Os 93 :" Justice Sois Faites" Hugo Lloris X Didier Deschamps X Bixente Lizarazu

Dernière partie très attendu.

Pdv bixente

Je gémis doucement en ouvrant mes yeux. Mais la lumière m'eblouis. Je les referme et les rouvres plus doucement pour m'y habitué. Une fois chose faite je regarde autour de moi mais je ne connais pas le décors.

On dirait que je suis dans un chalet allonger sur un lit. Mes mains sont liés derrière mon dos par solides cordes ainsi que mes pieds. Je tourne légèrement ma tête vers la droite et voit Hugo qui dort.

Moi : Hugo...

Les effets du chloroform commence doucement à disparaître chez moi. Je secoue comme je peu le brun qui grogne et ouvre enfin les yeux.

Moi : amour réveille toi.

Hugo : hum... On est où ?

Moi : je n'en sais rien. Je me souviens juste qu'on était dans la voiture avec l'inspecteur Daunier...

Hugo : et qu'il a ordonner à deux mecs de nous endormir...

Moi : oui....

On reste silencieux jusqu'à se qu'il se mette à se tortiller.

Moi : quesque tu fais?

Hugo : faut qu'on sorte d'ici bixente. S'il nous as enlever c'est parce que l'on et trop précieux pour Didier.

Moi : attend tes entrain de me dire que depuis le début il pourrait travailler pour se connard de Sullyvan.

Daunier : c'est exact messieur.

On tourne la tête et nous le voyons arriver avec les deux mecs qui nous ont endormi.

Daunier : je suis la taupe de messieurs Sullyvan. Je m'occupe de faire sauter toute infraction de sa part et celle de son fils.

Hugo : vous êtes un ripoux !!

Daunier : pas exactement messieurs lloris je me vois plutôt comme une taupe.

Moi : vous n'êtes qu'un salopard ! Vois vous rendez compte de ses que ses merdeux ont fait !!

Daunier : je m'en rend bien compte messieurs Lizarazu et c'est horrible se qui est arrivé à messieurs Deschamps mais mon patron m'a donner des ordres.

Moi : mais putain vous êtes sérieux là oh ! Ces mômes ont violer notre compagnon !! Merde il avait rien demandé à personne !!

Daunier : je le sais bien mais j'ai des ordres je dois forcer messieurs Deschamps à retirer sa plainte.

Hugo : jamais il le fera !!

Daunier : oh mais pour ça messieurs lloris j'ai un moyen de pression redoutable : vous deux.

Moi : jamais Didier ne cédera a votre chantage !

Daunier : vous croyez vraiment pourtant il tient beaucoup à vous deux vu la façon dont il a essayé de vous retenir quand on vous as embarquer.

Hugo : vous êtes degeulasse de vous servir de nous !

Daunier : pourtant c'est la vie. Mais ne vous en faites pas d'ici demain vous serez libre et vous pourrez retrouver votre compagnon sans aucune égratignures si il fait tout se qu'on lui demande.

Hugo : FILS DE PUTES !!

Mon copain essaye de relever mais vu que ses mains sont aussi attaché et bien il tire dessus et tire en même temps sur mes liens que se ressert. Je ne peu retenir un hurlement de douleur en sentant les cordes me couper la circulation du sang.

Hugo : bixente !

Daunier : ah oui j'ai oublier de vous préciser que vos pieds et vos mains sont relier ensemble donc si l'un de vous bouge les liens de l'autre se ressert automatiquement et lui coupe la circulation sanguine.

Hugo : vous êtes un grand malade ! Desserrer lui ses liens !!

Daunier : non. Prenez cela pour un avertissement. Sortons.

Lui est ses deux toutous sortent. Moi j'ai toujours aussi mal à mes mais et j'essaie tant bien que mal de desserrer un peu mes liens.

Hugo : chéri ça va ?

Moi : non... J'ai mal Hugo...

Hugo : tu dois pas rester allonger. Il faudrait que puisse t'asseoir contre la tête de lit. Au moins le sang pourra essayer de mieux circuler.

Moi : et comment ont fait... On risque de te couper la circulation et moi encore plus.

Hugo : on va bouger en même temps et doucement. D'accord ?

