OS BORA (SISTAR)
Cet OS est dédié au frère de Zaki_ra avec comme personnage Bora des SISTAR. (premier garçon à me demander un OS, quel honneur)
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Un coup de feu retentit dans les airs, claquant contre les murs bétonnés du chantier abandonné au cœur de la ville métropolitaine endormie.
-Aiden... t'es sérieux, là ?
-Y'a pas plus sérieux que moi en ce moment.
-Mais j'allais le descendre et toi tu...
-Chuuut. Ne dépense pas ta salive pour un gars comme moi. Savoure par la vue, admire mon talent.
En effet, je venais d'exécuter un sale type qui avait descendu un riche avocat père de famille, et je l'avais fait dans l'art et la manière d'un vengeur sans pitié. Accroché comme un cochon à l'abattoir par les quatre pattes, tiré à quatre épingles, j'avais joué à "qui ne saute pas n'est pas tué". Ma phrase préférée quand, les balles rentrant une par une dans le corps de ma victime, ce dernier connaissait de multiples soubresauts dus aux nombreux tirs que je lui infligeais.
-Tu ne changeras donc jamais !
-Bora, s'il te plaît. Contente-toi d'agiter ton joli petit minois sous mes yeux et... tais-toi. Tu es plus jolie quand tu ne t'énerves pas, surtout pas contre moi. Si c'est contre quelqu'un d'autre, je trouve ça plutôt... sexy. Voire excitant.
Indignée, mon acolyte descendit les escaliers de fer en faisant claquer ses talons sur les marches. Même sur le terrain, elle mettait un point d'honneur à être à la mode. Charmante, cette fille. Je n'avais pourtant rien demander à mon boss mais apparemment, j'étais bien vu pour avoir cette bombe entre les mains.
-L'équipe de nettoyage va se charger du corps, nous filons pour une nouvelle mission. Tiens, c'est maintenant que j'y pense : ils n'en ont pas marre de tes gamineries lors de tes missions ?
-Ils sont habitué, mon ange.
-Tu leurs donnes du sacré fil à retordre.
-Si ce n'est que ça.
J'approchai mon visage à quelques centimètres du sien, découvrant mes dents en étirant mes lèvres d'un sourire empli de sous-entendus. Bora soupira une énième fois, comme à chaque fois qu'elle me trouvait...
-Impossible. Tu es vraiment impossible à supporter.
Voilà. C'était son mot préféré. Je courus jusqu'à la voiture et ouvris la portière côté passager pour jouer au gentleman bienveillant. La tête baissée, j'aperçus ses pieds dans ses ravissants Louboutin effectuer un 90° pour faire le tour de la voiture et s'asseoir au volant de ma Maserati que je chérissais plus que mon mini-moi. Chaque homme à ses propres valeurs.
-En voiture, James Bond.
-Oh, je suis flatté.
-Bientôt tu baiseras toutes les filles de la soirée où nous nous rendons.
-Est-ce que tu fait parti du groupe de mots "toutes les filles" ?
Bora freina un sacré coup au milieu de la route, heureusement il n'y avait personne à ses heures tardives de la nuit. Elle se retourna complétement vers moi et approcha sa bague de mon cou.
-Non non non ! Pas la... paralysie... temporaire...
-Petit insolent. Maintenant, tu te tiendras tranquille.
Complétement avachi sur mon siège, dépourvu de toute volonté physique à cause de la paralysie qu'elle avait occasionné avec son petit bijou électronique (bijou est le cas de le dire), je me contentais de me retenir de baver contre le cuir de la portière puisque je n'arrivais plus à fermer la bouche. C'était assez humiliant, surtout quand vous avez une fille échauffée à côté de vous qui conduit en mini-jupe et en décolleté, plongeant presque jusqu'au milieu du ventre. Madame ayant la flemme de se changer après la première mission, elle avait choisi de revêtir sa tenue de sex-bomb avant de quitter notre QG. Je n'avais opté aucune résistance, ne valait mieux pas.
