Os 82 : "Justice Sois Faites" Hugo Lloris X Didier DeschampsXBixente Lizarazu

Deuxième partie de cette histoire

Le lendemain midi

Pdv Hugo

Je prend mes affaires est celle de Didier qui est derrière moi avec un gros pull. Je lui sourit doucement. Il n'a pas beaucoup dormi et moi non plus d'ailleurs. Je suis resté avec lui jusqu'à se qu'il sorte.

Karim s'approche de moi et prend mes affaires des mains.

Karim : tait toi et vient avant que des regard indiscret nous regardent.

Je fais signe à Didier de nous suivre. Nous sortons de l'aéroport et nous nous dirigeons vers les voitures mises à disposition par la fff.

Marcel sort de l'une d'elle et se dirige vers nous.

Marcel : bixente ma appelle se matin. Tout est prêt. Comment il va ?

Moi : mal. Il ne veut rien avaler et il refuse que quiquonque le touche.

Marcel : même toi et Bixente ?

Moi : même moi et Bixente.

Marcel : bon allée venez on rentre comme ça vous pourrez vous reposez.

Je me suis et monte devant coter passager. Didier monte derrière seul et s'attache. Nous arrivons chez lui et je reprend nos affaires.

Marcel : votre chambre et au deuxième étage. Je vous ai donner la plus grande avec un balcon.

Moi : merci tu n'étais pas obliger. Tu viens mon cœur.

Je monte les deux étages avec nos valises. J'ouvre et directement Didier foncé vers la salle de bain. Le médecin m'avait prévenu que c'était normal pour les victime de viol.

La première chose qu'il pensent c'est à se laver pour se nettoyer de tout ça. Mais vu qu'il va sûrement s'enfermer je préfère déjà retirer certaines choses 

Moi : bb avant de t'enfermer tu va me donner toute les lame de rasoirs et tout les medocs.

Il me regarde et s'exécute. Il me les donne et je lui donne des vêtements de rechange qu'il hésite à prendre pour ne pas risquer de me toucher.

Je soupire légèrement et les poses par terre.  Il les prends et s'enferme. Je soupire et retiens mes larmes. C'est dure putain de voir un de ses copains comme ça et ne pas pouvoirs l'aider.

Je souffle et range nos affaires. Puis je descend faire un truc à manger pour nous deux et en our des message a bixente.

Pdv didier

Je ferme la porte à clé derrière moi. Même si je sais que Hugo ne me fera rien. Tout comme bixente.  Je me dépêche de retirer mes vêtements et de file sous la douche.

Je met l'eau chaude et me frotte le corps frénétiquement. Je veux me débarrasser de leur odeur. De leurs toucher de tout.

Mon corps devient vite rouge à force de frotter comme un malade. Je regarde mes mains et certains flash me reviennent en mémoire.

Plaquer violement contre un mur, ceinture, insulte, toucher, pute.

Je respire difficilement, je fais une crise de panique. Je me recroqueville sur moi même et pleure. Comment. Je vaus faire? Comment je vais pourvoir retrouver ma vie d'avant avec Hugo et Bixente ? Comment je vais pouviir refaire confiance ?

Je me calme et continue de me laver. Je sors et m'habille. Je sors de. La salle de bain Hugo est allonger sur le lit sur son téléphone. Je foncé dans les draps mais je me rend compte de la proximité de nos corps et je recule.

Hugo : j'ai apporté des fruit et des chips parce que j'ai fait cramer les pâtes.

Je sourit. Hugo a toujours était nul en cuisine. De nous trois c'est bixente le meilleur cuisinier.

Hugo pose le plateau entre nous et prend un paquet de chips moi je prend une fraise et Hugo me regarde.  Je froncé des sourcils et le regarde.

Hugo : bixente ira te cherche les médicaments qu'on t'a prescrit demain et il en profitera pour prendre aussi le test de grossesses.

Le test de grossesse ?! C'est quoi cette histoire ?!

Hugo : le médecin nous as dit que certains hommes pouvaient avoir des enfants et que dans ton cas par pure précaution il faudrait faire un test.

