisible. Je veux vivre en harmonie... avec ses habitants. Ceux qui m'ont accueilli à bras ouverts. Qu'ils aient été méchants ou gentils. Agressifs ou doux.
Ces personnes m'ont permis d'avancer. De me libérer de mon cauchemar éveillé. Je veux vivre sereinement... avec Sasuke, qui m'a le plus aidé, aimé, depuis que ma famille est partie.
C'est ce monde-là, que je veux voir !
Grâce à mes visions, j'ai appris à utiliser mon essence de chakra sans mûdra. Alors j'expulse de l'eau de ma bouche pour aider la lame à s'enfoncer. Cela est moins puissant qu'une technique habituelle, et je suis presque à court de chakra, mais...
Kako : Je vais réussir ! Pour Konoha !
La lame s'enfonce encore plus. J'augmente encore l'intensité de ma force. La pression est telle, que j'ai le sentiment que me bras vont se briser, se séparer de mon corps.
Mais je n'abandonne pas.
Une vision. Comme un miracle, je vois un ninja avec une épée. Il l'allonge et la rend encore plus tranchante qu'elle ne l'est déjà. Avec du Suiton !
Mon katana ne tranche qu'une partie du serpent. Alors je tente le tout pour le tout. Je monopolise mes dernières réserves de chakra. Je le malaxe bien et forme une lame d'eau.
Mon arme pénètre plus rapidement, tranchant plus facilement le serpent.
La tête se détache du corps. J'ai entendu des petits craquements.
Je regarde mes bras après être tombée au sol, les jambes flageolantes. Ils sont toujours là, mais j'ai atrocement mal. Je n'arrive même plus à les bouger.
Mais je me rends compte, que... ces craquements ne venait pas de mes bras, mais du katana.
La lame s'est brisée.
L'héritage de mon père, détruit.
Les rêves de mon frère la concernant me submergent.
« Ima : Tu sais Kako, un jour, je serai moi aussi le chef de clan, même si je suis sûr que je ne le serai pas longtemps avec toi dans les parages. Mais peut-être qu'un jour, je pourrai te battre. Père m'a déjà donné son katana entre mes mains. J'étais tellement heureux ! Je te battrai avec cette épée. Et je serai le chef.
Ima : Tu sais, je suis jaloux de toi. Comme Yūki l'est un peu de moi. L'ainé jaloux de sa cadette, j'aurai tout vu, haha... Tu es née plus puissante que n'importe qui des Memorī. La force de tes visions, j'aimerais la posséder, pour tous vous protéger.
Ima : Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve... mais pour tout te dire... j'ai le pressentiment qu'il sera bien rude.
Ima : Je sais que tu ne veux pas être la cheffe plus tard, petite sœur. Mais promet moi une chose, quand on se battra pour ce titre, bat toi comme si ta vie en dépendait. Je préfère perdre dignement face à toi, plutôt que de gagner lâchement.
Ima : Malgré tout, je vais te donner du fil à retordre, et cette lame m'y aidera ! Hahaha ! »
Soudain, les deux autres serpents disparaissent avec le reste du troisième.
Je m'effondre au sol et commence à pleurer. Cette arme regorgeait de souvenirs. Elle était la force de mon père, mais aussi de mon grand-père et ainsi de suite. On dit même que c'est le premier chef du clan, Rekishi, qui l'a offerte à son fils avant de mourir.
Elle aurait mis encore plus en valeur mon ancêtre Rekishi. Je n'en ai pas la confirmation, car je n'ai jamais eu de visions sur ce sujet. Mais je sais que cet homme possédait une lame très résistante.
Cette arme a traversée l'histoire de notre clan.
Elle était vieille, cette lame, peut-être que c'est également une raison, pour qu'elle se soit brisée ?
Mais je n'ai plus le temps de me lamenter sur mon sort.
Plusieurs ninjas surviennent autour de moi, ils me félicitent d'avoir terrassé ces bestioles, me remercient même parfois.
Ibiki : Petite, pourquoi fais-tu cette tête ? Tu devrais être fière de ton exploit.
Kako : ... Le Sandaime... est mort...
Mot de l'auteure :
Bonjour/Bonsoir ! : )
Déjà, merci d'avoir lu ce chapitre, j'espère qu'il vous aura plus : )
Personnellement, même s'il ne respire pas la joie, je l'adore, ce chapitre ! : )
Sinon, j'ai une petite question.
Il y a deux passages où Kako parle avec des personnes dans le passé ( les passages entre guillemets). Il y a Ima, son frère, mais d'après vous, qui était la première personne avec qui elle a parlé et dont elle s'est souvenue de cette conversation ?
Voilà, donc je vous souhaite maintenant une bonne journée/soirée ! ; )
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