Mes yeux m'auraient brûlé vif, eux qui voulaient assouvir leur soif oculaire chaque jour un peu plus.
Nous arrivâmes en quelques temps devant l'un des buildings les plus célèbres de la métropole. Bora stoppa la voiture à quelques mètres de l'entrée, voulant dissimuler la voiture et éviter d'éveiller les soupçons. Mais surtout... attendre que je reprenne des forces. Ca prenait un sacré temps à s'en remettre de cette connerie. En attendant, elle sortit de son sac à main son rouge à lèvres Chanel pour en remettre une petite couche puis un peu de eye-liner, soulignant son regard de killeuse qui empochait de nombreux cœurs d'un seul regard. Sauf le mien ; je n'étais là que pour la faire chier. Parce qu'elle se croyait plus intelligente alors que la plupart du temps, j'étais quand même celui qui trouvait les solutions.
Ou pas.
-C'est bon ? T'es ok ?
-T'aurais pas dû appuyer si fort. Ca a pris plus de temps que prévu.
-Plus de temps que prévu ? Tiens, ça sonne comme si tu avais l'habitude.
-Vas-y, rigole.
Nous sortîmes du véhicule alors qu'elle continuait de ricaner. Je lui tirai la langue puis nous nous engagions sur le trottoir pour rejoindre l'entrée. J'ajustai mon nœud papillon puis glissai une main baladeuse sur le pare-chocs de ma coéquipière.
-Retire cette main où je l'accroche sur la cheminée dans ton bureau, cloutée par le majeure debout comme un soldat au garde-à-vous. Un peu comme ce qu'il y a dans ton pantalon en ce moment.
J'enlevai ma main en baissant ma tête pour vérifier mon entre-jambe. Bien sûr, ce n'était qu'une blague de mauvais goût. Bora entra en usant de ses charmes mais bien sûr, je fus refusé.
-J'accompagne mademoiselle.
Les vigiles à l'entrée se tournèrent vers Bora qui haussa les épaules en disant qu'elle ne me connaissait pas. "Sale garce", murmurai-je en grinçant des dents. Il ne me restait plus qu'à passer par une autre entrée. Je descendis les marches quatre à quatre, ne voulant pas perdre de temps. Ce que nous faisions souvent, c'est une course qui opposait elle et moi à propos de qui sera le plus rapide à terminer la mission. Nous devons agir en duo, mais la fierté et surtout l'égo vaut bien plus que l'esprit d'équipe.
En faisant le tour de l'immeuble, j'aperçus la porte d'où sortaient les agents de nettoyage du building. Je sautai par au-dessus le muret d'un mètre soixante-dix je dirais (ok, à ce stade c'est presque un mur mais bat les couilles, je l'ai traversé quand même), puis traversai la petite cours jusqu'à la porte. Comme il y avait une petite fête sympathique qui battait son plein à l'intérieur, il y avait sûrement quelqu'un qui se chargeait de vider les poubelles régulièrement.
Comme je l'eus prédit, un homme arriva et lança un sac poubelle noir dans la grand poubelle verte. Je l'attrapai par derrière et plaquai le mouchoir imbibé d'alcool à dormir sur son nez et sa bouche pour l'endormir et étouffer ses cris. Puis je me chargeai de le déshabiller et de cacher mes vêtements dans un coin sombre pour pouvoir les récupérer plus tard. Ainsi déguisé, je pus rentrer aisément dans l'immeuble et déambuler à l'intérieur sans éveiller les soupçons. Surtout que par un énorme coup de bol, c'était un serveur qui était sorti.
-Eh toi !
Je tournai la tête vers celui qui semblait être le chef de salle. Il me fit signe d'approcher en agitant son index, ce que je fis. Le cœur battant, ayant peur de me faire démasquer, je le saluai brièvement avant d'écouter ce qu'il avait à me dire.
-Prend un plateau de coupe de champagnes et va servir les invités. Dépêche-toi !
-Bien, monsieur.
