Point de vue extérieure :

Tōka à 19 ans, sa mère est en voyage d'affaires. Elle et son beau-frère n'étaient pas proches, ils s'entendaient très bien, mais ne parlaient pas beaucoup en privé. Tōka descend les escaliers jusqu'à la cuisine après que son alarme l'ait réveillée, elle est vêtue d'un petit short noir et d'un débardeur gris clair. Ses cheveux bruns de longueur moyenne étaient légèrement en bataille à cause du sommeil et retournés d'un côté dans une partie latérale.

Elle a ouvert le garde-manger pour prendre une boîte de céréales, mais avant de fermer la porte du garde-manger, elle sent quelque chose de dur se presser contre ses fesses et des mains lui agrippent les hanches. Ses yeux s'écarquillent et elle tourne rapidement la tête pour regarder par-dessus son épaule, voyant son beau-frère enfoncer sa bite dans son cul couvert.

Oh mon dieu, oh mon dieu... pensa-t-elle et comme s'il lisait dans ses pensées, un sourire narquois lui tira les lèvres.

Hikaku : Tu aimes ça, petite salope ? Elle l'entendit dire agressivement.

Elle gémit et la boîte de céréales tomba de sa main, heureusement fermée, sans déborder. Puis une forte claque sur ses fesses la fit crier.

Hikaku : Eh bien ? Regarde-toi, petite salope. Je parie que tu ne peux même pas réfléchir en ce moment. La seule pensée dans ta tête est que ma bite remplisse tous tes trous de salope. Sa voix était rauque et légèrement moqueuse. La dégrader en la traitant de pute. Il se pencha plus près, une de ses mains attrapa sa nuque alors qu'il lui murmura à l'oreille. Vas-y dis-moi ce que tu penses.

Et sans pouvoir résister, elle lança sa réponse d'une petite voix.

Tōka : Baise-moi...

C'était tout ce qu'il avait besoin d'entendre, sa main quitta son cou alors qu'ils attrapaient sa taille et l'éloignaient du garde-manger et de la table de la cuisine. Il utilise un bras pour tout pousser vers l'avant, suffisamment pour leur laisser de l'espace avant de plaquer le haut de son corps dessus. Penché sur la table comme s'il s'agissait d'un porno de belle-famille, ce qui... C'est un peu... oh, de qui je me moque ? C'est exactement le cas.

Des mains rudes saisissent la ceinture de son short, le tirant vers le bas sans se soucier du monde. Tōka jure qu'elle les entend déchirer. Maintenant, sa chatte lui est nue. Elle était principalement rasé, une partie décente du pubis avait la même couleur que ses cheveux sur son monticule.

Hikaku : Pas de culotte ? L'interrogea-t-il avec un rire sombre, lui donnant une fessée sur la joue droite.

Son visage est d'un nouveau rouge pourpre foncé. Puis elle sent les mains s'éloigner complètement d'elle, la sensation ne dure pas longtemps car elle entend le bruit d'une ceinture et de vêtements tombant sur le sol. Il prend sa bite semi-dur dans sa main, la pompe quatre fois avant de la guider vers les lèvres de sa chatte.

Le pré-sperme dégoulinant lubrifiant son trou sans le savoir, Tu aimes ça ? Tōka l'entendit murmurer d'un ton cruel. Elle ne fait pas confiance à sa voix, alors elle utilise un petit hochement de tête pour lui répondre.

Hikaku : Bonne salope... C'est la dernière chose qu'elle à entendue avant que la bite ne la frappe d'un seul coup, ce n'était pas énorme.

Un coq de taille moyenne. Mais c'était épais et chaud. Et pour sa chatte vierge, c'était comme le plaisir le plus péché et le plus obscène qu'elle ait jamais enduré. Utilisant ses hanches comme levier, il se jette sur elle à un rythme rapide et brutal. Ses mains serrent ses hanches galbées pour son âge avec une force brutale, provoquant des ecchymoses sur la peau. Mais sur le moment, c'était presque engourdi par rapport au plaisir que Hikaku lui remplissant la chatte de son incroyable bite.

Fin.