Une Haine Passionnelle.

/!\ LEMON/!\

Vinícius Jr & Gavi
Juin 2023
Barcelone.


Jules Koundé. On ne le présente plus. Roi de la Fashion Week, fameux lanceur de la balle dans la tête de Jordi Alba en 2021, ainsi que fondateur de la glorieuse réf "coucou 🏊🏽😎✌🏽". Ce dernier était également un joueur français de football, au poste de défenseur dans le GRAND club catalan: Fútbol Club Barcolona.

La saison venait de se terminer et avant que lui ainsi que tous ses coéquipiers ne partent en sélection, il décida d'organiser une petite soirée.
Cependant, certes, il aimait Barcelone, ainsi que ses amis barcelonais, mais il ne se voyait pas organiser une fête sans inviter ses deux grands amis, Eduardo Camavinga et Aurelien Tchouameni.

Tous les deux, joueurs de l'équipe ennemie, nommée le Real de Madrid, allaient se faire un plaisir de venir jusqu'à Barcelone pour assister à la fête. Sachant que les catalans ne voyaient aucun problème à ce que des madrilènes passent du temps avec eux, sachant que la vie sur et en dehors du terrain était deux choses différentes.

Enfin, c'était deux choses différentes pour tous les joueurs du Real et du Barça, sauf pour deux d'entre eux.

Pablo Gavira et Vinícius Junior. Eux deux se détestaient, sur le terrain, comme en dehors et cela se voyait.

Au départ, Gavi s'était mis d'accord avec son ami Pedri pour aller à la soirée de Jules. Il se disait que ça pouvait être sympa de passer un dernier moment avec ses coéquipiers, et il avait bien raison.

Tout se passait bien, jusqu'au moment, où les madrilènes arrivèrent. Pablo ne voyait pas pourquoi sa joie pourrait s'envoler, puisque les joueurs qui étaient censés venir étaient seulement Camavinga et Tchouameni, deux joueurs avec lesquels il n'avait aucun problème.

Mais lorsqu'il vit que trois personnes venaient de passer le pas de la porte, il commença à chercher Pedri du regard et lorsqu'il le trouva, il se rendit compte qu'il était foutu.

Très vite, la plus part de ses coéquipiers le regardait, lui lançant un regard qui signifiait un mélange entre "bon courage" et "reste calme", le plus jeune de l'effectif de l'équipe première souffla et alla vers les hommes qui venaient d'arriver.

Il salua Aurélien et Eduardo mais ne salua pas le dernier. Il fît un tour sur lui même afin de trouver Jules pour lui demander des explications.

Il voulait des explications afin de savoir pourquoi, Vinícius Jr, l'homme pour qui il avait autant de haine, était là. Sauf que lorsqu'il trouva Jules, il était entrain de rigoler avec ses amis et coéquipiers de l'équipe de France, non loin de la baie vitrée qui menait au balcon.

Maintenant, Gavi avait l'humeur retournée, il fronça les sourcils et s'installa sur le canapé. Il savait que ses amis allaitent le chambrer en disant qu'il réagissait comme un enfant, mais il se devait de bouder, car comment pouvait-il s'amuser en étant dans la même pièce que Vinícius ?

— Pablo... Soupira Pedri en s'asseyant à côté du plus jeune.

— Ne commence pas. Le prévient le plus jeune. Ça me saoule, c'est tout. J'ai le droit d'être saoulé non ?

— Oui, bien évidemment. Affirma le numéro huit barcelonais. Mais tu ne vas pas t'empêcher de t'amuser à cause de lui.

Pablo se contenta d'hausser les épaules. Il boudait et c'était comme ça.

Son meilleur ami, Pedri, soupira désespérément à son comportement avant de se lever pour continuer à s'amuser.

Gavi continuait de regarder ses amis profitant de la soirée mais lorsqu'il tourna la tête, il remarqua que le numéro sept de Madrid, le regardait et ça avait le don de bien plus l'énerver.

Agacé, il se leva et partit en direction du couloirs menant aux pièces de l'appartement de Koundé. Il ouvrit la première porte qu'il pouvait et il s'y installa. Lorsqu'il alluma la lumière et il se rendit compte qu'il était dans la buanderie.

Il y avait une machine à laver et un sèche linge, pas mal d'habits étaient également là, ainsi qu'une table à repasser, repliée.

Il décida de s'assoir sur une des machines et il souffla longuement. Le jeune homme savait qu'il n'allait pas pouvoir rester ici durant toute la soirée mais pour l'instant il avait besoin d'être seul, sûrement pour se calmer.

