Chapitre 2: Kyrell ♠️
Ces derniers jours ont été assez rudes. J'étais revenue à Londres, je n'y avais pas mis un pied depuis qu'il y a eu ce problème , avec ce connard dont je tairai le nom.
Six années, il y a six ans ce fils de pute m'a pris ma mère avant de disparaître. Je le hais, lui et tout ce qui l'entoure.
Détester ma famille depuis que je suis petit est mon passe-temps favoris.
Je suis revenue pour ouvrir ma première boîte de nuit et également mon QG. Ces six dernières années chez moi m'ont beaucoup aidé à reprendre le dessus de cette situation. Je suis revenue pour tuer l'homme qui a brisé ma vie depuis que je suis jeune. Mon désir de vengeance n'a jamais été aussi vif que le jour où j'ai remis les pieds à Londres.
Mon demi-frère y vivait encore dans la maison familiale, lorsqu'il y a dix ans, j'ai quitté celle-ci. Suite à ma première formation chez les piques. Pour donner suite à cela, j'y suis retournée il y a six ans afin d'aider ma mère, sauf que je l'ai retrouvé morte.
Ce dernier était impliqué dans sa mort. Je pris la ferme décision de me venger de lui et de mon frère, dans le but de lui faire payer sa complicité dans toute cette histoire. Mais pas aujourd'hui, demain. Aujourd'hui, il me fallait retourner aux affaires.
Je retire ma veste et reçois un message de Zachery, ma deuxième carte.
Zachery – Varney vient d'être retrouvé, il est mort -
Moi – il avait quelle carte-
Zachery – C'est la même personne, c'est un Trèfle. Il l'a peint sur son corps-
Moi - Enterrez-le, je vais m'occuper de ce type moi-même.-
Zachery-très bien, je te retrouve au QG, ce soir. Varney était très loyal, il faut vraiment qu'on trouve ce mec pour l'éliminer. Les trèfles ne se cachent plus, ça suffit, c'est notre troisième homme auquel ils s'en prennent.-
Moi – ils ne s'attaquent pas qu'à nous, mais a plusieurs porteurs de cartes. On l'aura et je pendrais un plaisir à le tuer-
Mon équipe fait face depuis plusieurs mois à un homme, il fait partie des trèfles. Je n'arrive pas à le retrouver depuis tous ses mois. Je sais qu'il a les cheveux blonds, mais je n'arrive pas à l'avoir et ça me fait chier plus qu'autre chose. Je pense que le tuer m'excitera bien plus que toutes les femmes, qui exposent leurs poitrines sous mon nez, et qui aiment que je réchauffe ma queue entre celles-ci.
Le système des cartes existe depuis plusieurs années, il existe quatre groupes. Chaque groupe disposent d'une carte, toutes différentes et chaque carte se trouvent dans une ville ou un pays différents. Les porteurs de cartes ne doivent pas être dans la même ville. Ils se retrouvent tous les dix ans pour une réunion général et ainsi effectuer un changement de porteur. Dernièrement il y a eu un problème avec le porteur du trèfle, ce sont des tueurs à gage, les meilleurs dans ce domaine, ils commencent à s'attaquer aux autres porteurs. De ce fait dans sept mois aura lieu une réunion afin de le confronter.
Où de le tuer, car il ne sait pas gérer ses hommes. J'ai envie de le tuer depuis plusieurs mois, ils m'ont pris trois hommes. Je vis normalement en Russie, mais étant donné que plus personnes ne respecte le système des cartes, j'ai décidé de ne plus le faire. Je tuerai tous les porteurs de cartes et je récupérerai les leurs.
Je suis sur le terrain des trèfles et je n'en ai plus rien à foutre. Je suis restée six années dans mon coin, après que l'autre connard m'a pris ma mère.
Mon groupe dispose du pique noir, nous sommes appelé la congrégation. Quatre groupes qui sont éloignés en fonction de leurs zones, mais qui se retrouve à travers les cartes. Je suis devenue le chef des piques il y a un an. Lors de mon retour en Russie, je n'ai pas été vraiment soutenu ayant enfreint plusieurs règles auparavant.