Je me courbai une deuxième fois puis fis ce qu'il m'avait demandé de faire. Je pénétrai dans la salle illuminée de toute part et où une musique classique s'échappait des baffes aux quatre coins du plafond. Il est loin l'orchestre musicale aux musiciens super biens fringués pour l'occasion. Faut vivre avec son temps.
-Garçon, une coupe s'il vous plait.
Je me retournai et que ne fus pas ma surprise pour rencontrer ma chère et tendre Bora.
-Encore une fois, tu me surprends.
-Je te surprendrai toujours autant. Un peu plus si tu me laisserai t'approcher pour... tu vois ce que je veux dire.
Elle m'offrit un sourire en coin, voyant tout à fait où je voulais en venir. Elle se saisit de deux coupes de champagne et s'éloigna en agitant sournoisement son joli fessier sous mon nez. Je me mordis la lèvre inférieure avant de poursuivre ma tâche initiale, tout en gardant un œil sur elle. La deuxième coupe de bulles était pour notre cible, un magnat des affaires qui blanchissaient de l'argent plutôt que de le gagner légalement. Nous devions le faire tomber coûte que coûte, et pour cela, nous devons avoir accès à son ordinateur qui enregistrait ses comptes en banques dans des paradis fiscaux. Ce soir, nous allions bien nous amuser.
Au bout de trois heures, la cible était bien pompette. Bora échangea un regard entendu avec moi qui continuait ma chasse aux consommateurs pour la septième fois. La suite du plan était d'amener la cible dans son bureau pour une soi-disant entrevue coquine alors que nous allions user de son état d'ébriété pour un dépouillement. Ce n'était pas aujourd'hui qu'il verrait une femme débordante de sex-appeal se glisser sous son bureau, surtout pas Bora en tout cas.
Je terminai le plateau avant de le reposer et grimper les marches pour rejoindre ma collègue. Mais c'était sans compter sur le chef de salle qui me rattrapa par l'oreille.
-Dis-donc toi, tu vas où comme ça ?
-Monsieur Raverscky m'a appelé pour un service, monsieur.
-Ah. Et bien, cours-y !
Il me lâcha en me poussant légèrement, je pus rejoindre l'étage sans manquer d'insulter ce gars de tous les noms. Si je pouvais lui amputer la main à celui-là, je le ferai bien ! Non, plutôt accrocher ses bijoux de famille à la porte de chambre de sa fille. C'est une meilleure idée, ça.
J'arrivai bientôt devant la porte du bureau du magnat, entendant des bribes de voix entre Bora qui usait encooore de ses charmes et la voix ivre de la cible. Je toquai, poli que je suis, puis entrai en ouvrant les bras.
-C'est maintenant que la fête commence !
Bora leva les yeux au ciel avant de se tourner vers la cible qui était ligoté sur son fauteuil, alors qu'elle était assise sur ses genoux. Avais-je troublé un jeu sado-maso ? Telle est la question. Je sortis mon arme et pointai le canon sur le front de ma future victime.
-L'ordinateur, siouplait.
Ses yeux dérivèrent derrière moi, je me retournai alors, rencontrant une bibliothèque bien rangée. Je tâtai du bout des doigts les nombreux ouvrages qui n'étaient en réalité que de simple éléments décoratifs puisque monsieur ne lisait que du porno, à en voir sa description dressée par nos services d'espionnage. Je me retournai vers le magnat, lui demandant d'un simple regard plus de précision avant de lui sauter un des pieds. Son regard dériva sur le pot de fleurs, plus précisément des amaryllis, qui symbolisait l'orgueil et la fierté. Voyez tout de même que je suis un gars sensible et que je connais le langage des fleurs ! Non en fait c'était la fleuriste qui me l'avait dit, car je voulais offrir un bouquet en rapport au tempérament de feu de ma coéquipière. Cette malheureuse l'avait brûlé sous mes yeux après avoir su quel message portaient ces belles fleurs. Quand je vous disais qu'elle avait un tempérament de feu.