Il est quand même pas entrain de le dire que je peux tomber enceinte de mes violeurs ?!! Ma respirat s'accélère. Je sors du lit et court m'emfermer dans la salle de bains en pleurs. Mon Cauchemar n'est pas terminer on dirait.

Le lendemain matin

Pdv bixente

Je suis dans la voiture avec Greg et Fred. Je m'arrête devant une pharmacie et souffle.

Grégoire : je sais que c'est compliquer bixente mais il faut qu'il le fasse. Pour au moin être sur.

Moi : et si il est positif ?

Frédéric : alors il pourra avorter. Il y a des solution bixente.

Je soupire et sort. Je rentre et donne la liste de se qu'il me faut. Je paie et repart dans la voiture. Je me remet au volant en soufflant.

J'aller démarrer quand mon téléphobe sonne je décroché.

Conversation téléphonique

Moi : allo ?

... : allo vous êtes bien messieurs bixente lizarazu ?

Moi : euh.... Oui mais vous êtes qui ?

... : je suis commissaire à la PJ de Paris. On vient de me transférer le dossier sur le viol de votre compagnon Didier deschamps.

Moi : oui on m'a dit qu'il serait transféré d'ici deux jours en France.

... : bien. J'ai reçu les résultats des échantillons de spermes prélevées sur votre compagnon. Les scientifiques on réussi à séparer 3 adn différents.

Moi : c'est à dire ?

... : votre compagnon c'est fait violer par au moin trois personnes différentes.

Je reste abasourdie suite à ça. Trois personnes... Il c'est fait violer pars 3 personnes. Putain à 1 contre 3.

Moi : vous... Vous en êtes sur ?

... : affirmatif. Je vais vous envoyez mes coordonnées pars SMS. Il faudra que votre compagnon porte plainte au plus vite.

Moi : pas de soucis. Nous essayerons avec notre autre compagnon, de vous l'emmener samedi.

... : je sais que cela ne doit pas être évident pour vous et pour lui mais les crimes de se genre reste parfois impuni.

Moi : pas celui là. Croyez moi que justice sera faites. Merci de m'avoir prévenu.

Fin de la conversation téléphonique

Je repose mon téléphone encore abasourdie.

Frédéric : c'était qui ?

Moi : un commissaire de la PJ de Paris...

Grégoire : est quesquil ta dit ?

Moi : Didier ne s'est pas fait violer par une personne....

Grégoire : et merde !!

Moi : mais par trois.

Frédéric : quoi ?!!

Moi : ils l'ont violer à 3. Ils ont retrouvé 3 adn différents sur le sperm prélevé sur Didier.

Grégoire : mais c'est affreux... Tu te rend à 3 contre 1.

Moi : oui c'est horrible.

Je ne dit rien de plus et démarre. Nous arrivons à la villa de Marcel ou les joueurs foutent le bordel. Je sourit légèrement. Au moin ils n'ont pas perdu leur bonne humeur.

Moi : bonjour tout le monde.

Eux : salut bixente!! Salut Greg!!! Salut Fred!!

Je rigole. Au même moment mon gardien descend et me saute au cou. Je l'embrasse tendrement.

Moi : alors ?

Hugo : hier il c'est braquer quand je lui est parler du test. Il veut rien avalé et refuse toujours un contact physique.

Moi : je...je dois te dire quelque chose. J'ai eu un commissaire au téléphone en venant et... Et il la dit que sur le sperme retrouvez sur Didier il avait réussi à retrouver 3 adn différents.

Hugo : attend... Ne me dis pas que.... Qu'il c'est fait violer par 3 personnes...

Moi : hélas si.

Hugo : putain. J'aurais dû m'inquiéter ou aller avec lui mais j'aurais jamais du le laisser seul !!

Moi : chéri on y peut rien !! Ils ont trouver le bon moment pour agir ! Et malheureusement on était pas avec lui pour le protéger.

Il se sert contre moi. Je lui embrasse le front.

Moi : ou il est là ?

Hugo : dans notre chambre. Il ne bouge pas du lit à part pour se laver.

Moi : resté la je vais aller le voir.

Je monte au deuxième étage et toque. Je rentre et le voit assis sur le lit avec un ordinateur placer devant lui. Je lui sourit et il me le rend.

