Lemon Traduction Partie 18 de NekoNeko-Chaaan

La suite les gens, votre patience est récompensée... >///<

Tu te mordis la lèvre et regardas dans les yeux de l'homme, à la luxure bien évidente. L'excitement te submergea quand le vampire face à toi planta ses lèvres sur les tiennes, ne ce souciant pas que tu venais tout juste de le « nettoyer ». Sa langue pénétra ta bouche et l'explora avidement. Tu couinas et enroulas tes bras autour de sa nuque, l'amenant plus proche, sa virilité toujours aussi fière.

« Reiji. » Tu eus du mal à prononcer son nom dans l'insistant baiser et il répondit avec envie en agrippant une de tes cuisses avec ardeur. Il grogna quand par accident tu touchas sa droiture, le faisant te fusiller du regard à travers le baiser. Il agrippa donc ton autre cuisse sans ménagement.

Tes gémissements étaient coupés par la bouche de Reiji, dominant toujours l'échange. Il te fit ouvris les jambes, te mettant à genoux un cran plus bas. Il glissa sa main sous ta jupe, te touchant à travers ta culotte et te faisant sursauter.

Il écarta sa bouche de la tienne pour s'approcher de ton oreille, et d'un chuchotement de braise : « Comme cela est malvenu. » Ses doigts te touchèrent avec plus d'insistance. « Tu est si humide d'un simple baiser ? » Il ricana et retira ses doigts, te faisant gémir de protestation en réponse. Cela ne fit seulement que le faire ricaner un peu plus alors qu'il se relevait. « Debout. » Tu fis de ton mieux pour te relever, les jambes tremblantes du baiser passionné et des caresses insistantes du vampire.

N'aimant pas attendre, il se pencha légèrement pour te tirer par le bras et t'aider à te relever. Tu lui en étais reconnaissante et sourias, il te jeta un coup d'œil désapprobateur, mais qu'importe tu en étais heureuse. Tu t'apprêtais à ouvrir la bouche quand soudainement Reiji te propulsa et te fit atterrir en travers d'une chaise. Assurément, un petit cri s'échappa de toi, ce qui fit sourire en coin l'homme au-dessus de toi.

« R, Reiji... » Tu le fixas du regard, un brin nerveuse avec la nouvelle position. Tes fesses étaient visibles et le reste de ton corps contre les moelleux coussins du siège. Le sadique vampire attrapa ensuite l'intérieur de ta cuisse pour écarter tes jambes un peu plus et trouver le meilleur angle. La jupe recouvrait maintenant tes fesses et le reste, mais tu étais toujours aussi embarrassée par la position.

Il t'embrassa par l'arrière, tu geignis et enfonças ta tête dans les coussins de la chaise rouge. « Quelle indécence. » Il ricana cruellement alors qu'il laissait sa main embrasser tes formes. Cela ne te fit que te mordre les lèvres et te cacher toi-même un peu plus dans les coussins.

Reiji prit ensuite tes hanches et pressa sa droiture contre arrière, lui faisant entendre un doux soupir. Il se pencha par-dessus toi, son torse pressé contre ton dos tandis qu'il parlait à ton oreille : « Supplies pour ça. » Sa respiration était profonde, il resserra sa prise sur tes hanches pour obtenir une réponse.

Tu te détournas un peu des coussins et ouvris tes magnifiques yeux larmoyants : « S'il vous plaît maître. » l'imploras-tu, ta voix tremblante tandis que tu portais une de tes mains à ta jupe, la relevant timidement pour l'exciter. « Mettez la dans mon corps si vulgaire. » Ces mots te laissaient un drôle d'arrière goût et tu te mordis la langue pour ne pas dire d'autre mot que tu pourrais plus tard regretter.

Il ricana tel un démon et regarda d'un air suffisant ta forme tremblotante. « Quelle bonne Maid. Suivant les ordres de son maître. » Il retira ses mains de tes hanches pour relever le reste de ta jupe, fixant ton arrière découvert en même temps. Tu ne pouvais pas le regarder faire ça, donc tu retournas ta face dans les coussins mais en gardant les yeux ouverts. De petites larmes coulèrent le long de tes joues et tu fus bientôt parcourue par un pur plaisir quand Reiji repoussa ta culotte et entra habilement en toi.

« Mnfff. » Tu portas une main à ta bouche pour étouffer tout gémissement qui voudrait s'échapper de ta gorge.

« Hahhh ? Est-ce bon ? » te questionna t-il, commençant à bouger ses hanches dans un rythme lent. Tu acquiesças aussi vite et bougeas tes hanches contre lui, voulant plus. Ses mouvements lents n'étaient juste pas assez pour toi. « Tch, tch, tch. » te réprimanda t-il en te donnant une petite fessée. « Je n'ais pas dit que tu pouvais bouger. »

Tu te tortillas sous les petits impacts, tu pouvais presque sentir tes fesses rougir. « P, pardon maître. » De nouvelles perles coulèrent de tes yeux, non pas de tristesse mais de plaisir.

« Prouve le. » C'était une demande simple, qui pourtant te gardait sur le chemin de l'obéissance. Il commença ensuite à bouger un peu plus vite quand tu cessas de bouger, lui montrant au passage que tu suivais sa demande. Tu retenais tes gémissements, pour que Reiji ne sache pas que c'était meilleur qu'il ne pensait. De petits couinements et de doux soupirs furent les seules choses qui passèrent outre tes lèvres closes.

Soudainement Reiji intensifia ses mouvements, plus rude, ce qui fit devenir plus difficile de dissimuler tes gémissements. Tes doigts s'enfoncèrent dans les doux coussins de la chaise rouge tandis que Reiji s'enfonçait en toi. Tes genoux devenaient faibles et un son impudique se fit entendre dans l'espace quasi silencieux, t'excitant un peu plus.

Tu le sentais venir, rapide et proche de son apogée. Reiji allait et venait avec ferveur. Tu étais toi-même proche de ton point culminant. Si proche. Juste quelques mouvements de plus. Rapidement il vint et vous aussi sous l'excitement. Tu te perdit dans l'instant et lâcha un lourd gémissement.

Tu te sentais lourde tandis que vous vous finissiez ensemble. Il se retira ensuite, laissant tes jambes vidées de leur force te mettre à genoux. Si bon. Pensas-tu, maintenant comblée. Tu sentis 2 grandes mains te prendre et te soulever, t'emmenant par-dessus le lit avant de t'y placer doucement. Le son d'un zip te parvint aux oreilles et tu vis Reiji un peu plus loin se rhabiller, ne voulant plus se montrer plus longtemps.

Il embrassa ton front chaud de ses lèvres froides, puis il resta près de toi. C'était la meilleure punition que tu n'es jamais eu...

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