A lif in me

elili82370

Party, 23 juillet, 00h32

La musique est forte. Je danse. J'oublie tout. L'alcool se diffuse peu à peu dans mes veines. Je suis bien. Si bien. Détendu. Ailleurs. J'oublie tous les soucis de cette vie merdique qu'est la mienne. Je me déhanche, je demande de monter le son, ce que le DJ fait. Je bouge sur la piste, je ne fait pas attention aux alentours. C'est pour çà qu'au moment ou je me retourne, j'aperçois un bouclé vraiment plus que beau face à moi. Mes yeux fatigués croisent les siens émeraudes. Je souris à cet inconnu et commence à me coller à lui. Je me déhanche contre son bassin et il pose ses mains sur mes hanches. Je souris et il me tourne vers lui. Aucun mot ne s'échangent entre nous, il m'embrasse à présent, pleinement. C'est agréable. Sa langue à un goût d'alcool fort, mais çà ne me dérange pas. Sa langue dansant avec la mienne est une des sensations des plus agréables. Je souris contre ses lèvres alors qu'il me masse les fesses. Çà aussi, c'est plaisant.
- Si on allait dans une chambre? Dis-je en lui chuchotant dans l'oreil.
- C'est une bonne idée.
Sa voix est tellement roque que je fais un petit bon en arrière. Il me prend la main et celle-ci glisse toute seul dans la sienne. Elle est chaude et douce. C'est agréable aussi. On monte les escaliers de cette grande maison et il ouvre une porte au hasard. Ce qui est une chance, car c'est une chambre, et libre d'autant plus.

Le bel inconnu ferme la port à clef et me pousse sur le lit en se remettant à sur moi pour m'embrasser de nouveau.
- Attend. Je dis en me reculant. Je voudrai bien connaître le nom de celui qui va me faire l'amour.
- C'est Harry. Il dit en souriant.
- Ok, moi c'est Louis.
Après ces mots, je le tire de nouveau contre moi et prend le contrôle du baiser. Je laisse ma langue entrer dans sa bouche, et nos deux langues bougeant en unions forme une boule dans mon ventre, mais loin d'être désagréable, au contraire. Ses mains sont baladeusent, elles se promènent sur mon torse qui ne tarde pas à être découvert. Mon tee-shirt gise à présent dans un coin de la chambre. Il fait promener sa langue le long de mon torse, de mes tatouages qu'il semble apprécier. Il me laisse des traces de suçon ainsi si de griffure sur le torse. Je sens que cela ne me fera pas du bien une fois la nuit passée. Il retire à son tours son tee-shirt et fait sauter le bouton de mon jean. Il le tire délicatement et celui-ci se retrouve rapidement aux côté de mon haut gris. Il fait de même. Nous nous retrouvons tout deux en sous vêtement, et pour ma pars, je suis très excité. Il se met à frotter son entre jambe contre la mienne et je pousse des petit gémissements aiguë. Mes mains passent dans ses cheveux et j'exerce une pression, ce qui le fait grogner. Il se recule alors et arrache mon caleçon blanc en retirant le siens. Nos deux corps nu sont collé l'un à l'autre, une chaleur appaisante se forme alors.
- Je domine bébé. Dit Harry.
- Je suis bottom.
Il sourit et j'admire son beau visage ainsi. Il est vraiment parfait. Son sourire m'en jète un coup, avec ses petites fossettes creusées de chaque côtés de son sourire. Je pose mon doigts sur l'une d'elle et il me regarde étrangement.
- J'adore les fossettes, surtout sur toi, çà t'innocente un peu.
Il rigole et met sa tête dans mon coup pour faire des suçon.
- Je vais y aller bébé.
- J'attend que çà.
Je sens son membre tout dur contre mes fesses et je n'attend qu'une seul chose : qu'il entre en moi. Que je le sente.

