Os 29 : "La Bataille De Kaamelott" Footballeur #4
Je suis très inspiré alors je vous offre la 4éme partie.
Pdv Antoine
Je me réveille contre le torse de mon belle homme qui me caresse les cheveux.
Olivier : bonjour mon blondinet chéri.
Moi : bonjoir mon chéri tu as bien dormi ?
Olivier : oui et toi ? Ta blessure ?
Moi: je n'est presque plus mal. On va déjeuner ?
Olivier : oui je parie que tu as faim ?
Moi : tout juste.
L'on se lève et nous nous habillions. Nous rejoignons les autres qui mange déjà.
Moi : bonjour tout le monde.
Mesut : salut les amoureux.
Olivier : le roi est Hugo ne sont toujours pas lever ?
Merlin : non et c'est bizarre Arthur et plutôt matinale.
Moi : je vais les chercher.
Je me dirige vers la chambre attitré d'hugo et toque. Personne ne répond je rentre et decouvre que son lit n'a pas était défait bizarre. Je pars vers la chambre d'Arthur et remarque qu' elle est un peu entrouverte. Je la pousse légèrement et ouvre grand les yeux surpris. Hugo dort paisiblement enlancé par Arthur qui lui aussi dort paisiblement. Mais le plus troublant son que leur vêtement sont tous par terre.
Je referme la porte doucement. Le roi et Hugo ensemble ??!! Et ils auraient coucher ensemble ?!! Olivier et les autre me rejoignent.
Sergio : alors tu les a trouvé ?
Olivier : bb ça ne va pas tu es pale ?
Merlin : c'est votre blessure ?
Moi : euh non...
Tony : c'est quoi alors ?
Gérard : et il y a quoi derrière la porte ?
Avant que je ne disent quelque chose il ouvre la porte et tous découvre se que j'ai vu quelque instant plus tôt. Ils sont tous sous le choc. Je referme doucement la porte.
Merlin : vous avez vu ce que j'ai vu ?
James : oui...
Julian : on fait quoi?
Moi : on part manger et on fait comme si on n'avait rien vu. S'il veulent nous le dire il nous le dirons.
Nous repartons pour manger en fessant comme si rien ne c'était passé.
Pdv Hugo
Je dors paisiblement quand je sens une main me caresser la cuisse. Je sourit enterieurment. Je sais très bien qu'il veut me réveiller.
Arthur : Hugo c'est l'heure..
Moi : hum... Encore un peu s'il te plaît...
Arthur : non aller ouvre tes beaux yeux.
Je sourit ouvre mes yeux et le regard. Il me sourit et me caresse le visage.
Arthur : quesque j'aurais donner pour voir se genre de réveille tout les matins.
Moi : et moi donc. Hum mon dos..
Arthur : tu as mal?
Moi : a ton avis. Je crois que j'aurais dû mal à m'asseoir aujourd'hui.
Arthur : je suis désolé pour toi.
Moi : ce n'est rien. Dis rassure moi après cette nuit tu... Tu ne va pas faire comme il y a 18 ans ?
Arthur : a sûrement pas. Non je vais te prendre et t'embrasser encore et encore.
Il grimpe sur mes hanche et se jeté sur mes lèvres. Je le fais basculer sur le côté sans arrêter de l'embrasser.
Arthur : bon... On va peut être aller manger avec les autres ?
Moi : euh... Ouai. On leur dit quoi pour nous deux ?
Arthur : ah oui ça. Euh ben tu sais quoi c'est toi qui décide.
Moi : j'aimerais attendre un peu.
Arthur : alors on attendra.
Il m'embrasse avant de se lever pour s'habiller. Je fais de même sauf avec un peut plus de mal à cause de la douleur dans mon bassin. D'ailleurs ça le fait sourire de me voir galèrer.
Moi : arrête de sourire c'est de ta faute.
Arthur : c'est un peut la tienne aussi tu as voulu.
Moi : c'est vrai.
Arthur : bon aller viens.
Nous sortons de la chambre et rejoignons les autres qui sont entrain de déjeuner.
Merlin : ha sire, Hugo vous êtes levé.
Moi : oui.
Tony : mesut a été acheté des fruits tenez vous reprendrez des forces tout les deux.
Il nous tend la coupe et nous nous saisons d'un fruit au hasard. Nous nous assyons mais la douleur dans le bassin me prend et je fais une grimace de douleur. Arthur me regarde avec un peu d'inquiétude dans son regard.
Sergio : ça va Hugo?
Moi : oui. Je.. C'est juste le fait qu'on est trop marcher.
Merlin : j'ai de la pommade si vous voulez.
Moi : non ça ira merci merlin.
Lucas : on fait quoi aujourd'hui ?
Mesut : et bien on pourrait commencer par aller chercher des vivres pour le voyage du retour.