Moi : d'accord.

Hugo : ok. Aller relève toi lentement.

Lui et moi essayons de nous relever comme nous le pouvons sans tirer sur les liens. Après plusieurs minutes à galères on se retrouve enfin assis contre la tête de lit.

Hugo : ça va un peu mieux ?

Moi : bof... Je commence à ne plus sentir mes mains.

Hugo : les liens vont peut être se desserrer tout seul si on ne bouge pas.

Moi : peut être...

Je pose ma tête sur son épaule et lui la sienne sur la mienne.

Moi : quesqu'on fait maintenant ?

Hugo : rien. On n'a plus qu'à attendre même si j'espère que Didier ne cédera pas.

Moi : l'ancien Didier non mais le nouveau nous aime trop pour nous laisser ici.

Hugo : oui même si j'espère qu'une part de l'ancien reprendra le dessus sur le nouveau.

Je soupire et me sert un peu plus contre lui.

Pdv Didier

Je suis recroquevillé sur le canapé de Marcel. Mon ami lui est assis en face de moi avec les 3 journaliste de telefoot.

Grégoire : Didier regarde nous.

Je lève mon regards vers lui.

Grégoire : ils ne vont pas les garder éternellement. Ne t'en fais pas. Ils ont rien contre eux.

Frédéric : euh quand même ça fait presque 6h qu'ils sont au commissariat.

Thomas : c'est vrai ça. C'est bizarre même s'il les avaient mis en garde à vue ils nous auraient prévenu.

Grégoire : bon j'ai compris on va au comico.

Je saute sur mes jambes et court me changer. Je redscend en courant.

Marcel : je crois qu'il veut venir avec vous.

Frédéric : on s'en douter. Aller vient.

Je sourit légèrement et les suis jusqu'à la voiture ou je m'attache sur le siège arrière derrière le conducteurs. Greg nous conduit au commissariat et on descend.

On entre et le présentateur de telefoot s'adresse à l'accueille.

Grégoire : excusez moi nous aimerions voir le commissaire Daunier s'il vous plaît ?

Dame : il n'est pas là mais je vais appeler l'inspecteur en chef constant.

Grégoire : pas de soucis.

Elle prend son téléphone composé un numéro et parle pendant quelque seconde avant de raccrocher.

Dame : messieur Constant vous attend dans son bureau.

Grégoire : merci. Venez.

On le suit et nous arrivons devant une porte. Mon ami toque et une voix forte nous dit d'entrée. Greg ouvre la porte et nous entrons. Un homme d'une quarantaine d'années, costaud vient nous saluer.

Constant : je suis ravi d'avoir de grand journaliste dans mon bureau et un double champion du monde.

Je sourit légèrement gêné.

Grégoire : merci mais nous ne sommes pas ici en tant que journaliste.

Constant : je pense bien. C'est à propos de se qu'il est arrivé à messieurs Deschamps ?

Frédéric : oui.

Constant : bien assez vous et expliquez moi tout.

On s'assoit et mes amis lui explique toute l'histoire.

Constant : donc le commisaire Daunier et venu arrêter messieurs Hugo Lloris et Bixente Lizarazu?

Thomas : oui.

Constant : et bien je suis désolé de vous l'apprendre mais vos amis ne sont pas ici et le commisaire Daunier et un ripoux. Nous enquetons sur lui depuis plusieurs mois.

Grégoire : quoi ?!! Mais où sont Bixente et Hugo alors ?!

Frédéric : et quesquil as fait?

Constant : votre ami n'est pas le seul à avoir parter plainte contre le fils Sullyvan pour viol et aggression. Il y a eu aussi messieurs Pochettino.

Thomas : le coach du psg ?!

Constant : oui et aussi Thomas Tuchel et Edison Cavani.

Mon visage devient blanc. D'autre coach on aussi était abuse par ses monstres. Je sers mon maillot dans ma main.

Grégoire : Didier n'est pas le seul alors...

Constant : hélas non.

Frédéric : et comment ça ce fait qu'il n'est jamais était condamné ?

Constant : quelqu'un s'occupe de les faire disparaître comme les amende et contravention. Quelquun comme le commisaire Daunier qui nous le savons maintenant travailler pour Mrs Sullyvan.

