Os 110 : " Tsunami" Didier Deschamps X Bixente Lizarazu
15 juillet 2022
Pdv Bixente
Enfin a la maison ! 1 mois en Angleterre pour commenter l'euro féminin n'est pas de tout repos, sans oublier 2 match de l'équipe de France juste avant.
D'ailleurs les matchs de l'équipe de France en juin non pas était fameux du tout, 2 défaite et 2 match nul. Non qualifier. C'était vraiment pathétique.
Je descend de ma voiture accompagné de Grégoire et Frédéric et marche vers l'entrée de notre maison à moi et Didier mon mari depuis 31 ans.
Je rigole avec mes amis et ouvre la porte d'entrée heureux d'être enfin chez moi mais je le perd vite en voyant mon mari appuyer contre le mur de notre cuisine, les bras croisés sur son torse et qui me foudroie du regard.
Je pose mon sac sur le sol et regarde mes deux amis sans comprendre. Eux aussi sont aussi surpris que moi de voir l'homme que j'aime me regardez ainsi.
Moi : chéri ça va?...
Didier : non ça va pas.
Moi : dit moi se
Didier : je suis pathétique ! Je suis un sélectionneur minable qui devrai écouter son mari enfoncer l'équipe national !
Merde mes réactions à chaud sur les 4 matchs.
Moi : chéri je
Didier : ferme la ! Ça fais 31 ans qu'on ai marié Bixente ! 31 ans mais tu t'en fous ! J'ai vu les émissions après nos matchs pas une seule fois tu a une pensée pour moi en disant tout ça ! Pas une ! Et pour moi ça c'est inacceptable !
Moi : attend tu est entrain de m'engueuler par ce que j'ai dit des choses vrai sur les matchs pathétique de l'équipe de France ?!
Didier : et aussi sur ma façon d'être, de gérer un groupe, et mon caractère !
Moi : quoi ?!! Attend Didier je n'est jamais dit ça !
Didier : tu veux que je te ressorte tout les article et les vidéos ?! OK y a pas de soucis ! J'vais m'en servir pour les papiers du divorce !
Et sur ces dernières paroles il monte à l'étage en furie. Bon ben c'est pas se soir que je me reposerai. Je me tourne vers mes deux collègue et amis qui n'ont rien dit de toute mon engueulade avec Didier.
Moi : vous avez bien entendu comme moi ?
Grégoire : le mot divorce ? Oui on l'a entendu aussi.
Je soupire et m'assois sur le canapé dépité.
Frédéric : je croyais que tout aller bien avec Didier après c'est fameux matchs.
Moi : moi aussi.
Grégoire : comment ça toi aussi ?
Moi : avant que je parte en Angleterre c'était tendu et froid. J'aurai du me douter de quelque chose.
Frédéric : tu crois pas que tu as étais un peu fort dans les paroles que tu as dit dans les émission à l'encontre de l'équipe de France ?
Moi : pas du tout et c'est la pure vérité !
Grégoire : une vérité qui arrive au même moment que le décès de son père.
Merde oui la mort de Pierre... Putain mais quel con j'ai était ! Oh putain oui j'ai fait une sacré connerie.
Moi : putain les mecs... Je... Je suis même pas aller à l'enterrement...
Frédéric : quoi ?!
Moi : oui on avait trop de boulot avec greg et l'euro féminin qui arriver.
Grégoire : on était pas si débordé que ça Bixente.
C'est vrai. En faite il as toute les raison de m'en vouloir. Première chose je n'est pas était là pour lui pour le deuil de son père et deuxième chose pendant se deuil je l'accable des mauvais match de l'edf. Putain le boulet.
Grégoire : on va te laisser.
Frédéric : je dois rejoindre Hugo mais appel nous si tu as besoin de quelque chose.
Moi : merci.
Mes deux amis me disent au revoir et sortent. Me voilà tout seul. Je décide de monter me coucher sans manger de toute façon tout ça m'a couper l'appétit.
Je monte donc dans notre chambre. J'ouvre doucement la porte et voit l'homme de ma vie dormir paisiblement.