Pas besoin de penser d'avantage, je le sens tout entier. Je ne pensais pas qu'il était si gros, c'est assez surprenant. Il ne bouge pas le temps de m'habituer, bien heureux, je ne souhaite pas boiter. Il se place ensuite de nouveau au dessus de moi et embrasse chastement mes lèvres. Il tient mes bras au dessus de ma tête et commence à faire de léger mouvement en tortillant son bassin, et c'est tellement bon. J'aimerai passer ma main dans ses cheveux, mais il me les tient, c'est assez frustrant. Mais je sens tout mon corps uni au siens, juste pour un soir, le paroxysme du plaisir. Nos deux corps ensemble ne forment plus qu'un. Et c'est tellement exceptionnel. Je ne sais si un jours dans ma vie j'ai autant pris de plaisir que maintenant. Il me regarde profondément et continue ses vas et viens incessants. Mes gémissements emplissent cette pièce inconnue et les siens se mélangent aux miens. Plus que quelques coup de bassins, je sens que c'est la fin, l'extase approche et ce sera finit. Il se met à m'embrasser pour me faire goûter une dernière fois le goût de sa langue avant de s'eclipser et de me laisser, comme ils le font tous alors que je dors.

Et en un coup plus brutal que ceux d'avant je le sens se déverser en moi. Et c'est en sentant cette chaude semance que je me rend compte de notre oublie. Je ne pense pas qu'il est l'VIH. Il se serait protéger. Tant pis, ce n'est pas grave. C'est encore mieux de sentir la véritable sensation quand un homme comme lui vous fait l'amour.

Tout en sueur, il s'effondre à côté de moi et se met à me faire de petites papouilles sur le bras. Je souris face à ses attention. La plupart des hommes avec les quels je passe au lit s'en vont dès qu'il ce sont vidés. Et eux sont brut contrairement à lui. C'est la meilleure nuit au monde. Et en plus il reste avec moi. Peut être que c'est le début de quelques chose. Ou peut être que je me fais de trop beau film et qu'il faut que je revienne à la réalité. En effet, je n'en sais rien, je suis dans l'incapacité de prévoir l'avenir. Alors on verra bien ce qu'il se passera, en espérant le meilleur pour moi.

Je finis par m'endormir dans les grands bras confortable de l'homme avec le quel j'ai passé la nuit, mon bel Harry.

Maison inconnu, 23 juillet, 11h42

Je me réveil doucement avec un mal de crâne peu supportable. Je met du temps à ouvrir mes yeux et à assimiler l'endroit ou je me trouve et ou j'ai passé la nuit. Pour l'instant, j'ai peu de souvenir, il faut que je me concentre. Sauf que la, j'en suis un peu incapable. Je prend le courage de lever mes bras et de me masser les tempes avec le bout des doigts afin de soulager mon mal. Quand je réussis à me souvenirs de la nuit passée, des papillons dans mon ventre se mettent à me chatouiller. Je me rappelle. De Lui. Il était... exceptionnel, si différant de tous les autres homme que j'ai pu croiser. Et comme je le prétendais, il s'est volatilisé. Je me soulève un petit peu dans ce lit qui ne m'appartient pas et décide de prendre mes affaires pour m'en aller de cette maison. Au moment de prendre mon portable posé sur la table de nuit, je remarque un morceau de papier froissé au dessus. Je le saisis et le déplie et y vois marquet un mot.

"C'était une nuit magique Louis, j'ai vraiment apprécié, et pour une de mes premiers fois j'ai fais l'amour et non 'baisé'. Tiens, pour que ce moment continue encore, je te donne ceci : 06********. Contact moi dès ton réveil, mon ange endormie." - Harry

Je souris de toute mes dents. Je suis si heureux à ce moment même que j'en oublie le pourquoi du comment. Je m'empresse d'entrer son numéro dans mon portable et de lui envoyer un message. À ce moment même, je suis tellement heureux que rien ne pourrait gâcher ma journée.

Tomlinson House's, 15h49

Je déverse toute les substances que mon corps possède dans ces foutus toilettes. Tout y passe, un large lavage d'estomac s'effectue. Et pourtant, il ne m semble pas avoir mangé quelques choses de mauvais. Çà doit sûrement être l'alcool.
- Tu vois Louis, à force de boire et de coucher à droite et à gauche, tu finis par tomber malade. Dit ma mère, plutôt énerver.
Je fais une signe que tous va bien mais elle insiste pour me conduire chez le médecin.