Arthur : excellente idée. Et je pourrais vous montrer des endroits magnifiques à Rome. Tu verras Hugo ça nous rappellera des souvenirs.
Moi : Ok.
L' on termine de manger puis nous sortons dans les rues déserte de la ville. Plusieurs fois la main d'Arthur frôle la mienne. Je sais qu'il le fait exprès est cela me fait sourire.
📍Île de Bretagne
Pdv Arturo
Moi : comment ça vous n'avez pas pu les suivre ?
Lui : nous étions tous blessé et...
Moi : je ne veux pas le savoir ! L'ordre était que si vous les voyez que vous les suiviez pas d'essayer de les arrêter !
Lui : nous sommes désolé seigneur Vidal...
Moi : dégagez !
La petite équipe sort et je tape sur la table.
Lancelot : allons calme toi voyons.
Moi : l'ordre étai simple bon sang !
Lancelot : c'est bien sur cette plage là que les résistant on embarqué ?
Moi : oui...
Lancelot : ils sont à Rome.
Moi : quoi ?
Lancelot : c'est sur cette plage là qu'Arthur à poser les pieds en Bretagne pour la première fois en provenance de Rome. Donc ils sont à Rome.
Moi : sire vous êtes un génie.
Lancelot : je le sais bon va te préparer et choisi des hommes. Tu dois aller chercher Arthur.
Moi : bien sire.
Je sors de la salle du trône un sourire au lèvres. Ça y est nous tenons enfin ce bâtard.
Pdv Raphaël
Nous avançons prudemment dans les montagne enneigé. Didier reste derrière moi alors que le seigneur perceval est Leodagang sont devant moi.
Nous avons le rocher en vue est effectivement il est bien gardé.
Moi : on fait quoi ?
Leodagand : on foncé dans le tas.
Perceval : comme ça ?
Leodagand : vous avez une autre idée peut être.
Didier : oui d'y aller tranquillement regarder.
Il nous montre le rocher ou les soldats partent en courant.
Leodagand : allons y !
L'on court vers le rocher. Arriver devant l'épée leodagand regarde perceval.
Perceval : quoi ? J'ai quelques chose sur le visage ?
Leodagand : c'est a vous de la retirer ! Alors dépêchez vous avant qu'il reviennent !
Perceval : heu... D'accord.
Il lève les mains se saisit du manche de l'épée et tire dessu. L'épée sort du rocher et flamboie.
Didier : c'est impressionnant.
Leodagand : quand on n'a pas l'habitude oui mais c'est juste un bibelot. Bon partons.
... : ne bougez pas !
L'on se retourne et nous voyons 5 chevalier blanc les armes pinter sur nous.
... : donnez nous l'épée !
Leodagand : sûrement pas espèce de glandus ! Sortez vos armes et protéger l'épée !
Perveval : et je fais quoi ?
Moi : gardez Excalibur !
Je sors mon épée et les attaques. Je me débrouille bien avec cette armes. Le seigneur Léodagand met les chevaliers à terres et perceval ben il a décidé de se battre avec Excalibur. Par contre je ne vois pas Didier.
Didier : aie !
Je regarde en direction de la voix de l'homme que j'aime et le voit à terre que tien son bras droit replier contre sa pointrine et un chevalier avec son épée lever sur lui.
Moi : Didier !!!
Je cours vers lui et plante mon arme dans le dos du chevalier qui tombe. Je retire mon épée de son corps et court vers mon amour.
Moi : bb ça va?
Didier : oui... Ce n'est rien mon cœur.
Je l'aide doucement à se relever. Perceval et Leodagand s'approche de nous.
Leodagand : bravo pour votre courage chevalier Varane.
Moi : merci.
Didier : et merci de m'avoir sauver.
Perceval : on devrait partir non ?
Moi : oui. Rentrons vite.
Je prend la main gauche de Didier et nous rentrons au camp. Arriver la bas j'allonge Didier dans notre lit. Elias arrive sûrement prévenu par leodagand. Je reste près de Didier alors qu'elias le soigne.
Elias : d'habitude c'est merlin qui fait ça.
Moi : oui mais il n'est pas là.
Leodagand rentre.
Leodagand : c'est grave ?
Elias : non mais vous devrez garder votre bras en écharpe quelque temps et oublier les missions.
Didier : oh non.
Moi : sa me rassure un peu bb.
Leodagand : bon laissons les Elias. Ils ont besoin de repos la mission à était accompli.
Ils sortent et je sers Didier contre moi.
Didier : maintenant tu comprend se que je ressens quand tu part en mission sans moi.
Moi : oh oui.
Je l'embrasse et le sert contre moi. Je sourit. On n'a réussi une parti de notre mission : récupéré Excalibur.
A suivre...
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