Je me glisse dans les draps et l'enlace de façon à se que son dos soit coller à mon torse. Mais 30 seconde après il se lève, prend son téléphone et se dirige vers la porte.
Moi : où tu va?
Didier : dormir dans la chambre d'ami. Et tes pas inviter.
Il claque la porte et je souffle en m'affalant dans le lit. Notre lit. Putain quesqu'on Basque c'est rancunier. Je souffle une nouvelle fois et essaie de trouver le sommeil en espérant que cela s'arrange.
26 août 2022
Je descend après avoir pris ma douche et petit déjeune en consultant le courtier du jour quand je tombe sur un formulaire de divorce à remplir.
Depuis que je suis rentrée de l'euro rien ne s'est arranger entre Didier et moi. On fait chambre à part, on ne se parle pratiquement plus et quand on le fait on s'engeuele.
Je regarde plus en détail se formulaire et voit qu'il a vraiment entamer une procédure de divorce. Je tombe des nu.
Des pats se font entendre et le voilà qui descend et qu'il se prépare son petit déjeuner.
Moi : c'est quoi ça?
Je jeté les papiers près de lui.
Didier : bonjour déjà et tu as était a l'école comme moi tu sais lire.
Moi : tu as demander le divorce mais pourquoi ?
Didier : tu n'est pas sénile il me semble. Donc tu as toute ta mémoire.
Moi : arrête de te foutre de ma geule Didier et répond moi !
Didier : tu sais très bien pourquoi.
Moi : ok j'ai eu des paroles déplacé envers ton rôle de sélectionneur et je m'en excuse ! Tu est content ?!
Didier : y a pas que ça ! Ça fait des mois que tu ne m'a pas toucher ! T'es plus la quand j'ai besoin de toi !
Moi : bb pour ton père vraiment je suis désolé j'aurai du être
Didier : tait toi! Je ne veux même pas entendre tes explications ! C'est fini entre nous bixente !
Moi : non ! Tu n'a pas le droit de demander le divorce juste pour ça !
Grégoire : BON STOP !
Nous sursautons tout les deux. Mon ami est rentré avec Benjamin Pavard à ses coter, Fred et Hugo. Tout les quatre nous regarde froidement.
Frédéric : ça suffit maintenant.
Moi : mais...
Hugo : on vous a dit stop bixente.
Didier : Hugo
Grégoire : ça vaut aussi pour toi Didier.
Nous nous regardons tout les deux.
Grégoire : y'en a plus que marre de vos querelle de gamin ! Ça vous bouffe tout les deux !
Frédéric : et ça bouffe nos couplé aussi.
Moi : il a demandé le di
Grégoire : tait toi ! Donc avec Fred on a eu une idée.
Je regarde mon mari sans comprendre et lui aussi ne comprend pas.
Didier : quel idée ?
Frédéric : vous envoyé une semaine en vacances en amoureux à Haïti.
Nous deux : QUOI ?! HORS DE QUESTION !
On se regarde tout les deux pour avoir répondu en même temps.
Hugo : au moin vous êtes d'accord sur une chose.
Benjamin : mais on vous a pas demandé votre avis. Donc vous elles faire vos valises et dans 30 minutes on vous emmène à l'aéroport.
Moi : mais
Grégoire : y a pas de mais ! Allez !
Je soupire et monte suivi de Didier faire rapidement mes bagages tout comme lui. On s'échange quelque petit regard qui nous font un peu sourire.
C'est vrai que ça fait 3 ans que l'on a pas passé une semaine de vacances en amoureux et loin de la France.
Nous descendons rejoindre nos amis qui nous conduisent ensuite à l'aéroport. Ils nous accompagne jusqu'à la porte d'embarquement et nous donne nos billets.
Grégoire : bon et bien on vous souhaite de passez de bonne vacances.
Benjamin : et surtout de recoller les morceaux.
Didier : ça risque d'être compliqué.
Fred lève les yeux aux ciel et se sert contre le gardien.
Frédéric : Didier...
Hugo : oui ben vous faites tout les deux des efforts.
Moi : promis. Aller on y va.