Thomas : ok mais Hugo est bixente ?! Il en as fait quoi ?!

Ah se moment la mon portable vibre dans la poche de mon sweat. Je le sors et voit un message de Bixente ! Un grand sourire apparaît sur mon visage mais il disparaît rapidement et est remplacer par des larmes en voyant de quoi il s'agit.

Frédéric : Didier quesque tu as?

Mon corps tremblant à cause des larmes je tourne l'écran de mon téléphone vers eux.

Grégoire : oh putain dites moi que c'est pas vrai.

Celui qui détient le téléphone de l'un de mes compagnons vient de m'envoyer une photo ou l'on voit mes deux amour endormi l'un à coter de l'autre avec un message.

Thomas : " RETIRE TA PLAINTE OU DIT ADIEU À TES DEUX MECS". Maintenant on sait se qu'il veut.

Je reprend mon téléphone est tape une phrase que je leur tend.

Grégoire : " je veux retirer ma plainte !!" mais Didier ne fait pas ça !!

Je fais un grand signe de tête en pleurant. Il comprend pas !! Je veux pas les perdres !!

Constant : messieur Deschamps je comprend tout à fait ce que vous ressentez mais rien ne nous garanti qu'il les relâchera après.

Grégoire : il as raison Didier. On va trouver une solution pour les sortir de la je te le promet.

Je ferme les yeux en pleurant toujours. Putain mais faite se que je vous dit merde !! Ce sont mes deux amours !! Sans eux je ne suis rien !!

Moi : je.... Je...

Thomas : les gars il veut dire quelque choses.

Frédéric : on le voit bien ! Vas y doucement Didier !!

Moi : je... Aimes....

Grégoire : on sait que tu les aimes d'un amour puissant tout les deux mais je viens de te faire une promesse et je vais la tenir.

Constant : bien le temps nous est compté. Messieurs Deschamps vous et vos amis aller être mis sur écoute avec un peu de chance s'il vous recontacre nous pourront les localiser.

Frédéric : et s'il rappellent pas ?

Constant : nous aviserons. En attendent voici mon numéro pour mon contacter.

Grégoire : merci. Aller venez on rentre.

A contrecœur je les suis et une fois dans la voiture Greg souffle.

Grégoire : Thomas tu peux regarder sur internet toute les propriété de Mrs Sullyvan ?

Thomas : euh... Oui mais pourquoi ?

Grégoire : ils a du les emmener dans un endroit qui lui appartient. Cherche en priorité des endroit isolé comme...

Thomas : un chalet ? Perdu au milieu des bois de Fontainebleau ?

Grégoire : parfait on va aller jeter un coup d'œil.

Il me regarde et je sourit.

Grégoire : je te l'avais dit qu'on aller les retrouver. Enfin on va voir s'ils sont bien là bas et après on previen les flics.

Frédéric : je ne sais pas si c'est une bonne idée.

Thomas : ta autre chose à proposer ?

Frédéric : non mais c'est pas une bonne idée dans le sens où si on tombe sur ses 3 merdeux notre sélectionneur n'est envi de se venger.

Grégoire : tu crois vraiment qu'il pense à ça la ?! Oh ce que Didier veut déjà c'est avoir Hugo et Bixente près de lui ! Le reste il s'en fout !

Pas tout à fait. S'il touche à eux je les tue. Me faire du mal c'est une chose en faire a hugo et Bixente c'en est une autre.

Pdv Hugo

Bixente c'est endormi contre moi. Je regarde ses mains qui sont toute bleu du manque de circulation du sang. Je pose ma tête contre la sienne et m'endors.

Je suis réveiller par des rire étouffés. Je rouvre mes yeux et voit Didier, torse nu, assis en califourchon sur mon bassin et qui me sourit.

Didier : tu sais que t'es mignon quand tu dors ?

Moi : je le sais parce que tu me le répète tout le temps.

Didier : et puis y a pas que ça qui est mignon chez toi mon amour. Tout est mignon. Ta façon de rire de parler, de rougir quand je te fais des compliments.

