15. L'exposition (E)
| Les tableaux présentés dans cette histoire sont les œuvres de Jessica Rimondi que j'ai recouverte sur Pinterest et qui je trouve colle parfaitement à l'état d'esprit de Sonny|
Quand je me trouve devant ce premier tableau je suis éblouie, sans voix. Je n'ai pas besoin de longtemps regarder pour m'apercevoir que c'est une sorte d'autoportrait.
Je reconnais les traits de Sonny rapidement, sauf que sur la peinture il a les cheveux courts et n'a pas de barbe. Il a du faire ce portrait il y a longtemps...
J'aime énormément sa touche artistique qu'il donne à ses peintures, il mélange habilement les traits de crayons fins et ceux plus grossier du pinceau.
Cette toile est comme inachevée...
Mais je remarque rapidement que c'est un style également car toutes ne sont pas entièrement finies.
- Tu en penses quoi ?, il me demande alors que je suis silencieuse depuis bien trop longtemps.
- C'est toi ?, j'ose enfin.
- Oui... enfin il y a longtemps. J'ai pas mal changé depuis, il me répond sans me regarder.
- C'est...
- Moche ?
- Non Sonny, c'est tout le contraire. C'est bizarre c'est tellement joli mais quand je regarde je ne peux pas m'empêcher d'être triste.
- Ah oui ?
- Ouais, tu dois me prendre pour une folle..., je lâche en me cachant le visage dans mes mains.
Sonny les saisit rapidement.
Une nouvelle fois son contact me rend toute chose... Il les retire doucement et son visage souriant m'apparait.
- Tu ne pourras jamais passer plus folle que moi, il me répond.
Son visage est encore très proche de moi et je ressens chez lui comme une hésitation. J'ai envie de l'encourager, et de lui crier : oui embrasse-moi Sonny ! Mais il n'en fait rien et lâche mes mains avant de me sourire de toutes ses dents.
Je reprends son bras qu'il me tend et nous poursuivons la découverte de ces œuvres. Chacune d'entre elles m'insufflent de nouveaux sentiments, la joie, la colère, la tristesse, le doute, la haine et le dégoût. Je suis vraiment sous le charme de ses peintures qui exposent ouvertement ses sentiments au monde entier.
Peut-être que certains ne le perçoivent pas et n'y voit qu'un homme qui crie ou une femme qui pleure, quand d'autre ne voit qu'un portrait avec de jolies nuances de bleu...
Sonny parvient à me toucher réellement avec ce qu'il a créé avec ses pensées, se doigts, ses pinceaux, et son cœur.
- Il n'en reste qu'un seul, il me prévient.
Au début je ne saisis pas trop la pointe de stress que je perçois dans sa voix, ni même la raison pour laquelle il m'annonce ça. Cependant lorsque mes yeux se posent sur la toile en question je manque de défaillir, je cligne des yeux même plusieurs fois.
Je fais face à un tableau de moi. Mon visage n'apparait pas clairement, mais cet instant là je m'en rappellerai toute ma vie. C'est le jour où on s'est rencontré, certes la peinture n'est pas fidèle à 200% car je tiens une caméra sur la toile mais je suis assise sur ce fameux banc, et je reconnais la robe rouge que je portais le jour de mon entretien pour mon boulot.
Je frissonne quand je réalise que chaque détail est fidèle à la réalité, comme mon collant... Je suis vraiment abasourdi face à ce tableau. Je suis tellement surprise que je ne sais pas trop quoi lui dire.
- C'est vraiment moi ?, je lui demande.
- Il me semble que oui... Tu vois tu n'es pas la seule folle présente ici.
- Haha je suis... impressionnée et étonnée.
- Comment ça ?, il m'interroge anxieux.
- Tu t'en souviens...
- Sonny, un homme désire te rencontrer, déclare Stan en arrivant près de nous me coupant puis il continue plus bas, il veut acheter un tableau !