Je prend nos valises et nous montons dans l'avion. Je trouve rapidement ma place et mon ( ex ?) mari se met à coter de moi.
Didier : ils ont pris les deux places l'une à coter de l'autre.
Moi : ouai ils ont bien prévu leur coup non ?
Didier : oh oui.
Moi : dit tu te rend compte on vient d'enchaîner 3 phrases sans s'engeueler ?
Didier : c'est bien.
Un petit silence s'installe entre nous deux jusqu'au décollage ensuite on s'endort tout les deux très vite puisque nous avons plusieurs heures de vol.
Plus tard la voix du pilote me réveille pour nous annoncer que nous allons atterrir. J'ouvre les yeux et voit mon homme dormir sur mon épaule. Il dort si bien que j'hésite à le réveiller.
Mais il le fait de lui même alors je fais semblant de dormir. Je sens son regard sur moi et il me secoue doucement pour me réveiller.
Didier : Liza on va atterrir.
Moi : hum... Ah merci.
Il me sourit douce puis nous nous attachons. L'avion atterri et nous sortons de l'aéroport. Un taxi nous attends et nous emmenés à l'hôtel qui est au bord de la plage.
Je prend nos bagages et on se dirige vers notre bungalow. Il est grand, lumineux et comporte un grand lit. Aie y en a qu'un seul.
Didier : vous v avez pas une autre chambre avec deux lit séparés ?
Homme : désolé messieurs mais les personnes qui ont réservé cette chambre ont bien préciser qu'il fallait absolument un grand lit double. Et ils ont donner un bon pourboire.
Nous soufflons tout les deux. Ils sont incroyable quand même. Il dépose nos bagage et nous laisse seul tout les deux.
Il s'assoit sur le lit et moi je m'a coude contre le mur en face de lui. On se regarde sans rien dire jusqu'à.
Moi : je te demande pardon.
Il me fixe sans rien dire alors je poursuit.
Moi : je ne pensais pas que mes déclarations sur le jeux de l'équipe de France et sur ton rôle aller affecter autant notre couple. Et surtout je te demande pardon de ne pas avoir était présent à tes côtés pour le deuil de ton père. J'ai était stupide.
Didier : con.
Moi : quand même pas.
Didier : con. Un gros con.
Moi : ok j'ai était un gros con et tout se que tu veux.
Didier : un débile, un imbécile, un
Moi : j'ai compris. Tu... Tu pourras me pardonner ?
Il me regarde droit dans les yeux.
Didier : tu m'a fait beaucoup de mal Liza mais tu t'en ai rendu compte et tu t'en excuse. C'est déjà un bon début.
Je soupire. Un vrai Basque comme moi. Mais c'est ça que j'aime. Je me tourne vers les autre bungalow qui bordent la plage quand des oiseaux, effrayé s'envole vers les terres et la terre se met à trembler.
Didier : c'est quoi ça bixente?!
Il me regarde paniquer quand des cries de personnes paniquer retentissent. C'est la que je comprend.
Moi : cours.
Didier : quoi ?!
Moi : COURS!!
Je me retourne lui prend la main et l'entraîne dehors en courant.
Didier : quesquil se passe bixente?!!
Moi : tu veux vraiment savoir ?!!
Didier : oui !
Moi : alors retourne toi!
Du coin de l'œil je le voit tourner la tête et découvrir
( et oui le retour de la sadique. J'me suis dit que sa fessait longtemps que je n'avais pas poster et donc longtemps que je n'avais pas jouer à la sadique donc si vous vouler découvrir la suite descendez)
( descendez encore)
( encore)
( allez y vous y êtes presque)
( encore un effort)
( encore un petit effort)
( bon je crois que vous devez rager et me détester donc voilà la suite 😂😂)
Et découvrir une immense vague qui foncé droit sur nous.
Didier : oh mon dieu !!!
Moi : on doit bite monter en hauteur c'est notre seul chance !!
Didier : ne me lâche pas la main chéri je t'en supllie !!
Moi : promis je ne te lâcherai pas !!