Puis, il savait que son meilleur ami n'allait pas tarder à venir le voir, pour lui demander si ça allait mieux... en parlant de ça, quelqu'un toqua à la porte.

– Non, laisse moi tranquille Pedro... Fît simplement Gavi, en descendant de la machine pour aller ouvrir la porte. J'ai besoin- Qu'est-ce que tu fais là toi ?

Bien évidemment, Pedri n'était pas la personne qui venait de toquer à la porte de la salle dans laquelle se trouvait le barcelonais.

— Toujours aussi désagréable à ce que je vois Gavira. Lança l'homme en entrant dans la salle.

Pablo soupira lourdement. Il se retrouvait maintenant dans une pièce de 10m2 avec Vinícius Junior, l'homme qu'il devait le moins aimer sur cette Terre.

— Je t'ai déjà dit d'arrêter de m'appeler comme ça. Se plaignît Gavi, ce qui fît rire le madrilène, qui venait de refermer la porte derrière lui.

Ce dernier était dos collé à celle-ci observant le plus jeune, qui devenait de plus en plus rouge, dû à l'agacement.

Arrête de faire l'enfant, tu veux? Lâcha le brésilien.

— Ferme là. Lui cracha Gavi. Juste ferme là.

Il s'avança vers lui, avec l'objectif de sortir d'ici, mais lorsqu'il arriva au plus proche de Viní, ce dernier ne lui donna pas ce qu'il voulait.

Il était planté là avec un gigantesque sourire sur le visage, pouvant rendre Gavi complètement furieux. Il gardait sa main sur la poignée de la porte alors que ses yeux étaient plantés dans ceux de l'espagnol.

— Parlons et après nous rejoindrons nos amis. Expliqua l'attaquant brésilien.

Nous? Parler? Gavi pouffa de rire. Tu as plus l'habitude de m'aboyer dessus et me dire à quel point je suis mauvais... Ça montre seulement à quel point tu es insupportable et pas fair-play du tout!

Orh... Soupira le plus âgé. Je te rappelle que tu es celui qui dit que j'étais mauvais....  Puis ne m'oblige pas à te faire taire Gavira.

— Me faire taire?! S'écria le numéro six barcelonais. Tu penses que je vais obéir à tes ordres comme un petit chien? Mais pour qui tu te prends toi au juste ?

Vinícius n'en pouvait plus, il savait que Gavi était irritant ou même énervant, mais le voir sans cesse parler, sans s'arrêter. Il n'en pouvait plus.

Et donc sans réfléchir, il vint placer sa main gauche sur la bouche de Gavi, ainsi que sa main droite dans le bas de son dos, afin de le rapprocher de lui.

— Tu vas te la fermer? Demanda le brésilien. Juste un instant?

En réalisant la proximité qu'il avait avec son ennemi, Pablo se mit presque à chauffer, il sentait le genoux du plus âgé, être maladroitement placé entre ses deux cuisses et il pouvait jurer que le madrilène s'amusait à presser son genoux contre son entrejambe.

— Lâche moi. Fît simplement Gavi, alors que les deux mains de l'attaquant du Real étaient maintenant sur ses hanches.

— Pourquoi ça? Dît simplement Vinícius, alors qu'il sentait que son touché sur le corps de l'autre homme, créé quelque chose de bizarre chez ce dernier.

— Putain! Cracha l'espagnol. Arrête de jouer avec moi! Je te déteste! Ne me touche pas!

— D'accord. Fît-il en levant les bras.

Les deux hommes restèrent donc comme cela, face à face, les yeux dans les yeux, partageant exactement le même air.

La tension qui était présente entre eux deux était palpable et à vrai dire, ils avaient tous les deux besoin de la même chose.

Vinícius commença à jongler du regard entre les yeux noisettes et les lèvres rosées du plus jeune, ce dernier mordillait faiblement sa lèvre inférieure alors qu'il voyait l'homme en face de lui entrouvrir la bouche.

Lorsque les deux hommes retrouvèrent le regard de l'autre, on pouvait croire que leurs yeux parlaient pour eux et c'était sûrement le cas, puisque les deux venaient de faire "oui" de la tête  à quelques instants d'intervalle.

Le madrilène vint alors reposer ses mains sur les hanches du plus jeune et ce dernier lui lança un petit sourire timide.

— Attends... on est d'accord qu'après tout ça, on oublie ? Lui demanda-t-il.

Bien évidemment! Cracha le plus âgé. Jamais je n'assumerai qu'il s'est passé quelque chose entre toi et moi.

