Point de vue extérieure :

La frustration de se trouver entièrement dévêtu se fit ressentir encore plus tandis que Muzan continuait de l'attacher, le mettant dans des positions humiliantes pour son image publique de dur, et ce, uniquement parce qu'il se soumettait facilement à son partenaire. Il ferme brièvement les yeux pour tenter d'atténuer un peu ses rougeurs mais à quoi bon cacher la vérité quand son corps parle pour lui.? Son érection se dresse en réaction à chaque caresse de Muzan sur sa peau douce, il est définitivement perdu.

Akaza ouvre de nouveau ses yeux d'un air suppliant, il ne veut plus attendre à présent, il désire tellement éperdument que Muzan s'occupe un peu de lui, il le supplie du regard.

Muzan : Qu'est-ce que tu veux, mon animal de compagnie ?

Le rouge montant à ses joues une fois de plus, il ouvre difficilement la bouche, les mots n'arrivant qu'avec grande difficulté tant il est troublé par toute cette situation.

Akaza : Je... je veux...toi...s'il te plaît... prends-moi.... Il ferme les yeux, il ne peut se résoudre à les garder ouverts, il ferme également les poings en désespoir de cause.

Muzan : Exigent, tu as tellement faim de moi. Pauvre petit n'est-ce pas ?

Akaza : O-oui...oh o-oui...s'il te plait.

Muzan : supplie encore.

Akaza déglutit difficilement, il commence à perdre son sang froid malgré lui dans la situation, sentant le temps et sa honte s'agrandir davantage de minute en minute.

Akaza : S-S'il te plaît.... Prends-moi.... Je te veux... s'il te plaît, je le veux tellement... Il halète en disant cela, il est si peu habitué à se montrer ainsi, mais il en a tellement envie à présent.

Akaza gémit en sentant les doigts de Muzan le long de son dos, il commence à trembler de cette sensation, c'est si différent, si inhabituel, si excitant, il en veut toujours plus. Akaza gémit une fois de plus, il a l'impression de perdre la tête dans toutes ces sensations, c'est beaucoup trop pour lui, il a le dos complètement courbé et sent toute sa tension. Il tremble de partout et se mord les lèvres pour tenter de rester silencieux, il n'a plus aucun soupçon d'orgueil en lui à présent.

Il commence à haleter, il sent le fait d'être à la merci de Muzan encore plus présent que jamais, se sentant comme un être fragile dans cette position tellement... humiliante, il se sent si vulnérable, sans défense, sans arme, totalement soumis. Akaza sent sa bite se tendre encore davantage, il n'a qu'une envie, que Muzan soit enfin en lui, il en gémit de désir et gémit également un peu sous la douleur provoquée par le doigté dur du dominant. Il gémit un peu plus fort, il n'en peu plus, son endurance et sa fierté sont en train de craquer petit à petit, sa voix tremble sans qu'il ne puisse rien y faire, il est délicieusement torturé, il est perdu, totalement à la merci de ce que Muzan faisait de lui mais il n'est pas du tout contre ce genre de sort. Akaza ferme les yeux un peu plus fort, il gémit à chaque retrait, il veut tellement plus.

Akaza : S'il te P-Plaît-...prend-moi.... s'il te plaît...

Ses paroles sont maintenant presque incompréhensibles tant il est totalement perdu dans l'extase, il se mord les lèvres sous l'effet de la frustration et de l'attente, il ne peut plus supporter d'attendre. Le visage d'Akaza se tend sous l'effet de la douleur, il est surpris par le fait que Muzan rentre entièrement en lui d'un coup mais en même temps, c'était ce qu'il voulait. Il crispe un peu les mains dans le vide mais ne sait pas où placer les mains, il ne peut pas bouger, il est totalement à sa merci et ça lui va parfaitement, il est perdu et en même temps n'aimerait pas être ailleurs, il n'est plus qu'un animal de compagnie aux yeux de Muzan, et c'est très excitant.

