Commende de Yachaki 
Oc Boy X Amour Endiablé
Lay X Chiaki Lemon

{J'espère que tu vas aimer. Désoler d'avoir mis du temps, mais c'est mon premier lemon gars x gars, mais pas mon premier tout court. Bref. J'avais la scène du lemon en tête, mais pas la situation autour. Enfin voila, J'espère que tu aimeras.

Bonne lecture !!!!}

PDV Externe.

Dans un café, un jeune homme aux cheveux rose est concentré sur une tablette marquant plusieurs statistiques, des tableaux ainsi que des diagrammes en bandes, à lignes brisées, ou encore circulaires. Tous sont illustrée de légendes assez compliquée parlant de budget, de l'écart entre chaque mois.... De la logistique en sois. La jeune personne remonte ses fines lunettes carrée avant de retournée à sa tache ardue. Mais une jeune femme vient interrompre les réflexion de notre jeune homme.

"-Excusez-moi, voici votre frappuccino monsieur. Est-ce que je peut juste vous demandez votre nom afin de vous le noter sur votre boisson ?

-Oh, ouais. C'est Lay. 

-Bien Lay. En revoir.

-En revoir."

Dès que la jeune serveuse s'en va, notre chère Lay retourne alors à sa comptabilité mais c'est sans compter la jeune femme qui viens souvent vers lui afin de savoir si "rien ne lui manque". 

PDV Lay.

Bon, elle me gonfle la serveuse là. Pourquoi elle reviens tout le temps c'est agaçant. Un coup c'est pour savoir si je ne re-veut pas quelque chose, un autre c'est pour savoir, si le soleil ne me gène pas un autre, pour savoir si je veut qu'on abaisse mon parasol. Je vais vraiment pâté un câble si ça continue.

Et la re-voila. Bon stop. Je cherche pas de mannequin. Le défiler c'est pas pour moi.

"-Re-bonjours monsieur Lay, vous êtes sur que le soleil ne vous gêne pas ? J'ai crue voir les rayon se refléter dans votre tablette.

-Bon, écouter. J'en ai marre que vous veniez à chaque fois me demander des choses futiles. Si vous voulez vraiment me demander quelques chose, dites le moi. Parce que la moi j'en peut plus." Je me pince l'arrête du nez au fil de ma réplique, montrant mon énervement. Mais visiblement, soit, elle s'en fout, soit elle est aveugle. Que ce soit l'une ou l'autre, elle se paie ma tête. Ça me gave. 

"-Oh, et bien, si vous le prenez comme ça, oui j'ai bien quelques chose à vous demandez. Je vous vois souvent ici à la même table, et.....ça fait un moment que je vous regarde .....et.....

-Bon, vous allez le dire oui ?

-Je peut avoir votre numéro ?

-Mon.....numéro ? Ha ! Elle est bien bonne. Alors, vous m'avez gaver tout le début de l'après-midi simplement pour me demander une chose aussi futile que mon numéro ?! Et bien, vous auriez pus vous épargner tous ces efforts.

-Parce que vous allez me donner votre numéro ?" La serveuse avait d'un coup des étoiles d'émerveillement dans les yeux me faisant monter mon agacement , plus vite que le démarrage d'une 800 chevaux. Tch. mais qu'est-ce qu'elle crois.

"-Alors la certainement pas. Faut pas rêver. Désoler pour vous, mais je ne suis pas attiré par les filles. Et puis, sincèrement, après votre cinéma, je doute qu'un homme 100% hétéro vous le donne. Il deviendrait complètement fous plutôt  à cause de tout ce cinéma. En revoir." Je laisse alors la serveuse avec son visage ressemblant plus à un merlan frit qu'autre chose, me faisant bien ricaner avant de sortir du bâtiment, ayant déjà payer en prenant ma boisson.

Je marche alors dans la ville cherchant un cadeau pour Chiaki, boisson et tablette en main, et regarde toutes les devantures des magasins, mais aucun ne semble vraiment me donner la coup de cœur. Mais, ne regardant pas ou je vais, ce qui devait arriva. Je percute alors un passant au téléphone et alors le contenue de ma boisson se retrouva renverser sur mes vêtement.