Derrière le vase se trouvait un bouton qui ne s'ouvrait que si on apposait l'empreinte digitale du propriétaire dessus. Bora fit rouler le siège jusqu'au coffre puis défit les liens du bras droit pour qu'il vienne poser son index dessus. Le coffre ouvert, je sortis l'ordinateur et allai m'installer dans le canapé pour vérifier si ce que je voulais se trouver à l'intérieur de l'appareil. Satisfait, j'adressai un sourire à Bora avant de me lever.
-Bien. C'est pas tout mais nous devons y aller.
-Passez une bonne soirée, mon cher, chantonna Bora de sa voix mielleuse.
Nous sortîmes dans le couloir mais rentrai aussitôt dans le bureau. Des vigiles montaient les escaliers, ils avaient dû s'apercevoir que j'étais étranger dans le corps de service. Ne réfléchissant pas à deux fois, nous optâmes pour la solution de facilité : le fenêtre. Bora paralysa de sa bague fétiche le patron et lui banda les yeux de sorte à ce qu'il ne crie pas et ne voit pas ce que nous faisions pour ne pas indiquer à ses sbires où nous nous échappions. De toute façon, il n'y avait pas trente-six solutions : la fenêtre, la fenêtre ou... la fenêtre.
Bora sortit de son sac son rouge à lèvres. Ce n'était vraiment pas le moment de se refaire une beauté mais quand vous avez un objet de cosmétique aussi doté d'un rayon laser à rayon X permettant de couper n'importe quelle surface quelle qu'elle soit, vous avez rudement confiance, surtout quand c'est une femme qui l'utilise. Elle traça un joli cercle dans le mur avant de pousser ce qu'elle avait découpé pour pouvoir nous ouvrir un passage. Ayant bien calculé son coup, nous étions dans l'autre couloir qui menait lui aussi aux escaliers descendant vers la réception. Je passai en premier, oubliant la galanterie parce qu'entre nous c'est du sexisme pour la gente masculine, puis vérifiai que Bora suivait. Elle trébucha sur un fragment du mur et tomba par je ne sais quelle chance dans mes bras.
-Dis-donc, les airbags marchent plutôt biens. Pas besoin de contrôle technique, enfin, juste une petite vérification s'impose. Mes mains sont les meilleures techniciennes pour ce genre de choses, tu sais.
-Ferme ta gueule et avance !
Nous descendîmes les escaliers aussi vite que possible puis sortîmes du bâtiment sans se faire voir. Je courus pour rejoindre la cour à l'arrière de l'immeuble afin de récupérer mes affaires. Une fois revêtis de mon costard sur mesure, je rendis les affaires au serveur qui n'était toujours pas réveiller. J'escaladai le mur une dernière fois pour rejoindre Bora à la voiture mais à peine avais-je ouvert la portière qu'une balle finit sa course dans ma cuisse.
-Ah putain le sale bâtard ! Sa mère la pute, ça nique à mort !
Bora m'attrapa le bras et me fit entrer dans le véhicule avant de mettre les gaz, refermant la portière à l'aide d'un choc contre un poteau.
-Ma voiture, bordel !
-C'est elle ou toi, Aiden ! Laisse-moi faire, t'es pas en état de faire quelque chose de toute manière !
Nous roulions à plus de 130km/h, finissant notre course jusqu'à la sortie de la ville où nous rejoignîmes le parking secret de notre agence. Elle appela une équipe médicale que je vis arriver avant de tomber dans les vaps.
Quand je rouvris les yeux, j'étais dans mon lit, chez moi. Je voulus me redresser mais une douleur foudroyante me parcourut la cuisse droite. Je grimaçai sous l'effet de surprise et me résignai à ne plus bouger. La porte s'ouvrit alors.
-Aiden ? Oh, il me semblait bien que je t'avais entendu.
Bora referma la porte derrière elle puis vint s'asseoir à côté de moi. Elle me sourit tendrement avant de passer sa main sur ma joue.
-J'ai eu peur, tu sais.
-Toi ? Tu as eu peur pour moi ?
-Oui.