16h20, urgences

- Tu étais vraiment forcé de m'amener aux urgence simplement par ce que j'ai vomis?
- Louis, tu es très sensible et je ne veux pas qu'il t'arrive quelques chose de mal.

Après plusieurs heures d'attentes, et un rendez-vous aussi rapide qu'un passage au petit coin, j'ai simplement apprit que j'avais une gastro. Ce n'était pas la peine de me conduire à l'hôpital pour çà. Mais bon, c'est ma mère. Deux semaines, même moins, et je suis sur pieds.

En retournant chez moi j'avais envoyé un message à Harry. Assurément, je voulais le revoir. Il a accepté. Je suis vraiment heureux, pour une fois dans ma vie, une personne quasiment inconnu me donne le sourire. Arrivé dans la maison de mes parents, je me précipite en haut pour changer mes vêtements.
- Louis, qu'est ce que tu fais?
- J'ai.. un rendez-vous.
- Tu es malade je te rappelle.
- Mais je vais bien maman. S'il te plait ne m'en empêche pas.
- J'espère que ce ne sera pas encore un homme qui va profiter de toi.
- Sois en sur, il ne le fera pas.
- Mouais...
J'exposa mon plus grand sourire et rien qu'à mon ressentis, je pus deviner que j'avais des étincelles dans le regards.

Je me dépêcha donc d'aller à l'endroit ou nous nous étions donné rendez-vous : un petit lac à côté d'un bois. C'est vraiment magnifique. Voyant qu'il n'était pas encore la je m'assis sur l'herbe et observa la vue qui s'offrait à moi. Le lac brillait grâce au rayon du soleil. Je souris en remarquant çà quand deux mains vinrent se poser sur mes yeux. Je gloussa légèrement et me retourna. C'était bien lui. Je souris de nouveau et il s'agenouille sans rien dire, et pris posession de mes lèvres. Ses belles et douces lèvres ne faisant qu'une avec les mienne. Il y a une alchimie entre nous qui est vraiment incompréhensible. Il s'allonge dans l'herbe et me fait venir sur lui. Le baiser est tellement passionné, on dirait que nous sommes en couples depuis plusieurs mois alors que nous nous connaissons seulement depuis hier soir.

Quand le souffle nous manqua, je me recula et il caressa ma joue en me regardant passionnément.
- Tu es tellement fascinant Louis.
- Tu es une plus grande fascination à mes yeux.
Il sourit et nous remit en position assise. Nous restâmes silencieux pendant un moment, non lançant simplement de furtif regard et observant les beautés du lac. On a passé l'après midi ainsi. Et quand Harry a essayé d'ouvrir la bouche, le mouvement de ses lèvres charnues m'a attiré de trop, j'ai passer ma langue sur les miennes pour les humidifier et essayé de contrôler ma soiffe de son goût mentholé. Et nous avons finit par avoir un rapport passionné devant cette vue qui m'avait chamboulée.

Two month later, Harry's House

Nous avons finit par nous mettre ensemble, après les nombreux rendez-vous passionnés que nous nous étions donné. Le destin a été de mon côté pour une fois. Ma vie a pris un tournant si différant que j'en ai du mal à en croire mes yeux. Ce qu'il c'est produit entre nous au premier regard échangé à tout donné. Notre relation est passionné, pleine d'amour et de danger.
Mais ce matin, quelque chose d'étrange ce produisit en moi. D'étrange et d'inhabituelle. Je ressens un mal, quelque chose d'extremement douloureux, mais qui fait partit de moi. Alors que je me trouvais derrière la table en train de boire mon bole de lait, une nausé soudaine fut la cause de mon changement et je courus vite aux toilettes pour déverser le peu de substances qui se trouvaient dans mon ventre. Et Dieu sait qu'il n'y avait pas grand choses. En effet, Harry trouvait que j'avais grossis, mais j'ai évidemment remis la faute sur la nourriture, dont je suis friant. Je mange vraiment tous le temps. Manger et dormir. Sans oublié ma passion inconditionnelle pour le foot et la musique. Bien sur, je ne fait pas que manger dans ma vie.

