16. Embrasse moi (S) 🌶🌶

Depuis qu'elle est entrée dans l'atelier, j'ai envie de la prendre tout contre moi et ne plus jamais la laisser partir. Peut-être que je réagis comme ça suite à ce qu'il s'est passé, en tout cas ce n'est pas mon comportement habituel...
Cette fille me tuera.
Comme chacune des femmes que j'ai laissé entrer dans ma vie.

La première, ma mère, m'a vraiment surpris et énervé de venir comme ça l'unique jour où je me sentais bien. Je ne m'étais tellement pas attendu à la voir que j'ai réagis comme je le fais d'habitude, avec colère comme un con. J'avoue m'être tout de même retenu, car j'aurai pu être violent... Je ne l'ai jamais revu depuis qu'il m'a viré de chez eux, alors imaginez un peu le choc de la voir.

Bref ! Je n'ai pas envie de penser à tout ça surtout avec Eden qui est en train de visiter l'atelier. Dans sa robe, son corps parait tellement plus harmonieux, désirable. Quand elle a fait le tour, chose pas très difficile vu la surface..., elle revient vers moi alors que je la regarde fixement.
Elle est si belle.

En reprenant mes esprits, je lui propose une bière qu'elle accepte non sans me faire une remarque comme je les aime. J'aime son côté très franche et sûr d'elle. Alors que nous sommes sur le canapé en train de discuter tranquillement, elle vient prendre ma bouche en otage, et quelle putain de délice.

La surprise me laisse un peu maladroit, mais je reprends vite les rênes. Ne plus penser à rien, juste l'embrasser. Ma main se glisse dans ses cheveux, ce qui a pour effet de la collé encore plus à moi. Mon corps est extrêmement tendu, elle me rend dingue avec les petits soupirs qu'elle laisse échapper.
J'ai besoin de la sentir, de la toucher alors ma main part explorer son corps. Je glisse ma main sous sa robe et souris contre ses lèvres quand je la sens se tendre à cause de la froideur de mes mains. Je profite de ce moment pour la rapprocher, elle est bien trop loin.
À l'aide d'une pression dans le bas du dos, je l'invite à monter à califourchon sur moi.
Bon sang !

La tentation est tellement forte...

La contraction de son corps ne fait qu'accentuer la tension dans le mien. Nos baisers tout à l'heure modérés sont tout autre à présent. Ma langue se fraie un passage près de la sienne et je m'amuse à la faire réagir. Quand je la lui mordille légèrement, ses mains se serrent contre ma cuisse puis quand je la caresse elle gémis un peu plus. Il ne faut pas que j'aille plus loin, ce n'est pas bien, je ne veux pas la traiter ainsi...

Mais mon corps réclame le contact avec sa peau, alors je laisse trainer mes doigts le long de son bras, que sa peau est douce... J'aimerais pouvoir la goûter, l'embrasser et apprendre à la connaître dans les moindres détails. Ma conscience me tire brusquement de ce nuage qui plane au-dessus de moi, je m'arrête donc et la regarde.

Putain, ses lèvres gonflées par nos baisers me donne envie de replonger sur elle...

- Tu es certaine de vouloir tout ça ? Car je ne suis pas sûr de pouvoir m'arrêter..., je lâche soufflé par ce que je ressens.

- Je suis sur Sonny, embrasse-moi au lieu de gâcher ce moment.

Merde.
Toutes les barrières que je pouvais me mettre viennent de voler en éclats à sa réponse. Alors qu'elle est toujours sur moi, je me tourne pour qu'elle s'allonge sur le canapé.
Je sais que rien n'est glamour dans cet atelier, mais je ne suis pas sûr de pouvoir résister à cette envie de la goûter en profondeur...

Ses yeux ne quittent pas les miens alors que mes mains caressent ses cuisses sous sa robe. Je ressens sans mal ses tressaillements quand mes mains montent un peu plus haut.
Bordel que j'aime ça.

