Os 80: " Justice Sois Faites" Hugo Lloris X Didier Deschamps X Bixente Lizarazu
⚠️Sujet sensible ⚠️
Pdv Hugo
Après le discours de Didier je suis aller parler à chacun de mes coéquipiers pour les réconforter. Cette défaite fait mal. On était mener on arrive à revenir au score et à mener et avant la fin du temps réglementaire ils arrivent à revenir au score.
Et à tenir jusqu'au tir au but ou je n'est rien pu faire. Je sers contre moi Kylian qui doit s'en vouloir de ne pas avoir marquer puis repart à ma place ou je prend mon téléphone.
Sur l'écran s'affiche plein de messages haineux dont je ne m'en occupe pas le plus important c'est celui de l'un de mes deux basques. D'ailleurs il m'appelle. Je m'éloigne un peu et décroche.
Conversation téléphonique
Moi : allo ma michasse?
J'entends un léger rire.
Bixente : allo mon cœur. Alors comment ça va dans les vestiaires ?
Moi : t'imagine bien. On rumine... J'ai réconforté tout le monde surtout Kylian... Après je sais que j'aurais dû arrêter c'est tirs...
Bixente : Hugo... Tu a déjà arrêter un penalty alors qu'on était mener... Tu a fait un super match... Crois moi que sur ton arrêt je me suis retenu d'hurler de joie.
Moi : je te vois bien faire une danse de la victoire à coter de Grégoire.
Bixente : j'aurais pu mais ju lui ai un peu taper dans le dos pour lui signifier que j'étais heureux pour toi.
Moi : le pauvre. Ta du lui démonter le dos. Je suis sur que demain il aura un gros bleu pas ta faute.
Bixente : tout de suite un bleu. Dit aussi que je suis violent avec toi et Didier.
Moi : a sa sûrement pas.
Bixente : d'ailleurs en parlant de notre dd d'amour tu sais comment il va ? Parce que j'ai essayé de l'appeler avant toi mais rien.
Moi : ben bof tu sais je pense qu'il va recevoir des tonnes de critiques et que sa place de sélectionneur vas être remis en question pas par la fff mais par les supporters. Et la il est parti en conférence de presse d'après match.
Bixente : ah ok. Bon je dois rentré à mon hôtel. Tu lui dira de m'appeler.
Moi : oui. Je t'aime.
Bixente : et moi je vous aime mes chéris. Et je suis très fiers de vous deux.
Finbde la conversation téléphonique
Je sourit cela fait 8 mois que nous avons décider de tenter un Trouple et je dois dire que cela marche bien. Bixente et moi on s'aime comme des fous alors qu'avant on ne pouvait pas se voir.
Je repart à ma place et c'est à se moment la que mon deuxième petit ami rentre. Je me dirige vers lui mais quand je m'approche je le trouve bizarre. Il tremble et semble sous le choc.
Je me saisi doucement de son bras mais mon geste le fait sursauter et il se tourne vers moi vivement.
Moi : doucement mon cœur c'est que moi. Ça va tu as l'air choquer ?
Didier : je... Oui oui ça va...
Moi : tu est vraiment sur amour ?
Didier : oui oui... Tu... Tu peux me lâcher s'il te plaît ?
Je froncé des sourcils et le lâche. Immédiatement il s'éloigne de moi.
Moi : je voulais te dire de rappeler bixente. Il voudrait savoir comment tu va.
Didier : d'à.. D'accord... Tu... Tu peux me laisser s'il te plaît Hugo ?
Moi : euh....bien sûr.
Je repart à ma place alors quil part dans les toilettes. Il est vraiment bizarre. Sans doute la défaite qui le met dans cette état là.
Je pars me doucher puis je me rhabille et monte dans le bus. Personne ne parle. Didier monte. Je lui fais signe de venir s'assoir à coter de moi mais il m'ignore et s'assoit tout seul devant.
