Os 34 : "La Bataille De Kaamelott" Footballeur #7

Partie 7

Une semaine plus tard

Pdv Hugo

Je marche avec Arthur à mes côté. Je me suis très bien remis de ma blessure et je peux marcher. Nous nous tenons la main et il m'embrasse dans le cou.

Moi : Arthur.

Arthur : quoi ? J'ai le droit de te montrer mon amour.

Moi : oui mais pas ici on pourrai nous surprendre.

Arthur : et alors je suis le roi du royaume de Logres et j'aime qui je veux si ça plaît pas j'en ai rien à foutre. Je t'aime point.

Il m'embrasse et me regarde. Je comprend alors qu'il veut montrer son amour au monde.

Moi : Arthur.

Arthur : Hugo... Je t'aime et je veux pouvoir t'embrasser sans que tu est peur que l'on nous surprennent.

Moi : tu... Tu veux...

Arthur : qu'on officialise oui.

Moi : mais... Mais et geuenievre..tu est marié... Et puis leodagand va nous tuer.

Arthur : pour l'autre je m'en occupe et si mon ex beau père lève la main sur toi je le tue avec Excalibur.

Il prend mon visage dans ses mains et m'embrasse tendrement mes lèvres. Le baiser a la romaine.

A l'armée l'on embrasser les filles de cette façon mais le fameux soir où l'on n'a coucher ensemble il m'en a donné tellement, remplis d'amour et de désir. Comme celui que nous échangeons ensemble maintenant.

Arthur : tu aime toujours autant les baiser à la romaine.

Moi : oh oui.

Arthur : Hugo vu qu'on parler de Geuenievre j'aimerais te demander quelque chose.

Moi : ben vas y je t'écoute.

Arthur : voilà depuis que l'on c'est retrouvé je me sens beaucoup en amour en core mieux que quand j'étais avec Aconnia, fin bref. L'autre coup sur le bateaux j'ai eu une discussion avec Antoine pour quand je serai remonter sur le trône.

Moi : je ne vous pas bien ou tu veux en venir.

Arthur : il m'a poser une question que l'on n'avait pas réfléchi tout le deux. Celle d'après tout ça, ce qu'on aller faire. Je t'avoue que cela m'a surpris et je lui ai répondu que je ne savais pas même si j'avais une minuscule idée dans ma tête. Je lui en ai fait part ainsi que de mes crainte. Il m'a réconforté et m'a un peu secouer les miquettes comme dirait Perceval. J'ai était voir Merlin pour lui faire par de ma décision et il m'a dit que cela irait contre la volonté des dieux mais que si je t'aimait vraiment je devais le faire.

Moi : de quoi ? Arthur c'est quoi cette décision ?

Arthur : que tu serai sur le trône à mes côtés.

Quoi ?!! Il est malade ou quoi. Je n'arrive pas à le croire il m'a bien demander d'être roi avec lui ?!! C'est in censé ! Deux hommes ne peuvent pas gouverner un royaume et puis le peuples se révolter ai sans oublier Leodagand qui risquerait de cramer toute la Bretagne.

Arthur : bien sur que si deux hommes peuvent gouverner !

Moi : tu lis dans mes penser ou quoi ?

Arthur : faudrait déjà que tu arrête de penser tout fort ! Et puis le peuple il en n'a rien à carré de qui est à mes côtés regarde quand j'ai fait l'échange d'épouse il s'en foutait complètement du moment qu'on leur donne des terres, de la bectance et qu'ils aient les miches aux chauds !

Moi : tu veux vraiment que je sois roi aussi ?

Arthur : oui mais tu aura forcément moin de responsabilité que moi.

Moi : et alors Leandro deviendrait...

Arthur : l'héritier tant attendu du royaume de Logres. Mais bon je t'avoue que je m'en fous un peu c'est notre fils qu'on aiment il sera prince et voilà.

Moi : tu as vraiment changer en si peu de temps.

Arthur : c'est grâce à toi.

Il me caresse le visage et m'embrasse tendrement. J'approfondie le baiser et nous entremelont nos langues. On se sert l'un contre l'autre tout en continuant à s'embrasser quand.

Olivier : sire! Hugo!

L'on se sépare, tout rouge du manque d'oxigene. Arthur me regarde, lève les yeux au ciel et soupire. Il a horreur qu'on nous dérange.

Je ne peux m'empêcher de sourire. Olivier court vers nous avec toute la troupe à ses trousse ainsi que le dix et la duchesse.

Arthur : quesquil y a?

Olivier : dites lui duc.

Duc : j'ai envoyé quelque petits espions en Bretagne et ils viennent de me rapporter que Excalibur à était retiré du rocher.

Arthur : QUOI ?!!

Duchesse : n'ayez crainte sire c'est le seigneur Perceval qui la fait pour la mettre en sécurité au camps des résistants pour quand vous reviendrez.

Moi : mais comment c'est possible. Arthur ?

Arthur : y quelque année je lui avait prêter Excalibur pour un entraînement et elle s'est mise à flamboyer plus dans ses mains que dans les miennes parce qu'il aurait une grande destiné.

Antoine : c'est pas tout.

Moi : quoi encore?

Merlin : des pêcheur on vu un navire de Lancelot s'approcher d'ici.

Arthur : mais c'est pas vrai ??! Comment ils ont fait pour nous retrouver ?

Tony : sûrement a cause des corps qu'on n'a balancer à la mer.

Sergio : y a pas 36 personnes qui auraient le courage de se battre contre ses mecs.