Quelques années plus tard rien n'allait plus chez les piques. L'ancien président m'énervait et je ne me suis pas empêché de le tuer et de proposer ma candidature. Ce dernier fréquentait une femme d'une autre congrégation les carreaux mes deuxièmes ennemis et amis proches des trèfles.
Parmi les porteurs de cartes celui qui m'intrigue le plus est le chef des trèfles. Il ne se présente jamais aux réunions d'après Zachery. Personne ne l'a jamais vu, et il reste toujours dans son coin dans l'ombre.
Les porteurs de cartes n'ont pas le droit de se voir, mais par contre, ils assistent aux réunions, et discutent sans que l'on ne découvre leurs visages. Ils sont tous reparti dans des boxes séparées. Cependant, en ce qui concerne le porteur du trèfle, nous ne connaissons, ni sa voix, ni son visage, ni le visage d'aucun membre de son entourage.
Les trèfles sont très arrogants, leur porteur, leur donnent l'accès à tous les autres groupes. J'ai eu ma formation avec les piques à mes quinze ans, mais je ne comprenais pas le concept des cartes à cette époque. J'ai réellement tout appris à mes dix-sept ans, lorsque j'ai eu mon association avec Zachery.
L'association est un rituel du sang, qui vous permet d'intégrer la congrégation, celle-ci associe votre vie à celle de votre porteur. On ne quitte, ni ne trahit, la congrégation, on meurt pour son porteur de carte.
Les carreaux et les cœurs s'occupent principalement de la partie des matériels.
Ils vendent de la drogue et vendent également des armes. Ils ne s'intéressent pas vraiment aux autres membres de la congrégation. Je garde contact avec le chef des cœurs, et après lui avoir tiré les vers du nez, j'ai fini par apprendre qu'il avait perdu deux de ses hommes toujours la même personne le blond. Je me demande si ce fameux jeune homme aux cheveux blond était la deuxième carte des trèfles, comme l'es Zachery pour moi. Son tueur...
Que cherche-t-il à créer ?
Que veut-il mettre en place ?
Pourquoi s'attaquer à tout le monde ?
En dernier lieu, nous avons la Red card. Jusqu'à aujourd'hui personne ne sait qui la porte. Cette personne a le droit de veto, lorsque les problèmes de la congrégation deviennent ingérables, il peut décider de reprendre les quatre cartes. Son veto est le plus important. Je rêve d'avoir cette carte depuis sa mort, j'ai rêvé d'avoir ce pouvoir... Celui qui m'aurait permis de la sauver...
Flash-back
– Va dans la cave Ky. Mon cœur battait si fort et ma mère n'arrivait plus à tenir debout. Ce sang sur mes mains m'empêchait de réfléchir.
Il fallait que je l'aide à sortir, il fallait qu'il ne la touche plus. Il fallait que je l'amène à l'hôpital.
- Tu n'es pas chez toi Ky. Il est un...
Elle est la seule à m'appeler Ky, la seule à m'avoir aimé. La seule qui m'ait sauvé...
— Dit le moi, je t'en prie... maman
Elle savait, je n'aurais jamais cru qu'elle savait pour les cartes.
- Il fait partie de... d'un truc... qui... elle respire difficilement. J'entends des pats sur le parquet.
- Maman, il fait partie de quoi ? Il a une carte ?
Elle écarquille les yeux et me fixe sans mots.
— Et... toi... tu as une carte Ky ? Je ne pouvais pas lui dire la vérité. Je voulais savoir pourquoi il lui avait fait cela. Pourquoi il lui a tiré dessus d'une manière aussi sauvage.
Ses yeux bleus se posent sur moi et elle pose tendrement sa main sur ma joue. Tout cela parce qu'elle la aimait. L'amour était le sentiment le plus destructeur qu'on puisse ressentir. Je déteste savoir qu'elle va mourir, car elle est tombée amoureuse. Elle était si belle, ces cheveux blonds se regroupaient autour de son visage.
Je ravale mes larmes, règle numéro 1, pas de sentiments. Sauf que là, il ne s'agissait pas de n'importe qui, il s'agissait de ma mère.
– Non maman, je n'ai aucune carte. Je lui embrasse la joue et elle ferme tout doucement les yeux.