"-Putain, mais vous pouvez pas faire attention ?

-Non mais dit donc jeune homme, c'est vous qui marchiez sans regardez devant-vous ! 

-Non mais je rêve ! C'est qui, qui gueule comme un putois à son téléphone ? Vous me devez le pressing.

-Alors la clairement pas. Si vous le voulez bien, j'ai un rendez-vous."

N'en pouvant plus, je lâche ma boisson par terre, coince ma tablette entre mon dos et mon pantalon avant de le prendre par le col de sa veste et de le rapprocher de moi, le faisant légèrement se pencher en avant dus à mon mètre 63, bien plus petit que cet idiots.

"-Vous allez me payer le pressing, sinon, je vous jure que le costume que vous porter pour votre réunions se retrouveras ornée par ce qui reste de la boisson. Alors ?

-Bien, tenez." Il chercha alors dans son porte feuille afin de me donner un billet. Mais manque de chance pour lui, il sorti une liasse de billet, surement pour m'impressionner avant de m'en donner qu'un seul, mais je fut plus rapide. Je lui pris directement la liasse des mains avant de lâcher son col de ma secondes mains.

"-Et bien, monsieur, je vous remercie pour ce geste." Je n'attends pas plus ce qu'il me dit et m'en vais dans une nouvelle boutiques cette fois-ci de fringues pour m'acheter de nouveaux habits à me mettre que ceux imbibés de frappuccino. Je me rends dans la première boutique et me prends un débardeur serré blanc, un haut noir à grande manche, parce que même si il y a du soleil, on est en mi-octobre et il fait froid. Un jean noir avec des taches blanche qui font croire à de la peinture, trouée un peut partout sur les jambes mais avec 2 trous plus grands sur les genoux et une paires de brettelles qui sont indépendantes entres elles. Et demande un sac à un vendeur afin de mettre mes anciens fringues dedans.

Je me rends en caisse et paie avant de me mettre dans une cabine d'essayage afin d'enfiler mes nouveaux vêtements. Le débardeur blanc en dessous du haut noir, mon jean et mes brettelles. Dont une que je laisse pendre sur mon pantalon et une autre que fait tomber sur mon bras au-lieu d'être mis sur mon épaules, puis remet mes bottes à talons. Je prends soin aussi de récupérer ma tablette et sort du magasin. Quand je regarde le ciel, je vois que le soleil n'est plus très haut. Je déverrouille mon téléphone afin de regarder l'heure et voit que j'ai un message de Chiaki.

"J'ai vue que tu n'était pas au penthouse aujourd'hui. Tu es ou ?

Je suis sorti en ville, je revient vite, le temps de trouver quelques chose."

Je n'attends pas sa réponse, me rappelant qu'il doit avoir une réunion aujourd'hui, même si je ne sais plus l'heure exacte. Je range alors mon téléphone dans ma poche arrière, reprends ma tablette en main, parce que c'est pas pratique pour marcher si je la coince dans mon pantalon, et finit de regarder les devantures des magasin. Je finit enfin par trouver une belle cravate suscitant mon intérêt. Je rentre dans le magasin et appelle un vendeur.

"-Excusez-moi monsieur, je voulais savoir si la cravate que porte le mannequin est disponible ou bien si c'est juste un model d'exposition.

-La cravate hein ? la noir ?

-Non la bordeaux s'il vous plait.

-Et bien laisser moi vous dire que c'est un excellent choix. Si je puis me permettre, il est pour quelqu'un ?

-Oui, pour celui qu'j'aime. Vous pourriez la mettre dans un étui et l'emballez s'il vous plait ?

-Oui bien sure. Tenez.

-Merci, je vous doit combien ?

-Cela fera 40 euros.

-Très bien voici. En revoir."

Je n'attends pas la réponse du vendeur et sort vite fait voyant qu'il commence à faire nuit. Je re-regarde l'heure et voit qu'il est 18h00 passé. Je vois que j'ai encore un message de Chichi comme aime l'appelée Minami et lui réponds.

"Tu es rentré ? Moi je rentrerais tard, ma réunion est en train de s'éternisée.

Non pas encore. Je passe chez le pressing et je rentre.

Chez le pressing ?

