Précédemment

Au moment où je m'assois je commence à me sentir mal, j'ai la tête qui tourne et j'ai envie de vomir. Je me dirige vers les toilettes et je me penche au dessus des toilettes et puis je vomi comme jamais j'avais vomi depuis ma grossesse. Je sais pas ce qui se passe mais rien de bien inquiétant mais c'est seulement au moment où je commence à craché du sang que la peur monte en moi.

Je commençais à avoir peur pour mon bébé mais réellement. Je toussais comme pas possible, ma gorge etait en feu, j'avais l'impression que j'étais dans un manège tellement ma tête tournait et mon ventre me faisais terriblement mal. Et c'est à ce moment là qu'on frappe à la porte des toilettes.

Natsu : Lucy ? Ça va ?

Moi : Non ...

J'avais dis ça très doucement, je doutais qu'il m'ait entendu. Mais juste après que j'ai dis ça, la porte s'est ouvert dans un grand fracas.
Je tremblais de tous les membres à la vue de ma main ensanglantée. Je regardais Natsu avec un regard terrorisé.

Moi : Natsu ... Je ... Je ...

Je vacillais en essayant de me rapprocher de lui. La vue de troubla puis je bascula mais juste avant que ma tête ne touche le sol, Natsu s'était precipité vers moi et m'avait rattrapée.

Moi : Je suis désolée ....

C'est la seule chose que j'ai pu prononcé avant que tout autour de moi ne devienne noir.

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J'entends des voix autours de moi, j'entends les pas des gens qui se déplace, j'entends les "bip" d'une machine. Je sens une pression sur ma main.

??? : Lucy si vous m'entendez serrer ma main.

Quoi ? Qu'est ce qu'il se passe ? Où suis je ? Qui est ce ?

??? : Je répète, Lucy si vous m'entendez serrer ma main.

J'essaye de bouger ma main mais c'est pratiquement impossible. Ça me demande un effort surhumain.

??? : Bien ! Continuez Lucy !

Je réessaye, c'est toujours difficile mais moins qu'il y a quelque seconde.
Puis une voix familière.

??? 2 : Elle a réussi ?!

??? : Oui ! Maintenant Lucy essayez d'ouvrir les yeux.

Ouvrir les yeux ? .... Ouvrir les yeux ... Je concentre toute la force que j'ai pour ouvrir les yeux.
La lumière blanche m'aveugle, je referme alors directement les yeux mais les réouvre en battant des cils.
Je regarde tout autours de moi. Je vois un homme en blouse blanche qui devait avoir la quarantaine, penché au dessus de moi. Je vois Natsu juste derrière lui.
J'aurai voulu dire un mot mais rien ne sors de ma bouche.
J'aurai voulu lui demander ce que je fais ici, mais je n'y arrive pas. Quand d'un coup tout ressurgit dans ma mémoire. Loan qui fait son apparition au mariage, Tasha qui se dispute avec lui, moi qui me fait poussé, Natsu défonçant Loan, les toilettes, le sang puis le trou noir.
Mon bébé ?!
Je me relève rapidement ! Toute la douleur s'est éclipsée en un instant et a été remplacé par de l'inquiétude. Je ne sais pas comment j'ai fais mais des paroles ont réussi à sortir de ma bouche.

Moi : Mon bébé ?

Par instinct je mets la main sur mon ventre, toujours aussi rond.
Le médecin me regarde d'un air ahuri.

Le médecin : Rallonger vous mademoiselle ! Vous n'êtes pas en état de ...

Moi : J'en ai rien à foutre ! Comment va mon bébé ?!

Je regarde Natsu, son visage est extrêmement fatigué, ses yeux sont pleins de cernes et je remarque qu'il a des cicatrices aux poings. Sûrement à cause du fait qu'il ai frappé Loan.

Moi : Alors ? Répondez moi ...