Arthur : vous avez raison.

James : nous devons retourner en Bretagne sire. Maintenant.

Arthur semble réfléchir pendant quelque minute. Puis nous regarde tous.

Arthur : je suis d'accord mais on ne peux plus prendre le risque de repartir en mer.

Presnel : pourtant faudra bien qu'on le prenne à un moment le bateaux pour rentrer sire.

Merlin : je peux vous teleporter.

On le regarde tous. On sais que Merlin n'est pas très fort en magie.

Arthur : vous pouvez faire ça ?

Merlin : oui mais il me faut du gros sel.

Duc : nous vous ramenons ça tout de suite.

Arthur : merci. Merlin essaiez d'envoyer un message à Leodagand pour le prévenir.

Merlin : d'accord sire.

Arthur : rassemblez vos affaires nous partons.

Duchesse : sire nous aimerions vous aidez.

Arthur : nous allons nous organisez à la table ronde mais vous serez prévenue des que nous attaquerons Kaamelott.

Duc : voilà. Et faites attention à vous sire.

Moi : je le garderai à l'œil ne vous en faites pas.

Notre roi me regarde et sourit. Il me prend la et me la sers fort.

Arthur : en tout cas merlin si vous réussissez se sort je vous félicite.

Merlin : ne vous en faite pas sire.

Moi : je vais chercher nos affaires.

Arthur : d'accord mais dépêche toi.

Moi : oui je sais on part bientôt.

Arthur : ah non parce que tu va me manquer.

Je lève les yeux au ciel il est pas possible.

Pdv Raphaël

Je suis au bord du lac sacré avec Didier et nous chaussons parce que oui faut bien se nourrir. Il me prend la main .

Didier : quesque c'est calme.

Moi : oui ça change de tout le bruit du camps.

Didier : c'est sur oh regarde la bas un cerf.

Moi : vas y tire avec ton arbalète.

Il la charge d'un flèche est s'apprête à tirer quand.

... : vous êtes des resistant?

Nous sursautons et Didier tire à coter du cerf. Nous nous retournons est nous découvrons un femme rousse du genre clodos qui s'approche de nous. Didier dégaine son épée et la menace.

Didier : vous êtes qui?

Elle : de calme. Je m'appelle Viviane mais vous me connaissez plus sous le nom de Dame du Lac.

Moi : La Dame du Lac y a que le roi Arthur qui peut la voir.

Viviane : oui mais c'était avant que les dieux me banisse.

Didier : vous êtes pas une espionne de Lancelot ?

Viviane : mais puisque je vous dit que je suis la Dame du Lac.

Moi : range ton arme chéri.

Mon homme s'excute.

Viviane : vous êtes bien des resistant alors?

Didier : bien vu.

Moi : je suis le chevalier Raphaël Varane et la c'est le chevalier Didier Deschamps.

Didier : déjà c'est messire Didier Deschamps.

Moi : c'est pareil bb.

Viviane : dites vous voulez pas m'emmener avec vous parce que la je gele et j'ai un message pour le seigneur Leodagand ?

Moi : ah bon? Et de la part de qui ?

Viviane : de Merlin.

Didier et moi nous nous regardons. Si merlin envoie un message c'est qu'il y a un problème.

Didier : venez avec nous vite.

Nous repartons vers le camps dans la neiges. Nous arrivons est certains nous regarde surpris.

Moi : savez vous ou est le seigneur Leodagand ?

Corentin : il est avec le seigneur Perceval et bohort pour parler de l'épée.

Viviane : l'épée ? Vous voulez dire Excalibur ?

Didier : oui nous avons était la chercher.

Viviane : mais qui l'a retirer ?

Moi : le seigneur Perceval. Suivez nous.

Nous la conduisons jusqu'à la taverne. Je toque et la fois forte du roi de Carmelide me dit d'entrer. Nous entrons tout les trois et les trois chevalier se tournent vers nous.

Leodagand : c'est nouveau maintenant vous ramenez des clodos.

Moi : messire se n'est pas uns clodos mais la Dame du Lac.

Viviane : et j'ai un message de Merlin pour vous.

Le sanguinaire se tourne vers elle.

Leodagand : comment ça vous avez un message de Merlin ?

Viviane :et bien nous avons appris la magie ensemble et c'est tout naturellement qu'il m'a envoyé se message.

Perceval : mais elle parle de qui la rousse là ?

Leodagand : mais de l'autre brêle de Merlin suivez un peu bon sang. Bon alors c'est quoi se message ?

Viviane : merlin vas teleporter toute l'équipe que vous avez monter pour retrouver Arthur. Des hommes de Lancelot les ont poursuivis jusqu'en Aquitaine.

Leodagand : les teleporter carrément ? Et bien mes cocos ont peut toujours les attendres.

Bohort : ne soyez pas si defetiste seigneur Leodagand. Ils ont retrouvé le roi et puis si le roi lui a ordonné de faire porter le message c'est qu'il a confiance en lui.

Leodagand : oui bon. Quand arriveront-il ?

Viviane : dans la journée.

Bohort : nous devons préparer un festin ! Le roi est de retour !

Leodagand : oh oh on fera la faute quand on sera de retour à Kaamelott.

Perceval : de quoi je capte rien.

Leodagand : oh mais qu'il est con !

Moi : bon sinon on préviens tout le monde ?

Bohort : oui.

Moi : vien bb.

Nous sortons avec Viviane pour prévenir tout le monde.

A suivre...

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