Sauf que j'ai parler trop vite. La vague est trop rapide et nous balayé tout les deux. Sous sa force je lâche sa main et me retrouve sous l'eau. Je percuté plusieurs objet avant d'arriver à remonter à la surface.
Je prend une grande inspiration et regarde autour de moi pour essayer de trouver mon mari. Mais je ne vois rien à part des débris.
Moi : Didier !! Didier !!! DIDIER!!
Personnes ne me répond et je commence à paniquer.
Moi : non... Mon dieu non s'il vous plaît ne me l'enlèvez pas... DIDIER !!
Didier : BIXENTE !!
Je me retourne et le voit nager vers moi. Je fais pareil et il se jeté sur moi en pleurant.
Didier : j'ai cru que tu étais mort !!
Moi : je suis la d'accord ? Si y a bien une promesse que je compte tenir c'est de rester avec toi.
Il me sourit faiblement mais il disparaît bien vite. A la place il se sert contre moi et tremble.
Didier : y a une nouvelles vague qui arrive !!
Je me retourne et effectivement une autre vague foncé sur nous. Je me tourne vivement vers un palmier et nage vers lui en tenant la main de mon homme.
Moi : prend une grande inspiration et ne lâche pas l'arbre !
Didier : ok !
Moi : a 3 on plonge ! 1...2..3!!
Je prend une grande inspiration est plonge comme Didier. La force de l'eau et tel que j'ai l'impression que je vais m'arracher le bras.
Quand le courant se calme légèrement je fais signe à Didier de remonter à la surface. Ce qu'il fait et je le suis. Il vient me reprendre la main et nous allons nous aggriper à un matelas.
Didier : on fais quoi maintenant ?
Moi : on doit s'enfoncer dans les terres. L'eau va redescendre et un autre tsunami risque d'arriver.
Environ 45 minute plus tard l'eau c'est complètement retiré. Et tout n'est que désolation. Je tien toujours la main de mon mari qui n'est pas prêt à la lâcher d'ailleurs.
Il se stop d'un seul coup. Je me tourne vers lui et le voit tout pale. Ola ça sent pas bon.
Moi : chéri quesquil y a ??
Didier : ta... Ta jambe.... Elle...
Je regarde donc cette dernière et la voit ouverte profondément et avec un bout de peau qui tombe. Ok je crois que j'ai un gros soucis.
Moi : passe devant moi.
Didier : ta jambe tu dois la soigne amor...
Moi : je la soignerai quand tu sera en sécurité. Avance maintenant.
Pdv Benjamin
Je suis avachi dans le canapé du salon à regarder un truc nul à la télé alors que mon mec, mon capitaine en sélection et son copain sont entrain de débatte sur se que le coach et Liza peuvent bien faire.
Hugo : moi je pense qu'ils sont tranquillement installés sur le sable chaud.
Grégoire : tu rêve ils sont sûrement encore entrain de sengeueler. A force ils savent faire que ça.
Frédéric : jte rappelle que ce voyage est fait pour qu'ils arrêtent de sengeueler.
Moi : ouai...
Grégoire : et toi tu en pense quoi chéri ?
Moi : rien. Et puis on vera a leur retour dans 1 semaine donc arrêter de vous imaginer des trucs.
Hugo : ça nous fait passer le temps.
Je lève les yeux aux ciel syabd le programme que je regardé à la télévision s'interrompt pour un flash spécial.
Présentatrice : nous nous excusons de l'interruption de votre programme. Il y a 1 here un tsunami de grande ampleur a toucher l'archipel de Haiti.
Moi : les gars écouter !
J'augmente le son.
Présentatrice : nous ne savons pas encore combien il y a de victimes n'y pourquoi l'alerte Tsunami n'a pas était déclencher. Nous vous tiendrons informer.
Sur l'écran des images défilé de maison et hôtel sous l'eau.
Grégoire : oh mon dieu...
Frédéric : ben quesque tu as?
Grégoire : c'est l'hôtel où j'ai réservé une chambre pour Bixente et Didier.
Hugo et moi on se tourne vers lui les yeux exorbités.
Hugo : vous avez réservé une chambre dans un hôtel susceptible d'être réduit en miette par un Tsunami ?!!