Sonny se fige un instant avant de se reprendre vite, du regard il s'excuse puis part à la suite de Stan non sans laisser sa main traîner le long de mon bras. Cheryl et G me voyant enfin seuls décident de me rejoindre, les deux se tiennent mains dans la main.
- Mon dieu Eden ! Tu ne m'avais pas dit qu'il faisait des choses aussi cool !, s'exclame Cheryl.
- Peut-être parce que je ne le savais pas ?
- Vraiment ?, demande G.
- On s'est juste parler 2,3 fois hein...
- Oh mais il est mordu de toi non ?, m'interroge Cheryl.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Parce qu'il y a un tableau de toi, si tu crois que je n'ai pas reconnu cette robe ! C'est tellement romantique qu'il t'a peind ! Je suis jalouse...
- Merci..., lâche G en faisant mine d'être vexé.
- Je préfère les cocktails personnalisé , elle déclare en lui faisant un clin d'œil.
Elle a totalement raison, je me doutais que Sonny avait une attirance pour moi. mais je crois que c'est bien plus que ça pour qu'il fasse une peinture de moi et qu'il l'expose en plus.
D'un coup cette éventualité m'angoisse, et s'il était obsédé par moi ?!
Imagions que ce soit un foutu psychopathe qui me suive, mette des photos de moi partout chez lui et qu'il me peigne ?
Une serveuse me propose une coupe, et j'attrape volontiers ce qu'elle me tend.
Pourquoi suis-je en train de m'imaginer des choses folles ?! Je jette un œil à Sonny qui est en pleine discussion avec un homme d'un âge mur. La discussion s'arrête avec une poignée de main et Sonny me rejoint. Sans dire un mot, il saisit ma main et marche rapidement. Sans poser de question je le suis, plus en trottinant qu'en marchant vu son allure. Va t'il m'avouer d'autre chose ?
J'espère ne pas me casser la figure avec les talons que je porte. Nous arrivons alors à l'extérieur, et j'avoue que c'est une très bonne idée ! L'air froid me permet de reprendre mes esprits.
Sonny me tourne le dos et baisse la tête, je le vois frotter son visage vigoureusement avant de se tourner vers moi.
- Ça fait tellement longtemps que je me retiens Eden.
Je n'ai pas le temps de saisir le sens de sa phrase qu'il prend en assaut mes lèvres.
Son baiser est brusque, frais et si attendu ! Je gemis de soulagement quand ses mains encadrent mon visage et il pousse un soupir quand je réponds enfin à son baiser.
Mon corps est en pleine combustion sous ses lèvres, mes mains tremblent...
Comme au festival, je suis perturbé par ce que Sonny me fait ressentir à travers ses baisers... Il m'embrasse comme si c'était la seule chose à faire pour sauver le monde. Il y a un tellement espoir dans notre échange. Avec une pression de son corps il me fait reculer jusqu'à une barrière en métal, je lâche un gémissement de douleur quand cette dernière me blesse le dos.
Sonny décolle alors ses lèvres et me regarde.
- Tu vas bien ?, il me demande à bout de souffle.
- Oui, tout va très bien.
- Tu ne me prend pas pour un fou ?, il s'inquiète.
- Pas plus que d'habitude..., je réponds pour le taquiner.
Il me sourit en décalant une mèche qui est baladée par le vent. Du bout d'un doigt il caresse ma joue et je lui souris fébrilement. Sa tendresse me touche vraiment, surement parce qu'elle est en totale opposition à l'image qu'il véhicule.
- Depuis que tu m'as parlé sur ce banc, tu me fais ressentir des choses folles Eden.
- Ah oui ?
- Ouais... Je ne suis pas habitué à ressentir ce genre de chose et je peux agir comme un débile, tu m'en veux pas j'espère.
- Pour le moment non, je plaisante.
- Tu es vraiment un phénomène Eden.
Sonny s'apprête de nouveau à m'embrasser mais la porte derrière nous s'ouvre à toute vitesse. Son ami, Stan, apparaît le visage blanc. La panique et la peur se voit sur son visage ce qui fait angoisser Sonny :
- Sonny faut que tu rentres !
