The Geek And The Popular (Larcel) 🍋
Partie 2 de cet OS avec un petit lemon des familles. J'espère que ça vous plaira bisouuus 💙💚
Non corrigé désolé.. J'essaye de le corriger bientôt.
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Pdv Louis :
Alors que nous sommes sur la moto au milieu du trajet, je sens les bras de Marcel se serrer un peu plus en m'entourant fermement.
-Tout va bien ? Je demande inquiet en criant légèrement à cause du bruit de la moto et du vent.
-Oui.. Dit-il d'une voix fébrile.
Je sens qu'il a peur. Je lâche alors une mains du guidon pour la poser sur l'une des siennes qui m'entourent en la caressant de mon pouce.
-Ça va aller je te le promet.. Je lui dis en remettant ma mains sur le guidon.
Je le sens alors se détendre petit à petit en se calant plus confortablement, relâchant la pression.
Le trajet se passe sans embûches. Une fois arrivé devant chez Marcel, je constate que nous habitant à 2 minutes à pieds l'un de l'autre.
Il descend de la moto non sans galèrer. Il perd l'équilibre en tombant par terre et je le retiens de justesse par les hanches en le collant à moi.
-Oops, fais attention. Je ris alors que son visage pivoine se cache contre mon torse.
-Désolé.. Dit-il cramoisi.
-C'sst rien t'inquiète. Je dis en le gardant sans mes bras, aimant un peu trop l'avoir si près de moi.
-Ça te dis que je vienne te chercher demain matin ? On habite à 2 minutes à pieds l'un de l'autre alors si tu veux tu peux venir direct chez moi le matin ou je peux passer te récupérer en moto mais par contre ça nous fera un léger détour. Je lui explique alors que ses yeux s'ouvrent de plus en plus au fur et à mesure de mon monologue.
-Oh, euh, je-je veux pas te déranger. Dit-il en essayant de se reculer alors que je resserre mon emprise autour de sa taille pour le plaquer encore plus contre mon torse.
Je redresse son visage avec mes deux doigts pour qu'il me regarde enfin.
-Si je te le propose c'est que ça ne me dérange pas. J'aime bien ta compagnie et puis ça serait cool qu'on apprenne à ce connaître tous les deux depuis le temps qu'on est ensemble à l'école. Alors passe chez moi demain matin à 7h30, je t'envoie l'adresse. Je lui dis en demandant aussi son téléphone pour que je puisse lui donner mon numéro.
Il me le passe non sans être maladroit. Il me fait vraiment craquer, j'aime beaucoup sa compagnie, j'aime beaucoup sa timidité, j'aime énormément ses fossettes et je crois que je veux vriament apprendre à le connaître. Marcel me plaît.
Une fois fait je me renomme "Mon motard préféré ❤️". Je le vois alors rougir et il m'envoit un message pour que je puisse enregistrer son numéro.
Sans que je ne mis attende il prend mon téléphone pour lui même se renommer.
-"Ton petit intello ❤️" ? Ça me va. Je dis avec un grand sourire alors qu'il est lui même surpris de son audace.
Il hoche doucement la tête en baissant les yeux. Nous nous disons au revoir et sans pouvoir me retenir je lui plaque un baiser sur sa joue. Il rougie encore plus qu'avant, comme si c'était possible, et bégaye des au revoir incompréhensible tout en reculant lentement vers la porte de sa maison. Une fois qu'il se retrouve plaqué contre il l'œuvre en vitesse en la claquant.
Je reste choqué mais hilare devant cette situation qui est digne d'un dessin animé mais je ne peux pas m'empêcher de le trouver super mignon.
Je pars alors en soupirant de bohneur direction chez moi.
👓👓👓
Plusieurs semaines sont passées depuis que j'ai ramener Marcel chez lui en moto.
Il vient tous l'amène tous les matins et je le ramène tous les soirs.
Une sorte de rituel c'est installé le matin. Il rentre chez moi pendant que je finis de me préparer en faisant mon sac et en débarrassant avec ma mère.
Ma mère d'ailleurs apprécie beaucoup Marcel et je pense qu'elle se doute qu'il me plaît.
Parce que oui, en quelques semaines Marcel m'a totalement rendu gaga. Je lui donne de petites attentions, comme des mots doux ou des gestes attentionnées. Il rougis à chaque fois en bagayant des paroles incompréhensibles.
Ce matin je me réveil totalement en retard. J'ai peut-être oublié de mettre un réveil et je suis réveillé par une sonnette qui ne fait que sonner.
Je dévale les escaliers en vitesse, sachant que ma mère n'est pas là ce matin puisqu'elle à commencé à 5h.
Une fois devant la porte, je la déverrouillé et l'œuvre précipitamment.
Je vois alors Marcel, portant mon pull que je lui ai donné quand il s'est fait emmerdé par Tyler, ses autres vêtements habituels, ses cheveux pleins de gel et ses grosses lunettes.
Il me regarde comme un merlan frit, les joues rouges en me détaillant de la tête au pieds, et je comprend après quelques secondes pourquoi.
Je suis en caleçon, avec une gaule matinal très présente, les cheveux en bataille et la tête dans le cul.
J'écarquille les yeux en posant instinctivement mes deux mains sur mon penis en érection.
-Hum..euh,je-euh... Salut. Bégaye-t-il plus que gêné.