Les pas se font plus rapides. Je descends dans la cave. Je ne devrais pas être à Londres. Je ne suis pas chez moi. Je suis venue, car ma mère m'a appelé en pleurs, mais je ne devrai pas être ici.
Je le vis entrer par le trou de la porte de la cave. Et les vis tirer six fois sur elle.
Sa voix dure et son ton tranchant, rien n'avait changé, il est resté le même connard aux yeux vert.
- Je t'avais prévenu. Sous chaque coup de glace à chaque fois que tu en regarderas un autre, je te tuerai et je le tuerai.
Ses mots sont restés gravés dans ma mémoire et je n'ai pas fait un seul bruit, je ne comprenais pas encore toutes les règles, et je n'avais pas fini ma formation.
Je vis mon frère entrer dans le couloir regardant les yeux de celle qui lui avait tout donné.
- Comment procéder à l'enterrement ?
Cette phrase avait quitté la bouche de mon frère , non demi-frère et en un instant, j'ai réalisé une chose, j'aurai dû le tuer. J'aurais dû me débarrasser de lui quand je pouvais.
Fin flash-back.
– Il y a du monde aujourd'hui Zac. Dis-je en prenant une nouvelle clope.
– Oui, il y a du monde aujourd'hui, les caméras sont activité, tu as accès à tout en ce moment.
Devant ses lumières, je me perdais dans mon univers, je vais devoir me coltiner Sarah encore ce soir. Un corps prêt à me recevoir, et qui n'a aucune autre ambition que d'être prise par moi.
C'est pathétique d'en arriver là.
Une personne attira mon attention, ses boucles blondes retombaient en vague sur ses épaules. Je la vis à l'entrée en train de faire la moue derrière une jeune femme, son amie ? Je crois... Afin, je ne sais pas vraiment. Cette robe blanche moulait si bien son corps, comme si elle avait été conçue sur mesure.
J'observe sa démarche, elle n'avait pas envie d'être là et observait autour d'elle sans aucun enthousiasme, avant de passer ses mains dans ses cheveux qui se retrouve en un revers de main de l'autre côté de son épaule. J'avais une meilleure vue sur son visage, son cou et ses lèvres.
Que va-t-on faire de toi jolie blondinette... Que fais-tu ici aujourd'hui ?
- Elles sont rentrées sous quels noms ? Dis-je en allumant une clope alors que je venais de finir celle que j'avais.
– Tu as trouvé celle avec qui tu rentrerais ce soir ? Je ne lui réponds pas attendant toujours ma réponse.
-Liz Chamberlain celle avec les cheveux Afro et Cornelia Aziza, c'est celle à qui a les boucles. C'est quoi le plan ?
- Il n'y a pas de plan, je vais observer. Active tous les transmetteurs sous les tables.
– Ares...
Je me retourne pour croiser le regard de Bruno. Il n'y a que lui pour utiliser mon deuxième prénom à chaque fois. C'est ainsi depuis cinq ans le jour où je l'ai rencontré.
– Les trèfles savent que tu es à Londres. Il allume sa clope et se met à côté de moi.
- Et maintenant ? Je n'en avais rien à foutre qu'ils sachent que je suis sur leurs territoires. C'est Jusqu'à la réunion général, nous avons quartier libre pour tuer qui l'on veut.
- Je vais prévenir nos hommes. Me dit Zachery en prenant l'ascenseur.
– Si tu croises des trèfles n'hésite pas, tue-les... et surtout amuse-toi...
Zachery me fait un grand sourire les trèfles auront de nos nouvelles. J'observe la piste de danse une nouvelle fois, créer des chambres clandestine dans l'aile gauche du théâtre serait une bonne idée. Ainsi nous permettrions, à toutes ses dépravées, qui ne rêvent que de baiser de pouvoir s'envoyer en l'air.
Cette façon qu'ont les gens à se tripoter sur la piste me donner envie de gerber.
Je sens son regard sur moi, à quoi tu joues beauté ? Faisant semblant de regarder la piste, je la vis me fixer, sans détourner les yeux. J'avais une meilleure vue sur elle.
