Plans cul #2

La journée était enfin terminée, même si elle aura parue interminable pour un certain blond en rute qui avait dû se retenir de sauter sur sa proie toute la journée. La dite « proie » de son côté n'appréciait pas trop ce qu'elle vivait. Voir un Cuisto le dévisager constamment, les mains baladeuses sur ses cuisses alors qu'ils étaient en classe, les mains au cul forcer et presque volé à la récré. Il avait même failli le prendre dans les toilette ! Un coup dure pour le jeune Roronoa Zoro qui se sentait étrangement faible fasse à l'envie vorace de Sanji qui ne semblait pas s'atténuer. On peut le dire, il avait peur pour son fessier. Comme chaque mercredi soir, il allait se retrouver. Ce soir c'était chez le Cook, Zeff était pourtant à la maison mais ça importait peu. Ils marchaient donc pour rejoindre sa demeure, l'un était nerveux, et l'autre plutôt pressé. L'ambiance était étrangement vide, tout les deux portaient leurs sacs de cours sur une épaule, une allure non chalande sur leurs visages qui pourtant reflétaient mal leurs état d'esprit.

-Tu veux pas avancer plus vite, tête de cactus ?

-Et puis quoi encore ? Tu veux pas que je me mette à courir aussi ?

-Tiens bah pourquoi pas ? Aller bouge ton cul !

Une magnifique fessée s'abattit sur ce beau postérieur qui ne daignait pas avancer, sous le sourire conquit de son auteur.

-Mais tu fou quoi là !?

C'est les joues finement rosies que le bretteur avait attrapé violemment  le poignet un peu trop aventureux de son « ami ». C'était pas la première de la journée, mais ça commençait à l'agacer sérieusement.

-C'est bon détends toi. On est arrivés de toute façon.

Le blond sorti ses clefs et ouvrit la porte, avant qu'un couteau de cuisine vienne frôler ses mèches blondes et se planter dans le mur. Zoro avait fait des gros yeux en voyant ça, c'est Zeff qui essayait de buter son fils !? La détente qu'avait le blond en retirant l'arme du parpaing en disait long, il avait clairement l'habitude de ce genre d'attaque. « Famille de fou », pensa alors le sabreur caché derrière Sanji.

-Je suis rentré.

Fit il froidement en reposant le couteau à sa place d'origine, c'est à dire dans la cuisine où se trouvait le vieux monsieur.

-Je sais petit insolent ! Tu aurais pu faire la vaisselle ce matin en partant je ne suis pas ta boniche !

-C'est bon gueule pas comme ça vieux chnock, Zoro est avec moi.

-Oh bah ça me fait une belle jambe !

-Très drôle l'éclopé. Bon on va réviser, à toute à l'heure.

Zoro s'inclina légèrement comme pour s'excuser du dérangement et partie rejoindre le blond, sans enthousiasme.

Plus il montait les escaliers, plus il regrettait d'être là, malgré le jolie postérieur qui grimpait juste devant ses yeux, il n'était pas pour lui ce soir..
Le blond ouvrit sa porte, et invita l'autre à rentrer. Le vert passa, un regard méfiant et inquiet posé sur son rival. Il ne le sens mais alors vraiment, vraiment pas du tout. Une fois la porte claquée, le Cook attrapa dans un mouvement fluide et dynamique les poignets du vert et le plaqua face à la porte. ( voir médias pour baver un peu ). Ses mains baladeuses commençaient déjà leurs jeu, remontant le t-shirt du uke et descendant sa ceinture.

-Je suis content que tu sois là ce soir..

Affirma le blond avec une voix suave et sensuelle qui aurait pu en faire craquer plus d'un.

-La ferme ! Y'a ton père en bas, c'est  hors de question que je fasse quoi que ce so~~

Le Cook venait de s'emparer du membre du sabreur, d'une poigne ferme et pourtant délicate. Il souffla à son oreille :

-Et pourtant tu es déjà si dure..Marimo..

Ce dernier déglutit face à la vérité. Oui il était excité, et pas qu'un peu. Mais il se refusait d'accepter ça. La langue humide du Cuisto glissa sur la longueur de sa nuque, lui arrachant un doux gémissement bien caché et involontaire.

-T..Tu fais chier à faire ça ! Va droit au but pas besoin de tes manières avec moi je te l'ai déjà dis.

