Os 109 : " Black Windower" Didier Deschamps X Sergio Ramos

Petite précision : Didier et un agent secret ( à la black window) mais sous couvertures donc il a était Footballeur et il est le sélectionneur de l'edf. Et Sergio et le mafieux le plus recherché du monde mais personne ne sais son véritable nom. Les états le surnomme : mystérieux. (oui je sais c'est pourris comme surnom mais j'ai pas trouver mieux donc me juger pas.)

Voilà sur ceux bonne lecture jeune padawone ( ça s'écrit comme ça ?)

Pdv Didier

Je sors de la salle de conférence après avoir donner ma liste de joueur pour les deux dernier match de l'année : l'un contre l'espagne et l'autre contre le Chili.

J'entre dans mon bureau et me pose tranquillement. Je soupire et ferme les yeux en souriant. Quelle plaisir de profiter de la vie.

Et dire que pendant 25 ans j'ai pas pus convenablement profiter de ma carrière de footballeur au cause de mon autre métier : espion dans les services secret français. Black Windower comme on nous surnomme.

Plus jeune j'ai était recruter avec bixente mon meilleur ami pour ensuite être former au combat... Et on participer au plus grande mission. On c'est aussi retrouver plusieurs fois dans le pétrin et on n'a aussi plusieurs fois failli mourir.

C'est d'ailleurs ça qui m'a fait arrêter. En 2009, lors d'une mission a Madrid pour arrêter un terroriste j'ai reçu une balle à quelque centimètres du cœur.

Depuis je suis totalement dévouer à mon métier de sélectionneur et je suis le plus heureux. Je revois souvent bixente qui maintenant et en couple avec Grégoire et c'est du sérieux les deux là. Et puis j'ai mes joueurs qui sont désormais ma famille.

Je sourit encore plus en pensant à eux et regarde une photo de toute l'équipe prise après la coupe du monde en Russie on n'a tous était a Hawaï et on c'est éclater.

Je prend le cadre dans ma main quand j'entend un raclement de gorge derrière moi me fait sursauter et instinctivement je sors mon arme que je garde toujours près de moi au cas où.

Moi : qui est là ?!

... : après plus de 25 ans à travailler pour moi tu n'arrive toujours pas à me reconnaître. Tu me déçois Didier.

L'homme sort de l'ombre et je baiser mon arme que je range. Monsieur v était notre formateur et notre patron. C'est lui qui m'a tout appris.

Moi : ça fait 13 ans que je ne vous ai pas vu.

Monsier v : tu n'a pas tellement changé depuis la dernière fois.

Moi : a part ça.

Je retire ma veste et deboutonné ma chemise pour lui montrer ma cicatrice près du cœur.

Monsieur v : hélas oui. Je suis vraiment désolé.

Moi : dites je doute que vous venez me voir pour parler du bon vieux temps.

Monsieur v : exactement. On n'a eu des nouvelles du terroriste qui t'a tiré dessus y a 13 ans.

Je m'assois sur mon siege et l'invité à faire de même mais il reste debout.

Moi : il est mort.

Monsieur v : non enfin pas encore on sait juste qu'il s'agit du plus grand mafieux du monde : l'hispanique. Il serait atteint d'une maladie incurable et il voudrait passer son business au mystérieux.

Moi : mystérieux ?

Monsieur v : oui il ce fait appeller comme ça. Il aurait prévu de lui passer le plein pouvoir prochainement.

Moi : c'est bien beau tout ça mais quesque je viens faire la dedans ?

Monsieur v : nous avons besoin de toi.

Je ne répond pas.

Monsieur v : nous avons besoin de toi et Bixente.

Moi : c'est non. La dernière fois j'ai failli y rester et Bixente a du rester sous calment pendant 6 mois tellement il était choquer.

Monsieur v : je sais mais vous êtes nos meilleurs éléments.

Moi : étaient nuance. On n'a nos vies, nos familles et nos métiers.

Monsieur v : je vois.

Il sort son téléphone pianote dessus et me le tend.

Monsieur v : bixente a l'air vraiment heureux avec son copain journaliste et commentateur Gordon c'est ça ?

Moi : Grégoire Margotton.

Il sourit fièrement puis se saisi du cadre ou se trouve la photo de toute l'équipe de France.

Monsieur v : et tes joueurs ils ont l'air de t'aimer profondément et toi aussi.

Moi : ou voulez en venir ?

Monsieur v : je pense que tu a très bien compris Didier. Il serait dommage qu'ils leur arrive quelque chose à toutes ces gentil personne.

Je sers des poigns j'avais oublier que parfois il en venait au menace avec nous pour nous faire bosser.

Monsieur v : donc réfléchis bien

Moi : c'est bon je vais aller parler à bixente. Mais je ne vous promet rien.

Monsieur v : soit convaincant il serait dommage qu'il arrive malheur à son compagnon. Tient prend se téléphone pour me recontacter. Je vous donnerai tout se dont vous avez besoin pour votre mission.

Il me tend un téléphone à clapet tout vieux. Je rigole nerveusement en le prenant.

Moi : l'état et si ruiner que sa pour vous donner des téléphones aussi pourri.

Je relève la tête et bien sur il a disparu. Je soupire et sort de mon bureau pour me rendre chez bixente et son journaliste.

1 heure plus tard

Bixente : c'est hors de question !

Ça j'aurai du m'en douter. Je suis assis sur son canapé alors qu'il fait les cent pas devant après lui avoir tout expliquer.

Bixente : et par dessus tout il menace Grégoire et tes joueurs !

Moi : il nous menacer avant jte signale.

Bixente : oui mais la stop !! Putain Didier la dernière fois ta failli y rester ! J'étais là quand tu t'es pris cette putain de balle à Madrid ! Je t'es vu allonger par terre dans une marre de sang les yeux livide, blanc comme si tu étais mort ! Je ne veux plus revivre ça ! Et je ne veux pas te perdre surtout !

Je me lève et le prend dans mes bras pour le calmer.

Moi : mais on as pas le choix liza. On doit le faire pour Greg et mes joueurs. Pour les protéger. Et puis si sa se trouve il vont mettre des jeunots avec nous.

Bixente : je... Didier tu est comme mon grand frère... Je peux pas te laisser faire ça et tu le sais bien.... Bon ben appelle messieurs v pour lui dire que c'est bon mais c'est la dernière fois !