Elle détourna le visage, j'en profitai pour sourire, attendri par son comportement. Elle s'avança jusqu'à mon bureau où je ne sus ce qu'elle faisait. J'entendis le bruit d'une boîte que l'on ouvre puis un déchirement. Quand elle se retourna, un sourire sadique sur ses lèvres pulpeuses, je ne pus refouler cet effroi qui se peignit sur mon visage en quelques millièmes de secondes.
-J'ai pas besoin de ça ! Range-moi ce truc !
-Aiden, ne fait pas l'enfant.
-Bora, je suis sérieux ! Pose-moi ça !
Elle s'avança à quatre pattes jusqu'à moi, soutenant l'objet de mes craintes entre ces dents. Elle vint s'asseoir sur mes jambes et tira brusquement sur la couette pour l'abaisser et commencer la torture qu'elle voulait m'infliger. C'est à ce moment-là que je me rendis compte que je n'étais qu'en boxer. Le paroxysme de la honte était définitivement atteint, cette fois. Je voulus repousser ses mains, mais elle approcha son visage du mien et me susurra d'une voix aguicheuse :
-Si tu es sage, tu auras une surprise. D'accord, mon chaton ?
Ses mains glissèrent le long de mes bras pour arriver jusqu'aux miennes, les attachant avec une cravate sortie de je ne sais où. Elle reprit l'objet dont j'avais une peur bleue en main puis l'approcha de ma cuisse après avoir pris la précaution de désinfecter la parcelle où elle allait... planter la piqûre. Je retins ma respiration puis la relâchai une fois que cela fut terminé.
-C'est bien, Aiden. Tu as été sage.
-C'est quoi la surprise, alors ?
Elle m'envoya un regard électrisant, ses yeux pétillant de malice, avant de poser les instruments de soins au sol. Quand elle remonta jusqu'à moi, balançant ses longs cheveux dans l'air, ses mains se glissèrent dans son dos et défirent son corset, m'offrant une vue implacable sur sa poitrine découverte. Elle s'approcha comme un petit félin jusqu'à mes mains et les défit lentement, me laissant languir de cette vue excitante. C'était trop pour mes hormones. Mes mains libérées, je les laissai glisser sur son corps à ma guise. Elle rejeta la tête en arrière en portant mes mains un peu plus haut, puis plus bas, m'autorisant à faire sauter le bouton de son mini-short. Ceci fait, elle tira la couette pour la dégager complètement puis se chargea de nous dévêtir de nos sous-vêtements.
-Laisse-moi m'occuper de toi, Aiden, murmura Bora avant de me mordiller l'oreille sensuellement. Tu vas connaître un tout autre aspect de moi que je ne réservais qu'à toi, dit-elle avant de passer ses lèvres dans mon cou, mordillant ma peau au passage.
Quelle femme fatale.
Complètement à ma merci, Bora monta sur moi avec une telle agilité que je pus dès le premier coup de hanche savourer cet instant tant désiré par mon mini-moi. Les sens en éveil, je me délectai des gémissements et cris obscènes de ma partenaire tout en passant mes mains sur ses fesses bombées. Ses lèvres fondirent sur les miennes à une telle vitesse que je ne pus retenir ma respiration avant d'engager une danse des plus sensuelles avec nos langues. L'extase, en un seul mot. Je ne prenais que du plaisir, ce dernier ayant chassé la douleur de ma cuisse avec l'aide de l'antidouleurs contenu dans la piqûre. Quelle merveille.
Remis de nos émotions, Bora se blottit un peu plus contre moi, dans mes bras.
-La façon dont tu cries mon nom est juste... wow, murmurai-je.
-Parce que t'es trop bon. T'es bon dans tous les domaines, de toute façon.
Surpris par cette révélation, le rouge me monta très vite aux joues. Ce qui fit rire ma coéquipière qui, désormais, portait ce titre pour bien plus qu'une simple collègue. J'étais tombé sour son charme, elle était tombée sous le mien. Duo de choc, n'est-ce pas ?
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