Je referme la porte et m'assois au bout du lit à une assez bonne distance de lui.

Moi : tu fais quoi ?

Il tourne son écran et je vois qu'il regarde France Portugal. Il essaie de savoir se qui n'a pas était. Bizarre normalement c'est celui contre la suisses qu'il devrait regarder. Bon après c'est lui le sélectionneur.

Je tend son ventre gargouille. Il doit crever de faim mais bien sûr il refuse de se nourir.

Moi : tu devrais manger chéri. Sinon tu n'aura plus de force.

Il fait un signe de tête négatif. Je soupire. Il commence à m'agacer la.

Moi : Didier tu dois nourir ton corps même si après tu vomi.

Il froncé des sourcils et continue son signe de tête négatif. Putain la c'est trop.

Moi :MAIS PUTAIN TU COMPREND PAS QU'IL LE FAUT !!

Il sursaute et s'éloigne de moi encore plus.

Moi : TU COMMENCE À M'AGACER LA ?! MERDE SI TU VEUX REVIVRE ET QU'ON ARRÊTER T'ES PUTAIN DE VIOLEURS IL FAUT QUE TU MNGE POUR AVOIR LA FORCE DE TE BATTRE.

Il se colle littéralement contre la tête de lit. Sous la colère je m'approche de lui et lui saisit le poignet.

Moi : TU DOIS VIVRE !! HUGO ET MOI ON TIEN À TOI COMME T'ES JOUEURS !!! ET TOI ON DIRAIT QUE T'EN A RIEN À FOUTRE DE NOUS !!

Il se débat pour que je le lâche et pleure. Sa respiration s'accélère alors que sans m'en rendre compte je ressert ma poigne.

C'est à se moment la que Hugo rentre avec Fred et Greg sûrement alerter par mes hurlement. Mon gardien se jeté sur moi pour me séparer de Didier et que je le lâche.

Ce que je fait et il court vers un coin de la pièce et se recroquevillé sur lui même.

Hugo : TES SERIEUS LA DE LUI HURLER DESSU !! OH JTE RAPPELLE QU'IL A VÉCU QUELQUE CHOSE DE TRAUMATISANT ET QU'ON EST SENSER LE SOUTENIR ET TOI TU LUI HURLE DESSU ET SURTOUT TU L'EMPOIGNE VIOLEMENT !! TU SAIS TRÈS BIEN QUIL NE SUPORTE PLUS QU'IL LE TOUCHE !! MÊME NOUS !!

Grégoire : STOP !! C'EST BON !!! VOUS VOUS CALMEZ TOUT LES DEUX !!

On le regarde tout les deux et nous nous calmons.

Grégoire : vous croyez que c'est en vous hurlant dessu que vous alker l'aider ! Maintenant vous sortez prendre l'air pour vous calmer et pour que nous on calme Didier ! Aller !

On baisse la tête avec Hugo et on se prend la main. Je regarde une dernière fois Didier qui est en pleurs. On sort et nous allons dans les jardins pour nous calmer.

Pdv Didier

Je tremble et pleure encore quand Hugo et Bixente quitte la chambre. Greg et Fred souffle et me regardent gentiment.

Grégoire : Didier vient. Aller on ne tengeulera pas.

Je me relève en tremblant et retourne m'asseoir sur le lit.

Frédéric : tu as faim?

J'hésite à répondre de peur de me faire engeueler quand mon ventre gargouilles à nouveau.

Grégoire : tu as ra réponse. Va voir Marcel. Il doit sûrement y avoir des reste.

Fred sort et c'est a se moment la sur je remarque le sachet de la pharmacie dans les mains de Greg. Il le pause devant moi et je le prend. Je vois directement le test de grossesse.

Je le prend et le fixe. C'est donc ça qui risque de pourrir ma vie.

Grégoire : si... Si tu veux tu peux le faire la. Ça va faire 48 heures.

Je me lève et part m'emfermer dans la salle de bain. Je lis attentivement la notice après l'avoir sorti de la boîte.

Donc si j'ai bien compris après un quart d'heure si ça met deux barres c'est que je suis enceint.