Toute en disant ça il m'embrasse le cou et remonte doucement vers mes lèvres pour m'embrasser. On se sépare du manque de souffle et je tâte la place à coter de moi pour toucher bixente mais elle est vide.

Je me relève légèrement et regarde autour de nous. Nous sommes que tout les deux sans notre liza. Didier me dévisage.

Didier : quesque tu as?

Moi : bixente ou il est ?

Didier : Bixente ? Quesquil vient faire la dedans ?

Moi : on n'est ensemble. Tout les trois. On n'a tenter un Trouple. Tu te rappelle on t'avais demandé de choisir et tu nous avais quitté. A'lrs on n'a décider de tenter se Trouple.

Didier : ah oui et mon ancien moi avait accepté.

Moi : ton ancien toi...

Didier : oui celui que j'étais avant se drame.

Il m'embrasse mais je le repousse.

Moi : mais alors où est bixente ?

Didier : vous m'avez demandé de choisir et j'ai choisi toi. Parce que tu t'occupe plus de moi que lui.

Moi : ça c'est pas vrai !

Didier : moi ancien aurait dit pareil mais moi je te dit que non.

Moi : et ben je ne veux pas du nouveau toi.

Didier : pourtant tu devra m'accepter.

Moi  : non ! Même après se qui t'es arrivé moi et Bixente arriverons à faire revenir l'ancien toi ou à te faire devenir quelqu'un de meilleur. Mais sûrement pas comme ça !

Il me regarde et me sourit.

Didier : je le sais bien mon cœur que toi et Liza ferait tout pour moi. J'avais juste besoin d'être rassuré.

Moi : on sera toujours là pour toi chaton. On t'aidera à surmonter ça à reprendre confiance en toi à retrouver la parole.

Didier : vous le faites déjà. Maintenant je veux que tu veille sur bixente le temps que j'arrive avec des renfort. Je vous aimes d'un amour si fort que parfois ça me fait mal.

Moi : c'est pareil pour nous mon amour. C'est pareil pour nous.

Il me sourit et me ferme les yeux. Je les rouvres, et je me retrouve assis avec bixente contre moi dans se chalet. D'ailleurs il relève la tête.

Moi : comment tu te sens ?

Bixente : je sens plus du tout mes mains... Je pourrais pas tenir longtemps comme ça.

Moi : aie confiance Didier va arriver avec des renforts.

Bixente : comment tu peut en être sur ?

Moi : je le sais c'est tout.

Je lui sourit et il me le rend. Je lui embrasse le bout du nez puis les lèvres. On se sépare et la porte souvre sur ses fdp de flic, le gros connard de Jacques avec son merdeux de fils et ses potes.

Jacques : boujour messieurs. Je suis désolé d'en arriver là mais je dois protéger mon fils.

Moi : et le laisser recommencer.

Jacque : croyez le ou pas je vais lui donner une bonne leçon une fois tout ça terminer.

Bixente : mais bien sûr...

Jacque : vous sembler mal en point messieurs Lizarazu.

Moi : votre putain de flic lui a couper la circulation sanguine des mains.

Daunier : rectification : c'est vous qui lui avez couper.

Je grogne et le foudroi du regard.

Moi : s'il vous plaît desserre lui un peu ses liens.

Jacque : dites moi pourquoi je ferai ça pour vous.

Moi : pas pour moi ! Pour lui !

Jean pierre : mdr.

Moi : toi ferme la violeur !

Le merdeux s'approche de nous et nous foudroi du regard.

Jean pierre : toi ferme la ! Parce que quand on s'o couper de ton copain il a quand même essayé d'appeler à l'aide. Et devine qu'elle nom il a hurle ? Le tien. Sa voix était tremblante, il avait tellement peur de se qu'on aller lui faire qu'il penser que tu vienne le sauver ou que son commentateur aller venir le sortir de la. Mais non vous n'êtes pas venu.

Moi : fils de pute !

Bixente : Zoaz ipurdia izorratzera!! ( va te faire enculer !!)

Je ne peux m'empêcher de pouffer de rire.

Jacques : quesquil as dit à mon fils ?!

Moi : qu'il aille se faire enculer.