Non il a aussi besoin d'être seul. Le trajet se passe dans un silence total. Une fois arrivé à l'hôtel mon deuxième Basque monte direct dans sa chambre.
Je me dirige vers la mienne quand mon téléphone vibre. Bixente.
De ma michasse❤️ :
Je suis rentré à l'hôtel et Didier ne m'a toujours pas appeler. Il va bien ?
A ma michasse❤️ :
Pas trop non. Je crois que la défaite la secouer. Quand il est rentré dans les vestiaires il avait l'air choquer et apeuré.
De ma michasse ❤️:
C'est bien se que je pensez. Ne le laisser pas seul se soir. Il risque de déprimer.
A ma michasse ❤️:
OK je le rejoins tout de suite. Bisous je t'aime.
De ma michasse ❤️:
Je vous aimes aussi. Bisous et essayez de dormir un peu.
Je met mon téléphone dans ma poche et part en direction de la chambre de mon coach. Une fois devant je toque mais aucune reponse : je rétorque et toujours rien.
Comme je sais qu'il ne ferme jamais sa porte à clé je rentre mais ne voit personne.
Moi : Didier ? Amour c'est moi.
Aucune réponse. Mais je remarque que la lumière de sa salle de bain est allumé. Je me dirige vers elle et me figé.
Oh mon dieu !! Ne me dites pas que... Non!! Non c'est impossible !! Il a quand même pas fait ça.
Il est étendu par terre les yeux clos et avec des boîtes de médocs vident autour de lui. Je reprend vite le contrôle de mon corps et cours vérifier s'il respire et à mon grand soulagement oui.
Moi : Didier !!! DIDIER REVEILE TOI JE T'EN SUPLLIE !!
Avec mes hurlement j'alerte mes coéquipiers qui rentre en masse dans la chambre et découvre la même chose que moi.
Adrien : oh mon dieu. Hugo...
Moi : APPELLEZ UNE AMBULANCE VITE !!
Je commence à pleure tout en le secouant pour le réveiller. Karim et olivier rentre avec les médecins est les représentants de via fede.
Mes deux coéquipiers m'éloigne de mon copain mais je me débat en pleurant.
Karim : Hugo calme toi ils vont essayer de le réanimer avant que l'ambulance n'arrive.
Moi : POURQUOI IL AS FAIT ÇA ?!! POURQUOI ?!!
Olivier : on n'en sait rien mais tu devrais vite prévenir bixente.
Moi : bixente...
Karim : fais le olive je reste avec lui.
A se moment la mon cerveau se déconnecté de la réalité et je ne comprend plus se qu'il se passe. A part le bruit des sirène de l'ambulance je n'entend plus rien.
Pdv bixente
Je rentre en trombe à l'étage qu'olivier ma indiquer suivi de Grégoire et Fred. Je suis en panique total. Il m'a appelé au beau milieu de la nuit pour me dire que Hugo avait trouver Didier inconscient au milieu de boîte de médicaments vide.
Il la aussi dit que les médecins de l'équipe avaient vite réagi. Mais il ne m'a pas dit comment aller Hugo. Je pousse une énième porte et voit tout les joueur dans un couloir.
Je me dirige à grand pas vers eux et vois Hugo accoudée contre un mur le regarde vide.
Moi : olivier...
Olivier : ah vous êtes enfin là. Vous allez pouvoir sortir Hugo de sa trans.
Moi : de sa trans??
Karim : depuis qu'on l'a séparer de Didier il ne parle plus et regarde dans le vide sans bouger.
Je m'approche de notre gardien chérie et prend son visage entre mes mains.
Moi : Hugo....mon cœur c'est moi ta michasse.
Il relève les yeux vers moi et me saute dessus en pleurant. Je le sers contre moi et lui embrasse le cou.
Hugo : pourquoi il a fait ça ?... Pourquoi ??
