Os 33: "La Bataille De Kaamelott" Footballeur #6

Suite de cette mini fanfiction


Pdv Antoine

Je regarde l'horizon enlacés avec Olivier. Normalement aujourd'hui nous devrions arriver en Aquitaine. Il était temps !

Nous n'avons presque plus de vivre et surtout Hugo est au plus mal. Sa blessure c'est infectée malgré les effort incessant de merlin pour éviter cela. Depuis 2 jours il a des la fièvre est délires complètement. Il a pris Kylian pour une tortue mutante et a voulu l'empailler.

Heureusement notre bon roi était là est à éviter le pire pour le plus jeune d'entre nous. En parlant de lui il n'a pas quitté Hugo une seule fois depuis que ce dernier sois blessé. Il n'a rien avalé et n'a pas dormi trop occupé à surveiller celui qu'il aime.

Je me retire des bras de mon grand brun qui grogne de mécontentement. Je lâche un petit rire.

Olivier : ne rigole pas.

Moi : ta tête mon chevalier au grand cœur était tellement drôle.

Olivier : tu me fatigue. Ou vas tu ?

Moi : apporter à manger au roi. Il n'a rien avalé depuis qu'Hugo est clouer au lit.

Olivier : ok mais il ne doit plus rester grand chose à part des pommes.

Moi : je sais. Il est temps que l'on arrive.

Je me dirige vers la cale ou Lucas est Joshua surveille les deux prisonnier. Je marche sur la pointe des pieds car James et Paulo dorment après leur tours de gardes. J'arrive près de nos vivres et voit que effectivement il ne reste que des pommes est quelque morceaux de saucissons.

Je prend quelques pommes est le reste de saucissons et remonte sur le pont. Tony est Gérard parle de technique de combat pour vaincre les chevalier de Lancelot en utilisant des mots assez... Gaure. Mesut et Sergio qui dirigent le bateaux l'évent les yeux aux ciel.

Je vois Kylian et Ney qui essaie de pêcher sans succès. Presnel et Julian se moque d'eux avant que Marco et Gianluigi leur lance des seau d'eau pour les calmer. Je me dirige vers la cabine est toque. La voix du roi me dit d'entrer se que je fais.

Je découvre Arthur allongé a coter d'Hugo qui a les yeux clos, son front en sueur et merlin qui appliqué quelque chose sur la blessure de notre capitaine.

Arthur : Antoine quelque chose ne vas pas ?

Moi : oh non sire tout va bien. Je venais vous apportez à manger et prendre des nouvelle d'Hugo.

Arthur : c'est gentil. Merlin est entrain de lui appliqué une... Une quoi déjà ?

Merlin : une concoction de se que j'ai pus trouver sire mais il faudrait mieux arriver vite.

Arthur : merci quand même merlin.

Merlin : de rien sire. Ah est continuer à le couvrir un peu et à le rafraîchir.

Merlin sort en me saluant. Je dépose la nourriture près du roi et reporte mon regard sur Hugo.

Arthur : vous tenez à lui ?

Moi : oui. C'est comme mon grand frère pour moi.

Arthur : sans être indiscret comment vous l'avez rencontré ?

Moi : c'était il a y un 3 ans. Au moment où Lancelot a ordonné de pourchasser les chevaliers. Des hommes à sa solde sont venu chez mes parents ou je vivait avec ma fille, mon petit frère et ma grande sœur. Ils ont tout détruit et on commence à frapper mon père est mon petit frère. Ma fille pleurer et crier de terreur. Un homme c'est approcher pour la frapper mais je me suis interposé et on n'a commencer à se battre. Puis il a voulu me tuer mais Hugo et arriver avec Raphaël et messire Deschamps et ils les ont tous tuer. Depuis Hugo m'a appris à me battre avec une épée et des dagues.

Arthur : qui sont messire Deschamps est Raphaël ?

Moi : oh Raphaël et le second D'Hugo et Messire Deschamps celui qui nous a tous réuni pour combattre Lancelot au coter des Semi Croustillant. Et il est aussi le petit ami de Raphaël.

Arthur : et ben coter histoire d'amour vous êtes tous servi.

Moi : oh oui. Dites sire je peux vous posez une question ?

Arthur : allez y.