-Désolé, j'ai pas mis mon réveil, la sonnette m'a réveillé, j'arrive dans 5 minutes bouge pas. Je lui dis en commençant à partir mais je me stoppe. Et-euh entre hein, fait comme d'habitude. Je lui dis avant de courir dans les escaliers.
Je claque la porte de ma chambre en me frappant la tête contre celle-ci. Comment je peux être aussi con ? Il va me prendre pour un obsédé sexuel.
Je ne prend pas plus le temps de m'appiyoyer sur mon sort que je pars m'habille avec un skinny noir et un sweat de la même couleur. Je me brosse les dents en vitesse et je ne prend pas la peine de me coiffer. De toute façons avec les casque de moto...
Je redescend alors en essayant de ne pas me casser la gueule et je vois Marcel en train de ranger la cuisine.
-Mais qu'est-ce que tu fais ? T'as pas à ranger laisse je le ferai en rentrant viens on va être en retard. Je lui dis alors qu'il acquiesce simplement.
Je ferme la porte à clef et me dirige vers ma moto. Je monte dessus suivit de Marcel qui s'accroche à moi. Il met son casque et entoure ensuite mes hanches de ses bras. Je démarre et c'est parti pour aller au lycée.
Une fois arrivé, je me gare sur le parking et je vois que nous sommes en retard de 5 minutes. Marcel est à deux doigts de pleurer.
-Je suis vriament navré Marcel, viens. Je lui dis en prenant sa petite mains dans la mienne.
Je l'entraîne alors dans le lycée en courant et nous nous mettons à hurler de rire dans les couloirs déserts du bahut. Le rire de Marcel résonne dans mes oreille alors que nous montons les escaliers. Il me supplie de ralentir alors je me retourne pour le porter en sac à patate sur une de mes épaules en courant encore et encore jusqu'à notre salle. Marcel me tape le dos en m'ordonnnant de le faire descendre. Il essaye d'aborder une voix sérieuse mais explose de rire en pleins milieu de sa phrase.
Une fois arrivé devant la salle je le dépose à terre en douceur alors que nous nous remettons de notre fou-rire. On toque à la porte mais personne ne répond. Je re-toque encore mais toujours rien. Je décide d'appeler Zayn pour savoir pourquoi il n'y a personne dans la salle.
Il me répond en me disant que nos cours du matin sont annulés parce que les profs ont eu une réunion importantes à la dernière minute.
Je me réjouis de cette nouvelle alors que Marcel souffle un bon coup, soulagé de ne pas être en retard finalement.
-Bon.. Qu'est-ce qu'on fait ? Me demande-t-il en me regardant.
-Ça te dit de se faire un ciné ? Je lui demande.
-Oui si tu veux. Il me répond avec un grand sourire alors que je ne peux m'empêcher de mettre mes deux index dans ses fossettes.
Marcel rougit énormément face à mon geste mais aborde un grand sourire laissant voir ses belles dents et faisant ressortir encore plus ses fossettes.
Je le prend par la mains et nous faisons le trajet inverse, toujours en courant parce que sinon c'est pas drôle.
Une fois à la moto je tend le casque à Marcel et direction le cinéma.
Une fois arrivé au cinéma, Marcel regarde les affiches et à du mal à se décider.
-Tu veux regarder quoi ? Je lui demande en le fixant avec sa mine concentré.
-Je sais pas du tout, choisi toi. Il me dit.
Je regarde tous les films à l'affiche et j'opte pour "My Policeman".
Nous nous séparons alors pour que lui aille chercher les places et moi la nourriture.
Alors que je commande des pop-corn et autres sucreries du genre, j'entends du raffut un peu plus loin.
Je vois alors Tyler en train d'intimider Marcel, qui lui se recroqueville contre lui-même.
Je m'excuse auprès de la vendeuse et pars en courant voir Marcel. Alors que je suis en chemin pour le sauver, je vois la scène qui me rend fou de rage.
Tyler qui met une claque sur les fesses de Marcel et en les lui empoignant de pleines mains.
-Sale fils de pute, t'es mort ! Je hurle en me jetant au cou de Tyler.
Commence alors une bagarre entre lui et moi.
-Pourquoi tu m'as oublié pour ce petit intello de merde hein ? T'as pitié de lui avoue-le, c'est pour ça que tu te le tape sauf que tu sais très bien qu'avec moi le sexe sera toujours meilleur qu'avec un p'tit coincé de merde. Dit-il alors qu'un vigile vient nous séparer.
-Mais t'es malade ou quoi ? De quoi ça te regarde notre relation avec Marcel et je te permet pas de parler de lui comme ça et encore moins de le toucher surtout sans son consentement !! Gros porc, je te souhaite de crever sous un pont! Je hurle dans tout le cinéma, n'ayant plus aucune limite.
Je cherche alors Marcel du regard, mais ce que je vois me brise la cœur. Marcel sanglote en triturant les manches de mon/son pull.
Je profite que le vigile me lâche pour accourir et prendre Marcel de mes bras.
Il ne répond pas à mon étreinte à mon plus grand étonnement.
Je le regarde alors avec incompréhension et je vois de la peur dans son regard. Et aussi beaucoup de tristesse.
-Hey, Marcel.. Je lui demande avec mes yeux.
-C'est vrai ce qu'il a dit, hein ? Enfaîte tu t'es bien foutu de moi ! Je n'étais qu'un stupide pari de merde pour m'avoir dans ton lit !! Je te déteste !! Pourquoi moi ? Y'a tellement mieux. Et dire que je pensais sincèrement que tu voulais qu'on devienne ami.. même plus qu'ami.. Il déballe au bout du rouleau.