Mais malheureusement, mes maux de ventres ainsi que mes vomissements ne cessaient guère et Harry eut peur.
- Je vais t'amener à l'hôpital bébé, je ne peux pas continuer de te voir te tordre de douleur sans rien faire.
J'hochai simplement la tête et le suivit difficilement jusqu'a sa voiture. Il ne mis pas de temps à démarrer qu'il conduisait à toute vitesse.

Quand on fut arrivé il me souleva doucement dans ses bras et me conduisit à l'intérieur de l'établissement. On attendit un moment dans la salle d'attente et Harry commençait à s'enerver. Quand le médecin arriva dans la salle d'attente Harry le fit venir.
- Alors Messieur, quel est le problème?
- Mon petit ami souffre d'un mal de ventre dont on ne sait pas la cause, est-ce possible de lui faire une échographie?
- Oui bien sur que oui, suivez moi.
Harry me prit par la main et nous suivîmes l'homme jusqu'à une salle ou un écran était positionné près du lit.
- Venez vous allonger sur le lit en remontant votre haut s'il vous plaît.
Je fis exactement ce qu'il me demandait tandis que le médecin mettait du gel sur l'echographe qu'il me plaça ensuite sur le ventre. Je fis un petit sursaut à cause de la froideur de son gel. Il le fit ensuite bouger sur mon centre en regardant l'écran. Je fixait Harry quand tout à coup, je perçus le bruit d'un coeur. Mes yeux s'ouvrirent un peu plus et j'avais arrêté de regarder Harry. Mes yeux étaient posé sur cet écran ou je pouvais entendre des battements. Comment? Je savais qu'Harry le regardait aussi. Comment est-ce possible?
- Monsieur. Vous possédez un miracle en vous.
Je ne pu empêcher mes larmes de couler. Comment est-ce possible que quelques chose d'aussi exceptionnelle m'arrive à moi? Moi qui croyez que la vie n'avait plus rien pour moi. Je me suis tromper, et bien comme il faut. Harry me pris la main, il pleurait aussi.
- Harry tu...
- Je suis tellement heureux Louis.
Je le regarda, des larmes maculant mes joues. Il se jeta ensuite sur mes lèvres et m'embrassa pleinement. Le médecin nous interrompit gentiment.
- Vous savez que c'est une chance inouïe, très peu d'homme ont eu le privilège de vivre une grossesse. Il vous faudra prendre toute les précautions possible si vous le gardez, ce que je me doute que vous allez faire. Un homme de bas n'est pas conditionné à supporter un bébé dans son ventre, mais c'est tout à fait faisable. Je vous trouverais de bon docteur qui vous suivront tous le long de cette épreuve.
La seule chose que nous fîmes après l'avoir attentivement écouté fut d'hocher la tête. Il me permit de me rhabiller et nous raccompagna à l'extérieur de la pièce. Je me tourna vers Harry et sourit.
- Tu es vraiment une exception Louis. Mon exception.
Il me souleva et me fit tournoyer dans les airs, comme dans les films, en m'embrassant.
- Je t'aime Harry.
Il me reposa à terre. Deux mois que je portes cet enfant, m'as dit le docteur. Ça date de notre première fois ensemble. Notre rencontre. Et en y pensant, je me rend compte de toute les choses qui ont changé depuis ce jours la. Je n'étais qu'un garçon minable, qui n'était rien pour personne et qui he se souciait de personne. Je vivais dans a solitude, alors je ne faisait que boire et danser pour oublier, j'enchainer les coup d'un soir sans lendemain, la plupart du temps, les hommes abusaient de moi, mais je ne disais rien, par ce que pour moi, c'était tous ce que je méritais. Mais Harry m'a ouvert les yeux et m'a fait voir d'autre horizon, faisant sortir le vrai Louis qui était caché au plus profond de moi. Et je l'aime ce Louis. Car il rend heureux Harry. Et de voir heureux Harry, me rend heureux aussi.