Il sert les poigns et aller se jeter sur nous quand il se retrouve plaquer par Greg et Fred et que daunier se fasse assommer par Thomas. Le merdeux cherche à s'enfuir mais notre copain sort de derrière une porte et pointe un flingue sur lui. Sûrement celui de Daunier.

Il le tient en joue et ne baisse pas le regard alors que le mecs la il se chie dessus mais la il devrait baisser son arme. Je le voit mettre son doigts sur la gâchette.

Grégoire : NON DIDIER!!

Frédéric : DIDIER FAIT PAS DE CONNERIES !!

Notre compagnon ne daigne même pas à les regarder et fixer méchamment Jean pierre.

Bixente : Didier... Nire maitasunak ez du horrelakorik egiten ( mon amour ne fait pas ça)...

Il lâche du regard le merdeux et nous regarde légèrement.

Moi : regarde nous chatons. Regarde nous.

Il nous regarde tout les deux mais ne baisse pas son arme.

Moi : ne fait pas ça tu risque de le regretter. Nous sommes là bixente et moi on ne te laissera jamais. Tu le sais ça hein ? Tu le sais qu'on t'aime d'un amour si puissant que parfois sa nous fait mal ?

Il hoche doucement la tête de haut en bas et lâche quelque larmes.

Moi : alors baisse cette arme chaton. Ils sont foutu. Toi tu va renaître.

Bixente : comme un Phoenix qui renaît de ses cendres. Tu va te relever et nous on sera là.

Il nous regarde lâche le flingue et court nous sauter au cou en pleurs.

Didier : vo... Vous... Aimes...

Moi : nous aussi chaton nous aussi.

Il nous embrasse et nous détaché. Je me dépêche de regarder le mains de bixente.

Moi : fait les fonctionner. Didier aide le moi je vais aider Greg Fred et Thomas.

Bixente : ok chéri.

Je me lève et aide les 3 journaliste à enfermer ses 6 connards.

Grégoire : j'ai appeler le commissaire Constant. Il sera là dans un peu près 20 minutes.

Moi : ok. Attendez.

Thomas : quoi quesquil y a?

Moi : daunier il était accompagné de deux hommes armes.

C'est à se moment là qu'un coup de feu retenti et qu'une vitre se casse. On se baisse tout les quatre et Bixente arrive en courant et en tenant la main de Didier.

Il s'allonge et serrant Didier contre lui.

Bixente : la balle nous a effleuré. Heureusement que Didier l'avait vu.

Frédéric : quesqu'on fait maintenant ? On n'a rien pour se défendre.

Moi : si.

J'attrape le flingue que Didier avait et regarde s'il est charger.

Moi : y a 3 balles dedans. J'aurais le droit qu'à un seul raté.

Bixente : Hugo...

Moi : t'en fais pas je m'en servirai que si il nous attaque vraiment.

Thomas : comme la.

Je regarde Bixente et Didier. Je sers mon arme et la pointe vers la porte près a tiré sur le moindre personne.

Des pats se font entendre je seers mon arme sans trembler la porte souvre et je m'apprête à tire quand je voit que c'est un flic avec un gilet par balle.

Je lâche mon arme alors qu'il a noce par talkie qu'il nous a trouver. Il nous aide à nous relever et nous conduit dehors alors qu'il arrête tout le monde.

Une ambulance et la est que les ambulancier examine les mains de mon deuxième Basque. Ils les bandes et me regarde. Ensuite on nous raccompagne chez Marcel.

Constant : nous aller les transférer en prison d'ici demain. Le juge vous convocera pour le procès. En attendant voici l'adresse d'une psychologue.

Bixente : merci mais je ne croit pas que Didier soit d'accord.

Constant : pour tant cela pourrait lui faire le plus grand bien réfléchissez bien.

Il me donne la carte et s'en va. Je regarde Bixente. Oui on va y réfléchir.

2 semaines plus tard

Bixente et moi attendons Didier dans la salle d'attente de la psychologue. On la forcer à y aller. On n'a reçu des nouvelles du juges. Il a mis le père sully an son fils est ses deux copains en examen pour viols Agression, enlèvement et séquestration. Comme pour daunier.

Moi : je n'arrive toujours pas à croire qu'ils aient fait la même chose à Mauricio...