Moi : je ne sais pas mon amour mais le plus important c'est qu'il est entre de bonne mains ne t'en fais pas.
Kylian : c'est de ma faute...
On se tourne tous vers lui.
Moi : Kylian....
Kylian : si j'avais marquer se putain de tir au but on n'aurait sûrement était qualifié ! On serait en quart et le coach n'aurait jamais tenter de se suicider !
Karim : et kyky on ne sait même pas pourquoi il a fait se geste. Donc pour l'instant tu te retire cette idée de la tête.
Raphaël : Karim à raison avant de vraiment s'interroger le plus important c'est que le coach aille bien.
Un silence s'installe et je garde toujours Hugo contre moi. Je regarde mes deux amis complètement perdu quand enfin un médecin se dirige vers nous.
Médecin : vous êtes tous la pour messieurs deschamps ?
Nous : oui !
Médecin : bien... Nous lui avons fait un kavage d'estomac. Il est à présent hors de danger. Mais puis je vous demander si quelqu'un Parmis vous pourrait prévenir sa famille. J'aimerai leur parler.
Moi : nous deux nous sommes ses compagnons. Il n'a que nous comme famille.
Médecin : bien pouvons nous parler en privé ?
Hugo : euh... Oui.
Il nous conduit un peu plus loin du groupe et se tourne vers nous l'air grave.
Médecin : quand nous avons examiner votre compagnon d'un peu plus près nous avons vu des choses pour le moin déconcertante. C'est il battu récemment ?
Je regarde Hugo c'est lui qui vit dans le groupe.
Hugo : non. Pourquoi ?
Médecin : c'est bien ce que je penser. Son torse et recouvert d'hématome et de marque. Et nous avons aussi trouver des traces de spermes sur son torse.
Avec Hugo on se regarde des tea es de zpermes?!! C'est quoi cette histoire !!
Médecin : je vois que vous n'êtes pas au courant.
Moi : vous voyez bien que non.
Médecin : je suis alors désolé de vous l'apprendre mais je pense que votre compagnons a subi un rapport sexuelle non consenti.
Je le regarde choquer tout comme Hugo.
Hugo : vous... Vous voulez dire un...
Moi : un viol ?
Médecin : tout me laisse à penser cela messieurs. Et la tentative de suicider ne fait que le confirmer.
Je reste sous le choc de cette révélation. Notre amour aurait était abuser ! Mais par qui ? Et quand ??
Médecin : je devine vos prochaines questions. Nous a sons prélevé le spermes retrouver que nous allons devoir transmettre au autorité et pour se qu'il est de la dare je dirai mois de 4 heures.
Hugo : juste après le match... Quand il est parti pour sa conférence de presse ! Il est revenu et je les trouver bizarre! Il trembler et sembler sous le choc ! Et quand j'ai voulu gentiment l'attraper par le bras il a sursauter et c'est éloigné de moi.
Moi : mais je comprend pas pourquoi il a voulu se tuer ?!
Médecin : par honte. Il avait honte messieurs et avait sûrement peur que vous aussi ayez honte de lui.
Hugo : mais... Jamais on aurait honte... Hein bixente ?
Moi : oui jamais... Nous avons beaucoup galère pour l'avoir tout les deux c'est sûrement pas pour l'abandonner surtout après ça.
Médecin : je le vois bien.... Je dois aussi vous prevenir de surveiller une éventuelle grossesse...
Moi : mais c'est un homme...
Médecin : je vais vous surprendre mais certain hommes peuvent donner naissance.
Je souffle. C'est un cauchemar.
Médecin : sans oublier les maladies sexuellement transmissible. Vous devrez aussi lui donnez un soutien psychologique.
Moi : ça sera pas simple avec lui.
Médecin : mais il le faudra pour qu'il puisse passer à autre chose en attendant je vais en informer la police étrangère qui en informeront la police française.
Hugo : merci. Nous pouvons le voir ?