Je joue avec le feu pour voir à quel point veut elle aller, mais à ma plus grande surprise elle joue dans mon jeu et garde ses yeux grands ouverts.  Ma main continue de caresser sa peau nue, du bout du doigt, je trace des lignes imaginaires. De légers frissons apparaissent sous mon passage. J'aime la voir ainsi, allongée, m'offrant la plus belle vue au monde.
Lentement, comme pour la torturer autant que moi, je remonte le bas de sa robe en faisant apparaître chaque fois un peu plus de peau.

Quand sa robe est remontée à la moitié de ses cuisses et que j'aperçois le tissu de sa culotte, je dépose un baiser sur son genou. Je redresse ce dernier pour que ma belle Eden écarte un peu plus les jambes se rendant à présent à ma merci.

Sa poitrine se soulève un peu plus rapidement alors que mes lèvres embrassent l'intérieur de ses cuisses. Ma position n'est pas vraiment confortable, mais je m'en fiche, de cette façon, j'ai accès à tout ce qu'il m'intéresse.
Elle est encore plus belle que dans mes rêves les plus fous.

Cette fille, décidément, me plaît beaucoup trop...
Elle a une façon de me regarder franchement dans le blanc des yeux sans pudeur, mais sans provocation... Plus je la regarde et plus je sens à son égard une attirance irrépressible à laquelle je n'ai nulle envie de me soustraire. Et d'un coup son sourire m'apparaît comme une invitation. Alors mes lèvres retrouvent le chemin jusqu'aux siennes et mes mains celui de sa poitrine.

Je prends le temps de caresser sa poitrine, encore protégée par de la fine dentelle noire. Ses tétons pointent fièrement sous la pression de mon doigt.
Eden sous mes caresses commence à fermer les yeux, je profite alors de décaler le fin tissu.
Ma langue tourne alors autour de son bout dressé alors qu'elle commence à se cambrer vers moi. L'effleurement de son bassin contre le mien m'électrifie.

Il faut que je me calme, que je prenne mon temps... Elle n'est pas comme les autres.

Avidement, mes doigts prennent le relai de ma bouche, qui vient l'embrasser passionnément. Ma main part à la découverte de son corps, mais je suis frustré de tout ce tissu. Elle remonte encore plus haut sa robe, dévoilant sa culotte noire en dentelle, son ventre doré puis son soutien-gorge. Quelle vision paradisiaque !

Avant de lui enlever complétement sa robe, je l'interroge du regard. Elle y répond positivement avec un sourire timide. Alors qu'elle est en sous-vêtement sous moi, je prends le temps d'admirer ses formes féminines, mais cela dure très peu de temps, car j'ai besoin de la toucher.

Mes mains, contrôlées par mes pensées, commencent leurs lentes découvertes. Elles se faufilent au plus près de son intimité. J'embrasse de nouveau Eden histoire de percevoir sa réaction, qui ne se fait pas attendre. Dès que je parviens à glisser sa culotte sur le côté, découvrant son intimité, elle laisse échapper un soupir.
C'est dingue l'effet que ça me fait, pourtant elle ne me touche pas, et moi non plus.

Je fais glisser mon pouce lentement contre ses lèvres humide, arrachant un brusque gémissement d'Eden contre ma bouche. Il n'en faut pas plus pour ne pas la faire languir. J'entre un doigt sans difficulté, je ne suis pas le seul à réagir à nos baisers...
Eden est délicieusement mouillé.

Je remonte le pouce vers son clitoris et joue avec alors que mon doigt s'enfonce un plus en elle.
Son bassin ondule maintenant contre ma main, comme si elle semblait vouloir happer mon pouce plus loin.

Ses mouvements m'excitent terriblement et je me sens bientôt trop à l'étroit, mais je veux profiter de son plaisir, l'apprivoiser, apprendre à la connaître en détail. Alors que je fais à présent des allers retour avec mon doigt un peu plus rapide l'envie de la goûter est irrésistible.