Elle étudia mes traits avec un petit sourire en coin. Qui est cette fille putain ? Sa manière de mordre ses lèvres réveillait mes sens. L'instant d'après, elle ne me regardait plus,son regard était vide de vie, comme si j'avais deux personnes totalement différentes en face de moi.
J'active mon écouteur et entend son amie lui dire de se calmer et que c'était fini. Qu'est-ce qui est fini ? Que s'est-il passé ?
Sous chaque table et à chaque coin de ce théâtre, j'avais mis tout le monde sur écoute. Je ne fais confiance à personne, absolument personne. La technologie pouvait palier toutes les couches de musique afin de me faire entendre exactement ce que je désirais dans chaque recoin de cet endroit.
Le charme se rompt lorsque son amie lui met cette foutue couronne sur la tête et ce voile, j'ai compris, Ma petite blondinette allait passer par la case mairie. Putain... j'ai dit Ma , elle n'est pas mienne, sauf si je le veux.
Elle se marie avec qui ? Puis-je briser son ménage ? Je déteste les mariages.
Le DJ change de musique et je la vis descendre les escaliers. Putain son corps. J'avais l'impression d'être un putain de puceau, alors que j'avais baisé ce matin.
Elle commence à danser avec son amie avant qu'il n'y ait deux messieurs qui se mettent derrière elle. Elle était très gracieuse dans ses gestes, sa façon de marcher ou même sa façon de regarder cet homme. Je suis sûre qu'il est déjà en train de s'imaginer comment coucher avec elle.
Ma conscience me rappelle que je pensais à la même chose. Qu'est-ce qui se cache sous cette robe ? Comment vais-je la déchirer ? L'allonger sur la table de mon bureau à quatre pattes. Ou non plus tôt dans le canapé, je lui écarterai les cuisses et découvrirai sa fleur humide. Comment je la pénétrerai, ses cheveux enroulé dans mon poing ou mes mains autour de sa gorge ?
Si je me décide à toucher à cette fille, elle ne se mariera pas. Et ça ne sera pas la première fois que cela arrive. Je la prendrais si fort que son mari ne pourra plus rien pour elle. Putain, il faut que je me calme.
Lorsqu'elle échange avec son amie, j'ai l'impression que ma mâchoire va se décrocher, bordel, c'est une putain de joueuse.
Je me dirige vers les escaliers, lorsque je compris que la musique allait s'arrêter.
- Tu t'es décidée finalement. Bruno me fait un petit sourire en suivant mon regard , afin de découvrir ma petite blondinette.
- J'étudie le terrain.
Dans mon cerveau, j'étais déjà en train de me perdre en elle.
- Elle va se marier Ares.
Bruno est dit , le plus sérieux de ce groupe et pour l'instant, je ne voulais pas de conseil. Mais peut-être demain, j'y penserai.
Je ne lui donne pas de réponses et rejoins les escaliers assez vite, le chemin s'ouvrait pour me laisser passer jusqu'à ce que j'arrive à côté d'elle. Son parfum embaume mes narines , je la pousse légèrement et rejoins le bar.
Je n'ai pas le visuel que je veux, j'aimerais connaitre la couleur de ses yeux, j'ai entendu sa voix, je sentais son regard dans mon dos.
Je pense très sérieusement à vider cet endroit et fourrer ma langue entre ses cuisses Mais Zachery me dirai certainement que ce n'est pas raisonnable.
- Alex la table numéro 6 lorsqu'elles passeront une commande, tâche de les rafraîchir en demandant à Lara de renverser son plateau sur la blonde.
Alex mon barman m'observe du coin de l'œil avec un petit sourire puis hoche la tête.
- Garde ton avis pour toi, je n'en ai pas besoin.
Mon barman éclate de rire, je savais très bien qu'il était en train de me juger.
Je prends un chemin différent pour aller m'enfermer dans mon bureau.
Zachery avait terminé normalement. Je lui laisse un message et lui explique ce que je souhaitais faire.