Le médecin me regarde sans aucune expression sur le visage. Natsu aussi mais ses yeux exprimait une telle tristesse que le doute pris place en moi. Mes yeux passent du médecin à Natsu et vice versa pendant plus de 5 secondes qui m'ont paru interminable.

Moi : Ne me dites pas que ...

Le médecin : ...

Moi : Non non non non non ! Vous mentez ! Vous mentez !

Le médecin : Écoutez mademoiselle ....

Moi : Nooon ! Vous ne pouvez pas dire la vérité !

Il a voulu poser sa main sur mon épaule mais je l'ai recaler instantanément.

Moi : NON ! SORTEZ ! SORTEZ TOUT DE SUITE !

Natsu : Lucy ...

Moi : NON ! J'AI DIS SORTEZ !

Les larmes affluaient sur mon visage.

Natsu : ÉCOUTE LE PUTAIN !!

Il me regardait tellement intensément que j'étais obligé de fermer ma bouche.

Le médecin : Il n'est pas mort. Mais ça ne saurait tarder.

Moi : Quoi ? Comment ça ?

Le médecin : Le choc a considérablement affaiblie le fœtus.

Moi : il y a une chance qu'il survive.

Le médecin : 1 sur 10.

Moi : Je ferais n'importe quoi pour qu'il survive.

Le médecin : Nous allons vous garder en observation tout le reste de votre grossesse. Et il faudra que nous déclenchions l'accouchement à 7 mois car malgré tout il reste un risque pour vous.

Moi : Mais si on déclenche à 7 mois, il n'y aura pas un risque pour mon bébé ?

Le médecin : Il y a un risque qu'il ne naisse pas tout court. Alors il y aura forcément des risque même si la grossesse arrive à terme.

Moi : Quel est le mieux pour mon bébé ?

Le médecin : C'est ...

Il a regardé Natsu puis m'a reregardé

Le médecin : D'arriver à terme mais ...

Moi : Alors pas de mais j'attendrai d'être à terme.

Le médecin : Vous risquerez d'en sortir avec de grave séquelle mademoiselle.

Moi : Je n'en ai strictement rien à foutre !

Natsu : Mais pas moi. On déclenchera l'accouchement à 7 mois.

Moi : Non !

Natsu : Y'a pas à discuter.

Moi : Écoute Natsu, le bébé est dans MON ventre pas dans le tient. Par conséquent je fais ce que je veux.

Le médecin : Évitez de trop vous énerver...

Natsu : Lucy, si ta vie est en danger alors je suis prêt à faire n'importe quoi pour que ce ne soit pas le cas.

Moi : Tu es même prêt à tuer notre enfant.

Un air de culpabilité traversa son regard. Je savais que ça lui déchirait le cœur.

Natsu : Oui.

J'ouvrais grand les yeux, choquée qu'il réponde quand même.

Natsu : Écoute moi, des enfants je t'en refais plein si tu veux, je te fais une équipe de foot carrément. Mais des toi on en a qu'une. Je veux pas te perdre ... Tu me vois moi tout seul avec notre enfant ? J'arriverai pas à vivre sans toi Lucy.

Pendant qu'il me parlait il s'était assis sur le bord du lit.

Moi : Je sais pas Natsu mais ... je peux pas. Si il y a des occasions pour augmenter les chances de survit de cet enfant alors je ferrai tout ce que je peux pour les augmenter.

Natsu : Comme tu veux. Mais Lucy ... Si je vous perd tous les deux ?

Sa phrase m'a frappé. Je ne savais pas quoi répondre.

Moi : Je ...

Natsu : C'est bien ce que je pensais.

Il a embrassé mon front puis est sortit de la pièce.

Le médecin : Des gens sont là pour vous. Je les fait entrer ?

Moi : Oui ! Excusez moi mais ça fait combien de temps que je suis la ?

Le médecin : Une semaine environ.

Moi : D'accord merci.