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
Stan ne réponds pas à Sonny et retourne à l'intérieur. Nous le suivons donc jusqu'à l'exposition mais Sonny marche plus vite que moi et me perd rapidement. La salle s'est un peu vidée, surement dû à l'heure qui avance rapidement, il est 20h à présent.
Les derniers visiteurs sont en train de finaliser leurs achats auprès des organisateurs de l'expo ou des artistes.
Je continue de chercher Sonny parmi les personnes présentes et je le retrouve dans l'entrée. Son visage est fermé, bien différent de celui qu'il avait quand nous étions seuls. Stan est à côté de lui avec leur autre ami. Et face à eux il y a une femme dont la tristesse habite chacun de ses traits. Mais que se passe-t-il ?
J'essaie de m'approcher un peu plus, histoire de savoir ce qu'il en détourne.
- Que fais-tu là ?, lâche Sonny la mâchoire compressée.
- Sonny laisse-moi te parler s'il te plait, lui réponds la femme.
- Putain c'est toi qui l'as invité ?, demande Sonny à Stan.
Ses poings sont fermés et il tremble comme une feuille.
Une rage sans nom colore ses pupilles qui deviennent plus sombres.
Qui est cette femme ? Elle ne semble pas être de notre âge mais est très belle pour son âge...
- Dégage !, s'écrie Sonny à l'intention de la femme qui est secoué par des sanglots.
Stan jette un regard désapprobateur à son ami, et une tension palpable apparaît entre les trois protagonistes. J'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe mais la femme ne parait pas la bienvenue ici... Est-ce une ex qui refait surface ?
Je suis un peu choquée par la réaction de Sonny, aussi bien que je m'éloigne un peu.
La suite des évènements se passent trop rapidement pour que j'empêche quoi que ce soit.
La femme sanglote toujours sous le regard lourd de reproche et de colère de Sonny, puis d'un coup il la saisit par le bras. Un spasme le parcourt et il semble hésiter une seconde.
Cependant, il continue dans sa lancée et la tire vers la sortie, sans un cri rien.
Stan tente de le retenir en lui disant qu'il est idiot, qu'il faut arrêter de regarder le passé.
Sonny acculé par Stan et la femme, semble au bord de l'explosion. Une fois qu'il parvient à mettre la femme dehors, il lui jette un dernier regard et lui dis quelque chose que je n'entends pas.
Lorsqu'il revient, ses yeux sont toujours aussi sombre et semble réellement sur le point de craquer. Stan l'attaque de nouveau par la parole.
J'ai bien envie d'intervenir car je vois bien que Sonny risque de blesser son ami s'il continue. Sonny marche à toute vitesse vers son coin de l'exposition.
Heureusement son altercation est passé inaperçue... Il se dirige vers un des organisateurs et discute un moment avec lui. Ses gestes sont amples et son visage marqué par la colère et la tristesse. Puis d'un coup, il fait demi-tour et repasse devant moi.
Je n'ai même pas le droit à un regard et il s'enfuit, claquant une nouvelle fois la porte d'entrée. Stan l'insulte en passant devant moi et reprend une attitude normale face aux potentiels clients. Cheryl et G qui ont également assistés à la scène me conseillent d'aller le retrouver. Je les remercie et m'engouffre à mon tour dans le froid piquant de la nuit qui vient de tomber.
Où est ce qu'il a pu aller aussi ? Ce n'est pas comme si je le connais si bien que ça...
Je regarde ce qui nous entoure et à sa place je me dis que l'eau m'apaiserait. Alors je suis ma première intuition et longe les quais à sa recherche.
Lorsque j'arrive au bout des docks, je ne l'ai pas trouvé et alors que je m'apprête à rebrousser chemin, je vois dans l'obscurité une lumière orangée.
Est-ce que c'est Sonny qui fume assis sur les quais ou est-ce que je vais faire face à un fou furieux ? Je prends mon courage à deux mains, et m'avance lentement.