Une longue histoire. Je te parlerais de tout ça de vive voie. Et puis, c'est pas bien d'envoyer des message pendant ta réunion.

Tu me donne des ordres maintenant ?

Heu.....non......?

Trop tard pour t'excuser. Tu verra ce soir c'est qui qui donnera les ordres."

Je ne prends pas la peine de répondre à son message, ne sachant pas trop ce que je pourrais bien dire. Et surtout, sentant mon corps commencer à s'exciter. Je me dirige vite dans le pressing près de l'hôtel et tends au gérant mon sac plastique ou se trouve mes ancien vêtements. Il me demande alors de payer avant et je lui donne la somme requise.

Je file ensuite vite fait dans l'hôtel et me rends dans la chambre que je partage avec Chiaki, afin de me passer un bon coup sous le jet d'eau froide, ne voulant pas rester dans cet état le temps de l'attendre. Ce serait bien trop long. Mais c'est sans compter ma malchance que je croise Minami.

"-Oh, Lay, j'était étonner de ne pas te trouver en présence de Chichi quand il est parti ce matin.

-Oh ouais, j'avais des trucs à faire.

-Hum...je vois.

-Bon, si tu permet, je vais dans ma chambre.

-Tu sais, il ne vas arriver tout de suite. Alors je te conseil de passer sous l'eau." Me dit cet idiot avec un air plus que douteux et mielleux alors que je lui tournait le dos. Heureusement d'ailleurs que j'était déjà dos à lui, car sinon, il aurait déjà remarquer mon visage plus que rouge suite à sa phrase.

"-Tch." Une fois dans la chambre, je range la tablette, dans ma chambre et enlève mon débardeur ainsi que mon haut avant de me souvenir que le paquet de Chiaki est toujours la. Alors, je sort torse nu et me rends dans sa chambre afin de le poser sur sa table de nuit. Je me retourne pour me rendre dans la salle de bain adjacente à ma chambre, mais me retrouve bloquer par quelque chose. Le corps de mon homme.

"-Chiaki ! Tu m'a fait peur. J'pensais que tu rentrerais tard. Je m'attendais pas à te voir ici maintenant.

-Oui, ma réunion c'est écourtée.

-D'accord....mais...." Me souvenant alors pourquoi je me dépêchait pour aller dans la douche j'essaie de sortir  de sa chambre, mais Chiaki met ses bras autour de mes hanches.

"-Tu crois aller ou comme ça ?

-Et bien.......a la douche ?" ma réplique fonctionnant plus comme une interrogation, ne sachant pas moi même si cela est vraiment la raison. Mais essaye-je de m'en convaincre ?

"-Hum, non je ne pense pas. Nous avons plus important à faire. Viens la. Ah ? Tu as encore mis tes lunettes ? Tu sais que tu n'en as pas besoins. Moi j'aime tes yeux rouge et rose. Ne les cache pas.

-Oui mais-

-Non pas de mais. Allez viens la."

Sans pouvoir riposter ou dire quoique ce soit -mais en ai-je vraiment envie ?- Il me reprit par les hanches, se mettant derrière moi et me dirigea en direction du lit, afin de m'y allongé.

"-Si je me souviens bien, je doit te montrer qui est le plus apte à donner des ordre. Et ta punitions viens de s'alourdir.

-Hein ? Mais pourquoi ?

-Tu es rentrer dans ma chambre. Ce qui veut dire que tu m'attendais, et tu as essayé de t'éclipser.

-Hein mais...." Je voulais contester, mais mon manque de contre-argument m'en empêchant, de plus, sentant mon érection me faire légèrement mal, due au manque de place dans mon pantalon, je ne pouvais que céder à mes pulsion, me poussant à accepter chaque parole et acte venant de mon homme.

Mais mes pensée furent interrompue, quand je sentie une pression sur ma masculinité. Chiaki, venant de poser sa main dessus.

"-Et bien, je constate que tu n'y met pas beaucoup de résistance. Es-tu bien contre ?"