Médecin : bien sur. Sa chambre est juste la il ne va pas tarder à se réveiller.
Moi : encore merci.
Nous le saluons et il part vers un groupe d'infirmière.
Hugo : jetait juste à coter putain.... J'aurais du le protéger....
Moi : je te signale que j'étais aussi au stade.... Mais s'il te plaît ne te ses pas coupla e aucun de nous ne pouvez prévoir ça..
Il me regarde en se mordant la lèvres puis éclaté en sanglot. Je le prend dans mes bras et le ses fort contre moi.
Hugo : on la toucher bixente... On lui as fait du mal est ça me rend malade..
Moi : moi aussi mon cœur mais on doit être fort pour lui pour l'aider. On n'est un Trouple.
Hugo : tu as raison.... On... On leur dit ?
Moi : c'est aussi la famille Hugo... On va leur dire ensemble.
Je lui prend la main et nous nous dirigeons vers nos amis.
Grégoire : vous allez bien? On dirait qu'hugo à pleurer toute les larmes de son corps.
Hugo : c'est un peu ça.. Les gars ce qu'on va vous dire ça va pas être facile à entendre.
Moi : et Fred faut me jurer que tu n'en parlera pas dans l'émission de dimanche.
Frédéric : je te le jure bixente même si ce que vous allez nous dire me fait peur.
Hugo : après le match Didier et alker en conférence de presse et...
Moi : et on la violer.
Tout nos amis nous regardent les yeux exorbiter.
Antoine : Hugo non..
Hugo : si... Les médecins on trouver du sperme sur lui et sa tentative ne fait que le confirmer.
Karim : putain... Et dire qu'on était tous à quelque metres et qu'on a rien vu.
Moi : personne ne pouvait prévoir se qui aller se passer. Se qu'il faut maintenant c'est être la pour lui.
Paul : et retrouvez celui qui lui a fait ça.
On se tourne tous vers la grande perche.
Paul : vous comptez tout de même pas que ça reste impuni ?
Moi : non. Bien sûr que non. Les médecins on dit qu'il aller envoyer les adn de sperme au flic de France.
Hugo : après faudra qu'il porte plainte et ça c'est une autre histoire.
Moi : aller venez sa chambre est juste là.
On se dirige vers sa chambre j'entre doucement suivi d'hugo et des autres. Il a l'air paissible comme. Il as plusieurs perfusion. Hugo et moi nous mettons chacun d'un coter et lui prenons la main.
Hugo : il as l'air paissible comme ça... Alors que tout à l'heure...
Moi : et n'y pense plus. Il est vivant et nous sommes là pour le soutenir.
Frédéric : bixente je crois que ça ça te plaire.
Il me tend son téléphone ou je vois un article avec l'hôtel des bleus en photo " INFO MINUTE : DIDIER DESCHAMPS A ÉTAIT HOSPITALISÉ SUITE À LA DÉFAITE DES BLEUS"
Je souffle et lui rend son téléphone.
Hugo : ils vont vouloir des explications bixente. Quesqu'on va faire ?
Moi : déjà demain vous rentrer en France. Je vais demander à Marcel de vous loger tout les deux dans sa villa le temps que Didier se remette et après on verra.
Lucas : on ve venir avec vous.
Hugo : les mecs...
Karim : Hugo... Didier a besoin de sa famille et sa famille c'est nous tous.
Moi : il a raison et puis il se sentira protéger.
Ben p : coach...
On regarde tous Didier qui commence doucement à ouvrir les yeux. Hugo me regarde avec un grand sourire.
Hugo : bb réveille toi doucement.
Il ouvre complètement les yeux et regarde ses joueurs et Hugo avant de me regarder et de baisser les yeux. Je lui caresse la joue tendrement quand je vous une larme rouler. Mais il s'écarte. Je comprend un peu. Il refuse tout contact physique.
Moi : comment tu te sens ?
Il hausse des épaules. Je regarde Hugo il doit être traumatiser.
