Un moment, après être sorti chercher quelque chose, Reiji revint avec un costume qu'il te tendit. Ceci était ta punition ? Un costume ? Tu l'avisas d'un regard curieux, tes doigts courant sur la fine fabrique de haut en bas, révélant une robe noire avec des dentelles blanches. Quel genre de robe est-ce ? Tes yeux s'écarquillèrent en réalisant qu'il s'agissait d'un costume de Maid très court.

Tu t'arrachas à la contemplation du costume et regardas Reiji effarée : « Non, je ne mettrais jamais cela Reiji. » Tu étais figée sur le costume.

Reiji : « Il est impoli de refuser ton amour si rapidement. » Sa face restait stoïque, pourtant quelque chose semblait différent. Il cachait quelque chose, et tu voulais savoir quoi. Il marcha vers toi et te tendit un morceau de costume supplémentaire ainsi qu'une paire de chaussures noires. « Tu mets aussi ceci bien sûr. » C'était un ordre, il replace ses mains dans son dos tel un gentleman. Quoique sa demande n'avait rien du gentleman.

Tu lui jetas un regard lourd et regardas à nouveau le costume en hochant lentement de la tête : « Bi, bien... » Tu commenças à te déshabiller avant de réaliser que Reiji te regardait tout du long. Tu t'arrêtas et relevas la tête, mais il s'était déjà retourné ''par respect''. Il jouait vraiment avec les manières. Tu revins à toi et enfilas la robe et les hauts escarpins noirs. C'était si embarrassant, pourquoi diable possédait-il ça ?

Debout avec tes chaussures, tu refermas le zip de la robe dans ton dos : « Fait. » fis-tu dans sa direction, un léger rougissement restant sur tes joues. Il se retourna vers toi, te donnant un coup d'œil, il s'approcha. Tu fermas les yeux, ne voulant absolument pas savoir ce qui allait se passer...

Une légère pression se fit sur ton crâne et resta, de derrière les oreilles et sur tes cheveux. Tu questionnas du regard l'homme droit face à toi, ses mains dans le dos comme toujours. Puis tu portas les mains à ta tête pour sentir des dentelles. C'était... un serre-tête !

« Beaucoup mieux. » La silhouette du grand vampire dominait ton être. « Maintenant, tu vas nettoyer quelque chose, n'est-ce pas ? » Son sourire sauvage orna sa face tandis qu'il attrapait ta petite main. Et il te fis toucher son entrejambe : « Commence avec ceci... »