La scène se déroulait sous mes yeux, sa poitrine qui se dévoilait, la colère dans le regard de son amie donna raison. Elle est son talon d'Achille. Zachery qui arrive au bon moment, moi la voyant fulminer derrière lui et son amie qui n'arrive plus à parler devant le mien. J'avais l'impression d'assister à une scène orchestrée par moi-même. J'éclate de rire lorsqu'elle demande à Zachery si j'étais un président.
Loin de moi l'idée de vouloir un jour devenir président.
Lorsque son amie lui laisse dix minutes, j'ai encore plus envie de la détruire sur cette table. Putain de merde !
Qu'est-ce qui m'arrive ?
J'entends la voix de Zachery dans mon oreille.
- Elle arrive devant ton bureau, j'ai activé l'insonorisation.
J'éclate de rire, je ne pensais pas que mes intentions étaient aussi visibles.
- Je suis en train de faire une belle connerie, lui dis-je.
– Observe ses yeux, elle a envie de savoir qui tu es.
J'éteins le micro lorsque je la vis entrer dans mon bureau. Elle marche devant moi sans me voir, car j'avais fait éteindre toutes les lumières.
Sa voix vibre en moi comme une caresse, j'observe son corps se pavaner devant moi.
Elle s'agace à force de parler dans le vide.
Lorsque je l'attire contre moi et que je découvre enfin son visage. J'ai l'impression d'être dans un autre monde. PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !
Elle tremble dans mes bras et observe mon visage avec une telle intensité, qu'à cet instant, j'ai une seule envie. Fondre mes lèvres sur les siennes, et les dévorer jusqu'à ce qu'elle perde l'usage de la parole.
Elle détourne le regard et je continue de l'observer, ses yeux étaient d'un bleu à me couper le souffle et son visage était d'une beauté époustouflante. Toutes ses règles auxquelles je me suis promis me quittent dès l'instant, où j'ai son corps contre le mien.
Je la pousse jusqu'à la table du bureau. Ma braguette n'a jamais mis autant de temps à exploser.
- J'ai entendu dire également que rien ne vous faisait d'effet.
Son regard se pose sur moi une nouvelle fois et elle me jette un sourire narquois.
Son insolence me fait sourire, si elle savait tout ce que j'ai envie de lui faire, elle fuirait ce bureau.
- Ce ne sera pas vous qui y changerez quelque chose.
Oh bébé, je pense que tu n'es pas prête.
- J'ai encore huit minutes pour vous le prouver.
Elle baisse les yeux alors que je collais con corps à nouveau contre moi.
- Pourquoi avoir joué avec ces messieurs de cette manière ?
- Je fais ce que je veux, et je vais sortir de ce bureau ça suffit maintenant.
La douceur de sa voix me rendait dingue. Elle était tremblante et pleine de promesses.
- Ça suffira lorsque je l'aurai décidé. Lui dis-je en continuant à la fixer, ma main remonte le long de son cou et s'arrête à sa poitrine, putain lorsque j'empoigne son mamelon, elle rejette la tête en arrière et mord ses lèvres.
Ils nous arrivaient la même chose. Elle voulait la même chose. Pauvre petit mari.
Plus aucun mot ne quittaient nos lèvres, plus rien ne nous séparait.
Je relève son menton et observe son visage. Elle était excitée, autant que moi, et ses tétons qui durcissent contre ma paume me le prouve.
- Je vais te nettoyer Cornelia et tu vas me laisser faire.
Je sens son corps tressauter contre moi et se coller davantage au mien.
– Que veux-tu de moi ?
Oh bébé, je veux pleins de choses...
Je la fais descendre de la table et la retourne pour coller mon érection contre ses fesses. Elle se frotte délicieusement contre celle-ci. Putain c'est si bon.
Elle soupire très fort lorsque j'enroule ses cheveux autour de mon poing. Mon fantasme se réalise.
- Dis-moi ce que toi, tu veux ?
Elle gémit une seconde fois lorsque je pince ses tétons à travers sa robe. Je ne me suis jamais autant retenu de toute ma vie.
- Je veux tes mains entre mes cuisses.
Sa voix me percute en un souffle et mon érection devient plus dure. Oh mon ami, j'ai tellement envie qu'elle te prenne entre ses lèvres.