-Mais qu'est-ce qu'il t'as raconté ??! Je n'ai jamais joué avec toi Marcel, je t'apprécie vraiment, tous ces moments passés avec toi me font un bien fou, je-je t'-
Un vigile vient m'attraper pour me virer du cinéma ne me laissant pas finir ma phrase.
Je reste 5 minutes devant le cinéma comme un con. Je ne comprend pas. Pourquoi pense-t-il que je joue avec lui ? Marcel n'a tellement pas confiance en lui qu'il n'arrive pas à concevoir que je puisse être intéressé par lui autrement que pour un vulgaire pari.
Putain.
Je suis amoureux de Marcel.
Ni une ni deux, je repars en courant dans le cinéma. Je vois mon Marcel assis sur un des bancs disposés dans le cinéma. Je cours vers lui. Je m'accroupie à sa hauteurs.
-Louis ? Questionne-t-il avec toute l'incompréhension qu'il puisse éprouver.
-Marcel. Je dis en prenant son visage en coupe.
Je m'empresse de déposer mes lèvres sur les siennes dans un chaste baiser. Marcel a un mouvement de recul mais se ravise bien assez vite me faisant sourire contre ses lèvres.
Voyant qu'il ne me repousse pas je commence à bouger mes lèvres contre les siennes sensuellement. Marcel est maladroit dans ses gestes et attrape mon pull dans ses mains qu'il sert allègrement.
J'attrape délicatement sa lèvre inférieure pour pouvoir donné l'accès à ma langue.
Quand nos langues se trouvent et se lancent dans une dance endiablée, ce sont des milliers de papillons qui s'envolent dans mon estomac. Marcel remonte ses mains pour venir aggriper mes cheveux, approfondissant notre baiser. Je descend alors mes mains à la découverte de son corps et je m'arrête à ses hanches que j'aggripe amoureusement et tendrement.
Notre baiser dure plusieurs minutes je pense. Marcel prend un peu plus de confiance et réussi à tenir le rythme.
A bout de souffle nous nous séparons et je pose mon front contre le sien.
-Je t'aime Marcel, comme un fou et de savoir que tu as pu pensé que je me fiche de toi m'a rendu dingue. Ai confiance en moi, que je puisse te prouver chaque jour que je t'aime, que-que je suis amoureux de toi. Marcel Styles.. Veux-tu devenir mon petit ami ? Je lui déballe tout les larmes aux yeux tellement que j'ai eu peur de le perdre.
Marcel a l'air totalement perdu alors que je le regarde droit dans les yeux. Faites que ça soit réciproque.
-Louis- je-je t'aime. Fin oui je veux être ton-ton p-petit a-mi. Begaye-t-il alors que je souris comme jamais.
Je le rembrasse alors et nous repartons du cinéma parce que oui, j'ai quand même été viré et si le mec de la sécurité revient, je suis dans la merde.
Nous marchons alors main dans la main jusqu'à ma moto avec Marcel et je ne peux m'empêcher de passer les trois-quarts du trajet à le regarder. Une fois arrivé à la moto je ne peux m'empêcher d'aggriper les hanches de mon petit ami et de le faire asseoir sur la moto. Marcel me regarde dans l'incompréhension mais je m'empresse de l'embrasser à pleine bouche. Il paraît surpris mais répond quand même au baiser après 3 secondes. Je l'embrasse de partout en découvrant son corps de dieu. Je passe mes mains sous mon/son pull mais je le sens directement se raidir.
Je me recule alors en le questionnant du regard.
-Je-hum... Pfffff-euuuh.. Ramène moi chez moi s'il te plaît. Dit-il.
-Quelque chose ne va pas ? Je lui demande en prenant son visage en coupe.
-Tout, tout va bien. Il faut juste que je rentre. Dit-il en claquant un chaste baiser sur mes lèvres pour me rassurer.
Ça ne me rassure d'ailleurs pas du tout. Je ne comprend pas ce changement d'attitude soudain. Pourtant je m'exécute et nous partons alors en direction de chez lui.
Quand je me gare, il descend rapidement de la moto et part sans dire un mot.
Je le rattrape alors par la main pour venir le prendre dans mes bras.
-Je t'aime. Je lui dit tout bas.
-Moi aussi je t' aime mon motard préféré. Répond-il en gloussant alors qu'il semble être rassuré.
Il me sert fort contre lui et je me sens bien. Vraiment bien.
Au bout d'un moment nous nous séparons et Marcel rentre chez lui non sans que je lui vole un dernier baiser.
Quand je rentre chez moi 2 minutes après je me rend compte que Marcel a oublié son sac dans le coffre de la moto.
Je décide de faire le chemin inverse.
Une fois devant sa maison je toque, et c'est sa mère qui m'ouvre. Elle me laisse entrer et je monte à la chambre de Marcel dans laquelle je ne suis jamais allé.
Je m'apprête à frapper, mais je me stop en entendant des gémissements.
J'écoute plus attentivement et je me rend compte que merde, Marcel est en train d'écouter un porno gay !
J'entrouve la porte pour être sûr de mon hypothèse et je ne m'attendais vraiment pas à ça...
Marcel regarde son ordinateur avec incompréhension en tournant sa tête sur le côté et en fonçant les sourcils, puis après il plisse les yeux en regardant l'écran, outré de ce qu'il vient de voir.
Note à moi même, Marcel n'aime pas le prono gay.