Moi : quand on aura vaincu Lancelot, bottez le cul à tout ses traître et ses collaborateurs et que l'on vous aura remis sur le trône.

Arthur : oui ?

Moi : vous allez faire quoi avec Hugo ?

Ma question semble l'avoir pris au dépourvu car il ne répond pas tout de suite.

Arthur : honnêtement je ne sais pas. Comme vous le savez je suis marié enfin on m'a plutôt forcé et j'ai peur que si je reviens sur le trône avec Hugo à mes côtés que cela entraîne une rébellion des chef de clan.

Moi : parce que deux hommes ne peuvent pas gouverner ?

Arthur : voilà.

Moi : mais c'est vous le roi, c'est vous l'élu des dieux, c'est à vous de montrer qui c'est le chef suprême ! C'est vous qui décidez qui épouser vous êtes le roi Arthur et vous devez le faire comprendre à tout les peuples ! Et si cela ne plaît pas tant pis tant que vous vous êtes heureux !

Il me regarde surpris par le ton que j'ai employé moi même je suis surpris mais cela m'a tellement énervé. C'est lui le roi bordel et il a le droit d'aimer qui il veut ! Le roi se relève légèrement et me sourit.

Arthur : vous avez raison Antoine. C'est à moi de choisir mon propre destin. Lancelot c'est barrée avec ma femme et cela n'a plus à personne. Quand j'ai été la récupérer et que je n'est pas tuer Lancelot ça n'a encore plus à personne alors a partir de maintenant si se que je fais ne plaît pas je m'en fous je suis le roi !

Moi : bien dit sire !

Arthur : Antoine. J'y pense...

Moi : de quoi ?

Arthur : Lancelot... Antoine vous allez me rendre un service vous est Olivier quand on n'aura posé le pied en Bretagne.

Moi : à vos ordres sire.

Il me fait signe de m'approcher et me chuchote l'ordre dans mon oreille. Une fois fini je relève les yeux sur lui complètement choquer.

Moi : vous êtes sur sire ?

Arthur : parfaitement c'est le seul moyen que je vois pour empêcher qu'une guerre éclate et qu'il n'y est des pertes des deux côtés.

Moi : je n'est pas peur de la mort sure même les autres. Nous vous avons juré fidélité auprès du seigneur Perceval.

Arthur : ah bon?

Moi : oui car il estime que l'on doit tous se battre à vos côtés.

Arthur : sacré Perceval. Dites moi vous êtes combien en tout ?

Moi : je ne serai dire sire. Peut être 200 plus les petites équipe établies sur les côtes et les espions à Kaamelott.

Arthur : c'est déjà pas mal.

Moi : plus l'armée de Carmélide de Calédonie et tout le reste. Donc ça fait 500.

Arthur : tout ça pour me remettre sur le trône.

Moi : oui ah j'oublié y aussi des pécores du pays de galles.

Arthur : et l'armée de Lancelot ?

Moi : ça je ne sais pas seul ceux qui sièges à la table ronde le savent.

Arthur : la table ronde ? Lancelot ne l'avez pas brûler ?

Moi : si mais on n'est a refait une nouvelle plus grande.

Il me regarde et sourit.

Arthur : ça ne vous dérange pas de veiller un peu sur Hugo ? Je dois demander un truc à merlin.

Moi : pas du tout sire. Allez y.

Arthur : merci Antoine. Vous me faites beaucoup penser à Perceval.

Moi : il m'a appris beaucoup de choses et me parler beaucoup de vous. Je crois que c'est l'un de vos chevalier le plus fidèle.

Arthur : oui je le savais déjà. Je reviens dans 10 minutes.

Il sort et je m'assois près d'Hugo. Je pose ma main sur son front. Il est brûlan. Je prend le morceau de tissu trempé dans l'eau froide et le met sur son front. Il ouvre faiblement ses yeux.

Hugo : Arthur...

Moi : il est parti voir merlin il revient.

Hugo : mon Grizou...

Moi : rhô vous allez arrêter avec se surnoms.

Hugo : je l'aime bien moi ça te vas bien...

Moi : comment tu te sens ?

Hugo : bof... J'ai l'impression de voir des gobelins partout qui veulent nous tuer moi, Arthur et tout les autres... D'ailleurs elle est où mon épée ?