Je tourne la tête de coté, ne voulant pas lui répondre, sentant malgré moi, des rougeurs apparaître sur mes joues. Son sourires s'allongea alors et il vient se mettre au-dessus de moi, se tenant sur ses genoux, et se mains se mit de chaque côtés de ma tête. Les quelques mèches de ses cheveux de devant virent caresser mon front. Ses lèvres vinrent se poser sur les mienne, alors qu'il passa ses mains sous mon dos et viennent se poser sur mes fesses qu'il se mis à presser sous mes gémissements.

"-C'est ça, gémis, pour moi et personne d'autre.

-Personne......ah....d'autre......comment ça ?......ah...

-Lorsque ma réunion c'est terminer, les personnes présentes n'ont fait que de me parler de toi. A croire que c'est avec eux que tu es.

-Ah.....jamais......c'est avec....hu..... toi que je suis...hum....et je ne voudrais être avec personne........d'autre."

Il enleva alors rapidement mon pantalon, me laissant en caleçon avant de balancer mon jean dans un coin lambda de la pièce, ses vêtements prirent alors le même chemin. Il se re-pencha sur moi, m'embrassant avec une nouvelle fougue, comme pour se prouver que je ne suis qu'a lui, et rien qu'a lui. Une de ses mains quitta rapidement mon fessier, avant de se retrouver sous mon dernier vêtement, appuyant doucement sur mon membre, avant de le prendre bien en main, me faisant ressentir mille et une sensations d'un plaisir indescriptible mais ô combien addictif. En combinant ce qu'il me fait ressentir plus bas, ses baisers ou il arrive à me faire tourner la tête, me faisant oublier toutes notions de réalité, et son autre mains, s'occupant de mon torse, Il me fait clairement tourner la tête. Sans un mot, il retire son caleçon et prends une de mes mains, la dirigeant sur sa masculinité, me faisant passer par le regard de m'occuper également de lui. Se donner ainsi du plaisirs mutuellement est toujours aussi jouissif. Autant pour lui que pour moi. Sentant un puissant gémissement venir franchir la barrière de mes lèvres, j'embrassa Chiaki, étouffant mon gémissement entre nos lèvres. Ma cadence sur son membre se faisant de plus en plus irrégulière, il m'arrive de ralentir, mais je repart plus vites juste après. Notre plaisirs dura un certains temps. Je suis tellement absorber par mon désir et celui de Chiaki, que je ne saurais même pas dire au bout de combien de temps, je vient, suivit de Chiaki. Il me ré-embrassa une énième fois avant de me lever les jambes, de sortes à ce qu'elles soit sur ses épaules.

"-C'est embarrassant.....

-Mais ce n'ai pas la première foi Lay.

-Oui, mais ça l'ai toujours...

-Ne t'inquiète pas, je vais te faire ressentir les plus belles sensations, que la gène vas vite partir, noyer dans le plaisirs que je vais t'offrir."

Il me fit un énième baisers avant de venir s'enfoncer en moi, sous mes nombreux gémissements.

"-Ah...Chia-Ah...Chiakiii !

-C'est ça, oublie ta gène et abandonne toi à moi, comme toutes les nombreuses fois ou nous l'avons faits.

-Je-ah- Je t'aime Chiaki !

-Moi aussi je t'aime Lay !"

Je sens Chiaki s'enfoncer de plus en plus en moi, me faisant éprouver un plaisirs indescriptible. J'en perd la tête. Ne pensant plus à rien qu'au désir immense que j'éprouve pour l'homme au dessus de moi. Soudain, il se rapproche de moi, amplifiant la position de mon corps, augmentant ainsi les sensations.

"-Ah !!!! Chiaki !!! Je t'en supplie ! Ah

-Hum ? Tu veut... que j'aille plus vite ??

-Ah !!!"

Sur ces dires, il accéléra la cadence de ses coups de reins, ne me laissant pas le temps de rajouter quoique ce soit, m'obligeant à m'accrocher à lui. Notre acte dura un moment, ne pouvant dire combien de temps exactement, étant trop perdue dans les limbes du plaisirs. Mais ce que je suis sur, c'est qu'a la fin, je ne pouvais plus bouger, étant épuiser de part notre activité.

"-Je t'aime Chia-Chiaki.

-Moi aussi. Dors, je crois que tu en as bien besoins."

Je reçut une dernier baisers de sa part avant de m'endormir, épuiser.