— C'est bon... Souffla Gavi. Ta gueule Vinícius.

— Putain... contente-toi de embrasser Gavira...

Et l'espagnol ne le fît pas attendre et se précipita contre lui, pour poser ses lèvres sur les siennes.

Le baiser était un peu brusque, leurs langues se touchaient rapidement et leurs salives se mélangeaient comme du sirop de grenadine dans de l'eau.

Le plus âgé plaça ses mains sur le postérieur de Gavi, le malaxant doucement, ce qui créa un léger couinement chez le plus jeune, qui se laissa presque tomber dans les bras du brésilien.

Vinícius sourit contre les lèvres de l'autre homma, à l'harmonie du son qui venait de sortir d'entre les lèvres de l'espagnol. Ensuite ses lèvres se posèrent dans son cou, il suça légèrement sa peau, sachant que la peau de Pablo deviendrait rapidement rouge violacé.

— Ne me marque pas. L'avertit le plus jeune en écartant sa nuque de sa bouche. Je te hais, je ne veux aucune trace de ta part sur mon corps.

— Tu me détestes hein ? Fît le brésilien en rapprochant l'autre homme contre lui.

Leurs deux corps étaient à présent collés et Vinícius plaça rapidement sa jambe entre les cuisses du barcelonais. Le plus âgé leva doucement son genoux pour le presser contre l'entrejambe de Gavi.

— Viní... Soupira Pablo.

— Oui Gavira ? Joua le madrilène, alors qu'il continuait de presser son genoux contre l'entrejambe de Gavi, qui gonflait légèrement.

Le plus jeune ne pouvait même pas répondre, l'excitation étant trop forte. Il continuait à fixer Vinícius dans les yeux, essayant de rester concentré pour ne pas perdre le contrôle de ses émotions.

Sois un bon garçon et suce mes doigts Pablo. Ordonna le madrilène en plaçant trois de ses doigts sur la lèvre inférieure de l'espagnol.

Ce dernier frissonna à l'appellation de son prénom par son adversaire, ensuite il obéit à ses ordres, venant doucement sucer l'index, le majeur et l'annuaire du plus agé.

C'est bien Pablo, continue. Dit Viní. Prépare bien les doigts qui entreront en toi.

Gavi fredonna quelque chose incompréhensible, ce qui vint faire vibrer les doigts de Vinícius qui étaient entre ses lèvres. Pendant qu'il continuait à les sucer, l'attaquant brésilien ouvrit son propre pantalon de sa main libre, puis le fit tomber à ses chevilles.

— Tu voudrais m'aider avec ça Gavira? Demanda le plus âgé, en attrapant sa grosseur à travers son sous-vêtements.

Gavi zieuta rapidement, la bosse qu'avait Vinícius en main, avant de rapidement acquiescer, tout en suçant avec un peu plus de force ses doigts.

— Parfait. Affirma le brésilien. Parce que j'ai toujours rêvé de te voir à genoux en face de moi, pendant que j'enfoncerais mon sexe entre tes magnifique et douces lèvres, pour t'empêcher de dire à quel point tu ne m'apprécies pas.

Pablo couina aux paroles de son ennemi, alors qu'il vint par lui même se placer à genoux en face de lui. Vinícius enleva ses doigts de la bouche du plus jeune avant d'attraper ses cheveux.

Le catalan, le regardait d'en bas tout en léchant doucement ses lèvres. Le madrilène grogna faiblement à l'image qu'il avait devant lui, il avait l'impression que les yeux de l'espagnol lui suppliaient de lui donner ce dont il avait besoin.

Donc Vinícius Jr vint rapidement enlever sa prison de tissu, libérant son sexe complètement dresser. Gavi ouvrit grandement les yeux, ce rendant compte que c'était le sexe le plus épais qu'il n'avait jamais vu jusqu'à présent.

Impressionné? Demanda le brésilien un peu fier de lui. Tu vas assumer de l'avoir en bouche ?

Le plus jeune déglutît, ça allait être la première fois de sa vie qu'il allait s'occuper d'un sexe de cette circonférence et il allait tout faire pour assurer. Il vint donc doucement acquiescer tout en continuant de regarder les yeux de plus âgé.

— Ouvre la bouche Pablo. Fît alors Vinícius, tout en tenant son sexe d'une main.

Le plus jeune obéit, ouvrant grandement sa cavité buccale. Rapidement mais en étant prévoyant Vinícius vint faire glisser son pénis entre ses lèvres. Gavi ferma les yeux, acceptant les centimètres qui glissait dans sa bouche.