Moi : le roi te la confisqué. Ta voulu tuer Kylian.

Hugo : ah bon?

Moi : oui il a eu peur le pauvre heureusement que le roi était là.

Il sourit doucement et referme les yeux.

Hugo : fatiguer....

Moi : repose toi. On n'arrive bientôt.

Il ferme les yeux et s'endort. Arthur revient et reporte son regard sur Hugo.

Moi : il m'a un peu parler.

Arthur : qu'a-t-il dit ?

Moi : d'abord votre nom sire. Puis quand je lui ai dit que c'était moi mon surnom enfin celui que je déteste. Puis on n'a un peu parler de son état et il vient de se rendormir. Il est exténué.

Arthur : ne vous en faites pas l'on commence à voir les mouettes ce que l'on se rapproche des côtes. Aller rejoindre Olivier et ne vous en faite pas Hugo et fort il va s'en sortir.

Moi : merci sire.

Arthur : derien. Allez filez rejoindre votre amoureux je vais manger un petit peu. Ah et entre nous appelez moi Arthur.

Moi : cela me gênerait sire vous êtes mon roi et...

Arthur : justement je suis votre roi et je vous dit de m'appeler Arthur.

Moi : d'accord Arthur.

Arthur : bien.

Moi : si vous avez besoin de quelque chose n'hésitez pas a demander.

Arthur : merci Antoine.

Je sors et rejoins Olivier. Il me sert contre lui et m'embrasse.

Olivier : comment va Hugo ?

Moi : il a de la fièvre et Merlin fait de son mieux mais il faut vraiment qu'on arrive sinon...

Olivier : ne pense pas au pire bb.

Moi : il m'a sauver tellement de fois et c'est grâce à lui si nous nous sommes rencontré.

Olivier : je sais mon cœur. Dit tu sais se que le roi disait a merlin ? Parce que vu comment le druide la regarder ahuri.

Moi : euh... Non mais il m'a confier une mission pour nous deux.

Olivier : raconte.

Je m'approche de son oreille et lui raconte tout. Il se décale et me regarde surpris.

Olivier : sérieux mais pourquoi ?

Moi : pour éviter qu'il y ai des pertes des deux côtés

Olivier : mais c'est la guerre et puis on lui a juré fidélité.

Moi : c'est ce que je lui ai dit mais il m'a donné cette mission enfin nous.

Olivier : alors nous l'accomplir owns ensemble.

Il m'embrasse tendrement. D'un coup le plus jeune d'entre nous s'approche de la proue du bateaux est se met à sauter tout joyeux.

Kylian : Terre !! L'Aquitaine !! On n'es arrivé !!

Marco : c'est génial!! Sire !! Sire !!

Arthur : quesquil y a ?!

Mesut : nous voyons les côtes d'Aquitaine !!

Arthur : bien préparé vos affaires et préparer le bateaux.

Moi : bien sire.

Chacun part préparer ses affaires. Je les mets sur le ponts alors que mon copain aide Mesut et Sergio à diriger le bateaux dans le port, Joshua, Lucas, Paulo et James avec leur épées en mains font marcher les deux prisonniers Merlin aides les autres à rassembler les affaires des malheureux Phéniciens.

Nous accostons. Nous nous apprêtons à tous mette un pieds à terre quand des gardes nous menace avec leur lances.

... : ne bougez pas et posez vos armes !!

Lucas : mais...

... : sinon on vous empalle !!

Gérard : sympa on vous fait tout le boulot et vous vous voulez nous tuer.

Tony : on vous a mâcher le boulot.

... : de quoi parlez vous sale traître ?!

Moi : sale traite ?

... : oui sale traître ! Vous venez sur nos terres à la recherche du roi Arthur Pendragon ! On nous signaler certaine de vos équipes !

Julian : vous faites erreurs ! Nous venons de Rome parce...

... : la ferme !!

Presnel : oh vous lui parler autrement !

... : sinon quesque tu va faire sale renégat ?!

Arthur : vous remettre les idées en place bande de débiles !!

Tout les regards se tourne vers le roi de Logres. Il porte Hugo, torse nu les yeux clos et le visage pale, contre lui et regarde les soldats durement. Ceux ci écarquillent leurs yeux en comprennent de qui il s'agit. Il s'agenouille devant nous et donc devant le roi.