Le regard océan de Sanji c'était changé en un regard plus sombre et mécontent. Ses manières, il aimait les appliquer, c'était comme une façon de remercier Zoro d'être venu ou quelque chose comme ça. C'était sa façon de faire. Pourtant c'est vrai qu'il était presque interdit de montrer n'importe quel marque d'affection ou d'attachement à son partenaire. Quand Sanji était soumis, Zoro ne prenait pas la peine de faire ce genre de choses. Il le préparait vaguement puis faisait son affaire. Mais Sanji lui, voyais ça autrement. Certes c'était que pour le sexe, mais autant que ce soit agréable pour les deux alors.

-Je ne suis pas une brute comme toi Marimo ! J'aime faire plaisir.

La voix tendre du cook avec eu le mérite de clouer le bec de son vis à vis, qui paraissait de plus en plus mal à l'aise. De nombreuses fois le blond avait faillit embrasser le vert, juste par passion du moment. Mais il avait toujours réussi à s'empêcher avant de commettre cette erreur. Il le savait, si il craquait et dévorer ces lèvres qui se trouvaient juste en face de lui, Zoro n'allait pas apprécier et sûrement n'allait t'il plus jamais revenir.

-Grouille toi...

Avait soupirer le bretteur, visiblement fatigué de ce qu'il vivait. Cette façon de parler avait le dont de faire redescendre les envies de Cuisto, le laissant presque triste par ce qu'il venait d'entendre. Il relâcha doucement sa prise, remettant ses vêtements en place vaguement.

-Laisse tombé, j'ai plus envie.

Il avait pourtant luté toute la journée, pour finalement être rebuté au dernier moment. Même Zoro semblait frustré si on en croit la tête qu'il tirait, toujours appuyé contre la porte.

-T'es sérieux ? Tu m'as fais chier toute la journée pour ça ?

-Ouais.

-Tss. Je ne suis pas venu pour rien, Sanji.

Le vert se rapprocha du lit où avait fini par s'étaler le blond, montant sur ce dernier avant de se retrouver à califourchon sur ses hanches.

-Qu'est-ce que tu fous ? Je t'ai dis que je n'avais plus envie.

-Et bien moi, si.

Les douces hanches de vert ondulaient sur celles de son nakama, compressant son magnifique postérieur sur la bosse naissante en dessous du pantalon noir du Cuisto . Cette sensation était divine, le blond adorait ça et visiblement Zoro le savait. Ils connaissaient chacun les points faibles de l'autre, sachant parfaitement où taper pour faire flancher la victime. Le bretteur s'abaissa, plongeant dans le cou du Cuisto. Il souffla lentement de l'air chaud de sa respiration, frôlant cette peau pâle du bout de ses lèvres avant les posées délicatement et de l'embrasser, y glissant même sa langue brûlante.

-À~ à quoi tu joues !? On a dit pas de « petites attentions »!

Ses joues avaient fortement rougis, il était extrêmement sensible à son cou, mais surtout ..

-Argh!~

Ses lobes d'oreilles que venait de s'emparer le vert à l'aide de ses dents fines. Une vague de chaleur envahit alors son pauvre corps qui se faisait violence pour ne pas céder au bassin du vert qui continuait toujours ses mouvements. Ce dernier releva alors son visage, qui fut bien proche de celui du blond.

-Oses me dire que tu n'aimes pas ?

Ses yeux océan c'était figés, l'assurance du vert était tellement contradictoire avec ce qu'il avait dit juste avant. Et pourquoi cette envie de l'embrasser lui était revenue d'un coup!? Ses lèvres étaient si proche, si belles et si désirables. Elle semblaient pourtant se rapprocher, comme si elles étaient attirés l'une vers l'autre sans que personne ne remarque cette douce avancée. Le blond déglutit, il allait franchir la ligne rouge si cette bouche aguicheuse ne s'éloignait pas de lui dans les secondes qui suivent. Il fixait ardemment cette zone de fantasme, tandis que ses mains avaient remonter le long du corps du vert qui avait désormais cessé de bouger pour se concentrer sur les agissement du blond. Sa main se perdit dans la chevelure du Marimo, le forcant à descendre plus vers lui, encore un peu, toujours plus prêt. Jusqu'à que la main du bretteur s'abatte sur les lèvres entre ouvertes de Sanji.

-J'en était sure.

-D-De quoi ?

Le vert  avait déjà commencer à se relever et préparer ses affaires pour sortir de la chambre.

-Ne me retouche plus jamais.

Il claqua la porte, laissant Sanji à moitié relever sur son lit l'air dépité. Mais qu'est-ce qu'il avait essayer de faire !? Zoro l'avait tellement chercher.. c'était juste pour le piéger ? Mais où était l'intérêt de faire ça ?

-Putain de Marimo de merde ! Tu fais chier !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top