Suite du premier os commander par kentia78.
Je tien à m'excuser de ma petite absence suite à mon retour mais j'ai repasser mon permis et cette fois ça c'est bien passé ( je les eu !!!) . Et j'ai était voir kaamelott au ciné et il est génial !!!! Mon dieu Arthur et trop trop beau et j'hésite à reecrire les os que j'ai fait sur cette histoire. Dites moi se que vous en pensez.

Ah et une dernière chose, suite à l'os que j'ai publier " Partouze General" on m'a dit que les parole crus que j'ai employer on m'a dit que mon histoire pourrait devenir payante. Je ne sais pas quoi en penser mais je le répète si les lemons vous gène ne lisez pas mon histoire ou l'os.

Voilà et j'espère que cette suite vous plaira.

Pdv luis

Je me gare devant la villa du français qui m'a demandé de venir le chercher pour l'entrainement. Je tapote mes doigts nerveusement. Je vais lui avouer les sentiments. C'est décider.

Ça fait plusieurs mois que j'y pense, que j'ai essayé de lui dire mais au dernier moment je me suis dégonfler au grand dam de Leo Arturo et des autres.

Le champion du monde sort de sa maison tout sourire et rentre côte passagers et m'embrasse la joue.

Antoine : salut luis ! Comment ça va ?

Moi : très bien et toi aussi a se que je vois.

Antoine : oui grâce à toi ! Je déprime plus du tout ! Et hier j'ai viré tout les cadeaux que se connard m'avait fait et j'ai mis ceux que toi est les autres vous m'avais offert surtout la photo.

Je sourit. On lui as offert pour son anniversaire un cadre avec plein de photo de nous, fessant des grimace, pendant les entraînement...

Ils était ému qu'on lui offrent ça est moi je lui ai offert un de mes maillots de l' équipe nationale avec ma signature et maintenant à chaque fois que je dors chez lui il le met.

Moi : c'est cool. Tu as réussi à passer le cap.

Antoine : oui. Grace a vous et surtout à toi. Tu m'a emmener au ciné, au restau, on n'a même campe avec ousmane Leo et Sam.

Moi : ah oui je m'en rappelle. Sam a failli cramer la tante en voulant éteindre le feu et une braise à voler.

Antoine : et avec Leo on n'a couru chercher de l'eau à la rivière. Alala quesqu'on à rigoler.

Je sourit et me concentré sur la route et aussi à comment aborder le sujet de mes sentiments avec lui. Je tapote le volant avec mes doigts tout en conduisant.

On arrive au centre en avance d'une bonne demi heure. J'allais sortir mais Antoine me retien.

Antoine : ça va Luis? Depuis tout à l'heure tu n'a pas décrocher un mot . Et puis quand tu tapote quelque chose avec tes doigts c'est que y un truc qui te préoccupe.

Moi : oh... Et bien je...

Je le regarde dans ses yeux si bleu. Je m'y perd souvent dans son regard. Comme la d'ailleurs.

Antoine : Luis. Luis ohoh. Tu étais entrain de me dire quelque chose mais tu t'es arrêter au début de ta phrase.

Moi : oui.. Je... Antoine ce que je vais te dire risque de... De comment dire... Brisée notre amitié.

Antoine : ta commis un meurtre ?

Je le regard en fronça t des sourcils.

Moi : non.

Antoine : ah ouf. Attend ta quand même pas participer à un kidnapping ? Ou non attend tu fais partie de la mafia ? Ou pire tu te drogue ?

Moi : non grizou c'est pas un truc illegal.

Antoine : ah ouf.

Moi : c'est sentimentale.

Il me regarde sans comprendre.

Antoine : sentimentale ? C'est à dire ?

Moi : c'est a dire que depuis que j'ai Oise mon regard sur toi et ben j'ai eu le coup de foudre ! Je suis tombé amoureux de toi ! Voilà ! Maintenant que c'est dit tu va me détester me frapper et j'en passe.

Antoine : et si je t'embrasser du con ?

Moi : de quoi?

Et sans que je m'y attend il pose ses lèvres sur les miennes. Mon dieu se que j'en ai rêver de se moment la.

Je passe ma main derrière sa nuque pour approfondie le baiser. Mais malheureusement par manque d'air nous sommes obligé de nous séparé.

Je ne dis rien et regarde le français qui me sourit.

Antoine : alors ta l'impression que je te déteste ?

Moi : non...je me sens un peu bête du coup. Je peux te t'embrasser ?

Antoine : tu n'a même pas besoin de demander.

Je sourit et me jeté sur ses lèvres pour l'embrasser passionnément. Quand 3 abrutis saute sur mon capot en hurlant et en nous fessant sursauter. Putain mes sérieux Sam et ous je comprend mais Leo.

Moi : mais vous êtes complètement con !

Ousmane : ça y est mon vieux ta pécho grizou !!

Lionel : enfin !!

Samuel : Luis Suarez ! Luis luis luis Suarez !

Moi : descendez de mon capot bande d'abrutis !!

Antoine : vous allez la péter !!

Ousmane : dit tout de suite qu'on est gros !

Je regarde mon amant et tout les deux nous avons un sourire malicieux.

Moi : oui !

Samuel : oh !! Je suis outré par vos paroles messieurs !!

Moi : et ben soit outré ailleurs que sur mon capot samolo !!

Lionel : je ne suis pas gros moi !

Antoine : bouge de la on t'a dit !!

L'argentin et les deux français descendent enfin de mon capot. Je sors suivi d'Antoine et le sers contre moi. Je remarque que d'autres de nos coéquipiers sont arrivés et on donc assister à la scène.

Arturo et frenkie son mort de rire. Philippe lui se retien et Gérard lève ses pouces en l'air vers moi. Mon dieu mais qu'elle équipe de taré.

Nous entrons des les vestiaires et je sens bien les regard sur nous. Antoine lui rougis de gêne et je décide de mettre tout de suite les choses au clair.

Moi : le premier qui fait un commentaire, une blague ou nous chambre je le mord jusqu'à l'os et il pourra pas jouer le 3 prochain match c'est clair ?

Plus personne ne parle et tous baissent leur regard. Je souris et souris à Antoine avant de me baisser à son oreille.

Moi : tu veux bien être mon petit amis désormais ?

Antoine : bien sur mais on prend notre temps.

Moi : y a pas de soucis mon chéri.

Antoine : ouah tu parle bien français.

Moi : edi ma était d'une grande aide pour m'apprendre très rapidement à te dire je t'aime.

Il me sourit et m'embrasse. J'en entend un pouffer. Et je le reconnais très bien. Je crois bien que je vais mettre ma menace à exécution sur notre petit Dembele.

End
J'espère qu'il vous aura plus