J'arrête dont mes mouvements pour lui retirer ce bout de tissu superflu, Eden sans me quitter du regard soulève son bassin pour m'aider.  La vue est magnifique et a le don de me durcir encore plus... J'écarte alors délicatement ses cuisses la découvrant dans son intégralité. Rapidement, ma langue vient effleurer son bouton la faisant tressaillir.
Je souris à cette réaction puis continue.

Eden soupire plus fort et pose ses mains dans mes cheveux. Ma bouche l'embrasse partout puis je l'emprisonne entre mes lèvres, l'aspirant lentement...
Quel goût délicat.

Eden bouge avec sensualité son bassin sous mes ardentes caresses. Je saisis ses hanches pour l'empêcher de m'échapper au moment crucial. Un peu surprise, elle se tend pour finalement se laisser aller, elle a présent totalement offerte à ma bouche et pousse des gémissements intenses.

Je sens qu'elle est maintenant proche de la jouissance, car son ventre se contracte plus intensément. Tandis que je la lèche avec avidité, elle saisit plus fort mes cheveux. Ma queue est douloureuse alors qu'elle pousse des petits cris timides.

D'un coup, son corps tremble entièrement alors qu'elle tente de refermer ses jambes. Avec force, je les retiens tandis qu'elle jouit contre ma bouche. Une fois qu'elle est immobile, un doux rire sort de sa bouche, je m'empresse, non sans un dernier baiser, de remonter.

Son visage est caché derrière ses mains et sa respiration est haletante encore.
Pourquoi se cache-t-elle ?

D'un geste doux, je tente de les lui retirer de devant le visage, mais elle résiste :

- Ça ne va pas, Eden ?, je lui demande mi-inquiet mi-amusé.

- Si, elle me répond d'une petite voix.

- Pourquoi tu te caches ?

Elle ne répond pas, mais son soupir en dit plus long. A-t-elle honte ?

- Tu te caches de moi ?, je la questionne avant qu'elle ne réponde par un hochement de tête.

Privé de toute logique, je m'allonge près d'elle et j'attends qu'elle se décide à parler.
Vraiment, cette fille est un phénomène.

- Sonny, je...

- Oui ? Je t'écoute, je dis en voyant bien qu'elle est gênée.

- Je n'ai jamais fait ça...

- Ça quoi ? Tu es vierge ?, je demande un peu paniqué par cette perspective.

- Non ! Mais on m'a jamais fait ce que tu viens de faire...

- On ne t'a jamais léché ?, je lâche d'étonnement.

Eden se braque un peu plus et se saisit du coussin derrière sa tête pour le mettre sur son visage. Comment peut-on à son âge n'avoir jamais connu un cunnilingus ?! 
Je n'ai pas envie de la braquer, ni de perdre cette complicité que nous avions. Surtout, que ma queue est toujours douloureuse... Alors j'essaie de libérer son visage de ce coussin hideux.

- Eden, tu ne vas pas te cacher éternellement si ?

- Non tu as raison.

Elle décale suffisamment le coussin pour que je voie son visage rouge écarlate. Soit c'est dû au plaisir qu'elle a éprouvé ou à la honte qu'elle ressent.

- Ne me fixe pas comme ça, elle m'ordonne.

- Sinon quoi ma belle ?

- Sinon je continue de me cacher...

- Non... Eden, tes ex n'étaient que des abrutis, je lâche.

- Pourquoi ?

- Ils sont bêtes de ne pas avoir pris soin de toi, ni d'avoir goûté ton délicieux nectar.

Son visage retrouve une couleur encore plus rouge et elle soupire en se cachant de nouveau. Une timide... Je ne suis jamais sorti avec une telle femme, timide, splendide et si douce.

- Eden, je parle toujours comme ça alors à moins de te greffer un coussin sur le visage, il faut t'habituer.

- Je... Pff... Ok.

Lentement, elle découvre son visage et je croise enfin son regard. Il est si pétillant lorsqu'ils se posent sur moi. Comme pour la rassurer, je dépose un chaste baiser sur ses lèvres.
Sous ma bouche, je la sens se détendre...