Je referme délicatement la porte et toque alors comme-ci de rien était.
Je l'entends fermer son portable d'un coup et des pas arrivé jusqu'à la porte.
Quand Marcel ouvre la porte et me voit, il devient rouge comme une pivoine. Je prend alors ma voix la plus naturelle possible, comme si je n'avais rien vu, rien entendu.
-Tiens, t'as oublié ton sac dans le coffre de la moto. Je lui tend le sac.
-Oh-hum, merci. Dit-il en l'attrapant.
J'ai vraiment l'impression que Marcel se sent pas bien, il a l'air de se mettre un pression monstre pour je ne sais quoi
-De rien, c'est normal bébé. Je lui répond pour le rassurer.
Je me penche alors pour cueillir ses belles lèvres. J'aime un peu trop son contact. Sans que je m'y attende Marcel saute en passant maladroitement ses jambes autour de ma taille.
Okay...
Je le réceptionne en passant mes mains sous ses cuisses. Le baiser devient de plus en plus charnel. Marcel prend les devant sauf que mon coco, je suis Louis Tomlinson, et je domine. Alors je ferme la porte de mon pied et le plaque contre celle-ci.
Il gemit, et ce son est de loin la plus douce des mélodies à mes oreilles.
Je remonte mes mains de ses cuisses jusqu'à ses fesses que je commence à malaxer et je descend mes baisers dans son cou. Je suis dur comme de la pierre et je me frotte sans gêne contre lui.
Je sens mine de rien que Marcel essaye de cacher sa gêne. Je le sens se tendre parfois mais il continu.
Ce forcerait-il ?
Je lâche délicatement Marcel en le reposant par terre, tout pantelin.
-Mais, mais qu'est-ce que tu fais ? Me demande-t-il en remettant bien ses lunettes.
-Tu te force et je ne sais pas vraiment pourquoi. Mais Marcel, on a le temps. On est ensemble que depuis aujourd'hui, on a échange notre premier baiser il n'y a même pas 1h et nous venons de nous avouer nos sentiments aussi.
Je t'assure que j'ai envie de toi, je dis en desigant la bosse dans mon pantalon qui le fait rougir de plus belle, mais je sens bien que tu n'es pas prêt à t'abandonner à moi et à me donner autant pour l'instant et sache que je le respecte entièrement. Alors le jour où nous passerons cette étape, tu seras prêt pour de vrai. Je lui dis en prenant son visage en coupe. Pourquoi tu te met autant la pression ? Pourquoi tu te presse? Je lui demande en l'embrassant chastement mais amoureusement.
-Je-je sais pas, les gens en couples font se genre de choses alors je pensais que tu voulais que... Il sanglote.
-Mais non Marcel. On est pas obligé de le faire, et encore moins quand t'es pas prêt. Je lui dis en le serrant dans mes bras et en caressant ses cheveux.
-Mais-mais toi tu l'as déjà fait avec des garçons.. Alors que moi.. Me confie-t-il vraiment triste.
-Et alors ? Ce n'est pas parce que je l'ai déjà fait avec d'autres qui n'avaient pas d'importance que je vais ne pas être stressé avec toi amour. Je serai probablement autant stressé que toi d'être celui avec qui tu fais ta première fois. Et puis comme je te l'ai dis avec les autres ça n'avait pas d'importance donc je m'en foutais pas mal mais avec toi c'est différent parce que tu compte pour moi, parce que je t'aime, et parce que tu es toi, Marcel Styles. Je lui déballe tout.
-Mer-merci Louis. Me dit-il alors que nous nous prenons dans les bras comme si nous avions peur que l'autre disparaisse.
Nous restons comme ça pas mal de temps à parler de tout et de rien, à se voler des baisers, à se taquiner, et même à faire une bataille de coussins. J'ai malheureusement dû rentrer pour ranger la maison avant que ma mère arrive. Elle est infirmière et elle travaille comme une malade, alors j'essaye de l'aider un maximum.
Je dis au revoir à mon petit ami et part donc de la maison.
Une fois rentré, je fais mes petites affaires, part faire mes devoirs, mangé avec ma mère une fois qu'elle est rentrée et part me coucher non sans échanger quelques messages avec Marcel.
Le lendemain matin, je me lève (pas en retard), je me prépare tranquillement et de très bonne humeur. Je me fais plus beau que d'habitude. Je met un skinny noir ainsi qu'un polo gris. Je m'applique à bien coiffer ma mèche et je me met du déodorant et je me parfume.
J'enfile, pour une fois, des baskets blanches et je pars rejoindre ma mère.
-Bon matin mon chéri, me dit-elle en embrassant ma joue, ooh, tu sens bon et tu es tout beau.. Me dit-elle en levant ses sourcils de manière suggestive. N'aurais-tu pas après 17 ans d'existence, quelque chose à me dire.
Parce que oui, je n'ai jamais ramené personne à ma mère. Je j'ai jamais eu autres que plan cul. Même pas de rencard. Alors c'est sûr que ma mère n'a pas l'habitude de me voir si apprêté.
-Il se pourrait qu'un certain garçon ait volé mon cœur de pierre. Je lui avoue sur le ton de l'humour.
-S'il te plaît Louis, dis moi que c'est Marcel. Me supplie-t-elle.
Avant que je ne puisse répondre, la sonnette de la porte se fait entendre. Je cours jusqu'à celle-ci et l'ouvre à la hâte. Je prends mon amoureux dans mes bras et je regarde ma mère avant de l'embrasser chastement.