Une fois rentré à la maison, je me jeta dans le lit et Harry me rejoignit.
- Je n'ai pas envie de le dire à ma mère, elle va encore faire une scandale, déjà qu'elle n'était fier de moi en rien, alors la, elle va me renier directement.
- Ne dis pas çà, les femmes peuvent être imprévisibles, mais je respecte ton choix. On ne lui dit pas.
Je souris et me met de nouveau à toucher ses fossettes. Il m'a dit qu'il trouvait çà extrêmement irrésistible. Et moi, c'est lui que je trouve irrésistibles.

Quatres mois

Je suis maintenant à quatre mois. C'est du bonheur. Bon, il faut avouer que c'est contraignant, je grossis à vu d'oeil et je peux faire de moins en moins de chose. Je ne peux plus aller jouer aux foot et çà me manque tellement. Jouer à Fifa ne remplace rien. Mais c'est ainsi. Harry est au petit soins avec moi, il ne me laisse plus faire les choses trop dur ou dangereuse. J'estime que je peux faire grand nombre de ces choses, mais il est têtue. C'est Harry. J'ai hâte qu'il sorte. Ou elle. Comme çà je pourrait chouchouter ce petit bout. J'ai toujours adorer les enfant et le fait d'en avoir un par mes propres moyen m'enchante.

Six mois

Harry et moi avons pris un rendez-vous à l'hôpital pour effectuer une autres échographie pour voir si tous ce passe bien. On est encore en train de réfléchir à demander le sexe du bébé ou non. On aimerait garder la surprise mais on est tellement pressé en même temps.
Mais en attendant, Harry a apparemment une surprise pour moi. Il ne veut pas me dire ce que c'est et je dois avouer que j'ai toujours stressé pour les surprises. Mais je lui fais confiance pour çà. Je sais que ce sera quelques choses de bien.

Après avoir conduit jusqu'à un endroit qui me reste inconnu, Harry contourna la voiture pour venir m'ouvrir et m'aider à sortir. Il me tint la mains jusqu'aux bâtiments et ouvrir la porte.
- Bonjour, nous sommes le rendez-vous de 16h30.
- Bien sur, Paola va vous recevoir, vous pouvez entrer dans la loge et patienter quelque secondes.
J'harqua une sourcil et continua de suivre mon amant en silence. Qu'est ce qu'il se trame?

On entra dans une loge ou des rideau se trouver. Derrière ceux-ci je pouvais percevoir des flash. Apperemment nous sommes dans un studio de photographe.
- Pourquoi sommes-nous ici?
- Ça arrive bientôt, sois patient amour.
Je soutenais mon ventre avec mes mains et attendez comme demander. Cinq minutes environs plus tard, une jeune femme vint à notre rencontre.
- Bonjour, vous êtes Harry je présume? Demanda-t-elle à mon bouclé.
- Bien vu.
- Oh, mais vous êtes manifique. En trois ans de carrière, je n'ai jamais vu çà.
Elle me prit les mains et sourit de toute ses dents. Elle à l'air très sympathique.
- Nous allons faire de très jolies photo.
- Des photos?
- Oh, je vois que c'était une surprise, vous etes perspicace Monsieur Styles.
Ce dernier sourit et me fit un club d'oeil.
- En effet, votre compagnon a pris rendez-vous pour faire des photo, avant ainsi qu'après l'accouchement. Donc la nous aurons des photos seulement de vous et votre homme s'il le souhaite, et ensuite de vous et votre enfants.
Je souris encore plus qu'elle. On aurait pas pu me faire un plus beau cadeau.

Une semaine plus tard

- Bébé! Paola nous a envoyé les photo!
Je me précipita au salon, enfin, comme une personne enceint de six mois peut se précipiter.
- Elles sont magnifique.
Dit-il alors que je m'assis sur la chaise en face de l'ordinateur.

(S'il y a des photos ou c'est Harry enceint ou qu'on ne voit pas le ventre de Louis, n'y prenez pas garde. C'est simplement que je n'ai pas beaucoup de photo ainsi).