... : sire Arthur. Nous ne savions pas que vous vous étiez enfuis avec une équipe de chevalier.

Arthur : se sont des chevaliers résistants pauvre con ! Ils me ramène en Bretagne mais on n'a eu un petit souci et l'un de mes hommes a était grièvement blessé. Il a besoin de soin tout de suite.

... : suivez nous le duc à le meilleur médecin. Voulez vous que l'on porte votre homme ?

Arthur : non vu comment vous venez des les traiter je préfère pas. Ah et voilà deux vikings à la solde de Lancelot les autres nous les avons éliminer.

... : bien sire. Emmenez ses deux hommes aux cachots. Suivez nous sire.

Nous les suivons jusqu'au château du duc et de la duchesse d'Aquitaine. Le médecin du duc s'approche de nous et demande à deux hommes d'emmener vite Hugo pour le soigner. Ce qu'il font.

Le roi a regardé avec un peu d'inquiétude son amour partir avec le médecin. Je m'approche de lui et pose ma main sur son épaules.

Moi : ça va aller sire. Il est entre de bonnes mains.

Arthur : merci Antoine.

... : sire le duc et la duchesse sont prêt à vous recevoir.

Arthur : merci. Suivez moi.

Merlin : même moi.

Arthur : oui vous aussi. Allez !

Nous suivons notre roi jusque devant le duc et la duchesse. Nous nous inclinons devant eux alors qu'ils s'incline devant le roi.

Duc : dire nous sommes si heureux de vous revoir.

Duchesse : votre mère à fait courir le bruit que vous étiez décédé sire.

Arthur : je sais.

Duc : bien venez vous et vos chevalier devez être affamé.

Tony : oh ça oui!

On le foudroi tous du regard. Arthur lâche un petit sourire avant de se reporter sur le duc.

Arthur : on peut dire ça duc.

Duchesse : suivez nous.

Nous les suivons jusqu'à une salle où se trouve plein de nourriture. Un grand sourire se dessine sur mon visage. Olivier m'enlace est rigole. Je part m'asseoir à table sous le regard de mon homme. Il s'assoit à coter de moi et nous commençons à manger.

Pdv Arturo

Moi : maintenait le cap nous serons bientôt à Rome.

Memphis : Arturo vient voir vite!!

Je laisse l'équipage est me dirige vers lui.

Moi : quesquil y a?

Radamel : regarde. La bas.

Il me pointe du doigts des choses qui flotte sur l'eau. Je les regarde lui et Memphis. Tout comme moi ils ne comprennent pas ce que c'est.

Moi : approcher vous de ses choses qui flotte !

L'équipage s'exécute et nous nous approchons petit à petit des ses choses qui flotte. Radamel me regarde soudain horrifié.

Moi : quesque ta abruti?

Radamel : ce sont des corps !

Memphis : hein?!!

Radamel : c'est des corps d'homme regarde Arturo.

Je regarde de plus prêt et voit que se sont effectivement des corps.

Moi : remontez les tous !

Tout l'équipage s'exécute et remonte les corps de ses homme. Alexis s'approche de moi.

Alexis : ce sont des phéniciens. Mais regarde la bannière qu'ils avaient sur leur vêtements.

Moi : celle d'Aquitaine. Et eux c'est qui ?

Alexis : des vikings. On pense que les vikings on dit les attaquer et qu'après les avoir tous buter ils les ont jeter à la mer.

Moi : et ils auraient aussi jeter les corps de leur guerrier mort ? Je ne pense pas.

Alexis : alors quoi ? Y d'autre gars qui aurait tuer les vikings ?!

Mais.... Il a raison ce con. Je le regarde surpris qu'il est dit quelque chose d'intelligent.

Moi : mais tu sais que tu est intelligent quand tu t'y met.

Alexis : je vais prendre ça comme un compliment.

Moi : d'autre personne ont tuer ses vikings et qui n'a pas peur des vikings et qui protège les plus faible ?

Alexis : ben je ne sais pas moi....

Moi : rhô mais t'es vraiment con ! Les résistants !

Alexis : ha oui !