Peut-être qu'avant de passer à l'aspect sexuel de notre relation, faudrait-il apprendre à mieux se connaître ? Je ne sais pas... Je ne sais pas y faire avec une vraie relation.

D'habitude, les femmes avec lesquelles je couche, je ne leur parle pas... Et je ne les lèche pas non plus à vrai dire.

- Tu as raison, dit-elle en me surprenant.

- Sur quoi ?

- Sur mes anciennes relations.

- Ah, je lâche en m'étonnant de ressentir une pointe au cœur.

Je n'ai pas envie de savoir qu'elle a eu d'autres hommes avant moi... Que d'autre l'ont touché, embrassé, baisé... Brr.

- Je ne suis pas comme eux, je dis en n'y croyant qu'à moitié.

- Je n'ai pas insinué ça Sonny...

- Je le sais. Ecoute, je ne veux pas te brusquer ou quoi que ce soit Eden. Que veux-tu faire ?, je lui demande en la fixant.

Grace à son langage corporel, je vois qu'elle réfléchit à ma question.
Au fond de moi, un combat se joue. J'ai envie de la sentir encore plus proche de moi, mais j'ai également envie de parler avec elle, de savoir ce qu'elle aime, ce qu'elle déteste...
D'un coup, son regard se fixe au mien et je devine sans mal ses pensées.

Au moins nous sommes sur la même longueur d'onde.
J'entoure sa taille et la bouge de façon à ce que nous soyons face à face. Alors que mes doigts dessinent les courbes de son corps, je l'embrasse délicatement.

Son soutien-gorge frotte contre mon torse, et j'ai envie de sentir sa peau contre la mienne ; alors ma main vient dégrafer rapidement son soutien-gorge. Je me redresse ensuite et retire mon t-shirt rapidement. Avant de m'allonger de nouveau, j'admire sa poitrine ferme qui pointe vers le haut. Cette vision me donne l'eau à la bouche et je me durcis une nouvelle fois.

Je l'attire tout contre moi et nous nous embrassons à perdre haleine. Sournoisement, mes mains descendent vers sa jambe, puis je la lui soulève afin de me glisser dessous.
Son entrejambe est délicieusement chaude et à disposition.

Mes doigts s'infiltrent de nouveau en elle, et elle gémis contre ma bouche.
Les va-et-vient de mes doigts sont plus rapides et plus faciles. Eden mouille intensément et je me délecte à l'idée que c'est moi qui provoque ça.

Alors qu'elle commence à gémir un peu plus fort, sa petite main caresse mon torse. Lentement, ou vicieusement, elle la descend au fil de ses caresses. Arrivée à la ceinture de mon pantalon, elle s'écarte un peu de moi puis me déboutonne un à un les boutons.
Quel terrible supplice...

Sa lenteur exerce tellement de pression sur moi, mon sexe palpite plus encore et j'ai terriblement chaud. Quand enfin mon pantalon est ouvert, elle engouffre sa main sur mon boxer. Elle va me tuer à me faire languir comme ça.

- Enlève..., elle murmure contre ma bouche.

Il ne faut pas longtemps pour que je m'exécute, le pantalon et le boxer s'envolent dans les airs. Les yeux d'Eden s'arrondissent et je comprends qu'elle ne s'attendait à ce que j'enlève tout, tant pis. Je suis mieux ainsi. Son regard se promène alors sur mon corps, et un léger sourire apparaît sur son visage. 

Je ne retiens pas ce juron quand enfin elle me touche timidement. Ses doigts entourent ma verge et elle la serre en faisant de léger vas et vient. Je m'empresse de l'embrasser de nouveau pour ne pas lâcher plus de jurons que nécessaire.  Sa langue retrouve la mienne et s'enroule autour. Son corps se presse contre le mien alors que nous accélérons le rythme de nos mains en même temps.

Putain, il faut que je me concentre pour ne pas venir dans sa main pendant qu'elle bouge frénétiquement. Quand de nouveau elle est plus immobile, je retire mes doigts. J'ai tellement envie de la sentir autour de moi. J'ai tellement envie d'elle, de son corps incroyable...

