Point de vue extérieure :

Akaza : Bon je te laisse trente secondes pour choisir. Soit je te fais jouir dans ton pantalon devant tout nos amis dans ce bar miteux, soit je te bourre le cul dans une ruelle proche d'ici.

Les yeux de Douma s'écarquillèrent, une expression choquée clairement visible dans son regard.

Douma : P-putain de- Il eut un gémissement étouffé à la pensée qu'Akaza ferait l'une de ces choses. Il regarda autour de lui et vit tous leurs amis dans le bar  buvant et jura. Ruelle.

Akaza : Okay allons-y.

Douma, hocha énergiquement la tête, se redressant tout en gardant son regard sur Akaza.

Douma : Je te tiendrai responsable de toute érection gâchée. Murmura-t-il en passant un bras autour de sa taille.

Akaza : Allé, t'aime quand je te baise dans des endroits publics.

Douma : T-ta gueule. Il marmonna en rougissant un peu, bien conscient du fait que ce qu'Akaza disait était en fait vrai. L-le moins longtemps nous sommes ici, le mieux c'est.

*-*

Akaza : Mhhh. Il poussa Douma contre l'un des mur près du bar. Ta du lubrifiant ou je bouffe juste le cul.

Douma déglutit à la question, fouillant dans sa poche pour en sortir brièvement un tube.

Douma : J-j'ai ça. Il marmonna, en rougissant.

Akaza : Mari pervers. Il dit en attrapant le tube.

Il sentit son visage rougir davantage, se mordant la lèvre tout en regardant Akaza.

Douma : Ne m'appelle pas comme ça. Il marmonna, humilié qu'Akaza avait raison.

Akaza : Mignon, tu veux ça dur ou gentil ?

Douma : Dur.

Akaza : j'espérais que tu dise ça. Il dit en baissant son pantalon, le soulevant avant de lui mettre deux doigts lubrifié en même temps. Douma, gémit en réponse, sa main agrippant le bras du rose.

Douma : R-rappelle-moi pourquoi nous faisons ça dans une ruelle.

Akaza : Parce que, tu bandé comme une salope aux bar bébé.

Douma, rougit à la réponse, sa poitrine se soulevant plus encore.

Douma : N-ne dis pas ça. Il gémit, se penchant davantage contre le mur.

Akaza : Ouais, j'avoue que je voulais aussi te prendre. C'était le but de chaud ton petit cul toute la soirée.

Douma gémit légèrement, embarrassé à la révélation d'Akaza.

Douma : Espèce de bâtard pervers. Il marmonna, même si les mots lui manquaient.

Akaza : Je pensais que j'étais égocentrique, faudrait choisir.

Douma, marmonna un peu en réponse, regardant le mur du coin de l'œil tout en se délectant de la sensation des doigts d'Akaza en lui.

Douma : Tu es les deux.

Akaza : Yeah yeah comme tu dis magnifique.

Douma, gémit à la sensation d'étirement dans son cul, sa poitrine se soulevant lorsque les doigts d'Akaza bougeaient plus profondément en lui.

Douma : F-fais vite, connard. Murmura-t-il en réponse.

Akaza : Fallait, me le dire pervers. Il lui claqua le cul en souriant narquoisement.

Douma halète en réponse, levant les yeux en sentant les doigts d'Akaza se retirer.

Douma : P-pitié, Akaza. Il marmonna, tournant la tête pour regarder son mari.

Akaza : Docile hein ?

Douma, gémit plus fort à la pénétration soudaine, se penchant davantage contre le mur pendant que ses doigts s'accrochaient au bras d'Akaza.

Douma : Seulement pour toi...

Akaza : Tch, comme ci tu étais marié à un autre. Je vais tellement te remplir bébé.

Douma, soupire à l'affirmation de son mari, sa poitrine se soulevant à la pensée de se faire remplir son souffle saccadé.

Douma : idiot. Il soupira, embarrassé de dire à quel point il voulait cela. Juste fais-le me remplir.

Akaza, fit un sourire carnassiers face à cela, pressant davantage contre lui.

Akaza : Pas trop fort, tu ne veux pas que quelqu'un nous entende, n'est-ce pas ? Il murmura à l'oreille de Douma.

Douma, gémit, hochant rapidement la tête en réponse. "D'accord." Il murmura, prenant légèrement conscience qu'ils étaient quand même dans un lieu public. Akaza, hocha la tête en réponse, ses mains tenant fermement les hanches de Douma. Il commença à se retirer pour ensuite se rapprocher violemment, le bruit de la peau se cognant contre lui. Douma gémit lorsque Akaza se poussa en lui, sa tête se reposant contre son bras tout en essayant de retenir ses gémissements. Akaza poussa de plus en plus vite en Douma, une main montant légèrement pour prendre sa taille, le maintenant en place.

Akaza : Tu te contrôles si bien. Il murmura, passant sa main sur le ventre de Douma.

Douma : Seulement parce que nous sommes en public. Il murmura en réponse, appuyant contre le mur.

Douma, gémit à nouveau, son corps se tendant au contact d'Akaza. Akaza étouffa un rire, étonné de la frustration apparente de Douma.

Akaza : Tu es si adorable quand tu es comme ça. Il murmura, mordant l'oreille de Douma en le poussant davantage contre le mur.

Zoro gémit en réponse, sa poitrine se soulevant, son souffle court. Il détesta à quel point Akaza avait raison à propos de cela.

Douma : C-connard. Il marmonna en réponse, penchant sa tête sur le côté pour donner un accès plus facile à Akaza.

Douma, gémit plus fort, haletant contre le mur en sentant sa propre jouissance sur ses vêtements et le sol.

Akaza : Je vais venir.

Douma, sent à l'intérieur de lui se remplir, un certain degré d'embarras l'envahissant à la sensation de chaleur.

Douma : Merde.

Akaza : Qu'est-ce qu'il y a chéri ?

Douma, marmonna en réponse, essayant de reprendre son souffle.

Douma : Se faire remplir en public est embarrassant.

Akaza : J'ai envie de voir.

Douma, se raidit lorsque Akaza regarda son cul, embarrassé à la manière dont le rose le dévisageait en lui écartant les fesses.

Douma : Arrête de regarder.

Akaza : Tu es mon mari, j'ai le droit.

Douma gémit en réponse, regardant brièvement son ventre gonflé où la main d'Akaza se trouvait.

Douma : Putain... Fit-il, un sentiment d'embarras l'envahissait.

Akaza : Si tu étais une femme, tu auras déjà mon enfant en toi à ce stade.

Douma, rougit considérablement, surpris par les paroles de son mari mais surpris d'être attiré par l'idée néanmoins.

Douma : Ne dis pas ça. Il marmonna, essayant de s'empêcher d'y penser.

Akaza : Si tu veux, mais je suis vraiment bien déversé en toi ce soir.

Douma, gémit son visage rougissant à nouveau.

Douma : Je me rends compte bien compte. Il dit clairement embarrassé par la sensation dans son ventre.

Akaza : Rentrons à la maison, je vais tellement te baisé que même un homme pourra avoir un gosse.

Douma, rougit considérablement beaucoup plus qu'avant, surpris par la déclaration de son mari. Malgré cela, il ressentit néanmoins un pic d'excitation à l'idée et hochant la tête en signe d'accord.

Douma : Allons-y. Il dit, en attrapant la main d'Akaza, le laissant le couvrir de son manteau avant de ce faire porté courant jusqu'à leur voiture.

Fin.