Je soupire et le fait. Ensuite je sort au même moment où Fred revient avec un plateau de pâtes à la carbonara.

Frédéric : d'après Marcel c'est ton plat préféré.

OH oui j'adore ça. Je pose le test sur le lit et m'assois. Il pause le plateau et je prend l'assiette et la fourchette. Je me jeté littéralement dessus.

Grégoire : et ben tu vois. Mais mange moin vite sinon tu va mal digéré.

Je lui fait un petit oui d'un signe de tête.

Grégoire : tu sais si bixente ta hurler dessus comme ça c'était pour te faire prendre conscience qu'il fait te nourir pour te permettre de revivre. Tu comprends ?

Je refais le même signe de tête.

Frédéric : on sait que ça sera pas facile maus tu peut compter sur nous tous et surtout bixente et Hugo.

Grégoire : oui. Tu pourras toujours compter sur eux.

Ils ont raison. Hugo est au petit soin pour moi depuis lundi et Bixente même s'il doit se déplacer nous appel presque toutes les heures pour savoir comment je vais.

Je souffre d'avoir était abuser ainsi mais eux souffre de me voir comme ça muet, qui refuse ton contact physique avec eux et le reste du monde.

Je souffle et continu de manger quand le téléphone de Grégoire sonne. Il se lève et Fred rigole.

Frédéric : c'est sûrement encore sa femme. Elle l'appel au moin 15 fois par jours.

Je sourit amusé et continue de manger quand nous nous rendons compte qu'au bout du fil se n'est pas sa femme.

Grégoire : tes sur de toi Thomas ?... Oui j'étais au courant... J'étais avec bixente et Fred... Oui je sais que c'est grave... Bon t'en parle surtout pas à Denis ou à Nathalie... Oui même a Youri et ludovic... Tu garde sa pour toi... J'te laisse deviner... On n'a réussi à le faire manger avec Fred... Oui écoute demain matin tu viendra nous amener les rush... Tu n'en parle vraiment à personne. Ça doit rester secret... Ok a demain salut.

Il raccroche et revient vers nous et se rasoir au bout du lit.

Frédéric : il voulait quoi Thomas ?

Grégoire : en fessant le montage sur le documentaire de la défaite des bleus il a vu quelque chose que nos caméras on capter.

Il me regarde droit dans les yeux.

Grégoire : on sait tous que tu as vu le visage de tes agresseur et que tu pourrais les reconnaître.

Frédéric : attend ou tu veux en venir ?

Grégoire : demain matin Thomas viendra avec les rushs vidéo et tu devras nous dire c'est c'est bien eux.

Je lâche ma fourchette et mon souffle se coupe. Ils les ont peut être retrouvé ! Oh non ils vont me le faire payer !! Ils m'avaient prévenu !!

Je commence à pleurer et à paniquer. Je je veux pas qu'il me refasse ça ! Ou qu'ils touchent à Hugo et Bixente !!

Frédéric : et Didier calme toi. On sera là. Tu est en sécurité.

Grégoire : y autre chose. Il tont menacer c'est ça ?

J'hoche la tête de haut en bas.

Grégoire : je ne sais pas se qu'ils tont dis, s'ils allaient te refaire du mal ou en faire à Hugo et Bixente mais ce que je peut te dire c'est que tu n'a plus à avoir peur. Tu n'est pas seuls. Nous sommes là pour toi pour t'aider et te rendre justice.

Un sourire se forme sur mon visage et j'essuie mes larmes.

Moi : merci...

Tout les deux se regardent sous le chocs.

Grégoire : tu reparle ??!

J'ouvre la bouche et essaye de nouveau de parler mais aucun son ne sort 'je baisse la tête.

Frédéric : ne t'en fais pas ça va revenir naturellement. Tu as fait le test ?

Grégoire : oui mais on n'a pas regarder.

Je me retourne pour saisir le test qui est à l'envers. Je le prend en tremblent. C'est maintenant que je vais savoir si je vais garder une trace à vie de se viole. Je le retourne alors sous les regards anxieuvdes deux journalistes.

A suivre...
Partie 2/5

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