Poème 3
Le soleil s'en va doucement
Dans les tréfonds de l'âme
Qu'aspire peu à peu la candeur
Du rire d'un enfant mort
Et la solitude de l'existence
S'allourdit durant les siècles
Où est le ciel bleu quand la nuit le recouvre ?
Les oiseaux cessent de chanter lorsque le vent se lève
Un train s'enfuit déjà
Dans les lourds pleurs de mes pensées amères
Me laissant seule sur le quai
De l'automne d'une vie que j'aurai voulu ne pas mener
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