Commande de CcileDemianville

Pdv Antoine

J'ouvre mes yeux mais c'est le noir total autour de moi. J'essaie alors d'amener mes mains devant mes yeux mais elle sont étroitement liée derrière mon dos. J'essaie aussi de parler mais une sorte de scotch empêche le moindre mouvement de mes lèvres. Quesque je fais la ?

Ça me revient ! Je suis rentré chez moi et tout était par terre un mec m'attendais c'était Maxime mon "ex". Il m'a assommer après m'avoir frappé. D'ailleurs j'ai encore quelque douleurs au ventre.

Jessai de me détachez et de retirer cette chose sur mes yeux mais je touche quelqu'un qui est allonger juste à côté de moi et qui a légèrement hemis un gémissement de douleur.

Oh non ça me revient aussi ! Il a enlevé Hugo ! C'est mon Hugo à côté de moi ! Je continue alors à me débattre le plus possible cherchant à savoir s'il allait bien, si ce taré ne l'avait pas blesser quand le bruit du verrou me stoppé. On vient.

J'arrête mes mouvements et j'enteud un rire qui me fait frissonner. Les pas s'approche de moi et la chose devant mes yeux disparait. Je papillonne des yeux pour m'habituer à la lumière. Je regarde alors Maxime et lui lance un regard noir.

Maxime : ne me regarde pas comme ça chéri. Regarde je suis gentil je t'es mis à coter de ton gardien d'amour.

Je tourne mon regard vers mon Hugo. Il s'approche de lui et lui retiré son bandeau. Hugo ouvre doucement ses yeux. Il est ouvre en grand en me voyant allongé à coter de lui. Maxime lui prend le menton et l'oblige à le regarder.

Maxime lui sourit et lui retiré violemment l'adhésif qu'il avait sur ses lèvres.

Hugo : hum

Maxime : rhô c'est rien ça.

Hugo : vous... Vous êtes qui ?

Maxime : ah bonne question. Je m'appelle Maxime et je suis le petit ami à Antoine.

Hugo se tourne vers moi choqué. Je lui fait un faible signe négatif de la tête.

Maxime : c'est grâce à moi qu'il a découvert qu'il était gay. Nous sommes sorti ensemble jusqu'à se qu'il parte en Espagne.

Hugo : mais... Il avait 13 ans...

Maxime : la ferme. Ensuite il m'a promis que plus tard on se marierai et qu'il ne l'oublierai jamais. Le voilà parti et les années passent sans nouvel jusqu'à se que je le voit en couple avec toi et sur le point nt de se marier !

Hugo : tu est complètement malade.

Maxime lui donne une gifle. Je crie le nom d'hugo derrière le morceau d'adhésif.

Maxime : tu n'est personne pour me juge connard. Maintenant que je vous ai tout les deux je compte bien reprendre se qui m'appartient.

Il s'avance vers moi et me retire se putain d'adhésif. Il se relève et sort. Je n'ose même pas regarder mon homme.

Hugo : Antoine...

Je relève doucement mes yeux vers lui. Il ses relevés est ses donc assis. Je fais donc de même mais avec du mal.

Hugo : amour...

Moi : je suis désolé bb.

Hugo : mon cœur se n'est pas de ta faute. C'est vrai se qu'il a dit pour le mariage ?

Moi : oui... J'étais jeune et aucun club ne voulait m'accepter... Mais quand je t'ai rencontré j'ai tout de suite su que c'était toi que je voulais.

Hugo : moi aussi Antoine et je comprend tout à fait.

Il se penche vers mon visage et embrasse mes lèvres.

Moi : faut sortir d'ici.

Je tire sur mes liens tout comme Hugo mais il sont trop serré. Tout se qu'on arrive à faire c'est de s'écorcher.

Moi : on n'y arrivera pas.

Hugo : si bb croit moi que...

Des cris et un fracas monstre venant d'en haut le coupé dans sa phrase. Je me colle contre Hugo quand j'entends des pas venir par ici. Il va nous tuer ! Je ferme les yeux et attend. La porte s'ouvre doucement.

Théo : Antoine ! Hugo !

Hugo : bb c'est ton frère.

Je rouvre les yeux et découvre mon petit frère avec quelque policiers qui viennent nous détacher. Il vient nous aider à nous relever et nous sers dans ses bras.

Moi: comment...

Théo : marine ma appelé car elle n'avait pas de nouvelles de toi qui devait appeler Hugo. Alors hier matin je suis aller chez toi et j'ai vu le bordel qu'il y avait. Alors j'ai retracé ton téléphone vu que j'en ai déduis qu'il t'étais arrivé quelque chose. Donc j'ai appelé les flic est voilà.

Hugo : en tout cas merci.

Théo : aller venez il vont vous faire des examens pour voir si vous n'avez rien.

Il nous entraîne en dehors de cette cave humide. Nous voyons plusieurs policiers escorter Maxime vers une voiture. D'autre nous emmène vers une ambulance pour nous examiner

{3 jours plus tard}

Isabelle : Antoine chéri repose toi.

Moi : maman je ne suis pas fatigué.

Et oui après nous avoir examiné les flics nous ont ramener chez mes parents vu que Maxime nous avez emmener à Mâcon. Et depuis ma mère est au petit soin pour nous.

Isabelle : Hugo tes poignet vont bien ?

Hugo : oui ne vous en faites pas madame.

Alain : Hugo nous t'avons déjà dit de nous appeler Alain et Isabelle. Et chérie laisse les ils vont bien.

Isabelle : oui excusez moi les garçon.

Moi : il n'y a pas de mal maman.

La porte d'entrée s'ouvre sur Maud avec Mia dans ses bras. Elle est suivi de 2 petites filles.

Moi et Hugo : Mia ! Anna-rose! Giuliana!

Eux trois : papa ! Dad!

Elles court dans nos bras et nous nous faisons un gros câlin.

Théo : et nous on n'a pas le droit à un câlin ?

Giuliana : tonton. Papy mami.

Les trois petites court dans leurs bras. Maud s'approche de nous.

Maud : tien petit frère se sont les papier de votre mariage. Je me suis dit que comme vos clubs vous donner une semaine de repos vous pourrez le préparer.

Hugo : une semaine de repos ?

Maud : oui je me suis permis d'appeler ton club Hugo et bien sûr ils comprennent se qu'ils s'est passez.

Moi : merci grande sœur.

Elle nous sourit et rejoins la famille qui est partie dehors pour jouer avec les filles. Deux bras puissants m'enlace et mon gardien vient déposer ses lèvres dans mon cou.

Hugo : ten dit quoi? On commence à organiser notre mariage ?

Moi : oui mais on va aussi profiter de notre famille bb.

Je l'embrasse tendrement et me sert contre lui. Il me caresse les cheveux tendrement.

Isabelle : Hugo Antoine vous venez nous allons au restaurant.

Moi : on arrive maman.

Hugo : j'adore ta famille. J'ai hâte d'en faire partie.

Moi :mais tu en fais déjà partie bb.

Je l'embrasse une dernière fois avant de lui prendre la main pour rejoindre notre famille.