Une fois nos mains partis, plus rien ne nous sépare et je me presse contre elle. Nos baisers deviennent plus langoureux au fur et à mesure que je frotte mon sexe contre ses lèvres.
Elle est prête à m'accueillir et certaines fois elle me donne des coups de bassin pour me faire comprendre, mais j'ai très bien compris. Je veux juste jouer un peu avec ses émotions.

Mon gland glisse sans effort le long de ses lèvres et guidé par ma main, je stimule son clitoris. Lentement... Suffisamment, lentement, pour qu'elle arrête de m'embrasser et me glisse à l'oreille :

- Où est le préservatif ?

Intérieurement, je jubile, mais je n'en ai pas fini avec elle.

- Tu es drôlement impatiente Eden... Tu me choques, je dis pour la taquiner.

Elle me tire la langue alors que je monte sur elle. Avec mon genou, je lui fais écarter les jambes. Lorsque je pose ma main sur son entrejambe chaude et trempée, elle proteste vigoureusement. Je lui fais des gros yeux et elle rigole.

Alors que je m'occupe d'elle d'une main, de l'autre, je cherche mon pantalon au sol. J'ai une capote dedans, j'en suis sûr, je ne sors jamais sans. Quand je le trouve après deux bonnes minutes de recherches, je tombe enfin sur l'objet tant convoité !
Je me redresse alors qu'Eden me fixe.
Je suis troublé...

Comment vais-je pouvoir conserver mon calme quand je serai en elle ? D'habitude, je fais ma petite affaire sans prendre soin de ma partenaire. Mon côté sombre, va-t-il pouvoir rester tapis dans l'ombre ?

Eden doit saisir mon incertitude donc elle s'assieds et me relève le menton. Elle dépose un baiser lourd de promesse et saisit la capote. Je déglutis difficilement quand je comprends qu'elle veut aussi participer. Elle déchire l'emballage puis prend le bout de latex. Ses mains sont roides alors qu'elle me saisit à pleine main, elle déplie le préservatif puis me l'enfile délicatement, comme si mon pénis était une chose fragile...

Quand elle a fini, elle rougit en me souriant.

Aussitôt, je fonds sur elle et encadre son visage de mes mains, comme si c'était la seule chose qui dépendait de ma survie. Elle se retrouve donc sous moi et je me glisse contre elle.
Je sens qu'elle est fébrile, mais pas autant que moi.
Mon cœur est sur le point de me lâcher...

Elle est tellement prête à me recevoir que je ne rencontre aucune résistance au début. Les yeux plongés dans les siens, j'entre en elle doucement. Un même soupire nous échappe quand je suis entièrement en elle.
Oh merde.

Je ne sais pas comment je vais faire pour résister à l'envi de la prendre comme j'en ai l'habitude... Ces sensations que je ressens sont tellement fortes. Je vrille alors que j'entame le premier va-et-vient. Ses yeux doux me regardent toujours, me bouleversant au plus haut point.

Je continuais à faire de lent vas et vient en fermant les yeux, si je continue de la regarder, je vais venir sans avoir eu le temps de lui donner du plaisir. Son vagin m'entoure si fortement...  Sous mon torse, je sens sa poitrine bouger au rythme de mes allées et venues. Au bout d'un moment, Eden ondule de plus en plus. Va-t-elle déjà venir ?

Je ralentis immédiatement le rythme et essuie son grognement, ce qui m'arrache un sourire. Je me décolle d'elle pour pouvoir admirer son corps en mouvement, sous l'effet du plaisir. 
D'un coup, Eden semble trouver les choses trop lentes, car c'était elle à présent qui donnait le rythme grâce à ses hanches. Cette vision en fini avec mes résolutions, et je commençais à perdre mes moyens.

Je m'agrippe alors à ses hanches, et la pénètre un peu plus brutalement. Eden réagit positivement à ce changement... Je ferme donc les yeux et profitent de cette tension pour nous faire du bien.  Eden gémit alors plus fort. Bon point.