-Tu as ta réponse 'man. Je lui dis tandis qu'elle sautille de joie.
-Bon les garçons, vous avez bien une petite dixaine de minutes avant de partir alors venez voir maman et belle maman ! S' exclame ma mère plus heureuse que jamais.
Marcel devient tout rouge. Je le prend alors dans mes bras et lui prend la main pour le guider dans la cuisine vers ma mère.
-Oooh Marcel si tu savais comment je suis contente que tu ais pu conquérir le cœur de mon fils. Dit-elle d'une voix mielleuse alors qu'elle le prend dans ses bras.
-Oh hum et bien, moi aussi ? Répond-il hésitant.
-Je n'aurai pas accepté autre garçon que toi, avoue-t-elle fermement, de toute façon depuis le début je vois bien que tu plais à mon fils. Et oui, une maman ça sait tout. Elle dit la dernière phrase à mon égard.
-C'est super gentil Joanna. Dit sincèrement Marcel.
-Mais c'est normal mon ange. Tu rends mon fils heureux depuis bien des mois, c'est normal que je t'apprécie et que je ne veuilles que toi dans la vie de mon fils. Bon allé, filez les tourtereaux !!
Nous nous exécutons alors, et partons de la maison.
Quand nous arrivons au lycée, je prend immédiatement la main de Marcel dans la mienne et je l'emmène dans le bâtiment.
Nous arrivons devant Zayn qui tient par les hanches Niall, qui est dos contre son torse et qui lui embrasse le cou, ce que fait glousser ce dernier.
J'ai vite fait arrêté ma jalousie envers le faux blond quand j'ai vu ces deux là se parler pour la première fois le joue de l'arrivée de l'irlandais. Ils ont ressentis le coup de foudre.
Quand nous arrivons vers ses deux là, ils relèvent la tête en même temps vers nous et s'arrêtent à nos mains liées.
-Ne me dites pas que c'est pas vrai... Commence Zayn.
-LARCEL IS REAL!! S'exclame une voix derrière nous qui nous fait sursauter.
Nous nous retournons pour voir Liam hurler dans le couloir comme un malade un sourire énorme plaqué sur son visage. Marcel rougie alors de plus belle comme une tomate.
Nous parlons alors tous ensembles et nous apprenons que Niall et Zayn se sont mis ensembles hier, soit, le même jour que Marcel et moi.
Nous allons donc en cours et malheureusement je ne suis pas à côté de mon amoureux...
Au bout de 30 minutes de cours, la prof intervient alors que deux élèves ne font que discuter.
-Tyler ! Dylan! Arrêtez de parler immédiatement ! D'ailleurs Tyler, vient te mettre à côté de Marcel ! Cris la prof que j'ai actuellement envie de trucider.
Je vois alors le sourire de Tyler s'agrandir.
-Avec plaisir m'dame. Dit-il alors que Marcel est clairement en train de mourir sur sa chaise.
Et merde ! Il faut que je fasse quelque chose, je peux pas laisser ce fils de pute approcher mon Marcel.
-Madame ? Est-ce que je peux allé à l'infirmerie ? Je lui demande en posant une mains sur mon front et en prenant une voix fatiguée.
-Qu'est-ce qu'il vous arriver Tomlinson ? Demande-t-elle étonnée.
-Je sais pas, j'ai super mal à la tête et je me sens pas bien. Je vois alors le visage de mon petit ami se retourner et me regarder avec inquiétude.
-Très bien allez-y. Quelqu'un pour l'accompagner ? Demande-t-elle à la classe.
Marcel lève immédiatement la main. Sa réaction m'attendri, il est près à louper une partie du cours parce que je ne me sens pas bien.. Il est adorable et connaissant Marcel, je dois vraiment compter pour lui pour qu'il accepte de louper du cours.
La prof l'y autorise et je rejoins donc Marcel.
-Hé ça va Lou'? Il demande quand nous sommes dans le couloir en posant une main sur mon front.
-Oui je vais très bien même. Je souris.
Marcel ne semble pas comprendre alors qu'il me toise du regard.
-J'allais pas laisser ce fils de pute rester à côté de toi pendant toute la fin du cours. Je dis, répondant à son regard interrogateur.
-Mais..
-Je n'ai rien bébé, je vais bien. Je dis en prenant sa main.
Il s'approche de moi et m'entoure de ses petits bras en posant sa tête contre mon torse, visiblement soulagé que je n'ai rien.
-Ouf.. Tu m'as fais tellement peur.. Je t'aime Louis. Avoue-t-il et je devine son état précédent d'inquiétude.
-Moi aussi je t'aime mon bébé. Mais faudrait qu'on aille dans les toilettes si on veut pas se faire prendre. Je lui dis.
-Okay.. Il soupire de bohneur.
Nous allons alors dans les toilettes des mecs et je décide de nous enfermer dans une cabine. Marcel devient rouge pivoine en voyant notre proximité dans un endroit si étroit.
Je le plaque doucement contre le mur et l'attrape par la taille et commence à l'embrasser. Marcel pose alors ses mains sur mon torse pour enfin entourer mon cou de ses bras. Le baiser devient de plus en plus chaud et je ne peux empêcher mes mains de descendre sur ses fesses qui sont à damner un saint. Je les prend en main et Marcel pousse un léger gémissement. Il semble s'en rendre compte et coupe court au baiser en mettant ses mains devant sa bouche.