Frédéric : mais on pouvait pas savoir se qui aller se passer !!!
Moi : essaie de les appeler amour je t'en supplie.
Mon mec saute sur son téléphone et compose un numéro. Directement il tombe sur messageri. Il compose un deuxième et pareil.
Grégoire : oh non...
Moi : on fait quoi maintenant? On attend de savoir si notre coach et mort ?!
Grégoire : calme toi ben.
Moi : mais je suis calme putain !!
Hugo : on va prendre mon jet.
On se tourne tous vers lui.
Frédéric : quoi ?
Hugo : on va les chercher sur place. On va prendre mon jet.
Grégoire : ok. Il n'y a pas une minute à perdre prenez le strict minimum. On décole dans 1h !
Je me lève et foncé dans notre chambre prendre un sac et quelque affaires.
Pdv bixente
J'ai l'impression que nous marchons depuis des heures et j'ai horriblement mal à ma jambe. J'ai réussi à faire un pansement avec des feuilles de palmier. Ça a l'air de tenir pour le moment.
Nous a ont atteint les hauteur et nous commençons à grimper. Didier et devant moi et m'aide à marcher en le tirant doucement vers lui.
Didier : on est presque arrivé encore un effort.
Moi : ça fait douze fois que tu me le dit et on est toujours pas arrivé en haut.
Didier : c'est pour te donner du courage mon cœur.
Je sourit en l'entendait m'appeller ainsi. Je grimace après avoir réussi à monter 2 mètre.
Didier : on y est presque. Allez mon amour.
Nous arrivons enfin en haut. Il me fais assoir sur une souche d'arbre et nous regardons toute la côte.
Didier : oh mon dieu...
Toute les maison on était emporté, les arbres sont tous coucher par terre et plusieurs voiture se retrouvent sur le toit.
Didier : tu crois qu'il y a des survivants ?
Moi : j'espère... Vu la puissance de cette vague elle a fait de sacré dégâts.
Didier : on a eu de la chance alors...
Moi : oui...
Je veux me relever mais mon mari me force à me rasseoir.
Didier : reste assi tu dois reposer ta jambe.
Moi : mais
Didier : pas de mais. Je suis en sécurité. On est en hauteur. Repose toi un peu. Après on pourra aller chercher de l'aide.
Moi : d'accord.
Il me sourit doucement et caresse ma joue. Il s'approche doucement de moi et m'embrasse tendrement. Je répond directement à son baiser. On se sépare et il se sert contre moi.
Didier : je t'aime. Je t'en ai voulu même détesté pour tout ce que tu as dit et ce que tu as fait mais aujourd'hui tu m'a sauver la vie et ça c'est la plus belle preuve d'amour que tu puisse me faire.
Moi : j'ai eu peur de te perdre. Je n'aurais pas supporter de vivre sans toi.
Didier : moi non plus.
Je le sers contre moi. Je pose ma tête sur son épaule et m'assoupis. Plus tard on me secoue. Je grogne et ouvre les yeux.
Didier : et mon cœur réveille toi. Y a des villageois qui sont là.
Moi : des villageois ?...
Didier : oui.
Je tourne la tête et voit plusieurs homme marcher vers moi et me porter. J'ai la tête qui tourne et je tremble. Je fais surement de la fièvre.
Ils marchent longtemps jusqu'à un village. La il me dépose dans le coffre d'un pick up. Didier monte avec moi et met ma tête sur ses genoux.
Didier : tu est brûlant. On va t'emmener à l'hôpital. Tien bon.
Je fais un signe de tête positif et massoupis. Durant longtemps nous roulons jusqu'à l'hôpital. Les villageois me reportent à l'intérieur et me mettent sur un lit.
Didier les remercie et me sert la main. Des médecins s'approche de lui. Il parle avec maus je ne comprend pas se qu'ils se disent.
Ensuite il m'écarte de moi ce qui l'énerve vu qu'il hurle sûrement pour être avec moi. On m'emmène dans un salle toute blanche. On me met in masque et je comprend que je vaus me faire opéré. Je respire calmement et m'endors.
Pdv Didier
Les infirmieres me retiennent alors que j'hurle pour qu'on me laisse passer. Mais c'est peine perdu. Je jure enterieurement. Je m'adosse et me laisse glisser contre un mur.
Je regarde les survivant du Tsunami affluer en masse et ça devient oppresant. Je me lève et déambule durant des heures dans les couloirs. J'arrive dans la hall d'accueil où se trouve un mur rempli de photo et de nom de disparue aussi que des blesser.
Beaucoup de personnes regarde attentivement les photos. Je les regarde aussi et voit beaucoup d'enfant se qui me brise le cœur. Je me retourne et voit plusieurs brznczrt passé avec des draps et en dessous des personnes.
Je me dit que j'ai eu beaucoup de chasse d'avoir eu Bixente avec moi. Et que j'ai beaucoup de chance qu'il soit en vie.
Des éclats de voix me font tourner la tête vers l'entrée. Ce sont des français et on dirait qu'il se dispute. Je me frai un chemin et voot les deux collègue de bixente et mes deux joueurs se disputer.
Benjamin : ils sont mort Greg !! Mort!!
Grégoire : calme toi ben je suis sur qu'ils sont vivants !
Benjamin : arrête !! Leur hôtel était en plein centre de la vague ! C'est impossible qu'ils aient survécu.
Moi : ben...
Tout les quatre se tournent vers moi et se figé. Sans m'en rendre compte des larmes se sont mise à couler.
Hugo : coach !!
Ils se jete sur moi et je me retrouve entouré de 4 paires de bras. Je les écarté car je manque un peu d'aire et leur sourit doucement.
Frédéric : mais où est bixente ?
Moi : au bloc opération... Sa jambes droite a était blesser quand la vague nous a balayer.
... : messieur Lizarazu.
On se tourne tout les cinq vers une femme qui semble chercher quelqu'un.
... : je cherche messieurs Didier Lizarazu !
Moi : c'est moi!
Je me dirige vers elle suivi de mes amis.
... : venez vite votre mari et sorti du bloc et c'est réveiller il vous demande.
Moi : et sa jambe ?
... : elle va très bien. Il devra rester au repos 2 bon mois. Suivez moi.
Elle nous conduit à une chambre. Elle ouvre et mon mari est allonger sur le lit qui seem le attendre.
Moi : bixente !
Je saute sur lui et l'embrasse amoureusement.
Bixente : et doucement mon cœur je vais bien.
Grégoire : heureux de te voir en forme.
Bixente : et moi je suis heureux de vous voir tout court.
Je sourit et lui prend la main.
Frédéric : bixente Didier on voudrait s'excuser... Si on vous avez pas forcer...
Moi : arrête vous pouvez pas savoir se qui aller se passer.
Bixente : exactement. Maintenant je veux plus rester ici.
Moi : moi non plus. Je veux rentre à la maison avec toi.
Hugo : on est venu avec mon jet privée. Je vais demander au médecin si on peut te rapatrier en France.
Lui est Fred sortent et je m'allonge au coter de mon mari qui me sert contre lui en souriant.
4 mois plus tard
Je remercie les journalistes est dort du plateau pour retourner voir mes joueur au vestiaires quand un corps se colle contre moi et qu'on m'embrasse le cou.
Bixente : pour moi tu sera toujours champion du monde.
Je me tourne et je ne peux que sourire en le voyant aussi rayonnant. Après cette épreuve j'ai annulé ma demande de divorce et on c'est remarié. Pendant 2 mois je me suis occupé de lui vu qu'il devait se reposer et ça nous a beaucoup rapprocher.
Pour me sortir de mes pensées il m'embrasse je sourit contre ses lèvres et me colle contre lui. Tant pis si on nous voit je veut juste que mon mari me réconforté de cette magnifique finale que l'on a malheureusement perdu.
Bixente : tu restera le meilleur pour moi.
Moi : toi aussi mon cœur.
On s'embrasse à nouveau alors que des joueur argentins passe près de nous et rigole. Mais je m'en fous. Cet homme m'a sauver d'une des plus grandes catastrophe naturelle.
End
Et bonne année !!!
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