Il me fait un sourire puis sort de la pièce. Une semaine ? J'ai soufflé et me suis affalé dans le lit. Merde alors ...
Je vois Tasha entré seule.

Tasha : Coucou ...

Moi : Coucou.

Elle s'assoit à côté de moi.

Tasha : Alors ?

Moi : Rien ne vas ...

Tasha : Hmm ... Je suis désolée.. Tout est de ma faute. Si je n'avais pas suivit Loan rien de tout ça ne serai arrivé !

Il s'est mis à pleurer. Je me suis relevé, certe difficilement et l'ai pris dans mes bras.

Moi : Ne pense pas comme ça ! C'est le destin. C'est comme ça ! Ne te met pas en cause Tasha !

J'ai frotter son dos doucement.

Moi : Aller ne te met pas dans tous ces états. Ça va d'accord ?

À qui je vais faire croire ça ?

Tasha : Ne me mens pas pour que j'aille bien.

Je l'ai regarder dans les yeux. Je sais pas quoi faire ni quoi dire. J'ai regarder sur le côté. Pourquoi c'est à moi d'être mal à l'aise ?

Moi : Ouais ...

Je me suis remis dans ma position de tout à l'heure. On a toqué à la porte. Je vois la tête de Jubia passé la porte.

Jubia : Tasha a fini de parler à Lucy ?

Tasha me regarde.

Moi : Oui tu peux entrer.

Elle me fait un petit sourire. Je vois qu'elle est gênée.

Moi : Comment tu vas ?

Jubia : Oui Jubia vas bien.

Moi : Alors cette semaine ?

Jubia : Lucy n'est pas obligé de se forcer pour parler ... Je sais que Lucy vas mal.

Je lui fais un sourire forcé. Tout ce dont j'ai envie c'est d'être seule, et de pleurer comme jamais. Mais je n'ai pas envie de les virer alors je fais comme si de rien était.

~ Côté Natsu - Pdv Natsu ~

Je referme la porte de la chambre de Lucy. Tout les autres sont là et ils me regardent tous. Je jette un regard vers la fenêtre et je passe devant eux sans les calculer. J'entends Erza qui m'appelle. J'accélère le pas. Je veux pas parler avec eux, je veux pas parler tout court.
Je descends à l'accueil, je croise mon frère devant. Je ne le calcul pas plus que les autres. Il m'attrape le bras.

Jalis : Oh ! Je t'appelle depuis tout à l'heure !

Je vais tout casser. Il me regarde droit dans les yeux. Je baisse les yeux au niveau de l'endroit où il me tient.
Il suit mon regard.

Jalis : Tu vas où ?

Moi : Dehors.

Je suis partit dans ma voiture. J'ai tapé dans le volant.

Moi : BORDEL !

J'ai pris mon paquet de clope, je l'ai regarder longtemps. Mais vraiment longtemps. Jusqu'à ce que la portière droite s'ouvre. Jarel monte dans ma voiture.

Moi : Tu veux quoi ?

On va pas se mentir ce mec je l'aime pas. Si je pouvais l'encastrer dans le pare brise, je le ferai.

Jarel : Tu comptes regarder le paquet encore longtemps ou tu veux en fumer une ?

Moi : J'ai perdu mon briquet.

Il sort un briquet de sa poche et me le tend.

Moi : Merci.

J'allume ma clope et lui en tend une.
Il l'a prend, l'allume et me remercie. Je prend une taffe, puis deux, puis trois et en deux temps trois mouvements je la fini. J'en prend une autre. Je crois que j'ai du en fumer 4 d'affilés.

Jarel : Tu comptes fumer tout ton paquet ?

Moi : J'sais pas.

Jarel : Tu veux pas en parler ?

Je l'ai regarder. Il est sérieux celui la ?

Moi : Pas avec toi.

Jarel : Je sais qu'on est pas ami toi et moi mais on a au moins une chose en commun.

Moi : Ah ouais ? Laquelle ?

Jarel : Lucy.

Je l'ai regardé pendant 4 secondes. Et ai reposé ma tete contre le siège auto.

Moi : Toute ma vie par en couille.

J'ai allumer une autre clope et en ai tirer une taffe.

Moi : Ma femme ou mon fils.

Il me regarde perplexe.

Moi : Lucy veut aller au terme de sa grossesse.

Jarel : Et toi tu veux pas ?

Moi : Si ! Évidemment ! Mais si c'est le cas, elle met sa vie en danger.

Jarel : Ah j'ai compris.

Moi : Mais si on déclenche l'accouchement, notre enfant peut en mourir.

Jarel : Hmm !

Je souffle fort.

Jarel : Laisse la décidé.

Moi : Quoi ?

Jarel : Si tu la force à accoucher plus tôt et que le bébé meurt ?

Moi : et si on va à terme et que Lucy meurt ? Je ne pourrais pas supporter une vie sans Lucy et comment tu veux que j'élève un enfant qui est responsable de la mort de la femme que j'aime.

Jarel : Au moment où tu posera les yeux sur ton fils tu verras que tu ne peux plus envisager une vie sans lui non plus. Un enfant c'est un don du ciel. Ne pense pas que tu puisses le détester quelque soit les choses qu'il a causé.

Moi : T'a l'air plutôt renseigné sur le sujet.

Jarel : Ouais j'ai déjà parler à plusieur personne et il me dise tous la même chose. Leur enfant est la plus belle chose qu'ils ai jamais vu au monde. Je ne vois pas pourquoi tu ferais exception.

Moi : Hmm !

J'ai tirer une dernière taffe de ma cigarette et l'ai jeté par la fenêtre de la voiture comme toutes les autres.

Moi : Merci d'être rester avec moi.

Jarel : Pas de quoi.

Moi : On remonte?

Jarel : Ouais !

Il finit sa clope lui aussi et fit la même chose que moi. Nous ouvrons nos portière et partons en direction de l'entrée l'hôpital. Quand on tombe nez à nez avec M.Heartfilia. Il s'arrêta juste devant moi.

M.Heartfilia : Natsu.

Moi : Monsieur.

Il me tendu sa main, je la serrai avec conviction.

M.Heartfilia : Jarel.

Jarel serra la main du père de Lucy avec la même conviction que moi.
On montait tous les 3 dans l'ascenseur. L'atmosphère était plus que pesante. On arrive devant sa chambre, Tasha est sortit et Jubia aussi. Je suppose que c'est Erza qui est dedans avec Ever et Reby. Tout le groupe regardait M.Heartfilia avec respect. Quand à lui il ne regardait absolument personne. Il est entre dans la chambre de Lucy et à virer toutes les personnes présentes à l'intérieur. Et effectivement, Erza, Ever et Reby étaient à l'intérieur.
Au bout de 15 minutes M.Heartfilia sortit les poings serrés, ça se voyait qu'il était mal de voir sa fille dans cet état. Il m'a regardé une seconde dans les yeux.

M.Heartfilia : Natsu, j'aimerai vous parlez.

Il a balayé tout le monde du regard.

M.Heartfilia : Seul à seul.

Il s'est avancé dans le couloir et est partit dans une salle reculée de l'hôpital. Pour tout vous dire je ne savais pas qu'il existait une pièce comme ça ici.
Il s'est installé sur une de chaise et m'a invité à m'asseoir. Ce que je fis.

Natsu : Vous vouliez me parler ?

M.Heartfilia : Hm !

Il me regardait droit dans les yeux, son regard était dur.

M.Heartfilia : Vous vous souvenez de ce que vous m'avez dis dans mon bureau il y a 5 ans ?

Natsu : Oui, je m'en souviens !

M.Heartfilia : Alors je vous en supplie. Tenez votre promesse.

Flashback

Je suis entré dans le bureau de père de Lucy suivit de Sting.

M.Heartfilia : Que voulez vous ?

Moi : Lucy.

M.Heartfilia : Vous n'aurez jamais ma fille.

Sting : C'est votre fille mais vous n'êtes pas son père.

M.Heartfilia : Comment ?

Sting : Un père ne se comporte pas comme vous le faites avec Lucy.

M.Heartfilia : Vous, des petits voyou, allez m'apprendre comment je dois élevé ma fille ?

Natsu : Vu que vous ne le faites pas correctement il faudrait peut être vous faire une leçon.

Sting : Vous n'avez pas intérêt à refaire pleurer Lucy.

Natsu : Et si jamais c'est le cas vous aurez une petite visite de notre part.

(J'avoue que nous n'avions aucun respect)

M.Heartfilia : Vous me menacez?

Natsu : Prenez ça comme vous le voulez. De tout façon vu comment vous êtes c'est la seule façon pour que ça reste dans votre tête.

M.Heartfilia (rire nerveux) : comment je suis ?

Sting : Insensible, égoïste, froid, sans cœur, manipulateur.

M.Heartfilia : COMMENT OSEZ VOUS ?!

Il se lève de sa chaise brutalement.

Moi : C'EST SIMPLEMENT LA VÉRITÉ !

Sting : PUIS DE TOUTE FAÇON Y'A QUE LA VÉRITÉ QUI BLESSE HEIN !

M.Heartfilia : MAIS DE QUELLE VÉRITÉ PARLEZ VOUS ?! VOUS N'ETES QUE DEUX IDIOTS QUI CHERCHE A FAIRE DE MAUVAISE CHOSE AVEC MA FILLE !

L'armoire derrière M.Heartfilia était sur le point de tomber sur. Sting et moi nous sommes précipité pour retenir l'armoire. Elle pesait une tonne.

Moi : Bouger de la !

M.Heartfilia s'est vite dégagé et Sting et moi avons laissé tomber l'armoire.

BOUUUUM

M.Heartfilia : Merci. On peu dire que vous m'avez sauver la vie.

Natsu : Hm ! Seul le bonheur de Lucy m'importe. Si vous aviez été blessé ce n'est pas du bonheur que j'aurai lu dans ses yeux.

M.Heartfilia : Vous ne voulez pas simplement l'argent de ma fille ?

Natsu : J'en ai rien à ciré de votre thune. Tout ce que je veux c'est la main de votre fille et son bonheur. Si vous n'arrivez pas à la rendre heureuse, céder votre place. Je me ferai une joie de remplir ce travail a votre place. Je ferai n'importe quoi pour qu'un sourire illumine son visage. Je sacrifierai tout pour qu'elle rit aux éclats. Je donnerai tout l'or du monde pour qu'elle ai cet air de bonheur. Alors confiez là moi et tout ce que je tâcherai de faire ce sera de la rendre plus heureuse que jamais. Retenez bien mon prénom. Je suis Natsu Dragnir, je suis celui qui rendra votre fille heureuse. Je vous en fait la promesse.

Fin Flashback

M.Heartfilia : Vous m'aviez promis de la rendre heureuse quel qu'en soit le prix. Alors je vous le demande refaite naître ce sublime sourire sur son visage. Je ne supporte pas cet air de tristesse infini lorsque je vois son regard.

Il avait un regard rempli de peine. Mais bordel... Comment effacé la tristesse d'un regard lorsque la chose que cette personne aime le plus est en danger de mort ? Si vous avez la réponse donnez là moi, car Lucy n'est pas la seule à en avoir besoin...

Laisser des commentaires pour me dire ce que vous en pensez ! Bisou a tous et à toute ! Cette fois ci j'ai pas pris trop de temps à l'écrire ! J'ai essayer de faire vite pour me faire pardonner de la longue attente de la partie précédente !