-Qu'est qu'il y a ? Je demande choqué qu'il est arrêté ce moment magique.
-Je-j'ai.. Enfin-hum.
-Gémis ? Je demande.
-Oui.. Dit-il honteux en baissant le regard sur ses doigts qu'il torture.
-Hé Marcel regarde moi, je lui dis en relevant son visage, c'est normal tout ça, c'est normal de ressentir ce genre de sensation.
-Mais Lou'.. Je-Fin t'as été mon premier bisous et mon premier copain, tout ça c'est inconnu pour moi.. J'ai-je.. J'ai jamais fait des trucs aussi.. Dit-il le regard fuyant et les joues rouges.
-Saches que je suis ravi alors d'avoir été ton premier baiser Marcel et encore plus d'être ton premier copain. Et tu sais, je me doute que si je suis ton premier copain et que c'est avec moi que tu as échanger ton premier baiser, tu es encore vierge. Je lui dis avec un sourire espérant qu'il se détende.
-Lou' tu comprends pas.. Je ne me suis jamais-jamais touché.. Il chuchote alors que je ne suis pas sur d'avoir bien entendu.
-Tu ne t'es jamais.. Jamais branlé?? Je demande choqué.
Il fait non de la tête en baissant les yeux. Alors c'est pour ça qu'il regardait le porno comme si c'était une girafe qui enculait un éléphant..
Je le prend alors dans mes bras en le rassurant et en lui chuchotant des mots doux.
-Quand tu seras prêt, je serai ravi d'être le premier à te montrer tous ces petits plaisir. Je lui dis en le regardant droit dans les yeux.
👓👓👓
La fin de cette journée c'était plutôt bien passé. Nous sommes revenus en classe après la sonnerie pour reprendre nos affaires et sommes allés à nos autre cours.
Ça fait maintenant 2 semaines que nous sommes ensemble avec Marcel, c'est clairement l'amour fou entre nous. Le seuls petits bémols sont nos moments intimes. Pour faire court, il n'existent pas. À part nous rouler des pelles, qui plus est sans mains baladeuses parce que je n'ai pas osé depuis la fois au toilettes, il ne se passe rien. Je ne peux pas lui en vouloir de ne pas être prêt et je comprend totalement ça alors je ne lui fais pas et ne lui ferai jamais de reproches la dessus. Mais bon quand même ! Ma mains droites commence à ne plus me suffir. Parce que oui, à chaque fois que Marcel par de chez moi après un bon gros roulage de patin, je pars me branler dans ma chambre, trop excité par son corps, ses lèvres et tout ce qui le constituent.
Bref, on est vendredi et Marcel passe son week end chez moi. Première fois que nous allons dormir ensemble et j'ai hâte mais j'appréhende un peu surtout. J'ia peur d'avoir, comme on dit, une bonne grosse érection, ou alors pire, une bonne grosse gaule matinale. Et je n'ai même pas penser à un des nombreux rêves érotiques que je fais de Marcel me chevauchant.
Je sors de mes songent par la sonnerie de notre dernière heure de cours. Marcel est déjà devant mon bureau à attendre que je range mes affaires.
-J'ai hâte de passer le week end avec toi Lou'! Dit-il avec un grand sourire faisant ressortir ses belles fossettes.
Je suis un peu choqué que Marcel soit autant excité de dormir chez moi, en temps normal il aurait plutôt été gêné... Bizarre.
Bref, je ne m'attarde pas plus dessus et range mes affaires dans mon sac et nous partons du bahut.
Le trajet en moto se passe comme d'habitude sans embûche.
Une fois arrivé devant chez moi, la moto garé dans le garage, Marcel m'arrête alors que j'allais pour en sortir.
Il me saute littéralement dessus. J'ecarquille d'abord les yeux, pas habitué ce genre de comportements de sa part. Mais je répond quand même au baiser au bout de quelques secondes et je ferme mes yeux pour savourer ses lèvres si pleines et si rose.
Je dépose Marcel sur la moto et je l'embrasse à ce plus de ferveur que d'habitude.
Après plusieurs minutes, je me décalé légèrement de ses lèvres pour poser mon front contre le sien alors que je le regarde.
Une vision parfaitement bandante s'offre à moi.
Un Marcel, les yeux vitreux, les lèvres humides et rouges vif dû à notre échange brutal et les joues rosies.
-Je-On devrait rentre, ma mère va sûrement se demander où nous sommes. Je lui dis, toujours aussi choqué de son initiative.
Il hoche seulement la tête comme réponse. Nous nous dirigeons alors main dans la main dans la maison. Nous disons bonjour à ma mère qui est assise sur le canapé. Puis nous montons dans ma chambre. J'indique à Marcel de poser son sac sur le bureau.
-Tu veux prendre ta douche en premier ? Je lui demande.
-Non vas-y toi. Me dit-il en s'asseyant sur mon lit.
-Okay.. Je lui répond en prenant pour pijama, seulement un bas de jogging.
Je pars alors à la douche, je me lave les cheveux et en sort une dixaine de minutes plus tard.
Une fois de retour j'indique à Marcel qu'il peut y aller.
Pendant que Marcel est sous la douche ma mère vient me voir pour me dire qu'elle part travailler car, malheureusement, elle travaille de nuit ce soir. Je lui fait un gros bisous et elle toque à la salle de bain pour prévenir Marcel et lui dire au revoir. Il répond et elle part.
Nous nous retrouverons donc seuls avec Marcel ce soir...