Akaza gémit à chaque coup, se tortillant et se tordant sous la puissance des coups de rein de Muzan, il est à sa totale merci, tout son corps est tendu sous les coups, il gémit bruyamment, sans se soucier. Il ferme les yeux sous la force des mouvements de Muzan en lui, il sent sa propre voix se perdre, il gémit et ne sait même plus si ce sont des gémissements de douleur ou de plaisir, il est complètement dans le moment, il n'a qu'une envie, que cela continue, qu'il ne s'arrête plus, il a si terriblement besoin de plus.

Peut-être bien qu'Akaza avait toujours aimé ce genre de sensations en réalité, il ne l'aurait jamais cru mais il en redemandait pourtant, il geint et gémit, sentant le plaisir monter petit à petit, il tremble sous les coups de reins de Muzan, complètement excité et sans défense.

Muzan : Ne jouit pas tant que j'ai pas jouit.

Akaza déglutit difficilement en entendant cette phrase, il ferme les yeux difficilement, il n'a qu'une envie, que toutes ces sensations lui fassent voir les étoiles mais il tente pourtant de se contenir de ne pas jouir avant son partenaire.

Akaza : Je... je ferai de mon mieux...

Akaza ferme les yeux de toutes ses forces pour tenter de résister à ces sensations et sensations et à cette envie de jouir, ça commence à être insupportable, mais il tient bon, se mordant les lèvres jusqu'à sang. Il gémit de désir, de frustration et de douleur, il tremble à chaque coup de reins, ce qui ne l'aide en rien à tenter de se contrôler, il commence à en avoir plein les oreilles de toutes ces sensations, il a la tête totalement vide et ne peut plus penser à rien du tout. Il gémit un peu plus, il commence à être au bord, il serre les dents en tremblant sous les coups de reins forts et puissants de Muzan, il sait qu'il n'en peut plus, il sent qu'il va bientôt perdre pied et en même temps il n'y arrive pas. En sentant Muzan jouir en lui, Akaza gémit fortement, tremblant, c'est si intense qu'il se sent perdre la tête, il ferme les yeux, un gémissement franchissant pourtant ses lèvres malgré lui, il est totalement perdu et délicieusement épanouie.

Muzan : Jouis maintenant, mon animal de compagnie.

Un gémissement plus fort franchit les lèvres d'Akaza, il sent le plaisir monter en lui, il était plus qu'heureux de jouir en entendant cela mais ne parvint pas à articuler une seule parole tant il était perdu dans ces sensations.

Muzan : Doucement, là doucement, tu as été bon pour moi.

Akaza gémit fortement, sentant le plaisir prendre pleinement possession de son corps, il ne pouvait se maîtriser, la tension qui l'habitait tout le temps s'en allait petit à petit, il se tenait à la limite du choc tant ces sensations étaient fortes, il ne parvint pas à dire un mot de plus, gémissant en tremblant sous le plaisir ressenti.

Muzan : Je vais t'enlever ses cordes, tout va bien, tu as été génial.

Akaza gémit légèrement en sentant les cordes se détacher petit à petit, il n'avait plus la force de bouger le moindre muscle, il se sent si épuisé, épuisé mais aussi complètement satisfait, il ne parvint pas à dire un mot, préférant juste se laisser faire.

Muzan : Ne t'inquiète pas, je vais toujours m'occuper de toi. Tu peux te reposé maintenant.

Akaza avait du mal à penser droit à présent, ses pensées étaient comme des volutes de fumée flous et éparses, il se laissa faire en gémissant en réponse sans pour autant parvenir à vraiment articuler un mot ou une pensée fixe, il se sentait bien, il était épuisé mais satisfait, il se sentait totalement vidé physiquement et mentalement.

Muzan : Bien, fais-moi confiance. Tu es tellement mignon mon animal de compagnie.

Fin.