Avant d'arriver près de la silhouette je tente d'une petite voix de m'assurer que c'est lui.
- Sonny ?
Ma voix est transportée par le vent et se brise contre l'eau mais c'est bien lui. Il se retourne et son visage meurtri me fait face. Quand il m'aperçoit il baisse la tête, au moins il ne me vire pas c'est déjà ça de gagné. J'approche alors à pas de loup en prenant soin de bien regarder où je mets les pieds, il ne faudrait pas que je tombe à l'eau...
Il est assis, les pieds dans le vide et tire sur sa cigarette alors je l'imite en me plaçant juste à côté de lui. Nous restons un long moment assis l'un à côté de l'autre à ne rien dire.
Je me félicite d'avoir pris ma veste avant de partir car la nuit commence à être fraîche. Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi mais au bout d'un moment, il met sa main sur la mienne. Elle est délicieusement chaude...
- J'ai gâché la soirée encore..., dit-il à de mi-voix.
- Pourquoi penses-tu ça ? Personne n'a rien vu Sonny.
- Je fais toujours ça ! Je gâche tout ce que je touche..., il s'écrit en me regardant.
Des larmes silencieuses roulent sur ses joues, il a pleuré. Un instant choquée par ce qu'il me dis et montre je me reprend rapidement pour lui.
Mais qui est cette femme pour le mettre dans un tel état ?
Je n'ose pas lui demander, par peur...
- Je ferais pareil avec toi..., il lâche.
- Hein ?
- Je gâcherais tout, Eden je ne suis vraiment pas un mec bien.
- Laisse-moi en juger et je suis suffisamment grande pour faire mes propres choix non ?
- Ou idiote.
Je ne relève pas sa remarque car j'ai cerné son jeu, il essaie de me blesser pour que je fuis.
- Je n'ai pas envie de partir donc tu peux me dire autant de chose blessante que tu veux.
- Désolé.
- C'était qui cette femme Sonny ?
Ma question reste suspendue dans les airs.
Sonny essuies ses larmes du revers de la main et me fixe.
Sans prévenir, il plaque de nouveau sa bouche sur la mienne me faisant presque basculer en arrière mais il me retient en m'entourant de son bras. Son baiser n'est plus aussi tendre que tout à l'heure. Je sais qu'il m'embrasse pour éviter de me répondre et ça me blesse un peu.
Rapidement sa langue cherche la mienne, et dans un soupire il la caresse délicatement. Ses doigts s'emmêlent dans mes cheveux me faisant frissonner.
Bon dieu que j'aime la façon dont il m'embrasse...
Pour la première fois depuis que je suis en âge d'embrasser un garçon, j'ai l'impression d'être vraiment embrassée. Son souffle chaud finit sa course sur ma joue et suffit à lui seul à embraser mon corps en entier.
Notre positon n'est pas la meilleure pour favoriser le contact. Notre baiser s'arrête vraiment à contre cœur.
- Est-ce que tu veux venir chez moi boire un café pour te réchauffer ?
- Juste pour ça ?, je demande sur de moi pendant qu'il rigole.
- Pour le moment oui... Il faut bien que je trouve un bon prétexte non ?
- On est d'accord.
Il se relève et me tend sa main, sans vraiment forcer il m'attire contre lui comme si j'étais aussi légère qu'une plume. Ce qui est loin d'être le cas...
Ses mains descendent le long de ma taille et de mes hanches avant qu'il n'attrape ma main et m'invite à le suivre.
Pendant tout le trajet, il ne cesse de me jeter des regards, comme s'il voulait se rassurer de ma présence. Mais bien qu'il ne le sache ce soir je le suivrai partout... Nous arrivons rapidement devant une sorte d'entrepôt . Je ne suis pas étonné s'il vit dans un tel endroit car tout ça a un côté très artiste pour le coup.
Sonny pousse la lourde porte et m'entraîne avec lui à l'intérieur.