Moi : nous vogond vers Rome donc le bateaux de ses marchant venez de Rome. Et qui allons nous chercher à Rome ?

Alexis : le bâtard de Pendragon !

Moi : exact ! Il a embarquer avec l'équipe que nos hommes ont était incapable de suivre, sur se bateaux qui se dirige vers l'Aquitaine. Donc...

Alexis : donc quoi ?

Moi : pff mais qu'il est con !! Ils sont en Aquitaine espèce d'idiot !!

Alexis : ha !!

Moi : changement de cap ! Dirigez vous vers l'Aquitaine !

Radamel : bien Arturo!

Je regarde l'horizon et sourit diaboliquement.

Moi : je vous tiens sire Arthur.

Pdv Hugo

Je rouvre doucement mes yeux. Je me sens mieux mon dos me fait moin mal. Mais... Je suis allonger sur le dos et puis je suis dans une chambre que je ne connais pas. La dernière chose que je me souviens est d'avoir un peu parler à Antoine sur le bateaux.

Je me relève légèrement et doucement car mon dos tire. Je regarde autour de moi et voit que c'est plutôt une chambre noble. Mes vêtements et mes armes sont sur un meuble à coter de moi.

Je reste un peu allongé quand la porte s'ouvre sur un homme dont je ne connais pas. Il referme la porte derrière lui et me sourit.

... : vous êtes enfin réveillé messire Hugo.

Moi : heu.. oui. Dites ou es ce que je suis ? Et vous êtes qui ?

... : vous êtes au château du Duc d'Aquitaine et je suis le médecin du duc. Le roi Arthur vous as transporter jusqu'ici avec l'équipe de résistant qui l'accompagne.

Moi : Arthur... Ou est-il ?

... : il est en réunion mais il m'a dit de le prévenir des que vous vous réveiller.

Moi : alors aller le prévenir tout de suite s'il vous plaît.

... : bien messire.

Il sort et sourit. Arthur est adorable. Je met dans une position confortable quand la porte s'ouvre et laisse apparaître mon roi qui me sourit en me voyant. Il se jeté presque sur moi et m'embrasse.

Arthur : putain tu m'a fait peur. Ta dormi au moin 4 jour.

Moi : 4 jours ? Ah oui.

Arthur : ne me fait plus peur comme ça.

Moi : promis.

Le médecin rentre dans la chambre avec un homme noble qui est sans aucun doute le duc. Je m'incline comme je peux devant lui.

Duc : comment vous sentez vous ?

Moi : beaucoup mieux merci.

Duc : sire Arthur était très inquiet pour vous comme vos amis. D'ailleurs je vais vite aller les prévenir.

Il sort et le médecin s'approche de nous.

Médecin : vous devrez vous reposée un peu et oublier le combat pendant quelque temps. Vous avez eu beaucoup de chance et heureusement que Merlin a empêcher la plaie de s'infecter plus sinon..

Arthur : on préfére pas savoir.

Moi : c'est à dire que je ne pourrais pas être au coter d'arthur en Bretagne.

Médecin : vous pouvez les accompagner mais pas combattre pour le moment le temps que cela cicatrice bien. Sire vous devriez vous reposez vous n'avez pas dormi depuis que vous êtes arrivés.

Arthur : je sais mais je ne suis pas fatigué.

Médecin : bien je vous laisse sire, capitaine Lloris.

Il sort et Arthur souffle d'agacement se qui me fait rire.

Arthur : depuis qu'on n'est arriver qu'il me rabâche toujours les même chose celui là !

Moi : mais c'est pour ton bien chéri.

Arthur : oui mais même quand il s'agit de mon bien être merlin et moin chiant que ça.

Moi : tu est encore resté tout le temps à coter de moi ?

Arthur : tout le temps tout le temps Antoine venait me chercher pour les reunions est mangé.

Moi : faut bien que tu te nourrisse.

Arthur : d'ailleurs l'autre pédale ne t'a pas demandé si tu avais faim ?

Moi : euh... Non...

Arthur : ah ben bravo le médecin qui ne demande même pas à son patient s'il a faim. Bon tant pis regarde se que j'ai réussi à choper dans les cuisines.