Hugo : tu as soif ? Tu veux manger quelque chose ?
Il lui répond d'un signe de tête négatif. Je me tourne vers nos amis.
Moi : vous pouvez nous laisser quelque minute s'il vous plaît ?
Grégoire : oui. Aller venez laissons les.
Ils sortent. Un silence s'installe et on regarde notre dd qui évite tout regard avec nous et qui refuse qu'on le touche. Je regarde Hugo et dans son regard je vous qu'il le donne l'accord pour en parler.
Moi : on n'est au courant chéri.
Il relève la tête vers moi et me regarde droit dans les yeux. Je peux voir des larmes perlée au coin de ses yeux.
Hugo : on sait se qu'il c'est passé mais ce qu'on ne sait pas c'est qui t'a fait ça. Toi tu le sais.
Il secoues la tête vivement de droite à gauche.
Moi : Didier... Ce que cette personne t'a fait et très grave. C'est puni par la loi. Il faut que justice sois faite. Tu comprend ?
Il le fait oui d'un signe de tête.
Moi : mais pour ça on n'a besoin de toi.
Il se tend. Aie je regarde Hugo qui prend la relève.
Hugo : il faut qu'il soit puni bb. Il fait que tu porte plainte.
Il recommence à faire non.
Hugo : si. Tu n'a pas à avoir peur didier. Bixente et moi on n'est là pour te protéger. On ne t'abandonnerai pas. Jamais.
Il nous regarde et après un petit moment fait oui d'un signe de tête.
Moi : c'est bien. Mais en attendant demain tu rentre à Paris avec Hugo et tes joueurs et marcel va vous loger dans sa villa loin des journaliste. Tu pourras te reposer. Moi je vais devoir partir à Londres mais je reviens après demain. Hugo restera avec toi. Tu ne sera pas seul in seul instant.
Il fait oui d'un signe de tête. Je souris et m'approche de son visage pour l'embrasser mais il recule violement et sa respiration devient lourd comme s'il avait peur.
Hugo : et bb c'est nous Hugo et Bixente.
Il essaie de poser sa main sur son épaules mais il la repoussé violemment.
Moi : laisse c'est rien. J'y vais. Tu m'appelle si y le moindre problème.
Hugo : même pendant le match ?
Moi : même pendant le match. J'aurais toujours mon téléphone près de moi. Aller j'y vais. Je vous aime.
Hugo : nous aussi.
Je l'embrasse et envoi un baiser à Didier qui sourit légèrement. Je sors de la chambre et tombe sur le président de la fédération qui parle au joueurs. Je m'approche d'eux.
Grégoire : alors ?
Moi : on n'a réussi à le convaincre de portait plainte. C'était pas facile. Et puis il refuse tout contact physique.
Adrien : même avec vous ?
Moi : même avec nous.
President : bixente... Je... Les joueurs m'ont tout dit. Et je m'en veux j'aurais du m'être plus de garde et...
Moi : ça n'aurait rien changer. Celui qui a fait ça est malin.
President : Les joueurs m'ont dit que Marcel Desailly aller loger Hugo et Didier si vous avez besoin de quoi que se soit n'hésitez à nous demander.
Moi : merci. Je voudrais juste tenir la presse loin de lui.
President : très bien.
Moi : merci.
Je me tourne vers les joueurs.
Moi : soyez fort pour lui. Continuez à faire vos connerie je sais qu'il adore ça ça le fait sourire. Chambrez vous et Chambrez le un peu.
Antoine : d'accord.
Je leur sourit puis regarde mes deux amis qui me font signe d'y aller. A contre cœur je les suit. On monte dans la voiture et je craqué. Je suis rester fort pour Hugo et Didier.
Greg et Fred posent leur mains sur mon épaules pour me signifier leur soutien. Mais c'est pas facile de devour faire face à ça.
Partie 1/5
A suivre....
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