[email protected]

Tenez, voici les photo, elles rendent extrêmement bien, je vous souhaites que tu bonheurs, nous nous revoyons après la naissance du bébé. Bonne chance. :)




- Elles sont... magnifiques. Je n'en reviens toujours pas que tu m'es convaincu de faire celle ou nous sommes nu. Moi qui comptais les montrer à notre enfant quand il sera plus grand.
- Toute sauf celle-ci. Il se met à rire. C'est le son le plus beau et profond qu'il m'est été donné d'entendre. Je lui caresse les boucles et l'embrasse.

Huit mois et demi

Je n'ai pas vu ma mère depuis que je sais que je suis enceint. Je l'ai eu aux téléphone mais je prétextais à chaque fois une excuse pour décliner ses invitations. Mais à un mois de l'accouchement, j'ai quand même pris mon courage, me disant que tout de même, elle allé être grand mère.
Nous avons su gérer tous çà car la famille d'Harry à été d'un très grand soutient et d'un très grand aide. Anne est enchanté. Tous comme nous le sommes.

Mais à ce moment précis, je me retrouve sur le porche de ma mère, hésitant à sonner ou non. Harry attend que je fasse le premier pas, il ne me brusque pas. Une vague de confiance me submerge et j'ose sonner. J'entend des pas dans les escaliers, et la porte ne tarde pas à s'ouvrir.
- Bonjour maman.
- Bonjour madame.
- Enfin tu viens me voir.
Ma mère s'approche et me prend dans ses bras. Sauf que le mouvement de recul qu'elle effectue est tous sauf rassurant.
- Qu'est ce que...
Je deboutonne mon manteau et l'ouvre en grand, dévoilant mon ventre bientôt à terme.
- Louis mais...
- Maman, je suis enceint de huit mois...
Ma mère se cache la bouche et je peux entrevoirs des larmes arriver sur le bord de ses yeux.
- Si c'est des larmes de déception, sache que je peux partir sur le champ.
- Je ne sais pas en fait. Je suis fier mon Lou. Mais la déception ce n'est pas par ce que tu porte la vie en toi, c'est par ce que tu ne me l'a pas dit plus tôt!
Je me met aussitôt à pleurer aussi, je pense que c'est le plus beau jours de ma vie, bien sûr avant la naissance, mais de savoir que ma mère est heureuse pour moi me retourne. Tandis que nous étions en train de faire un câlin, ma mère tira Harry vers nous pour un câlin à trois.
Puis je sens du liquide sur mes jambes. Je me détache d'eux deux et regarde le sol.
- Je crois que...
- Oh Mon dieu Louis, tu as perdu les eaux.
- Je ne sens rien.
- Peu importe, il faut t'amener à l'hôpital!
Ma mère ainsi qu'Harry commence à paniquer alors que je suis tout à fait serein. Je me rend petit à petit compte que je vais bientôt voir mon petit bout de chou. Je suis tellement heureux.

Harry a conduit si vite que nous avons frôler l'accident. Heureusement, tous va bien, il ne s'est rien passé. Les contraction ont commencé durant le trajet et elles continuent et de plus en plus douloureuse.

Quand nous fûmes arrivé, on le transporta en fauteuils roulant jusqu'à une chambre d'accouchement ou Harry resta avec moi. Des sages femmes était présentes ainsi qu'un gynécologue.
- Monsieur, vous allez faire quelques choses d'extraordinaire sur cette Terre. Vous êtes un des rares hommes à pouvoir donner la vie. Allez, poussez et soufflez, si c'est trop douloureux, tenez la main de votre conjoint.
Je faisais tous ce qu'il me disait, je serrais la main d'Harry si fort, presque à en faire de la charpie.
- On commence à voir la tête, alors y, poussez encore.
A mes six mois, après l'écho ou tous ce qui c'était bien passé, nous avions décidé de ne pas savoir le sexe pour avoir la surprise.
- Allez, encore quelques coup et il est sortie.
Je continua de pousser avec les larmes aux yeux, c'est douloureux, pourquoi ai-je refusé la péridurale au fait?