Bixente : moi aussi... Mais dit toi qu'on leur a tous rendu justice.

Moi : oui.

Je me cale contre lui et environ 10 minute plus tard elle vient nous chercher.

Dame : vous pouvez entrer.

Nous nous levons et entrons. Didier et deja assis. On s'assoit aussi. Elle s'installe et nous regarde.

Dame : j'ai... Communiquer avec votre compagnon. Et comment dire le fait qu'il ne parle presque pas m'inquiète.

Moi : nous aussi mais on lui laisse le temps.

Dame : je vois en tout cas il accepte de plus en plus les contacts physiques ce qui est un grand pas malgré les quelque crises de panique qu'il fait.

Bixente : oui mais nous arrivons facilement à les calmer.

Dame : je vois... J'ai penser à quelque chose pour l'aider.

Moi : nous vous écoutons.

Dame : tout les 3 n'avez pas d'enfants. Donc je pense que vous devriez adopter un enfant.

On se regarde tout les 3 et je peut voir Didier sourire comme un enfant.

Bixente : oui c'est une bonne idée.

Dame : alors voici l'adresse d'un orphelinat.

Moi : merci. Nous irons des demain.

Elle nous sourit et nous salut nous rentrons chez bixente vu que nous allons passer quelque jour de vacances au pays Basque.

Le lendemain

Pdv Didier

Nous arrivons à l'orphelinat. Hugo et Bixente me prennent la main que je sers tout exiter. C'est vrai que j'ai toujours voulu avoir un enfant mais je penser que cela ne serait plus possible à mon âge.

Nous rentrons et le directeur nous acceill avec un sourire un peu faux pour moi.

Directeur : messieurs que puis je faire pour vous ?

Bixente : nous aimerions adopter un enfant.

Directeur : oh désirez vous un garçon ou une fille ?

Hugo : et bien c'est notre compagnon ici présent qui choisira.

Directeur : très bien suivez moi.

Nous le suivons à travers les couloirs ou il nous présente plusieurs enfants mais aucun ne correspond à se que l'on recherche.

Je commence un peu à désespéré quand nous arrivons devant une chambre où plusieurs jeune fille sont rassemble autour d'un lit et on l'air de se moquer.

Directeur : mesdemoiselles arrêtez ! Et aller en classe !!

Elles sortent en pouffant toujours et je peut voir sur le lit une jeune fille de 14 ou 15 ans recroquevillé sur elle même.

Hugo : pourquoi cette jeune fille ne va pas avec les autres ?

Directeur : oh elle c'est un cas désespéré. Plus personne ne l'adoptera mais suivez moi la bas vous verrez les jeune fille de 6 a 9 ans.

Lui et mes deux amours reprenne leur marché maus moi je reste figé devant cette jeune fille qui a l'air d'avoir besoin d'aide. On dirait moi après mon viol...

Je souffle et entre doucement. Je m'approche doucement et elle relève la tête vers moi avec ses joues baigner de larmes et qui recule légèrement. Ça me fait mal au cœur. Jelui sourit tendrement pour la rassurer.

Moi : bonjour.

C'est sorti tout seul ! J'ai enfin parler sans forcer sur ma voix.

Elle : bonjour...

Moi : comment tu t'appelle ?

Elle : Luna... Et... Et vous ?

Moi : je m'appelle Didier Deschamps. Enfin je ne sais pas si..

Luna : le sélectionneur de l'équipe de France ?

Moi : en personne.

Un sourire se dessine sur son visage et ça me réchauffe le cœur. Je m'assois sur son lit mais elle a un mouvement de recul que je connais trop bien.

Moi : tu n'as pas à avoir peur. Je ne te ferai rien.

Luna : c'est se que mon dit ses deux hommes avant...

Sa voix se brise et des larmes coulent sur ses joues. D'un geste tendre je lui essuie.

Moi : je sais se que tu ressens...

Elle me regarde avec ses yeux brillant de larmes.

Moi : il y a presque deux mois juste après notre défaite face à la Suisse 3 jeunes hommes m'ont violer.

Elle me regarde les yeux grand ouvert.

