Oh non, pas elle! Pourquoi de toute les filles, il faut que ce soit elle!

-Bonjour Alden!

-Bonjour...Alina... Répliquais-je en grimaçant un sourire qui se voulait poli.

Alina. Elle a mon âge et me colle sans cesse!!!
Vite vite vite....je sais!

-Bonjour ! Dis-je en saluant le vide, faisant de grands signes

Elle se retourna, sûrement pour savoir à qui je faisais donc de si larges gestes.

-À qui dis-tu...Alden? Alden ?

J'avais la respiration haletante. J'étais collé derrière en casier. Littéralement plaqué contre le métal violet J'attendais patiemment qu'elle parte.

-Bonjour!

-Ah!!!!!!!!!!!!

Elle rigola franchement, en me regardant, cahier en main.

-Excuse-moi Alden.

Je repris ma respiration.

-Bon...bonjour Della, haletais-je, la main sur le coeur pour calmer mes battement trop rapides à mon goût. Comment vas-tu?

-Bien et toi? Et qui crains tu donc à ce point pour te cacher ainsi? M'interrogea-t-elle.

-Alina, soupirais-je. Si tu savais à qu'elle point elle me colle...je n'en peut plus. En cours, au self, même pendant mon temps libre elle vient me rejoindre!

-Attends, je vais voir si ton dangereux et féroce prédateur est enfin parti! Répliqua-t-elle en rigolant.

Elle jeta un coup d'oeil discret, par dessus mon épaule.

-La bête a sonner la retraite mon capitaine! Dois-je demander à lever une armée pour combattre l'ennemi? Ou contacter la base pour ordonner l'envoi d'un gobelin sur-armé?

-Idiote! M'exclamais-je avec un sourire suffisant, qui dementais avec ma supposée insulte.

-Bon. On se revoit tout à l'heure! S'enthousiasma-t-elle en me piquant un bisous sur la joue.

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-Oui je le veux!

-Je vous déclare...unis par les liens du mariage! Vous pouvez...vous...tant pis ils ont déjà commencé!

C'est sûr! J'ai même eu de la chance, c'est mon arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière grand père qui a célébrer notre mariage! C'est sur que les coutumes ont changé mais pensait-il vraiment que j'allais attendre la fin de son discours pour embrasser MA Della? Vraiment?

-Je t'aime, lui sursurais-je.

-Moi aussi chéri, me répondit-elle en m'embrassant.

-Allez les amoureux! S'écria mon père. Gardez-en pour ce soir!

-Hilarant...

Nous nous dirigeâmes vers le repas.
J'étais sûr d'avoir une belle vie avec elle. Habillée d'une large robe blanche, son voile tombant sur se cheveux bruns, et son bouquet à la main, Della était ma femme. Je ne saurais dire ce qui m'étonne le plus. Si c'est d'en être arriver là ou de ne m'être rendu compte de rien, alors que j'avais dix-huit ans, à Foxfire.