Izuku Modoriya
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Regard sur ses mains, descendant jusqu'à ses poignées fins abîmé. Il ne pouvait toujours pas y croire. Il n'avait hérité d'aucuns alter même si ses parents en procédé un. Il avait été l'un des rares malchanceux, qui souhaité plus que tout devenir un grand héro qui n'avait rien obtenus pour le devenir. Ça n'avait pas été facile pour lui étant sans alter pas comme la plupart de ses camarades de classe. Beaucoup de problème sont survenue le prenant pour un être inférieure. Aucuns de ses professeurs ne l'aider à découragé les enfants d'être des racistes envers les personnes sans alter comme lui.

Ça à commencé doucement, dès son plus jeune âge à son annonce d'être un sans alter. Les amis qu'ils pensaient qui l'été on commencé à le laissé en retrait. Il le traité comme ci, il possédé une maladie transmissible. Lui parlant que pour ce moqué en le bousculant, le laissant allongé sur le sol du parc seul. Son regard ce perdant fixé en direction du ciel jusqu'aux couché du soleil, rentrant chez lui, racontant tout ce que les autres enfants avait fait sans lui, mais l'insérant dans ce récit comme ci il y avait pleinement participé. Tout cela pour que sa mère sourit en lui disant gentiment de mangé autant qu'il le voulait parce qu'elle lui avait fait son plat préféré.

Quand Izuku fut plus âgé, il comprit que toute la société tourné autour des personnes procédant un superpouvoirs. Il n'avait pas besoin d'être puissant ou flamboyant, si tu en procédé déjà un, tu été intégré. C'est déjà plus de ce qu'Izuku pouvait offrir en étant dépourvu.

A l'âge de 14 ans, Izuku à finalement comprit quelques choses. Tu auras beau évolué qu'importe l'âge de certaines personnes. Ils restaient pour la plus part fermé dans leur idée. Et c'est à partir de ce moment, qu'Izuku comment ça à coloré ses poignées fins et pâle d'une nuance de rouge. Ça piqué, ça brûlé, c'est désagréable mais ça le fait ce dire qu'il été là à chaques fois qu'on lui rappelle combien, il est inutile dans cette société presque entièrement composé de super héros, de personnes possédent des alters.

Bien entendu, Izuku été un adolescent rêveur du moins il essayé avec le peu qu'il lui restait. Mais il dirait que tout ça est grâce à son idole le héro numéro 1 du Japon. Izuku avait eu la pensé stupide de postulé à l'école des héro la plus prestigieuse en plus de ça. Mais il a vite été découragé encore une fois ce sentant honteux, gêné, mal à l'aise et intimidé quand le professeur l'annonça devant toutes sa classe qui riait à gorge déployée.

Il pourrait dire que tout cela été la faute de ce putain d'héro numéro 1. Il affiché toujours ce sourire comme ci, tout le monde pouvait en faire autant avec de la motivation. Et Izuku Midoriya, 14 ans savait que ce n'était pas le cas. Encore plus quand il rencontra son idole lui riant presque aux nez lui disant que c'était impossible, d'être un héro sans procédé d'Alter. S'en été trop pour Izuku, personnes ne le manquera sauf sa mère. Il avait pris soin de lui laissé une lettre, en évidence sur la table du salon. Il a séché les cours pour faire ce qu'il avait à faire.

Il déposa ses chaussures droit l'une contre l'autre dans le haut d'entrée. Il déposa le double de ses clés dans ce petit pots à débarras ce perdant avec les nombreuses autres clés et objets. Il monta les escaliers, posant son sac sur sa chaise de bureau faisant ses devoirs. Faisant son lit avec des draps propre puis allé prendre une douche, regardant son reflet fade dans le miroir. Ensuite, il ce brossa les dents puis ce mit dans l'un de ses pyjamas préférés. Il attrapa une lame fine l'une de ses favorites de sa belle petite collection, il ouvrit sa fenêtre regardant le sol depuis le troisième étage. Il respira un bon coup commençant à écrit "sans alter" sur ses deux avant-bras, ce penchant vers le vide.

Tout été paisible, flou, lent à la fois, sa vie ne défilait pas devant ses yeux pas étonnant elle été merdique. Il ce sentait vraiment bien tellement bien, depuis bien longtemps. Il ce mit à sourire à plaine dents, avant que son visage ne s'entrechoque violemment avec le sol. Son nez, sa mâchoire craqua de façon satisfaisante celui lui. Il ce sentait incapable de bougé, ses yeux incapable de reste ouvert, sa respiration ralentit considérablement, appréciant le calme plus personnes ne pourra plus l'atteindre maintenant, il va juste dormir dans cette chaleur de bain rouge, c'est réconfortant et agréable ça ne lui fera pas de mal de rejoindre l'envie de sommeil.

Fin.