Moi : suite à sa j'ai tenter de mettre fin à mes jours heureusement l'un de mes copains m'a sauver. Et après je ne supporter plus aucun contact même avec mes deux compagnons. Et je suis devenu muet. Petit à petit j'ai accepté qu'il me touche qu'ils m'embrasse mais pour la parole. Ça voulait pas sortir. Et je vais te surprendre mais c'est en venant te voir que j'ai retrouver la parole.

Luna : ah bon?

Moi : oui quelque chose m'a attirer vers toi comme si je savais que tu ressentait la même chose que moi et comme si... Je sais pas comment expliquer mais ça m'a permis de redevenir moi même.

Luna : c'est étrange mais depuis que vous êtes là je me sens mieux...

Moi : ses filles... Elles te harcèle ?

Luna : oui parce que...

Des larmes perlent au coin de ses yeux pour la rassurer je lui prend ses mains et lui sourit.

Luna : je suis peut être enceinte...

Je sers sa main et par pire instinct la prend dans mes bras et la sers contre moi. Elle se sert plus encore et c'est se moment la que mes deux chéri rentre.

Hugo : ah ben t'es la ! Ça fait une demi heure qu'on te cherche partout chaton.

Moi : désolé mes amours mais j'ai parler un peut avec Luna.

Tout les deux se figent et me regarde les yeux exorbiter.

Bixente : tu reparle?!!

Moi : oui grâce à Luna.

Hugo : Luna ??

La jeune fille s'écarte un peu de moi et les regarde avec des yeux qui pétillent de joie.

Luna : Hugo Lloris et bixente Lizarazu...

Bixente : bonjour tu as l'air de nous connaître ?

Luna : j'adore le foot je joue à poste de gardienne et j'adore aussi le surf.

Hugo : gardienne c'est cool ça.

Mes deux chèri s'assoient et nous discutons avec l'adolescente qui comme moi retrouve le sourire.

Bixente : Luna si nous sommes venu ici c'était pour adopter un enfant et ainsi aider Didier à revivre. Mais c'est lui qui t'a trouver.

Hugo : Je crois que tu lis dans mes pensée Liza. Luna tu aimerai qu'on tadopte ?

Elle nous regarde choquer mais je lui sourit doucement.

Luna : j'aimerai beaucoup mais le directeur a dit que je ne mériter pas qu'on m'adopte parce que je suis peut être enceinte.

Moi : ma chérie tout enfant orphelin mérite d'être adopter et toi aussi.

Bixente : Didier a raison. Nous sommes venu pour tadopter et tu repartira avec nous.

Elle sourit. Mes deux compagnons partent chercher les papiers et j'aide l'adolescente à ranger ses affaires.

Hugo et Bixente reviennent le sourire au lèvre et me tendent des papier.

Hugo v ça y est. Tu est officiellement notre fille Luna.

Luna : c'est vrai?!! Trop bien !! J'ai trois papas !!

Elle nous saute dessus et je sourit. Nous sortons de l'orphelinat et rentrons. Je montre sa chambre à Luna qui range ses affaires.

Moi je prépare à manger avec Hugo. Notre fille descend et nous regarde.

Luna : je... Hum...

Hugo : oui chérie?

Luna : comment je dois vous appeler ?

Moi : c'est comme tu veux ma puce.

Luna : d'accord alors papa Didier, papa Hugo et papa bixente.

Bixente : moi sa me convient. Euh je peut savoir se que vous faites tout les deux ?

Hugo : ben ça se voit pas on prépare le dîner.

Bixente : je vous arrête tout de suite vous ne toucherez pas à un seul ustensile de cuisine.

Luna : pourquoi tu veux pas qu'ils cuisine papa bixente?

Bixente : m'a chérie tu sera que t'es deux paoa la est bien sont les pires cuisiniers que la terre est porter.

Luna rigole et on ne peut que faire de même.

Hugo : je commande pizza alors ?

Bixente : je préfère. Je vais surfer un peu vous voulais venir ?

Luna : oh oui et tu pourra m' apprendre?

Bixente : bien sur. Aller venez.

Nous le suivons et je me sers contre Hugo.

Moi : tu avais raison un phénix renaît toujours de ses cendres.

The end
Voici la fin de cette mini fiction j'espère qu'elle vous aura plu

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