Putain ! Elle est une joueuse et j'adore cela... je n'ai pas envie de passer que mes mains, ma langue et ma queue me démangent.
Je relâche ses cheveux et soulève délicatement sa robe.
- C'est ça que tu veux.
Elle ne me répond pas.
Je plaque son visage contre le bureau en lui claquant le cul, lui arrachant un cri.
– Je veux une réponse.
- C'est ce que je veux.
Oh putain, ma chère tendre, délicieuse et humide Blondinette veut se faire baiser par moi.
J'observe son string noir qui m'offre une vue sur ses fesses rebondie et sexy. Cette satanée bonne femme va causer ma perte.
J'agrippe son cul dans ma main la faisant gémir. J'écarte ses jambes avec le mien puis ma main caresse l'intérieur de ses cuisses en remontant plus haut, jusqu'à ce qu'elle se pose là , Sur sa fleur.
Je la caresse de haut en bas à travers son string avant de l'empoigner, elle recule contre ma main et gémit si fort qu'il me faut la retenir.
- Ça fait combien de temps que tu attends ça ? Combien de temps que tu veux que je te baise ?
Elle n'arrivait pas à parler, je lui donne une claque contre son vagin. Elle recule une seconde fois en gémissant.
- Putain...
Sa voix me rend vraiment dingue.
- Je veux que vous me répondriez il me reste quatre minutes blondie.
Elle se retourne pour me fusiller du regard, avant que je ne la plaque à nouveau contre la table. Mes doigts la caresse à travers cette culotte à nouveau.
- Alors comme ça vous allez vous te marier ?
- Putain... j'en ai marre de vos questions de merde. Je m'en vais.
Elle essaye de se relever avant, je ne la plaque à nouveau.
– C'est du n'importe quoi bordel...
Je décale son string et ma main touche enfin cette peau, lisse, douce et gonflée,
je vais finir en enfer si je continue...
J'insère mes doigts en elle pour la découvrir humide, les jambes tremblantes.
- OH PUTAIN...
— Je ne veux plus t'entendre...
Mes deux doigts allaient et venaient en elle la caressant de haut en bas son humidité me faisait bander encore plus. Elle resserre son sexe contre mes doigts en gémissant de plus belle.
Cornelia... Cornelia... Cornelia ...
Je me colle à elle et à chaque fois qu'elle allait à la rencontre de mes doigts, elle reculait ses fesses pour tomber sur ma queue qui ne demandait qu'à la détruire contre cette table.
Elle pose la main sur ses lèvres et essaye de serrer les jambes.
- Non... bébé non... Laisse-moi te caresser...
Mes doigts atterrissent sur son clitoris, elle gémit plus fort, lorsque celles-ci se perdent en elle, je remonte vers le haut de son vagin et caresse sa vulve putain, je serai capable de la baiser tout le temps et ne jamais quitter ce bureau.
Ses gémissements s'étouffaient contre sa main. Elle se frotte contre ma main, en suivant mes caresses. Et lorsque mon pouce s'appuie contre sa vulve, elle crie si fort que ses jambes faillissent, je la retiens , et lui donne une nouvelle claque.
— C'est ça que tu aimes bébé ?
- Oui ! Oh putain...
Cette chatte m'appartient je me fiche de son mari. Mais cette chatte m'appartient putain, je vais la baiser un jour, pas aujourd'hui... J'ai envie de la sentir jouir contre mes doigts.
Mes claques contre ses fesses s'accentue alors que j'accélère mes doigts en elle. Ses gémissements deviennent plus fort et l'instant d'après, je la retourne et observe son visage rouge de plaisir. La robe révélée jusqu'à la taille, le string décalée sur le côté, j'avais une vue imprenable sur son vagin, elle rejette la tête en arrière lorsque mes doigts se décident à finir le boulot. Je la doigte à nouveau alors que ses jambes tremblaient et que ses talons ne cessait de glisser sur la table.
- Jouis pour moi.
Je ne reconnaissais plus ma propre voix.
Elle relève les yeux et les plantes dans les miens. Putain d'où sort cette femme. Elle explose et jouit les fesses sur le bord de la table, les cheveux en bataille, la tête en arrière et les lèvres entre-ouvertes.