Moi : promis mon liza promis.

Je sors le téléphone et appelle messieur v pour lui dire que c'est OK. Il donne rendez vous se soir à 23h au trocadero. Je raccroche passé le message à bixente quand Grégoire rentre.

Grégoire : je suis rentré chéri. Didier ? Je ne savais pas que tu venais.

Moi : oh ça c'est décider au dernier moment parce que je devais voir bixente pour... Euh...

Bixente : un documentaire sur une journée avec Didier à Clairefontaine. Ça ferait un carton dans la prochaine émission.

Grégoire : oui ça c'est sur. Après faudra en parler à Fred voir s'il est dispo.

Bixente : non mais laisse le j'irai d'ailleurs Didier m'invite à son hôtel se soir pour en parler.

Moi : oui je doit faire des demandes et tout et tout.

On sourit tout les deux pour que se soit un maximum crédible. Et ça marche vu que son compagnon nous sourit.

Grégoire : il n'y a aucun soucis chéri. Tu rentrera vers quelle heure ?

Bixente : je ne sais pas. Cela dépendra du temps que l'on mettra pour mettre en place tout ça.

Le journaliste le dévisage un peu.

Grégoire : ok mais envoie moi un message quand tu rentrera.

Bixente : promis mon amour. On y va Didier.

Moi : oui. A plus Greg.

Grégoire : a plus Didier.

Bixente : a se soir mon amour.

Mon amis l'embrasse puis me suit jusque dans ma voiture ou il souffle.

Bixente : j'ai horreur de lui mentir.

Moi : je sais bien mais c'est pour le protéger.

Bixente : oui. Bon espérons juste que se soit vraiment notre dernière mission.

Moi : on peut toujours croire au père Noël à mon avis.

Pdv Sergio

Je gare ma Mercedes devant villa parisienne de mon père. Je descend et le vigile, qui me reconnaisse me laisse passer. Je peux voir qu'il porte derrière leur dos leur flingue. Il faudra que je le lui dises.

J'entre donc et Annabelle la gouvernante de la maison accourt vers moi et me prend dans ses bras. Je la sers contre moi en retour.

Annabelle : Sergio comment va tu ?

Moi : bien et toi tu est toujours aussi rayonnante.

Annabelle : oh non je vieilli de jour en jour.

Moi : allons ne dit pas de sotisse. Tu est exactement la même que le jour où je suis arrivée.

Annabelle : tu est si gentil mon petit Sergio. Il t'attend dans sa chambre.

J'hoche la tête et monte le grand escalier pour me rendre à l'étage. Je me rend devant la porte de sa chambre qui est gardé par deux colosse.

Il s'écarte et je toque avant de rentré dans la chambre. Je ferme la porte derrière moi et voit le médecin terminer de ranger ses affaires et se diriger vers moi.

Moi : alors ?

Médecin : il n'y en n'a plus pour très longtemps hélas. Le cœur commence à fatiguer.

Moi : encore combien de temps a peu près ?

Médecin : 3 ou 4 jours.

Moi : merci vous pouvez disposer.

Il sort, je m'approche doucement du lit où se trouve mon " père". Il est branché à plusieurs machines qui font des bruits bizarres.

Je n'avais même pas 3 ans quand il m'a trouvé dans la rue après le meurtres de mes parents. Ils ont était tuer par des flics juste parce que mon père avait refuser de les laiseer entrer pour nous jeter dehors.

Depuis je nourris une haine contre les forces de l'ordre. J'ai d'ailleurs retrouvé ceux qui avaient assassinés mes parents et ils ont passer une sale quart d'heure j'peux vous le dire. L'hisanique un terroriste de renommer mondial ma pris sous son aile et me considère comme son fils et moi comme mon père.

Et je suis ses traces en me fessant appelé le mystérieux parce que personne ne sais qui je suis et se que je fais réellement. Bon OK je suis un très grand joueur de foot espagnol mais c'est une couverture.

Sauf qu'il a fallu que se foutu cancer des poumons se pointe et qu'on le détecté trop tard pour envisager une opération. Je m'assois près de lui et lui prend la main. Il ouvre doucement ses yeux et me sourit.

L'hispanique : Sergio....

Moi : père. Comment te sens tu ?

L'hispanique : fatigué...

Je lui sers plus la main et souffle pour renflouer mes larmes qui menace de couler.

L'hispanique : Sergio...

Je relève la tête vers lui qui me sourit doucement.

L'hispanique : je ne serai bientôt plus la pour mener à bien nos missions. Mais je compte sur toi pour me remplacer et mener tout ça à bien mon fils....

Moi: oui père ne t'en fais pas pour ça.

L'hispanique : regarde sur la table de chevet tu trouvera un classeur. Il y tout ce que tu as à savoir sur mes petits trafics.... Et aussi ta prochaine mission.

Moi : ma prochaine mission...

L'hispanique : oui.

Je prend le classeur en question et l'ouvre . Je tombe sur un papier qui disent que de grandes personnalités se rendront au match france-Espagne et qu'il auront sur eux 10 Millard d'euros en diamant.

Moi : 10 milliard d'euros en diamant...

L'hispanique : oui tu te rend compte de la somme que cela représente. Si tu t'en emparé tu sera le mafieux le plus respecté et craint de tout le temps.... Et de la planète....

Moi : mais.... Je serai sur le terrain se soir là. Je jouerai avec mon équipe et

L'hispanique : voilà que tu te préoccupé d'eux maintenant.

Oui parce que le football m'a permis d'oublier toute les horreur qu'il a commise et qu'il m'a obligé à commettre. Et puis ça m'a permis de connaître Raphaël, karim, Tony, cris et tout les autres. C'est un peu ma deuxième famille et je ne me le pardonnerai jamais s'il leur arriver malheureux par ma faute.

Moi : je ne pourrais pas... désolé...

L'hispanique : tu pourras diriger les opérations tout en jouant. Mes hommes... Enfin tes hommes seront à ta disposition.

Moi : oui...

L'hispanique : bien et une dernière chose. Les services secrets français, les blacks Windower sont au courant de mon états de santé et savent que je t'es passé le pouvoir.

Moi : aie.

L'hispanique : oui aie. Ils risquent de nous mettre des bâtons dans les roues alors je compte sur toi pour faire attention et être prudent. Surtout si tu tombe sur l'eux d'un n'hésite pas tue le. C'est se que j'ai fait y a 13 ans....

Moi : oui père .

L'hispanique : maintenant je vais me reposer si tu me le permet...

Moi : bien sur. Repose toi bien.

Je lui embrasse le front et sort. Je dis au revoir à Annabelle et remonte dans ma voiture. Je rouvre le classeur pour regarder s'il y a une mission de prévu pour bientôt.

Et effectivement il y a un bracage se soir au casino. Je devrais y assister mais demain je devrais rejoindre la roja à Madrid. Donc il se démerderont sans moi. Je pose le classeur sur le siège passagers puis part au centre d'entraînement du psg.

Pdv Didier

Nous sommes au trocadero où à cette heure ci il n'y a personne. Bixente et assis sur une marche et tape du pied. J'ai les bras croisé sur ma pointrine.

Bixente : il fout quoi putain ?!

Moi : arrête de t'énerver sa le fera pas venir plus vite.

Bixente : n'empêche il nous donne rendez vous on vient et il est pas là ! S'il menacer pas Greg je serai partit depuis longtemps et sa mission il pourrait la mettre ou je pense !

Monsieur v : toujours un langage aussi fleuri bixente.

On sursaute et il descend les escaliers avec une grosse mâle noires. Bixente se relève et se met à mes côtés. Monsieur v sourit.

Monsieur v : mes deux meilleurs éléments sont enfin de retour.

Moi : on a pas le choix.

Bixente : ouai ont aurait aimé continué nos vies tranquille. On a rien demandé.

Monsieur v : mais vous avez tout les deux des personnes à qui vous tenez.

On ne répond rien et il pose la male devant nous.

Monsieur v : voici vos tenu, avec vos armes et des gadgets à la pointe de la technologie.

Bixente : et on aura des jeunots avec nous ?

Monsieur v : non. Personne n'est aussi expérimenté que vous deux.

Bixente : je l'aurez parié. Bon c'est quoi notre mission ?

Monsieur v : trouver le mystèrieux et l'arrêter.

Mon ami ne peut se retenir de rire.

Bixente : c'est quoi se nom pourri.

Monsieur v : je ne sais pas mais personne ne connaît son vrai nom. L'hispanique lui passerai le pouvoir très prochainement.

Bixente : L'hispanique ?

Monsieur v : le terroriste qui a tiré sur Didier a Madrid. Il serait en fin de vie et passerai toute son affaire au mystèrieux. Vous comprendrez l'urgence et la sensibilité de cette mission.

Nous deux : ouai.

Monsieur v : très bien. Garde le téléphone que je te donner pour me contacter Didier et je ferai de même pour vous donner des nouvelles.

Au même moment son bipeur sonne.

Monsieur v : quand on parle du loup. Ses hommes son entrain de braquer un casino dans le 9eme arrondissement. Mettez vos tenues.

On se regardent tout les deux sans comprendre.

Moi : pardon ? C'est à nous d'y aller ?

Monsieur v : c'est votre mission donc oui. Magnez vous de mettre vos tenues. Vôtre voiture vous attend.

Je prend la mallette et l'ouvre. Je donne la tenu de bixente et prend la mienne. En même pas 5 minute nous sommes changé.

On charge nos armes, mettons chacun une oreillette pour communiquer et mettons nos bracelets paralysant.

Monsieur v : faites attention ceus la sont plus puissants que les anciens.

Bixente : on s'en fout tant que sa paralysé le gars.

Monsieur v : je dis ça au cas où l'un de vous deux tire par inadvertance sur l'autre. Bon allez y et bonne mission messieurs.

On se répond par et on court vers la voiture qui et une porsh sport noire. Liza siffle et je monte coter conducteur. Il s'installe côté passager alors que je cherche comment la démarrer.

Bixente : ben tu fais quoi ? Démarre ou on va les louper !!

Moi : tu crois que je fais quoi là ?! Du tricots ?!

IA : bonsoir messieurs.

On sursaute tout les deux.

Moi : ouah c'est quoi ce truc ?!

Bixente : ben une meuf je crois... Aie !! Putain Didier tu m'a niquer la nuque là !!

Moi : respecte les femmes abrutis !

IA : je suis une intelligence artificielle je vais vous accompagner durant toute votre mission.

Bixente : Et on peut te donner un nom ? Comme JARVIS ? FRIDAY? VISION?

IA : je crois que les noms citez appartiennent à messieurs Robert Downey Jr.

J'explose de rire quand mon ami croise les bras.

Moi : on va t'appeler footix ça ira plus vite et ça nous rappeler à des bon souvenirs. Comment on fait pour démarrer cette caisse Footix ?

Footix : veillez mettre votre main sur le tableau prévu à cette effet sur votre droite.

Sur ma droite un écran rectangulaire s'allume en bleu et je pose ma main dessus.

Footix : reconnaissance effectué à 100%. Bienvenue à bord messieur Didier Deschamps.

Bixente pose aussi sa main dessus.

Footix : reconnaissance effectué à 100%. Bienvenue à bord messieur bixente lizarazu.

Il sourit content de sa connerie et je lève les yeux aux ciel dépité.

Moi : Footix on doit se rendre au casino qui se situe dans le 9 ème arrondissement de Paris. Des hommes armés appartenant à un dangereux terroriste sont entrain de le braqué. Trouve nous l'itinéraire le plus rapide.

Footix : casino localisé veillez suivre le chemin menant aux champs élysée.

Bixente : quoi ? Mais...

Moi : accroché toi.

J'appuie sur l'accélérateur et démarre à fond. L'ia nous guide à travers les rues de Paris et nous arrivons rapidement sur les lieux.

Mais malheureusement ils sont entrain de monter dans des fourgonnetted et ils prennent des otages.

Bixente : la bas ! Ils ont pris des otages !

Moi : merde ! Footix ! Combien il y a de fourgonnette et combien y a t il d'otage ?

Footix : deux fourgonnette quittent les lieux messieurs : une devant avec 2 otages et 4 hommes armées à bord et l'autre par derrière avec 4 autres hommes armées.

Bixente : on pourra pas suivre les deux Didier on doit trouver une solution !

Moi : je sais bien. Écoute toi tu va suivre la première avec les otages et moi la seconde. Footix il n'y a pas un moyen de transport pour bixente ?

Footix : la porsh comporte également une moto sport pouvant être piloté par messieur Lizarazu.

Bixente : cool. Merci Footix.

Moi : ok tu prend la moto et moi je continue en voiture. Ta bien ton oreillette ?

Bixente : ouai.

Footix : munissez vous assez des lunettes. Elles vous permettrons de visualisez tout les obstacles et le trajets que vous emprunterez.

Deux paires de lunettes sortent du tableau de bord. Bixente prend la première et moi la deuxième. On les met en même temps et elles s'allument.

Bixente : cool. On pourra aussi voir se que l'autre fait.

Moi : bon t'es prêt ?

Bixente : prêt.

Moi : Footix éjecté bixente sur la moto maintenant !

Bixente : attend quoi?!

L'ia le met sur la moto et le sort de la voiture avant même qu'il ne comprennent.

Moi : ça va vieux ?

Bixente : on peut dire ça. Mais prochain coup dit à footix de mettre au moins un décompte !

Footix : votre remarque à était prise en compte messieur Lizarazu.

Bixente : j'en suis ravi Footix.

Moi : bon tu la toujours en visuel ta camionnette ?

Bixente : ouai elle vient de bifurquer sur la droite. Et toi ?

Moi : je dois faire demi tour. Footix dit moi quand le faire.

Footix : tourner à gauche maintenant messieur Deschamps.

Je m'exécute et fait un drift parfait. J'accélère en voyant la deuxième camionnette démarrer.

Moi : Je l'ai en visuel bixente.

Bixente : je suis content pour toi mais maintenant on fait quoi ? Parce que faudrait penser à liberer les otages !

Moi : je sais pas...

Bixente : et ben trouve parce que je vais pas leur coller au cul pendant 3 plomb !

Moi : attend. Footix quelles sont les zones de travaux dans le périmètre.

Footix : a côté du Louvre la route et barré pour des nid de poule. La chaussé et ouverte en deux par un grand trou messieur.

Moi : parfait on va les attirer la bas.

Bixente : attend deux seconde tu oublie les deux otages.

Moi : et merde !!

Footix : la voiture et la moto sont équipées de petites bombes permettant de faire exploser les portes arrières et vos tenues sont équipées de grappin.

Bixente : ok mais aussi ?

Moi : on va les appâter la bas. Toi des que vous arriverez vers le trous à mon signale tu lancera les bombes sur les portes et des qu'elles auront exploser du lancera t'es grappin sur les deux otages. Tu les tire ensuite vers toi et tu fout le camps de la.

Bixente : ton plan est complètement foireux comme toujours.

Moi : je doit te rappeler la mission à Malte où avec un filet de pêche on n'a arrêter le plus grand des criminel.

Bixente : non c'est bon.

Moi : ok partage ta vision avec moi que footix puisent te guider.

Il s'exécute et d'un œil je voit se que lui voit c'est à dire la camionnette qui colle au cul.

Moi : arrête de trop leur coller au cul il vont te repérer !

Bixente : mais je fais comment après pour leur balancer les bombes si je suis à 100 m derrière eux ?!

Footix : les bombes ont une porte de plus de 10 m.

Bixente : ah ben autant pour moi.

Moi : donc laisse les prendre de l'avance.

Bixente : euh... Didier je crois qu'il m'ont repéré.

Moi : quoi ?!

Et de l'œil ou je voit sa vision j'aperçois un homme côté passagers sortir sa tête et passer ses mains ou il tient une mitrailleuse. Il commence direct à le canarder.

Bixente : oh putain. Il me tire dessus !!

Moi : je le vois bien !!

Bixente : putain tant pis pour le plan ! Suis le toi moi faut que j'arrête c'est malade avant qu'ils ne tuent quelqu'un !

Moi : bixente...

Bixente : footix passe en pilote automatique pour la moto !

Footix : pilote automatique activé messieur Lizarazu.

Moi : footix a combien de temps je suis du Louvre ?

Footix : à 12 minutes messieur Deschamps.

Moi : ok c'est parfait.

Bixente : gros tu fais quoi là ?

Moi : je m'occupe des mien et j'arrive t'aider mon pote.

J'accèle, dépassé la camionnette mais arriver à la hauteur du conducteur je tourne le volant vers eux pour leur rentré un peu dedans avec de dévier et de recommencer mon petit manage.

Puis J'accèle passe devant eux et leur fait un doigts. Se qu'ils n'apprécient pas du tout car ils accélère pour me tamponner. Je conduit jusqu'au Louvre et essaye tant bien que mal de ne pas me faire tamponner.

Dans mon oreillette j'entends encore les tires de la mitraillette et Bixente jurer et essayer de s'approcher pour sauter.

Bixente : bon putain Didier magne toi !!

Moi : je fais se que je peux !

Bixente : j'ai vraiment besoin de ton aide là !

Moi : mais prend ton arme et tire lui dessus !

Bixente : plus facile à dire qu'à faire !

J'aperçois enfin la pancarte route barrée. J'appuie sur l'accélérateur et au dernier moment tourne à fond mon volant sur la droite.

Je peux voir la camionnette foncé droit sur le trou, n'ayant pas eu le temps de réagir il sont tombé droit dedans.

Moi : Footix préviens les autorités que 4 hommes les attendent patiemment au fond d'un trous de chantier.

Footix : autorité contacté messieur Deschamps.

Moi : bixente j'arrive à ta rescousse.

Bixente : ah ben c'est pas trop tôt.

Je repars vers l'avenue dès champs élysée ou je vais les croiser. J'arrive devant l'arc de triomphe, le contourne et descend à toute allure l'avenue ou je les vois foncé. Je peut voir le passagers tiré sur mon ami.

Une fois croisé je fais demi tour et me place derrière bixente qui essaye de tirer tant bien que mal sur eux.

Moi : bixente remonte j'ai une idée !

Bixente : ok. Footix rentre la moto dans la voiture.

L'ia s'exécute et mon ami retrouve sa place à mes côtés.

Bixente : bon je t'écoute.

Moi : prend le volant et approche toi la plus possible de l'arriere mais sur le côté droit.

Bixente : euh... Ok mais toi?

Moi : t'inquiète pas pour moi. Footix c'est bixente qui prend le volant.

Footix : entendu messieur Deschamps. Le conducteur et messieur Lizarazu.

Il prend le volant dans ses mains alors que je passe mon buste par la fenêtre et me hisse sur le toit.

Moi : approche toi !

Il s'exécute et s'approche de la camionnette côté conducteur.

Moi : encore ! Colle lui au cul !

Il le fait et quand je sens que c'est le bon moment je me met debout sur la capot et saute sur le toit de la camionnette.

Bixente : Didier ça va?

Moi : ouai. Eloigne toi un peu mais pas beaucoup s'il faut que je resaute sur la voiture.

Bixente : ok.

Il s'écarte un peu et je m'approche de l'avant de la camionnette. Une fois que c'est fait je m'approche aussi doucement que possible du côté passager ou je voit se mec avec son arme à la main.

Je compte jusqu'à 3 et lui envois mon pied dans le visage. Il lâche son arme et j'en profite pour rentrer dans la cabine et le refrape au visage mais il se rebiffe et m'envoie son poigns dans la figure.

Je lui met un coup de pied à l'entrejambe et cogne sa tête sur le tableau de bord pour l'assomer. Le conducteur se saisit d'un pistolet et essaie de me viser mais je prend sa main et la levé pour qu'il tire en l'air.

La camionnette commence zigzager sur la route pendant qu'on se bat. Heureusement que j'ai un coéquipiers en or. Je l'entend dire à Footix de passer en pilote automatique et tirer sur les pneus pour que la camionnette s'arrête. Et sa marche.

J'assome le conducteur sur le volant puis sors avec une barre de fer qu'il avait dans la portière. Les portes arrières s'ouvre et Bixente sors de la voiture en pointant l'intérieur avec sont bracelet paralysant.

Les deux derniers hommes en sortent avec les otages, un hommes et une femme qui tremble. Je me colle contre la paroi vu qu'il ne m'ont pas vu je vais les prendre par surprise.

Homme 1 : lâche ton arme ou on les bute tout les deux !

Bixente : vous n'irez pas loin. Vos complices ont déjà était arrêté. Rendez vous et laissez les en dehors de ça.

Homme 2 : dernier avertissement baisse ton arme !

C'est à se moment là que je saute sur celui qui tient la femme et l'étrangler avec la barre de fer. Il la lâche et le deuxième fait de même pour venir aider son ami mais bixente lui envoi une décharge qui le paralyse.

Je lâche le premier qui s'effondre par terre alors que des sirènes de police se font entendre. On se regarde tout les deux, on souffle et on se tape dans la main.

Moi : bien joué mon vieux.

Bixente : c'est toi le vieux je suis plus jeune que toi et ouai bravo à toi aussi ta gérer.

Les flics nous entoure et embarqué les 4 hommes, d'autres s'occupe des otages. Monsieur v parle avec le commissaire et vient nous voire.

Monsieur v : félicitations à tout les deux vous avez gérer ça d'une main de maître comme au bon vieux temps.

Bixente : juste j'aimerai que sa reste du bon vieux temps parce que faire ça merci bien.

Moi : je suis d'accord avec lui. On a accompli notre mission.

Monsieur v : votre mission et d'arrêté le mystèrieux pas d'arrêter ses hommes 1 par 1.

Bixente : ben... Vu que vous avez ses hommes vous pouvez les interroger.

Moi : et ils vous diront ou est le mystérieux.

Monsieur v : vous avez vu ses hommes ?! ils ne nous diront rien. Vous devez arrêter mystérieux.

On se regarde tout les deux et on souffle.

Monsieur v : enfin vous avez fait du bon boulot se soir. Rentrez chez vous et reposez vous. Je vous recontacte riez s'il y a du nouveau.

Sur ce il tourne les talons et nous remontons dans la voiture. Je m'installe au volant en grimaçant légèrement.

Bixente : ça va?

Moi : ce fils de pute m'a foutu un coup dans les côtés mais ne t'inquiète pas j'ai vu pire.

Bixente : ouai je le sais ça.

Moi : Bon on rentre. Footix trouvé l'itinéraire le plus court jusqu'à l'appartement de bixente.

Footix : entendu messieur Deschamps.

L'ia le trouve en moins de 3 secondes et je ramène mon ami chez lui. Je m'arrête en face de son immeuble. Il souffle et commence à retirer sa tenu.

Moi : je suis flatté que tu de dénudé devant moi mais je crois que Grégoire ne serait pas très content s'il le savait.

Il grogne et me foudroie du regard.

Bixente : je peux pas rentrer comme ça avec mes armes et tout l'attirail il se poserez des questions.

Moi : c'est pas faux.

Il termine de se changer et met sa tenu ainsi que tout son équipement dans un sac de sport.

Il me regarde puis me prend dans ses bras. Je sais qu'il essaie de se rassurer quand il fait se geste.

Moi : tout se passera bien bixente. Je te le...

Bixente : non tu ne peux pas me le promettre Didier. On ne sait pas de quoi sera fait demain si on tombera sur le mystérieux et qu'il nous tuera d'une balle dans la tête.

Moi : tu as raison mais je peux te promettre que je serai prudent.

Bixente : ça aussi tu ne peux pas me le promettre.

Et sur ses dernières paroles il sort de la voiture et rentre dans son immeuble. Je soupire.

Moi : Footix passe en pilote automatique et ramène moi à mon hôtel.

Footix : entendu messieur Deschamps.

Je m'appuie sur le siège alors que L'ia me ramène à l'hôtel.

2 jours plus tard

Pdv Sergio

Moi : comment ça tout les hommes que mon père avaient mis sur le braquages du casino ont étaient arrêter ?!!

Je suis dans ma chambre au centre d'entraînement de la roja et alenxender, le bras droit de mon père m'a appelé en catastrophe.

Alexander : ta bien entendu ils se sont tous fait arrêter.

Moi : comment c'est arrivé ?!

Alexender : le braquages c'est déroulé comme prévu sauf que les black Windower ont était prévenu et que deux de leurs hommes ont monter un plan pour piéger nos hommes.

Moi : putain fait chier !! Ils risquent de nous balancer !

Alexender : non pour ça soit tranquille ont va les réduire au silence.

Moi : pardon ?! Non mais t'es malade ?! Tu les menace juste mais vous ne faites rien ! C'est clair ?!

Alexender : très clair patron.

Moi : et ne m'appelle pas comme ça enfin pas encore. Et en attendent retrouve moi c'est deux mecs. J'me ferrai un plaisir de les torturer moi même.

Alexender : bien et pour le braquage du stade de France on fait quoi ?

Moi : pour l'instant rien. On décolle aujourd'hui pour Paris et demain on s'entraîne la bas. Je vous rappellerez à se moment là.

Alexender : bien à demain alors.

Il raccroche et je balance mon téléphone sur mon lit. Putain père m'avait sur que ses mecs les black machin était chiant mais je ne penser pas à se point là. Quand je les tiendrez ses deux la j'me ferez un malin plaisir à leur casser la geule.

On toque et j'essaie un maximum de paraître serein et soulager.

Moi : entré.

Gérard entrouvre la porte et me regarde blaser.

Gérard : ça fait une heure que le coach te demande.

Moi : quesquil me veut.

Gérard : te dire que pendant le reste du rassemblement ont dormira dans le même hôtel que l'équipe de France. Le centre d'entraînement a eu un problème d'électricité je crois.

Moi : cool je verrez karim et Raph.

Gérard : ça va? Tu as l'air contrarié.

Moi : oh c'est juste une meuf qui me prend la tête t'inquiète.

Gérard : ou plutôt un mec.

Je le regarde sans comprendre.

Gérard : roh arrête de faire l'étonner on sait tous très bien ici que tu aimes les mecs.

Je soupire, c'est vrai que je suis plus attiré par les hommes que par les femmes.

Moi : ouai c'est ça c'est un mec. Mais t'inquiète pas ça va s'arranger.

Gérard : cool on aura besoin d'un Sergio Ramos en forme contre les champions du monde. Bon je vais terminer ma valise. On part dans 1h.

Moi : ok merci geri.

Il sort et je rassemble toute mes affaires. Je prend aussi ma palette de jeux vidéo qui contient en faite, des armes, des gadjets et tout se qu'il faut pour torturer quelqu'un.

Quand je tiendrai ses deux merdeux je me ferai un malin plaisir à les utiliser sur eux. L'heure du départ arrive et je descend rejoindre mes coéquipiers en souriant.

Pdv Didier

J'attends dans le hall de l'hôtel, où nous allons devoir cohabiter avec la Roja, mes joueurs. Je suis un peu perdu dans mes pensées depuis que l'on a arrêté une partie des hommes du mystérieux lors de se braquage.

Bixente ma donner de ses nouvelles et il commence à saturer de cacher la vérité à son compagnon. Heureusement se dernier ne se doute de rien.

Je suis sorti de mes pensées en voyant Hugo et Antoine entré. Je sourit. Antoine est comme mon propre fils depuis que sa famille l'a renier pour être avec Hugo. Je me suis occupé de lui remonté le moral et depuis on se tutoi et il m'appelle même papa.

Antoine : papa !

Il me saute au cou est me fait un câlin.

Moi : mon fils... Comment tu va ?

Antoine : très bien. D'ailleurs avec Hugo on n'a une grande nouvelle à t'annoncer.

Hugo : plutôt trois grande nouvelle.

Moi :et bien je vous écoute les enfants.

Hugo : la première et que je vais déménager à Madrid. Je vais jouer à l'atletico.

Moi : c'est génial vous aller vivre ensemble alors.

Antoine : oui et puis au mois de juillet je porterez le nom de Lloris. On va se mariez.

Moi : non... C'est vrai ?!

Hugo : oui coach et vous êtes bien sur invite.

Antoine : vu que mon vrai père ne sera pas là pour m'emmener au bras de mon époux j'aurai besoin de mon papa de cœur.

Moi : oh mon petit grizou ce sera avec joie. Et la dernière nouvelle.

Antoine : tu va être grand père.

Je met mes mains devant mon visage et des larmes perlent aux coins de mes yeux.

Moi : c'est vrai??

Hugo : oui. On n'a fait appel à une mère porteuse aux États-Unis. Vers la fin de l'année nous aurons un petit garçon.

Antoine : Dylan. J'ai voulu que son prénom commence par un d comme son grand père.

Moi : oh les enfants félicitations.

Je les prend dans mes bras. Heureux pour eux. J'essuie les larmes de joie qui ont couler.

Antoine : tu as fait tellement de choses pour moi que je doit bien te rendre l'appareil.

Moi : viens là.

Je le prend dans mes bras et le sers contre moi. Je lui embrasse le front et le rend à Hugo.

Les autres joueurs arrivent puis c'est la sélection espagnole. Je salut Luis Enrique et certains de mes joueurs saute dans les bras de leur coéquipiers en club.

Ensuite nous allons dans la salle commune pour le déjeuner je m'installe à la table ou se trouve le staff des deux équipes. Les joueurs eux sont à une table à côté et commence à faire les fous.

Moi : les gars calmer vous.

Paul : oui ou coach.

Je lève les yeux aux ciel est soupire.

Luis: j'ai les mêmes je te comprend.

Moi : le pire dans tous ça je sais que a un moment pendant le repas ça va partir en couille.

Et ça n'a pas loupé. Vers le dessert Madrilene et Barcelonais se sont lancé dans une bataille de nourriture qu'ils ont appelé " patesico".

Et malheureusement notre table à n'a pas échapper à cette bataille. Nous avons reçus des pâtes à la catbonara par grosses cuillères. Donc je monte dans ma chambre me changer.

J'ouvre mon armoire et tombe sur ma tenue et mes armes. Je soupire. Je sais que très rapidement Bixente et moi nous seront recontacte pour trouver se Mystérieux.

Je sors une fois changer et referme ma porte. Je me dirige vers l'asenceur quand les portes de se derniers s'ouvre. Sergio en sort rapidement et sans me voir me fonce dedans.

Sergio : putain mais... Oh Didier pardon je ne t'avais pas vu.

Moi : je vois ça. C'est les mecs qui tont énervé comme ça ?

Sergio : hein... Euh non juste un problème de famille.

Moi : pas trop grave j'espère.

Sergio : si justement ! Mon père est au plus mal depuis se matin est j'apprends que maintenant qu'il a fait un arrêt cardiaque ! Heureusement son connard de médecin a réussi à relancer son cœur mais

Moi : et calme toi. C'est pas comme ça que tu va aider ton père.

Je pose mes mains sur son bras et le caresse pour le calmer. Sergio est moi on se connaît depuis qu'il est arrivé à Paris.

Avec mon travail je suis beaucoup sur la capitale et donc des fois presnel fait des fête ou il m'invite.

Voilà comment on c'est connu et disons que chaque fois que l'on se voit on se rapproche de plus en plus.

Je continu de caressé son bras et lui sourit doucement se qui a l'air de le calmer vu qu'il me rend son sourire.

Sergio : merci. Et toi quesque tu fais ici au lieu d'être en bas ?

Moi : je suis une victime collatérale du patesico.

Sergio : mon dieu. Euh ta encore des pâtes coller dans les cheveux.

Je met ma main dans mes cheveux et sans m'en rendre compte il avait mis sa main la donc on se touche les mains. Je rougit et la retire et le joueur espagnol fait de même. C'est à se moment là que son téléphone et le mien enfin celui de monsieur m sonne.

Sergio : je dois te laisser. On se revoit plus tard.

Moi : oui. A plus.

Chacun repart dans son coin et je répond immédiatement.

Moi : allo

Monsieur : Didier toi et Bixente vous devez vous rendre à une vente aux enchères au palais garniers. D'après nos sources les hommes du mysterieux prevoyent de braqué les clients.

Moi : bonsoir déjà.

Monsieur v: oui bonsoir mais dépêche toi de mettre ta tenue.

Et il raccroche. Je soupire et retourne dans la chambre mettre ma tenue.. J'envoie un message à Bixente, prend les clés de la voiture et sort par la sortie de secour.

Je monte dans la voiture et directement Footix me salut.

Footix : bonsoir messieurs Deschamps. Ou allons nous se soir ?

Moi : on passe chercher Bixente et on se rend au palais Garnier ou les hommes du mystérieux on envi d'aller foutre le bordel lors d'une vente aux enchères.

Footix : je vous trouve tout de suite l'itinéraire le plus court.

Moi : merci Footix.

Je démarre et me rend devant l'immeuble de mon ami. Il descend directement et prend place sur le siège passager.

Bixente : il fait chier de nous prévenir à cet heure. Je du dire à Grégoire que Zizou voulait me voire.

Moi : les criminels ne se reposent jamais Liza tu le sais très bien. Allez Footix au palais Garnier!

Footix : bien messieurs Deschamps.

Elle démarre et nous arrivons au palais Garnier un quart d'heure plus tard.

Moi : Footix tu peut nous faire un topo vite fait s'il te plaît.

Footix : une grande vente aux enchères à était organisée au profit de l'UNICEF. Beaucoup de bijoux et d'objet de grande valeurs.

Bixente : de quoi attiré les plus grand mafieux comme le mystérieux.

Footix : exactement. Messieurs V m'a charger de vous remettre des costume et des masque pour mieux vous confondre parmis les invités.

Moi : des masques ?

Footix : oui. Vous trouverez tout ça dans le coffre.

Moi : bon et bien on y va.

On sort et on ouvre la coffre ou se trouve deux beaux costumes et des masque blanc. On retire nos habits nous mettons les costumes et les masques puis nous reprenons nos armes que l'on cache.

Nous montons les marches et rentrons. On marche tout les deux Parmis les invités.

Bixente : ont fait quoi maintenant ?

Moi : on se sépare en attendant la vente et on observe.

Bixente : ok tu va vers le buffet et moi j'essaie d'écouter les derniers ragots de ses fricés.

Moi : tu me désole avec tes fricés. Bon à toute.

Bixente : a toute.

Je met mon oreillette pour pouvoir entendre se que fait bixente et inversement et me dirige vers le buffet ou mange quelque petits gâteaux apéro. Putain ils sont meilleurs que les pâtes de l'hôtel.

Je prend aussi une coupe de champagne et observe tout c'est invite font mon meilleur ami qui traîne partout avec son sourire charmeur. Heureusement que Grégoire n'est pas là.

Je continu d'observer les personnes présente quand un homme grand lui aussi masqué comme tous s'approche de moi en me souriant.

Je lui rend et l'observe attentivement. Il est grand barbu et dont avoir dans la trentaine.

Lui : quesque un homme aussi séduisant que vous fait seul au buffet d'une petite vente au enchères ?

Il a un accent hispanique mais je ne le remarque pas de suite trop omnibule par cet homme.

Moi : hein... Oh et bien je me bourre de petits four seul vu que je suis célibataire.

Lui : comment un homme comme vous peut être célibataire ?

Moi : je vous retourne la question vous devez l'être aussi pour m'interroger ainsi ?

Il rigole légèrement et prend une coupe de champagne.

Lui : un petit joueur he vois je vois. Et bien je n'est jamais trouver chaussure à mon pied comme on dit en France.

Moi : c'est ça et moi aussi je n'est pas trouver chaussure à mon pied. Vous êtes originaire d'espagne ?

Lui : et fin observateur. Oui de Madrid. Et vous vous aussi vous avez un petit accident du sud.

Moi : oui mais je les perdu avec les années je viens du pays vasque près de Bayonne.

Lui : intéressant. J'ai un très bon ami qui vient lui aussi de Bayonne.

Moi : qu'elle coincidence dites moi. Vôtre ami est très chanceux.

Lui : oui et aussi très belle homme comme vous.

Moi : je vous retourne le compliments même si j'ai plus de 50 piges.

Lui : l'amour n'a pas d'âge très chère messieurs.

Je le regarde intriguer alors qu'il lève sa coupe de champagne vers moi.

Lui : trinquons.

Je prend la mienne est la bois quand on annonce que la vente va bientôt démarrer.

Bixente me fait signe qu'il entre et je lui fait discrètement signe que je le suis. Mais l'homme en face de moi en a décidé autrement.

Il l'attrape la poignet droit et me chuchote doucement à l'oreille.

Lui : pourquoi aller à cet vente tout de suite ? Je connais un endroit merveilleux où nous voyons toute la capitale illuminer la nuit.

Moi : c'est que... Il y a beaucoup de lot qui m'intéresse et je ne voudrais pas les manquer.

Lui : il n'y en a que pour cinq minute. Venez.

Il m'entraîne vers un porte de service ou derrière se trouve un escalier.. Nous le montons et il ouvre un autre porte qui donne sur le toit.

Nous marchons un peu et découvre la ville toute illuminer.

Moi : c'est magnifique vraiment.

Lui : alors cela valait le coup de louper certain de vos fameux lot que vous vouliez acquérir ?

Moi : oui je crois mais j'aimerai redescendre pour...

Sans même me laiseer le temp de finir ma phrase il se saisit de mon visage entre ses deux mains et pose ses lèvres sur les miennes. Sur le coup je l'aurais bien gifler mais.

Mais cet homme me rappelle tellement Sergio. Mon Sergio que j'aimais je ne pourrais lui dire que je l'aime car il doit sûrement être avec une femme.

Alors japprofondis le baiser et on s'embrasse tout les deux encore et encore sous les lumi de la capitale quand dans mon oreillette j'entend des coups de feux, des cris et Bixente qui m'appelle doucement.

Je redescend immédiatement sur terre et me sépare malheureusement de cet homme. Il me regarde surpris et avec incompréhension.

Lui : quesquil y a?

Moi : je... Je dois redescendre il y a un lot que je veux absolument...

Il attrapé mon bras et me regarde droit dans les yeux.

Lui : dites moi se qui ne vas pas.

Moi : je... Heu....

Et a se moment là dans mon oreillettes mon ami me hurle de me dépêcher car il sont entrain de s'enfuir.

Il a tellement hurler fort que l'homme en face de moi me dévisage et ressert sa prise sur mon bras.

Lui : j'ai donc en face de moi l'un des deux fils de pute de black Windower qui a mis plusieurs de mes hommes en prison.

Je le dévisage aussi et comprend après cette phrase qu'il vient de prononcé qui j'ai réellement en face de moi.

Moi : le Mystérieux.

Lui : exactement mon chou. Maintenant j'ai quelque chose à régler avec toi.

Il sort une dague de sous son costume et essaie de me poignardé mais je me défait de sa prise et m'éloigne de lui.

Je charge mon pistolet paralysant et le braque sur lui.

Moi : plus un geste ou je tire.

Lui : tu crois que tu me fais peur avec ton bracelet ? N'importe quoi.

Je m'apprête à tire quand il me fait une balayette. Je tombe et mon tire touche le panneau électrique qui disjoncté et tout le palais fini dans le noir.

Lui : bravo jolie tire.

Je le fondroie du regarde et me jeté sur lui. Il me pousse contre un muret et me frappe une fois dans les côtés. Je serres le dents et lui met un coups de pied près des parties intime.

Mais il et coriace et reprend sa dague pour voiloit me planter. Sauf que j'ai prévu son attaque est esquive hélas pas assez rapidement car il arrive à me couper sur la hanche gauche.

Je gémis de douleurs et tombe à genoux. Il se relève et me toise de haut.

Lui : mon père m'avait dit que vous étiez redoutable. J'ai beaucoup de mal à le croire.

Je le foudroi du regard et me saisi d'un morceau de tuyau métallique qui traîné par là. Je me relève et le frappe au niveau de l'épaule gauche.

Il me fout un coup de pig's en plein visage et moi je le frappe vers les côtés. Il me redonne un coup de poigns dans les côtés et je le reffrape sur l'épaule puis le pousse vers un muret.

Je m'apprête à le frapper mais il escalade le muret se qui fait que je ne le touche pas et il me saute dessus. Je tombe à la renversé sur le dos et il se trouve au dessus de moi. Il retire de mes mains le tuyau qu'il jeté plus loin et me regarde.

Lui : et maintenant voyons voir le visage de celui que je vais me faire un malin plaisir à torturer jusqu'à se que mort sans suive.

Il retient mes mains au dessus de ma tête et approche sa deuxième mains de mon visage quand des sirènes de police retentissent. Il me regarde et me lance un sourire charmeur.

Lui : à la prochaine et t'en fait pas jte louerai pas.

Il me frappe une nouvelle fois au visage et s'enfuit. Je me relève et retire se putain de masque que je jeté. Je craché un peu de sang et me relève. Je repart vers la porte où je descend rejoindre mon ami.

1 heure plus tard

Messieurs v : NON MAIS C'EST PAS POSSIBLE ÇA ! VOUS TENIEZ LE MYSTÉRIEUX ET IL A RÉUSSI À S'ENFUIR ! ET PART DESSU TOUT L'UN DE MES MEILLEUR ÉLÉMENTS À FLEURTER AVEC LUI !

Je baisse la tête alors qu'un infirmier me soigne ma blessure à la hanche. Notre patron est arrivé furieux et nous a passé un sacré savon.

Bixente a côté de moi n'a rien dit. En même temps il m'en veut un peu de l'avoir laisser seul face à 15 hommes armes qui braqué les inviter sauf que la coupure de courant du a mon tire dans le panneau électrique les a fait panique et donc fait fuir avec un sacré butin.

Messieur v : tu as intérêt à te ressaisir Didier parce que la prochaine fois...

Moi : y aura pas de prochaine fois.

Bixente me regarde les yeux exorbités surpris que je parle aussi froidement et sec à notre patron.

Messieur v : pas de prochaine fois. Très bien. Antoine Griezmann est bien ton chouchou dans ton équipes. Tu l'aime tellement que tu l'appel fiston et lui papa. Il serait dommage qui lui arrive malheur.

Je me relève et le prend violemment par le col.

Moi : ne vous approchez pas de mon fils !

Messieur v : alors tu sais se que tu as a faire. Sinon ton fils ou même la mère porteuse aux États-Unis aura de sérieux ennuis.

Je le lâche, il remet puis son costume est s'en va. Bixente s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule.

Bixente : pourquoi il a parler d'une mère porteuse ?

Moi : Antoine est Hugo on prévu d'adopter un bébé pour la fin de l'année. Un garçon. Dylan. Antoine veut que la première lettre de son prénom soit la même que le mien. Et ils ont prévu de se marier vu que hugo va jouer à l'atletico et vivre avec lui.

Bixente : est mais c'est génial tout ça. Félicitations.

Je soupire et m'adosse contre la voiture.

Moi : je ne supporterai par qu'il lui arrive quelque chose ou que l'un de ses projets soit briser par ma faute.

Il me sert l'épaule compatissant.

Bixente : je comprend. Mais on doit rester fixer sur notre objectif : arrêter se criminel et on en aura fini pour de bon avec tout ça.

Moi : oui ta raison.

Bixente : j'ai une question : pourquoi tu l'a laisser t'embrasser se malade ?

Moi : parce qu'il me rappelle étrangement quelqu'un que j'aime et que je ne pourrais jamais lui dire que je l'aime.

Bixente : et pourquoi ?

Moi : je ne suis pas sur qu'il soit gay.

Bixente : dit lui et tu verras bien parce que la ça te bouffe et tu est entrain d'enchaîner les conneries. