Os 114: " Mon Toitoine" Antoine Griezmann X Didier Deschamps

Suite de notre ship favoris. Et sorry pour l'attente jai eu un soucis de tel et une panne d'inspiration 


Pdv Antoine 

Je me lève la tête dans le cul. Et encore une nuit à calmer les cauchemars de mon mari. Apres je ne lui en veut pas de faire des cauchemars après le choc qu'il à eu mais je lui en veux de ne pas m'en parler . Alors je comprend que devant les enfants sa soit compliqué mais là on ai à Clairefontaine entre nous. Il pourrait se confier à moi. 

Je m'habille et sort de notre chambre sans faire de bruit pour qu'il se repose. Je descend rejoindre les mecs dans la salle commune pour le petit déjeuner. Je me sers et m'assois entre Paul et Hugo. Tous les deux semble surpris 

Hugo : le coach n'est pas avec toi ?

Moi : non il dort encore. 

Kurt : pff il nous dit de nous lève tôt mais lui il fait la grâce mat tranquille .

Je relève la tête vers lui et le foudroie du regard. Lui je ne l'aime déjà pas mais là parler de mon bb alors qu'il traverse une période difficile, je le hais. 

Moi : déjà il rattrape la nuit blanche qu'il vient de passer

Kurt : non tu la baiser toute la nuit? Le pauvre il doit avoir le cul défoncer

Karim : Kurt ferme là . 

Kurt: toi tageuele tu dit que le coach et raciste et tu reviens comme une fleur. 

Adrien : parle bien par contre!

Hugo : calmez vous. 

Kurt : toi aussi ferme là messieurs le capitaine. Toi aussi tu te tape un vieux j'te rappel. 

Moi: par contre parle pas de Bixente. 

Kurt : sinon quoi Griezmann ou plutôt je devrais dire Deschamps. C'est ton nom maintenant. 

Je me lève et commence à avancer vers lui. Mais Paul me retiens par le bras. 

Paul : un conseil Kurt calme toi. 

Kurt : ben vas y je t'attends la pioche. Parce que toi aussi tes un peu le chouchou du coach. 

Moi : mais ferme ta gueule putain ! Tu connais pas nos vies! 

Kurt : a part que tes marié au coach et que le capitaine se tape lui aussi un vieux. 

Ok là il va trop loin. Je me défais de l'emprise de Paul et m'approche de Kurt. Derrière moi je peut entendre Hugo faire pareil et l'autre se fait tout petit. Je le prend par le col et le foudroie du regard. Au même moment Didier rentre dans la pièce et nous voie prêt à nous battre. 

Didier : oh il se passe quoi ici ?!

Kurt : bonjour coach vous avez l'air d'aller bien finalement ? 

Je sers mon poings et le lève prêt à l'abattre sur sa salle gueule.

Didier : Antoine arrête !

Moi : tu ne sais pas se qu'il à dit sur toi avant que tu arrive !

Paul : il à parler de votre vie sexuelle !

Kurt : c'est pas vrai ils mentent coach !

Hugo : et ma main dans ta gueule tu va voir si on ment ! 

Didier: stop ! Sa suffit maintenant ! Je n'en peut plus ! Là c'est trop!

Oula il va craquer je le sens. Je lâche à contre cœur se connard puis contourne la table pour prendre la main de mon mari et le tire vers les terrains les plus éloignés du château. Une fois arrivé je me tourne vers Didier et le regarde droit dans les yeux. 

Moi : maintenant tu me parle. 

Didier : Antoine on à entrainement dans 

Moi : ca attendra ! Parce que je te laisserai pas partir tant que tu ne m'aura pas dit ce qu'il y à dans tes cauchemars!     

Il me regarde droit dans les yeux  et je le sens trembler. Je prend son visage entre mes mains et colle nos front ensemble. 

Moi : parle moi mon cœur s'il te plait. 

Didier : je... Depuis 15 jours je fais plusieurs cauchemars où tu me jeté dehors parce que j'ai abandonner mon bébé ... Tu me hurlais des horreurs ... Et ...Et les enfants me regardaient comme si j'étais un monstre!   

Des larmes se mettent à dévaler ses joues. Je le sers contre moi. 

Moi : tu sais très bien que je ne te ferai jamais pas ça.

Didier: oui mais j'ai tellement honte Antoine ... J'ai abandonner mon bébé...

Moi : mais bb ... Tu ne la pas abandonner ... 

Didier : si Antoine ! Je ne me rappelle plus de lui !

Moi : chut mon cœur calme toi . Je t'es promis que l'on aller savoir se qui t'était arrivé y à 26 ans bb et je vais tenir ma promesse.

Didier : comme tu à tenu celle où on serait un jour ensemble pour toujours. 

Moi : oui mon amour. 

Il me sourit et je fond. Je saute sur ses lèvres  et l'embrasse passionnément. Je sens un sourire contre mes lèvres et approfondis mon baiser. Il se sépare de moi par manque d'air  mais me regarde avec un grand sourire. 

Didier : j'ai envi de toi . 

Moi : ça tombe bien moi aussi. 

Passage Lemon

Je regarde autour de nous s'il n'y à personne pour voir se qu'il va se passer. Je le plaque contre un arbre et lui embrasse le cou . 

Moi : je croyais qu'on avait entrainement ?

Didier : il es reporter pour cause de besoin vital de leur entraineur. 

Moi : besoin vitale ? 

Didier : grouille putain . 

Je ris et recommence à l'embrasser. Je colle nos bassin ensemble et fais un joli suçon à mon mari. Il gémis puis je baisse nos pantalon. Je m'approche de son oreille et lui chuchote. 

Moi : touche moi bb.  

Didier : avec joie mon Grizou. 

Il baisse mon caleçon et prend mon sexe entre sa main et commence ses mouvements de va et vient très lent se qui me fait grogner . Il me regarde en souriant comme un enfant. J'ai réussit à lui redonner le sourire. Je stop ses mouvement quand je sens que je vais venir. Je baisse son sous vêtement et met trois doigts dans sa bouche pour les lubrifier. 

Moi : putain quesque tu est beau mon amour . 

Il me sourit  puis après quelque minute je retire mes doigts de sa bouche et en rentre. Il gémit de surprise mais je l'embrasse pour le faire taire. Je rentre les deux derniers doigts et l'étire comme il faut. Quand je sens qu'il est prêt je retire les doigts et le pénètre doucement tout en l'embrassant. 

Je me stop pour lui laisser le temps de s'habituer et le regarde droit dans les yeux. C'est vraiment mon plus beau cadeau dans ma vie avec mes enfants . Pour me sortir de mes pensées il me donne un coups de bassin avec un sourire en coin. Je fait des va et vient lent puis je commence à les accélérer jusqu'à se qu'on jouisses ensembles.

Fin du Lemon   

Nos respiration sont haletantes mais on sourit. Je l'embrasse et il se sert contre moi. On se rhabille comme si rien ne s'était passer . Je prend sa main et on court vers le château où les mecs sont parti a l'entrainement.

Moi : ils sont parti sans nous .

Didier : tant pis . Je repart me coucher . Tu viens avec moi ? 

Moi : pourquoi ? 

Didier : tu m'apaise . 

Moi : aller viens mon cœur. Et quand on rentrera à Madrid je ferai appel à un détective privé. 

Didier : d'accord mais il risque de ne rien trouver...

Moi : qui ne tente rie à rien. 

On se sourit et nous montons dans notre chambre main dans la main. 

A suivre ... 






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