Je la maintiens contre la table jusqu'à ce que sa voix ne devienne qu'un souffle. Je l'aide à se relever et sa tête se pose contre ma poitrine. Elle respire contre moi alors que son shampoing me frappait à pleins nez, elle sent si bon.
- Comment tu t'appelles ?
Je l'observe une nouvelle fois, pas aujourd'hui me dis-je.
- Il est temps pour vous de partir, les dix minutes se sont écoulées.
Elle me regarde avec la mine déconfite. Si je la prends ici son mariage n'aura jamais lieu.
– Rentrez chez vous. Vous aurez un beau mariage et ne revenez plus jamais dans cet endroit.
– Ok... Je... oh putain... je suis beaucoup trop stupide.
- Je ne suis pas le prince qui viendra vous sauver, et vous ne serez rien d'autre que la femme, que j'ai fait jouir sur mon bureau.
Sauf qu'aucune femme ne m'a rendu comme ça en l'espace d'une soirée. Dix putain de minutes et je vais devoir baiser une autre femme , car celle-ci se marie merde !
Elle me repousse et se relève avant de remettre en état ses vêtements. Ses cheveux retombent sur son épaule et elle se mord encore les lèvres. J'ai envie de les lui mordre, mais il me faut me calmer.
- Je reviendrai ici et la prochaine fois, je serai marié et là, on verra ce que vous allez faire imbécile.
Imbécile, le discours a changé à ce que je vois. Elle se retourne pour sortir du bureau.
- Même marier votre mari ne vous fera jamais jouir comme je le ferai, continuez de simuler dans vos draps et une dernière chose,
Je prends son visage en coupe et rapproche mes lèvres des siennes avant de lui dire :
- Chaque jour, à chaque fois qu'il le prendra dans sa main, je lui agrippe les fesses, vous penserez à moi, comment je, vous aurai pris, à quel point ça aurait été intense et surtout si votre corps aurai tenu le choc. Rentrez chez vous, votre enterrement de vie de jeune fille est terminée.
Je savais que j'étais cruel, mais en ce moment j'ai besoin qu'elle disparaisse et que je couche avec une autre femme en pensant à elle.
Il fallait qu'elle aille se marier, car Quel que soit ce qui s'est passé ici, cela ne se reproduira plus jamais. Je suis rentrée pour me venger. Pas pour qu'une sorcière vienne interférer dans ma vie et perturber cette tranquillité.
- Gardez une chose dans votre crâne sale connard, vous serez toujours l'homme qui m'a fait jouir certes, mais moi, je serai toujours la femme que vous rêvez de baiser jour et nuit...
Elle ouvre la porte et disparaît sous mes yeux. Elle a du répondant et j'adore ça. Mais pour le moment, je vais me chercher une autre fille facile et qui ne sera rien d'autre qu'un coup d'un soir.
Je la vis dans la caméra parler à son amie avant de serrer sa main et de quitter l'étage.
Zachery entre dans mon bureau dix minutes plus tard.
- Tu veux un dossier sur elle ?
- Non, on va la laisser reprendre sa vie, nous irons voir mon frère demain après midi.
- Que se passe-t-il Kyrell ?
Il ne m'appelle que très rarement par mon prénom en entier.
- Disons que si tu montes un dossier sur elle, je foutrai en l'air son mariage et l'amènerai avec moi. Pas pour l'aimer non, pour la prendre de toutes les manières possibles jusqu'à ce qu'elle en oublie jusqu'à ses parents. Alors, on va la laisser reprendre sa vie, car elle a l'air parfaite et je suis un tueur.
– Kyrell Ares qui se résigne, je suis sous le choc.
J'éclate de rire et descend par la suite m'envoyer en l'air en gardant cette image à chaque coup de reins. Elle... ma blondinette... avec sa chatte si douce... et ses yeux bleues...
Ses mêmes yeux qu'avait ma mère... il me fallait la sortir de ma vie...
Le lendemain après midi, j'arrive chez mon frère, il avait un appartement à Bond street, il gagnait pas mal sa vie à travers toutes ses activités illégales. Ce dernier n'a pas de carte... personne n'a voulu de lui. Mais je sais qu'il travaille pour quelqu'un. Il me reste juste à savoir de qui il s'agit.
