Chapitre 7# : Voilà le plaisir. (Lemon)
Mon corps tombe sur le fauteuil et le sien grimpe sur le mien. Je me tends une seconde lorsqu'il enlève mon haut mais ses lèvres embrassant les miennes passionnément me détendent. Mes pensées claires commencent à s'éloigner. Ses mains passent sur mon torse qui frémit sous ces milliers de caresses brûlantes. Je me cambre sous lui et agrippe son haut. Je lui retire brusquement en plaquant nos lèvres entres elles, je domine le baiser mais lui guide malgré tout le reste. Je sens soudainement ses mains effleurer une légère bosse qui déforme mon pantalon. J'écarquille les yeux sous son initiative plus qu'étonnante. Je n'aurais jamais cru qu'il ferait une telle chose. Il est hétéro, n'a connu que mon moi entre ses fesses sans aucunes autres attentions envers lui. Alors pourquoi ? Et comment ?
Une violente bouffée de chaleur m'extirpe de mes pensées. Je suis nu. Nu sous lui. Sa main touche ma sensibilité m'arrachant des cris de plaisirs et me procurant d'horrible frissons de bien être. Lorsque j'ouvre les yeux, je tombe sur les siens, magnifique, fixant mes réactions. Il y a un voile dans ses yeux, une brume semblable à celle d'un désir ?
Sa main s'active sur ma virilité et je me cambre sous lui. Ça faisait si longtemps que je ne m'étais pas touché, ni personne d'autres. Il n'y avait plus que des moi dans son petit cul serré depuis plusieurs semaines. Et je me l'avoue, c'est délicieux ! Ça m'avait manqué ! Et Marvin a cette maladresse qui sait faire frémir mon sexe de plaisir.
Je commence à devenir chaud, très chaud. Et mon corps commence à transpirer. Je le regarde faire avec des yeux aussi surprit que vitreux de désir. Oh putain Marvin t'es si ! Toutes mes résolutions, mes envies d'excuses, mes regrets, mes remords, ma tristesse et ma colère ont disparues au moment même où ses doigts ont empoigné ma virilité.
L'air commence à se ramifier alors que je grossis de plus en plus. Et alors que j'allais exploser enfin pour me délivrer de cet intense plaisir cet enfoiré arrête tout et la lâche brusquement.
-Pas encore. Me murmure t-il sensuellement.
Je le dévisage faire sous le choc, mon sexe terriblement douloureux. Mais la vue qu'il m'offre me réconforte. Ses mains passent sur son corps pour le déshabiller. Je le reluque. Accrochant mes yeux sur ses mains qui m'expose sa peau. Je me rends compte enfin de la beauté de son corps. Il n'est pas parfait. Mais puré ce qu'il me donne envie ce con. Mon sexe reprend de la vigueur et je ne contiens pas ma plainte frustrée.
- Putain grouille !
J'entends son rire avant qu'il s'allonge sur moi, collant nos corps l'un contre l'autre. La friction entre nos deux peaux m'excite. Je vois d'un coup des grimaces de douleur mais aussi de plaisir défiler sur son visage. Et j'en comprends la raison lorsque je le vois se redresser juste au-dessus de mon membre tendu. Il descend lentement et je sens la divine sensation d'être comprimer petit à petit. Je me cambre en poussant un gémissement de plaisir, les yeux clos, les lèvres humides entrouvertes. C'est lent mais si bon ! Je ressens chaque sensation de la lente descente. Le moindre millimètre qui est aspiré avant d'enfin être entièrement au chaud. Je m'accroche aux plaids lorsqu'il remonte tout aussi lentement. Les effets ne diminuent pas, c'est d'autres merveilles que je ressens à présent. C'est différent mais tout aussi bon. Bordel Marvin ! Tu vas me rendre fou !
Je le sens sourire comme s'il avait lu mes pensées et il continu son petit manège de longue minutes. Je suis comme paralysé. Souffrant juste de ce plaisir qu'il m'inflige sans pouvoir réagir. Heureusement il commence à accélérer. Et pour la première fois, je les entends.
Ses divins gémissements.
Lui aussi, ressent du plaisir. Mon cœur s'emballe à ces doux sons. Il aime ! J'ai du mal à y croire et je m'en fou là tout ce qui compte c'est ce plaisir bien trop grand !
De longues minutes après de rapides montées et descentes je me sens grossir à nouveau. Nos corps brûlant et humides sont collés l'un contre l'autre, nos gémissements et cris de plaisirs se mêlent, et bientôt l'orgasme me transperce.
Il s'écroule sur moi.
Vidé.
Comme moi.
Putain Marvin, c'était si bon et nouveau..
-Voilà, c'est ça le plaisir Quentin.
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