Il se penche sous le lit et sort un sac. Il l'œuvre et en sort du jambon, des saucissons, du fromage et du pain. Il sort deux dagues et m'en tend une. Je la prend et la regarde attentivement. Arthur n'avait pas de dagues, il n'était même pas armée.

Arthur : c'est le duc qui m'en a fait cadeau. Bon mange.

Je m'exécute et mange en silence devant mon roi enfin plutôt mon petit amis qui me regarde en souriant.

Arthur : tu avais faim dit donc.

Moi : presque une semaine sans manger ça creuse.

Arthur : je veux bien te croire.

Il me caresse la joue alors que je termine de manger. Il remet le sac sous le lit et me reprend dans ses bras.

Moi : je t'es fait autant peur que ça ?

Arthur : ben... Oui. Quand on n'a débarquer ici tu ne t'es pas réveillé j'avais peur que...

Moi : que je sois mort.

Arthur : ouai puis de te voir comme ça allongé les yeux clos le teint pale ça m'a rappelé de mauvais souvenirs.

Moi : lesquels ?

Il baisse les yeux. Je lui prend la main.

Moi : Arthur... Chéri...

Arthur : ma tentinve... Comment j'étais après. Je ne veux pas te perdre Hugo. Je t'aime.

Moi : moi aussi je t'aime Arthur.

Arthur : parle moi de notre fils.

Moi : physiquement il me ressemble à part qu'il a les cheveux noirs et tes yeux par contre son caractère c'est tout toi.

Arthur : c'est a dire ?

Moi : intrépide, généreux, gentil comme toi quoi.

Arthur : et comment il c'est retrouvé prisonniers de Lancelot ?

Après sa question je me tend et regarde un point fixe sans lui répondre.

Arthur : Hugo...

Moi : je... Je...

Deux doigts passe sous mon menton et me font relever la tête vers Arthur qui ensuite me caresse le visage.

Moi : c'est de ma faute...

Arthur : comment ça?

Moi : je n'est pas su les protéger lui et Lucas...

Il se place devant tout en continuant à me caresser le visage.

Arthur : se Lucas c'était.... Ton petit ami ?

Moi : oui... Il était au courant pour nous deux et Leandro mais il la aimé comme son propre fils. On vivait heureux jusqu'à se que se connard de Vidal arrive.

Je lance un regard à Arthur qui de son regard me dit de continuer.

Moi : il chercher des chevaliers dans notre village avec d'autre soldats. Il est entre chez nous, Lucas à protéger Leandro et moi vu que je savais me battre je me suis jeter sur lui. On n'a commencé à se batte violemment jusqu'à se qu'il me jete au sol. Il s'apprêtait à me planter avec quand Lucas c'est interposé. L'épée la transpercer et il est tomber sous les yeux. Pendant que je prenait Lucas dans mes bras, cet homme ignoble à pris Leandro et l'a emmener avec lui.

Arthur : Hugo je ne sais pas quoi dire.

Moi : après ça Lucas ma dit ses derniers mots et ils te concernent.

Arthur : qu'a-t-il dit ?

Moi : " ne pleure pas je sais que tu m'aime mais tu cœur est destiné à un autre homme est cet autre homme c'est notre bon roi Arthur. Je veux que tu le retrouve et que vous sauviez Leandro de ses malades. Tu dira à Arthur que je me suis bien occupé de lui mais qu'il a toujours était conscient de qui était sont vrais père. Je vous aime ne l'oublie jamais " et il est mort dans mes bras.

Arthur me sert encore plus fort contre lui. Je sens qu'il m'embrasse le cou pour me réconforter. Je vous avoue que de me remémorer tout ça me donne envie de pleurer mais je doit rester fort pour la memoire de Lucas.

Je sens quand même quelque larmes qui coulent mais une mains les essui doucement. Arthur. Je ne veux pas pleurer devant lui je ne veux pas lui montrer que je suis faible.

Il prend mon visage entre ses mains et m'embrasse passionnément pour me montrer le contraire. Je répond à son baiser et me sers encore contre lui. Je me calme doucement mes larmes ne coulent plus.

Lucas avait raison mon cœur appartient à Arthur pendragon.


A suivre...
Voila pour cette sixième partie.
Petite question : à votre avis quesque Arthur à demander à Antoine ?
Et à merlin ?
⚠️Ce n'est pas la même chose pour les deux.

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