J'entre dans son appartement accueilli par la gouvernante.
Des voix m'attirent à l'intérieur et plus, j'avance plus, j'ai l'impression d'être dans un film.
Mon regard se pose sur ses yeux verts et je vois l'homme qui m'a trahi se lever et venir vers moi.
– Comment l'enterrer ? On doit de débarrasser de son corps. Kyrell ne le saura jamais...
Sauf que Kyrell était là-derrière la petite porte et il a tout vu.
- OH PUTAIN ARES T'ES RENTRÉ, SIX PUTAIN D'ANNÉES, TU M'AS TANT MANQUÉ.
On se serre l'un contre l'autre si fort, à cet instant, j'imaginais dix mille manières de le tuer.
- Bébé les préparatifs sont fins prêts... Oh putain...
Je regarde derrière lui et vis une jeune femme, une blondinette avec ses yeux bleues, beaucoup plus claire en pleine journée. Elle se retient à la rambarde lorsqu'elle croise mon regard. J'ai besoin d'un paquet de clope, ou d'une putain douche froide.
Mon imbécile de frère se détache de moi.
– Huda vient là chérie.
Huda? J'ai raté quelque chose ? Elle se rapproche de lui et il entoure ses bras autour de ma blondinette. Je regarde la bague autour de son doigt, putain de merde. Le charme se rompt une seconde une fois, elle fricote avec l'ennemi, donc je la mets dans l'équation.
– Je te présente Kyrell Ares vasilkova , mon frère, et il vient de rentrer à Londres après dix ans en Russie, Ares voici Huda Cornelia Aziza ma fiancée et je l'épouserai demain.
Six, je suis restée pour l'enterrement de ma mère même si je n'ai été appelé que deux jours après sa mort m'empêchant de la voir. À la suite de cela, j'ai refusé de le voir, donc cela fait concrètement dix années que nous ne nous sommes pas vus.
Cornelia n'arrivât plus à soutenir mon regard, les idées fusaient dans mon cerveau.
- Je suis ravie de vous rencontrer belle-sœur, ta fiancée est sublime Isma.
Je ne quitte pas son visage des yeux, ma paranoïa se réveille lentement et je sens que je vais finir par tuer quelqu'un. Est-ce qu'elle sait qui il est ? Est-elle venu hier en espionnage dans mon QG ? Sait-elle tout ce qui l'entoure ?
- Merci frérot, j'ai tant à te dire, tu m'as manqué, Papa est en voyage, et Claire sera là demain. (Notre ou sa belle-mère) Bébé tout va bien ?
Bébé ?
- Je suis ravie de vous rencontrer Kyrell.
Je m'approche d'elle pour lui tendre la joue afin qu'on se fasse la bise. Sentir ses lèvres contre ma joue réveille mes démons d'hier soir. J'ai énormément de questions.
Isma me regardait comme s'il cherchait des informations dans mes yeux.
Je sais tout, mais je ferai avec plaisir l'idiot. Ma blondinette est sauvée par la sonnerie de son téléphone, elle s'excuse et passe devant moi pour rejoindre le balcon.
On rejoint le salon et je pose une clope entre mes lèvres et l'allume en le regarde avec un grand sourire.
– Alors cela fait combien de temps vous deux ?
Elle revient un grand sourire sur ses lèvres, et s'installe sur les jambes de Isma. Puis répond à ma question :
- Une année.
– C'est la femme la plus aimante que je connaisse et elle est d'une si grande gentillesse, je ne pouvais pas la laisser sur le marché. Tout le monde veut me la prendre.
Ne t'inquiète pas frérot, je le ferai.
- Tu as bien raison de garder un œil sur elle, sinon elle finira sur un bureau avec un autre homme qui aura peut-être été plus rapide que toi...
Elle écarquille les yeux et détourne le regard. Je sens que ce mariage va être une sacrée partie d'échec.
Je comptes bien m'amuser...
Ravis de faire votre connaissance.
Ky.
Alors la rencontre avec Kyrell ?
J'attends vos avis.
Gros bisous 💗
Samira.
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