Pdv Pedri

Nous entrons sur le terrain pour nous échauffer. Se soir nous jouons contre la real socediad.  Je regarde Gavi mon meilleur ami qui me sourit. Je lui rend son sourire. Je discute avec Ousmane et Gavi quand je commence a entendre les supporter hurler des insulte homophobe envers lui. 

Je regarde mes coéquipiers qui se sont figé sur place en entendant toutes ces insultes. Beaucoup d'entre nous sommes gays et disons que l'ont se soutient tous mutuellement. Je regarde la tribune d'où venez les insultes et m'approche furieux. Faut que ca cesse parce que Gavi commence à reculer vers les vestiaire. Ousmane cours vers moi et me retiens . 

Moi : lâche moi ous faut qu'ils arrêtent  !

Ousmane : mais pense à Gavi  ! il à besoin de nous et de toi!

Moi: mais... Et eux ?!!!

Ousmane : t'inquiète pas je m'en occupe. 

Je le regarde et le vois s'approcher de la tribune et faire des grands gestes pour qu'ils arrêtent. Mais au contraire ils continues. Ous se tourne vers Lewi et lui fais signe de lui ramener un micro. Je me tourne vers gavi qui me regardent les larmes aux yeux et cours à l'intérieur du stade surement vers nos vestiaires . J'aller le suivre mais j'entend rob m'appeler alors qu'il tend le micro au Français. Ce dernier le prend furieux.

Ousmane : bon maintenant stop !

Les supporter continu de siffler et de hurles toutes ces choses horribles. Toutes l'équipe se met derrière lui ainsi que les joueur de l'équipe adverse pour tenter de les calmer. 

Ousmane : Putain mais fermez la bandes de fils de pute !!

Tous le huent et commencent à chauffer les autres tribunes qui essayent aussi de les calmer. Mais je sens que tout ca va partir en bagarre général.  

Ousmane : ouai vous êtes tous des petits fils de pute d'homophobe ! Alors allez bien niquer vos putain de daronnes parce que la aucune des deux équipes ne jouera devant vos sale gueule de merde ! 

Les deux équipes l'applaudissent  puis se diriges vers les vestiaires. Je regarde la tribune puis leur fais deux beau doigts d'honneur. Je rentre dans notre vestiaires et cherche Gavi du regard mais il n'est pas parmi nos coéquipiers. 

Moi : vous savez ou est Gavi ? 

Robert : il c'est enfermé dans les toilettes. On t'attendait pour aller le voir. 

Moi : ok. Que personne ne viennent nous déranger jusqu'à se que l'on reviennent. 

Tous hochent de la tête et je rentre dans les toilettes. Je referme la porte derrière moi et je peux entendre des pleurs venant de la cabine du fond. J'avance doucement vers elle puis une fois devant je vois mon coéquipier assis par terre recroqueviller sur lui même et renifler. je m'agenouille en face de lui et pose mes mains sur ses genoux. 

Ce qui le fait sursauter et relever sa tête vers moi. Des larmes dévalent de ses yeux rouges. Je lui sourit doucement pour le réconforter légèrement puis caresse ses joues avec mon pouces pour essuyer les dernières larmes qui ont coulées. 

Gavi : Pe... Pedri....

Moi: chut calme toi. 

Gavi : j'ai... j'ai tellement honte...

Moi: pourquoi ? Parce que tu est gay ?

Gavi : oui et aussi à cause de moi des milliers de supporters se sont déplacer pour rien. Le match est annulé par ma faute...

Moi : et gavi. 

Je viens m'assoir a ses coter et le prend dans mes bras. 

Moi : c'est n'est pas de ta faute. Loin de la. C'est ceux qui t'ont huer et insulter qui devrai avoir honte. C'est eux qui ont fait annulé le match à cause de leur comportement qui devraient avoir honte. Huer et détesté une personne comme toi. Ils sont tout simplement cons. 

Gavi : tu ne peut pas comprendre... Ca fait des années que  je subi se genre de choses. Que j'encaisse mais se soir... c'était la goutte d'eau qui à fait déborde le vase. Le foot ces ma bouffer d'air là ou je peut être moi même sur un terrain sans aucun jugement. Alors quand ils ont commencer à crier tout c'est trucs je .. c'est comme si tout s'envoler en milles morceau. Je n'arrivais plus à respirer , mon cauchemar recommencer . 

Moi : pourquoi tu ne nous en jamais parler avant de ton passé ? 

Gavi : c'est pas trop le genre de truc que tu confie à tes coéquipiers. 

Moi : mais plutôt à des amis ? 

Gavi : oui...

Moi : ce que moi est les mecs sommes pour toi. Tu sais quand tu ressens le besoin de te confier sur se que tu as vécu ou se que tu ressens n'hésite pas nous sommes là pour toi. On est une équipe ont se sert les coudes . 

Il me sourit et pose sa tête sur mon épaule. A se contact mon cœur loupe un battement et je sens mes joues rougir. 

Gavi : merci Pedri . Je savais que je pourrais compter sur toi. 

Moi : tu pourras toujours compter sur moi. A n'importe quelle heures. N'importe quel jours.    

Gavi : heureusement sinon je ne sais pas ou je serais aujourd'hui . 

Il prend ma main dans la sienne et je me laisse faire. Je la sers et pose ma tête sur la sienne. On reste ainsi pendant plusieurs minutes puis il relève la tête vers moi. Il plonge son regard dans le mien et aucun de nous ne bouge. Et sans se rendre compte on se rapproche du visage de l'autre comme si on était magnétisé. Et c'est ainsi que nos lèvres se touchent doucement. 

Nous sourions contre les lèvres de l'autre. Je remonte mes mains pour prendre son visage entre elles et l'embrasser plus profondément. On est bien obliger de se séparé par le manque d'air. nos respiration sont haletantes mais nous avons tout les deux le sourire. 

Moi : waouh . C'est tout se que j'ai à dire. 

Gavi : moi j'ajouterai juste. Je t'aime. 

Moi: moi aussi et des maintenant plus aucun homophobe ne t'insultera sinon il aura affaires à moi . 

The end