Les deux hommes ne bougeaient plus d'un pouce, jusqu'au moment où l'espagnol vint légèrement bouger sa langue contre la tête du sexe du brésilien, créant un bruit sourd sortant de la bouche de ce dernier.

Il vint passer ses doigts dans les cheveux de l'homme à terre, venant agripper ses mèches et doucement il bougea dans la bouche du catalan, sortant et entrant calmement. Des geignements à répétition sortaient de la bouche de Vinícius lorsqu'il sentait le bout de son sexe touché le fond de la cavité buccale de Gavi.

Ce dernier avait l'impression de s'étouffer avec l'épaisseur du brésilien, mais il continua à accepter les centimètres. Il appréciait tellement le moment qu'il s'autorisa à fermer les yeux.

— Ta bouche est l'endroit parfait pour mon sexe, Pablo. Expliqua le plus âgé en caressant la joue de son ennemi.

Le madrilène continua ses va-et-vient dans la bouche du plus jeune, ne s'empêchant pas de gémir à chaque fois qu'il sentait la chaude humidité se poser sur son sexe gorgé de sang.

Le plus jeune assumait sa place, ses deux lèvres se faisant fortement frotter pas le diamètre du pénis de son ennemi, néanmoins, lorsque que ce dernier comprit qu'il pouvait rapidement venir dans la bouche de Gavi, il décida de se retirer.

L'espagnol leva directement sa tête, venant placer ses yeux dans ceux de Vinícius, il fit sa tête de chien battu, celle qui demandait au brésilien pourquoi il avait arrêté.

Le madrilène, le regarda venant doucement caressait ses lèvres rosées avec son pouce.

— Je ne veux pas venir dans ta bouche mais en toi. Expliqua-t-il. Lève-toi Gavira.

Et il s'exécutât, se remettant debout en face du plus âgé, très vite sa main toucha son propre sexe qui était enfermé dans sa prison de tissu et il continua de regarder Vinícius avec ce regard si innocent qui excitait ce dernier.

Viní lécha rapidement ses doigts, tout en regardant le plus jeune qui se touchait à travers ses habits, ensuite il le prit par la taille et vint le pousser, face à la machine à laver.

— Déshabille-toi. Fît simplement Vinícius alors qu'il fixait maintenant Gavi se déshabillant devant ses yeux.

— Gavira... putain... Souffla le plus âgé en se mordant les lèvres. Ton corps.. bordel...

Le numéro sept du Real vint placer un baiser sur la nuque de Pablo avant de lui donner une simple fessée.

— Encore... Dit Gavi presque en chuchotant. Refais-le s'il te plaît.

Le brésilien rigola doucement alors qu'il sentait le postérieur de Gavi se presser vers lui, il vint donc une nouvelle fois frapper ses fesses, voyant que le plus jeune adorait ça.

Ensuite, il malaxa doucement le fessier rougi de Pablo, venant écarter ses deux fesses. Un premier doigt à l'entrée de l'intimité de Gavi et avec sa main libre il vint prendre en main le sexe maintenant bien tendu du plus jeune.

Ce dernier soupira alors qu'il sentait que le premier doigt de Vinícius entrait sans problème dans sa chaude et humide intimité, le doigt ne bougeait pas en lui, et ni même la grande main
du brésilien sur sa verge.

Qu'est ce que tu attends ? Cracha Pablo alors qu'il était dos à Viní.

— Bouge sur mon doigt. Lui ordonna Vinícius. Baise mon doigt.

À cette phrase, l'espagnol sentit son corps vibrer et il se contenta d'obéir, venant se presser contre le doigt d'un plus âgé, il geignît lorsqu'il sentit à quel point il était enfoncé en lui.

— Tu me détestes toujours autant ? Demanda d'un coup le brésilien.

— O- oui... Souffla doucement Gavi alors qu'il continuait de bouger son corps afin d'être stimulé comme il le voulait, des deux côtés.

Explique moi pourquoi tu me détestes et je te rajouterai des doigts. Expliqua calmement Vinícius.

Le plus jeune souffla alors qu'il continuait à bouger entre les mains expertes du brésilien.

Tu sais très bien pourquoi je te déteste. Lui lâcha-t-il. Déjà t'es arrogeant et provocateur.

— Mhh continue. Fît le plus âgé alors qu'il rajouta un deuxième doigt.

— Tu es un très mauvais dribbleur aussi. S'amusa à dire Gavi.

Vinícius s'arrêta net. Il se pencha contre le corps de Gavi pour venir lui murmurer à l'oreille.