Rapidement, même trop rapidement, je suis submergé par les sensations que je ressens. Mon sexe devient si dur que ça en est presque douloureux de ne pas me déverser en elle. 
Eden ferme les yeux et gémit encore plus fort. C'est la première fois, que je ne baise pas quelqu'un, mais que je lui fais l'amour...  Je suis assailli par toute ces émotions que je ressent pour la première fois.

Sous mes yeux, elle semble prendre un plaisir monstre, son ventre est parcours de contractions et elle respire vraiment fort. Qu'elle est magnifique, sublime.
J'aimerais pouvoir la peindre en train de prendre autant de plaisir...

J'observe ses moindres faits et gestes et lorsqu'elle gigote dans tous les sens sous mes assauts, je ne tiens plus. Je ferme les yeux, et vais de plus en vite en elle. Son prénom sort de ma bouche à de nombreuses reprises, c'est putain de bon.

Mon corps de contracte alors qu'elle gémit encore plus fort. Dans un bruit rauque, je craque, et jouis si fort en elle. Je crois que je m'agrippe à ses hanches aussi fortes que je le peux. Le plaisir est si intense qu'il me terrasse pendant de longues secondes.

Quand j'ouvre les yeux, ils croisent ceux d'Eden et mon cœur sort de ma poitrine. Dans ses iris clairs, je vois s'y refléter tous les sentiments qu'elle peut ressentir. Merde, je n'ai jamais vécu cette situation. Je sais que je l'apprécie beaucoup, mais je ne sais pas parler de ce que je ressens.

Je me retire d'elle et m'allonge tout à côté. Je ferme les yeux, et vais de plus en vite en elle.

Dans un bruit rauque, je craque, et jouis si fort en elle. Je profite, je suis heureux d'être avec elle, ici. Je dépose un baiser sur le bout de son nez et la voilà de nouveau souriante. C'est gênant, car je ne sais vraiment pas quoi lui dire qui me feront ne pas passer pour un macho...

En constatant l'heure tardive qu'il est, je décide d'aller contre les règles de l'atelier. Sans prononcer un seul mot, je me lève et vais chercher une couverture. Avant de n'avoir pu la rejoindre, je la vois courir jusqu'aux toilettes. J'en profite pour déplier le canapé en lit et d'installer notre lit.

Une pointe au cœur se fait sentir alors qu'elle revient avec ma chemise. Elle semble danser sur ses deux pieds, mal à l'aise :

- Je ne sais pas où tu as mis ma robe alors j'ai piqué ta chemise.

- Ça te va mieux qu'à moi..., je lâche en le contemplant.

- N'importe quoi, on dira une Lilliputienne !, elle rétorque.

- C'est drôlement plus sexy que je l'imaginais une Lilliputienne..., je réplique en la rejoignant.

Je passe ma main sous la chemise en l'entourant, et je constate qu'elle n'a pas trouvé sa culotte non plus... À sentir ses fesses sous mes mains, je me sens de nouveau durcir...

Alors je n'hésite pas, je mets mes mains au niveau de ses cuisses puis la porte contre moi. Naturellement, ses jambes viennent faire le tour de ma taille, pendant que je pose ma tête contre son cou. Cette odeur...
Si enivrante, excitante... Ce parfum vanillé mélangé à une note plus épicée.

Pendant que je glisse ma main sous la chemise, elle éclate de rire et pour me venger, je la jette sur le lit. Ses yeux montrent son excitation alors que j'avance vers elle, prêt à la manger...

Bonjour à tous !
Ca y est nos deux héros ont succombés à la tentation...

J'espère que ce rapprochement vous a plu ^^ J'ai trop aimé l'écrire !
J'aime la façon dont Sonny observe Eden et fait d'elle presque une œuvre d'art.
Bref :p

On se retrouve la semaine prochaine avec un réveil en deux teintes pour notre belle Eden.
Pensez vous que Sonny va encore tout gâcher ?

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