Après avoir pousser de toute mes forces avec le soutien d'Harry, des cries emplirent la pièce. J'ouvris mes yeux et tourna la tête vers le docteut.
- Félicitations, c'est un garçon. Me dit-il en me passant mon fils enroulé dans une serviette. Je ne cru pas mes yeux. Je le tenais, le fils que j'ai attendu pendant neuf mois dans mon ventre, et maintenant il était la, à me regarder. Après avoir était nettoyé et qu'Harry ai couper le cordon ombilical, il ne pleurait plus. Il me regardait au contraire, avec ses grand yeux bleu vert.
- Adam.
C'est le prénom que nous voulions donner à notre fils si c'en était un.
Harry pleurait. Je lui tendis alors Adam et il sourit.
- Hey Adam.
Il se mit à gazouiller dès qu'il fut dans les bras d'Harry.
- Ma vie est un pur bonheur.

1 semaines plus tard

- Souris !
Harry me visait avec son appareil photo.
- Regarde comme vous êtes beau.
Je souris et joue avec Adam en le faisant faire l'avion.
- Il est si calme comme bébé.
Je lui fis des papouilles dans le coup et sur tous le visage pour le faire rire et voir apparaître les fossettes de son père.

- Paola m'a envoyé un mail, si on veut on peut aller faire les photos aujourd'hui.
- Je suis partant.

Après le shooting photo

- Tenez, j'ai fais développer les photo à chaque fois que je vous photographié. Je vous les enverrai par mail.
La photographe nous tendit un paquet de photos que nous nous empressons de découvrir.

Quinze ans plus tard

Louis et Harry sont toujours ensemble, ils se sont marié il y a de cela trois ans et ils vivent toujours le même bonheur constant. Entre temps, il ont eu un nouvelle emploie du temps, une petite fille à agrandit leur famille. Maria est la depuis maintenant cinq ans. Adam à quinze ans à présent, il n'est plus le petit bébé qu'ils étaient si heureux de voir arriver.

- Adam, vient ici tous de suite!
Harry a retrouvait une capote dans le sac d'Adam et il est vraiment en colère. Notre fils descend les escaliers en tapant des pieds.
- Quuuuoi?!
- Tu m'explique ce que c'est, çà?!
Adam fit les gros yeux et devint tout rouge.
- Tu es jeunes Adam, mais avant de faire ce genre de chose je voudrait que tu nous en parle. D'autant plus que tu ne doit pas faire çà avec la première fille qui passe.
- Je vous ai pas dit, mais je suis en couple...
On leva tous les deux la tête en le fixant pour lui faire cracher le morceaux.
- Il... il s'appelle Niall..
- Tu es...?
- Gay... Oui...
Notre fils qui suit notre chemin. Je suis tellement fier. Bien sur que j'aurai été heureux s'il avait aimé les filles, je ne souhaite que son bonheur, tout comme Harry, mais le fait qu'il suive nos pas me rend heureux et fier de mon garçon.
- Aheum... c'est très bien que tu te protège mon chéri.
- Je peux aller à l'école maintenant?
- Oui, vas y.
Il était partit en claquant claquant porte, comme d'habitudes et nous nous étions regarde, un sourire complice. Complice et amoureux.

- Papa, papa, je veux nous dessiner, toi et papounou!
- Oui ma chérie, bien sûr.
Harry porte notre fille sur ses genoux alors qu'elle se met à barbouiller la feuille.
- Tiens, c'est vous. Dites, pourquoi les autres gens il ont une maman?
Bien curieuse pour cinq ans.
- Et bien par ce que l'amour çà marche comme çà, mais tu comprendra tous plus tard ma puce.
Il lui déposa un baiser sur le front et j'eux droit à un manifique sourire de ma petite Maria.

Avant j'étais brisé. Avant je pensais que la vie n'avait rien de bien pour moi. J'avais meme prévue, un jours, de me la hoter. Puis un soir d'ivresse, un imprévisible soir ou mes pas de dances me firent tomber face à lui, j'ai su rien qu'en croisant ses beau yeux vert que tout aller changer. Il s'est formé quelques choses de si pur en nous.

Nous avons la vie que nous voulions depuis toujours. De magnifique enfants et un amour parfait.

Mais un jours il faut bien se réveiller.

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