Sois sérieux Gavira... Si tu me veux en toi, parle correctement.

Pablo frissonna. Vinícius avait un réel pouvoir sur lui et c'était indéniable. Il hocha doucement la tête et le brésilien s'éloigna de lui.

Tu as ce magnifique sourire qui est juste tellement énervant. Reprit Pablo.

Le madrilène sourit dans le dos du plus jeune, alors qu'il commença à le stimuler. Gavi gémissait, sans même prendre la peine de se demander si les autres pouvaient l'entendre.

Un troisième doigt entra dans son intimité et il sentait qu'il n'allait pas tenir longtemps donc il pressa son torse contre le haut de la machine à laver, acceptant que son sexe et son intimité se fassent stimuler.

Prends-moi. Gémit Gavi. Je t'en supplie, prends-moi.

Vinícius comprit qu'il devait passer à la prochaine étape, il lâcha donc le corps de Pablo malgré ses contradictions et il prépara son membre.

Mais aucun préservatif sur lui, donc il regarda autour de lui et comprit qu'il n'en trouverait pas.

Je n'ai pas de préservatifs. Expliqua-t-il.

J'en ai rien à faire. Cracha Gavi. Dépêche-toi.

— Très bien. Fît le brésilien alors qu'il sentait son excitation revenir en flèche.

Il vint mettre le plus de salive possible sur son sexe tendu avant de le presser contre l'anneau de chair du plus jeune. Une de ses mains alla sur son épaule et il entra doucement en lui.

Les deux joueurs soupirèrent d'aise et restèrent dans cette position jusqu'à ce que le jeune espagnol ne donne son accord pour commencer l'ébat sexuel.

Les coups de reins furent tout d'abord lents, Vinícius souhaitait s'habituer à la chaude, étroite mais chaleureuse intimité de son ennemi et lorsqu'il se sentit plus à l'aise, il accéléra les tamponnements, prenant soin d'à plusieurs reprise toucher l'endroit sensible du catalan.

Ne t'arrêtes pas. Gémit ce dernier alors qu'il s'était complètement pencher sur la machine devant lui. S'il-te-plaît ne t'arrêtes jamais.

Le brésilien était satisfait de ce qu'il faisait vivre au plus jeune mais il vint placer sa main sur sa bouche avant de lui ordonner cela:

— Accepte mon sexe en silence.

D'un coup les va-et-vient devinrent plus saccadés et puissants, créant des légers couinements étouffés de la part de Gavi, ce dernier acceptait ce que Vinícius lui faisait vivre et il adorait ça.

Les deux hommes qui sur le terrain avaient du mal à se comprendre, étaient entrain d'avoir le rapport humain qui demandait le plus de cohésion possible.

Le madrilène s'enfonçait toujours plus en Pablo, sentant que l'excitation montait d'un cran. Il grognait le nom du plus jeune avant de replacer ses mains sur le bassin de l'espagnol, lui laissant à nouveau la capacité de gémir.

Ce dernier le fît donc, venant bruyamment gémir le nom de l'homme qu'il détestait, jusqu'à ce que celui-ci vienne se libérer en lui, avant que lui même ne vienne jouir contre son ventre.

Vinícius resta encore quelques instants en lui afin de reprendre un rythme cardiaque régulier avant d'y sortir pour aller chercher de quoi se nettoyer.

Il tendit une serviette à Pablo qui en avait véritablement besoin et les deux joueurs s'essuyèrent tout en se regardant, se rendant compte de ce qui venait de se passer entre eux deux.

Je te détruirai au prochain Clasíco, Gavira. Lâcha Vinícius après avoir terminé de se rhabiller, alors qu'il se dirigeait vers la porte.

Si tu comptes me détruire comme tu viens de le faire... c'est sans problème. Répondit alors Gavi en se rhabillant.

Les deux hommes se mirent rapidement à ricaner avant que le plus âgé des deux ne quitte la salle.

FIN.

o0O0o

Salut saluuut saluuuuuut!

J'espère que tout ce beau monde va bien :)

Un petit smut Gavinícius dédié à Ninis_Anderson leur plus grande fan qui fête ses 18 ans aujourd'hui. Joyeux anniversaire Inès 💗

J'espère que ça vous a plu hihiii

Je vous fais des bisous<3

À plus tard, Asma Koundé 🫡

‼️ps: oui dans l'OS ils ne se protègent pas (pour le bien du scénario) mais sachez qu'IL FAUT TOUJOURS SE PROTÉGER LES AMIS, c'est I M P O R T A N T. #prévention #PasDeBébéNiDeMST

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