Nous restons dans le noir quelques instants avant qu'il ne m'abandonne pour aller allumer. Le bruit significatif des néons qu'on allume se fait entendre, et la pièce face à moi révèle tous ses secrets. Je suis dans l'antre de l'artiste !
La pièce est petite mais très fonctionnelle, face à moi un grand canapé usé jusqu'à l'os prend déjà une grande partie. Un peu partout, il y a des toiles, des tubes de peinture ou des pinceaux. En avançant je remarque qu'il y a une autre partie caché de l'entrée. A cet endroit il y a son chevalet soutenant un tableau en cours. C'est marrant comme l'odeur qui plane ici a quelque chose de rassurant...
Quand je me retourne pour chercher Sonny, il est au niveau du mini-frigo et me regarde :
- Tu en veux une ?, il demande en tendant une bière.
- Pourquoi pas.
Il saisit deux bouteilles en verre, referme le frigo et se pose dans le canapé qui s'enfonce sous son poids.
- Moi qui croyais avoir le droit à un café..., je dis en le rejoignant.
- Tu préfères un café ? Je peux aller t'en faire un si tu veux.
- Non Sonny c'est très bien, je ne suis pas sûr de tout boire par contre.
- Ah bon pourquoi ?, il me demande.
Prise d'une soudaine confiance en moi, je l'attire contre moi et dépose sur ses lèvres un baiser. Tout d'abord Sonny reste surpris par mon geste puis rapidement il prend le dessus.
Alors que nous sommes assis tourné l'un vers l'autre, sa main se pose derrière ma tête et il approfondi le baiser. Sa langue lorsqu'elle rencontre la mienne, me provoque une vague de frisson. Je me délecte de sa tendresse au gout amer de la bière.
Lentement, ce baiser chaste s'intensifie et je suis aspirée dans cet élan de sensualité. Sa main descend de ma tête pour venir caresser mon dos. Non satisfait de toucher le tissu de mon gilet, il le soulève et sa main froide vient au contact direct avec ma peau.
La différence de température m'électrise encore plus. Son baiser est si passionné que je ne parviens plus à maîtriser ni mes gestes ni mes pensées.
Alors je ne résiste pas lorsqu'il me fait pivoter et monter à cheval sur lui.
Nos corps sont si proches... que mon cœur explose.
Ses doigts parcourent délicatement mon bras m'arrachant à leur passage des frissons persistants. Mon corps s'embrasse quand sa langue joue avec délice avec la mienne, la mordillant par moment où la caressant.
Son torse contre ma poitrine monte et descend à toute vitesse, en accord avec ma respiration rapide. Puis d'un coup il arrête et me fixe. Je suis déboussolée par la violence des sentiments qui traversent dans ses iris. Il reprend son souffle puis me demande :
- Tu es certaine de vouloir tout ça ? Car je ne suis pas sûr de pouvoir m'arrêter...
- Je suis sur Sonny, embrasse-moi au lieu de gâcher ce moment.
Il pousse un grognement avant de fondre de nouveau sur ma bouche.
Bonjour à tous !
Halala que j'aime ce chapitre où les langues se délient (comme les corps :p).
Nous arrivons dans une nouvelle "ambiance" avec ce chapitre...
Eden et Sonny vont ils apprendre à se connaitre et à faire avec leur défauts ?
Espérons qu'ils ne gâchent rien pour le moment.
Je tenais à vous prévenir qu'au lieu de deux publications par semaine je vais dorénavant ne publier qu'une fois et le mardi soir pour la plupart du temps.
Ma nouvelle condition ( vous savez avec le gros bidou :p) m'oblige à avoir moins de temps libre et j'essaie surtout de prévoir le moment où je ne pourrai plus écrire... afin que vous ne restiez pas sans rien :)
J'espère que vous comprendrez...
On se retrouve donc la semaine prochaine :)
Merci beaucoup pour vos lectures, vos votes et vos commentaires de plus en plus nombreux !
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