Après 20 minutes, j'entends Marcel sortir de la salle de bain. Je suis sur mon téléphone et je ne fais donc pas attention à son entrée dans la pièce.
J'aurais peut-être dû.
J'entends Marcel se racler la gorge et là... Je fais un infarctus. Et je blague pas hein. Il est tellement... Tellement tout.
Les cheveux mouillés qui sont apparemment de nature bouclés, ses grosse lunettes retombant un peu sur son nez et ses jambes nu qui sont un peu camouflé par mon sweat qui lui arrive à hauteur mi-cuisse. Je beugue complètement en le voyant. J'ai la bouche entre-ouverte et je le regarde, non je le bouffe de mes yeux devenus noirs de désir.
-Tu peux dire quelque chose hein. Ris Marcel de nervosité.
-Waw. Est là seule chose que j'arrive à sortir de ma bouche.
Marcel part se réfugier dans mes bras sur le lit alors que je suis encore choqué de la vision que j'ai devant moi. Nous sommes alors couchés sur le lit, Marcel sur moi.
Je perd encores plus mes esprits quand je vois le pull remonté au dessus des fesses de Marcel, abritant une culotte en dentelle rouge vif.
Okay je meurs.
-Je-j'ai envie de toi Lou', je veux que tu me fasse l'amour, maintenant. Enfin, si je te plaît habillé comme ça. Avoue-t-il timidement.
-T'es sur bébé ? Je veux pas te brusquer. Et sache que tu me rends dingue habillé comme ça. T'es tellement beau mon amour.
-Oui je suis sur Louis, je t'aime, je t'aime de tout mon cœur et c'est à toi que je veux donner ma première fois et je me livre à toi entièrement. Me dit-il alors qu'à cet instant je ne pourrai plus l'aimer.
Je l'embrasse alors, un baiser lui montrant tout mon amour pour lui, pour ce garçon qui me rend fou. Je l'aime comme un dingue et je suis tellement heureux et ému qu'il me fasse assez confiance pour me donner sa première fois. Je ferai en sorte qu'elle soit parfaite.
Notre baiser devient de plus en plus chaud et copi celui que nous avons changé tout à l'heure dans le garage. Marcel est à califourchon sur moi, son bassin se cognant parfois aux miens par accident. Mais rapidement, les coups deviennent voulus et parfaitement contrôlés.
J'empoigne les fesses de Marcel par dessus sa petite culotte et je frotte allègrement son érection contre la mienne.
Je remonte mes mains sous mon pull qui lui va si bien et j'attrape de mon pouce et mon index ses tétons durcis.
Marcel gémit contre ma bouche mais cette fois-ci, il n'est pas gêné. Je continu la douce torture sur ses tétons alors qu'il commence à défaire le nœud de mon jogging. Au moment où il commence à le descendre, je nous retourne de façon à suplomber Marcel tout en ne lâchant pas nos lèvres affamées.
Je lâche le tétons de Marcel pour venir lui retirer son haut. Il se retrouve alors en petite culotte devant moi et mon sexe durcit de plus en plus.
-T'es magnifique mon amour.. Je lui susurre en venant mordre son lobe d'oreille.
Pour seule réponse Marcel rougie en venant me serrer contre lui. Il profite que je dois allongé contre lui pour me retirer mon jogging.
Une fois que nous sommes tous les deux en sous vêtements, je capture de nouveau les lèvres de Marcel. Je devi alors mes baiser jusqu'à sa machoir et descend un peu plus dans son cou. Je commence alors à le marqué de suçons, les uns plus gros que les autres. Je me nourris alors des gémissements de mon petit ami qui sonne comme une douce mélodie à mes oreilles. Je pourrais l'écouter nuit et jour.
Une fois satisfait des marques que envahissent maintenant son cou et la jointure entre celui-la et son épaule, je descend encore plus mes baisers en passant par son torse que j'embrasse avec passion et m'attardant une nouvelle fois sur ses tétons que je torture non pas avec mes doigts mais avec ma langue et ma bouche.
-Han, Lou'! Crit-il en se cambrant sous ma langue experte contre son téton.
Je continu quelque instant ma douce torture et descends encore mes baisers jusqu'à son bas ventre où je peux apercevoir son sexe pulser a travers sa culotte en dentelle rouge.
Je vais pour retirer sa culotte quand Marcel me stoppe.
-Attends Lou', je veux te le faire à toi. Me dit-il gêne mais déterminé.
-Tu es sûr amour ? Tu n'es pas obligé. Je lui dis en caressant sa joue avec ma main.
-Je le veux vraiment. Me dit-il téméraire.
Je me place alors sur le dos et Marcel vient se caler entre mes jambes. Je ne sais pas si il le fait exprès mais putain il se met à quatres pattes devant ma queue enfermé dans mon boxer cambrant bien son dos me laissant apercevoir son cul gigoter dans l'air, toujours habillé de sa petite culotte.
Il vient donc baisser mon boxer. Il l'a regarde avant de déglutir bruyamment. Il commence par la prendre en main en la bralant très lentement. Il s'arrête alors en me regardant.
-Lou', je sais pas faire... J'ai peur de te faire mal ou de ne rien te faire ressentir... Me dit-il soudainement triste.
-Hé, t'en fais pas bébé. Prends la juste dans ta main en la serrant fermement et commence à faire des vas et vient avec ton poignet en le tournant légèrement de temps en temps quand tu remonte. Je lui explique le plus clairement possible.
Il acquiesce seulement et commence alors en appliquant ce que je lui ai dit.
Et oh putain.
Marcel a un don je crois.
Il effectue alors les mouvements en étant très concentré.
Je jète alors ma tête en arrière en fermant les yeux et en gémissant le nom de mon petit ami. Sans que je m'y attende il commence à me sucer avidemment.
Ça peut pas être la première fois qu'il fait ça. C'est trop bon, beaucoup trop bon. Marcel enchaîne alors les gorges profondes et putain de merde mon petit ami à une véritable bouche à pipe. Il n'a aucun réflexe nauséeux et prend tout. Oui TOUT.
Perdu dans les limbes du plaisir, je ne me rend pas compte que Marcel exécute les mêmes mouvement que je lui ai expliquer plus tôt sur lui.
Marcel se touche pour la première fois, devant moi, en me suçant. Suis-je au paradis ?
Au bout d'un moment me sentant trop proche de jouir, je fais signe à Marcel d'arrêter ce qu'il fait.
-oh, pardon ! C'était pas bien c'est ça ? J'ai mal fait ? Oh je suis désolé Lou'.. S'inquiète-t-il.
-Non c'était parfait amour, juste je ne veux pas jouir maintenant. Je veux dabord te faire l'amour. Je lui dis le rassurant. C'était super ce que tu viens de faire. Je le rassure un peu plus.
Il esquisse alors un léger sourire.
Je nous replace alors dans la position précédente, Marcel sous moi. Je prend dans le tiroir de mon chevet, un préservatif et du lubrifiant.
-Okay bébé, je vais te préparer pour que t'ai moins mal quand je vais te pénétrer. Mais vu que c'est ta première fois t'auras quand même au début une sensation très désagréable d'étirement et de brûlure mais ça va passer. Je dis tout en lubrifiant mes doigts.
-Okay.. Dit-il à moitié rassuré.
Je pousse alors mon doigt contre son anneau de chair en effectuant des petits ronds autour et je rentre petit à petit mon doigt à l'intérieur. Marcel grimace un peu mais me fait signe de continuer, après plusieurs secondes, je rajoute un deuxième doigt.
Apres avoir bien préparé Marcel de mes doigts pendant plusieurs minutes et qu'il est maintenant bien étiré, j'enfile le préservatif et me lubrifie. Je pose mon gland devant son entré.
-Près mon bébé ? Je lui demande fixant son regard au mien.
-Oui. Répond-il fermement.
Je m'enfonce alors lentement dans l'antre serrée de Marcel. Je le vois grimacer et serrer des dents tout du long.
-Ça va bébé ? Tu veux que je me retire. Je demande soudainement inquiet le voyant fermer fortement ses yeux et en serrant ses cuisses qu'il maintient de ses mains.
-N-non.. Ça va aller. Dit-il difficilement.
J'attend alors quelques secondes avant de bouger en lui. Je me retire d'abord en ne laissant que mon gland a l'intérieur de lui et je me renfonce en lui d'une forte poussé le faisant voir les étoiles.
Marcel est absoluement magnifique comme ça. Je recommence mon manège jusqu'à qu'il ne ressente plus que le plaisir de mon sexe qui entre et sort de son anneaux de chair.
Je commence alors à faire des vas et viens de plus en plus forts et brutaux en lui. Et putain j'ai déjà envie de jouir en le voyant. Marcel tient ses jambes par les cuisses pour m'exposer son trou, il a les cheveux en pagaille sur le coussin, ses yeux plissés de plaisir et sa bouche ouverte qui lâche des gémissement en rythme avec les bruits du claquement des mes couilles contre ses fesses. Cette scène est tellement obscène à mon plus grand plaisir. Dans mes coups de reins je donne à Marcel un peu plus de mon amour pour lui.
Apres plusieurs minutes à le pilonner comme un affamé, je sens les jambes de Marcel tremblées, il est tout proche et moi aussi. Je décide de prendre sa queue en main en la branlant sans merci, sa queue est rouge, gorge de sens et son gland est humide de liquide pré-séminale. Je continue mes coups de reins en rythme avec mes coups de poignets et faisant jouir Marcel qui relâche tous les muscles de son corps, lâchant ses cuisses qui tombe à plas sur le lit comme tous ses membres. Je jouis quelques secondes plus tard à la vue de ce moment plus qu'érotique.
Je prend instantanément Marcel dans mes bras une fois mon orgasme passé en lui chuchotant des mots doux.
-Je t'aime Louis.. Je n'aurais jamais cru pouvoir aimé quelqu'un comme je t'aime toi, tu m'as sauvé et tu m'as révélé. Je suis heureux avec toi alors merci de me rendre heureux.
-Moi aussi je t'aime mon Marcel, tu m'as donné foi en l'amour et tu m'as donné ta confiance que je garde précieusement auprès de moi et je te montrerai que toute ma vie, je ne brisierai pas cette confiance et je te donnerai tout l'amour du monde et plus même. Lui dis-je plus qu'heureux d'avoir Marcel dans ma vie.
Fin
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#7280 mots.
Je me suis lâchée les gars, j'ai jamais écrit autant mais j'espère que cette deuxième partie vous aura plus.
N'hésitez pas à me donner vos avis car moi j'ai kiffé écrire du Larcel, dites moi si vous voulez aussi que j'en écrive plus.
Voilà bisouuus bonne nuit 💤
Tpmk <33
L. Xx
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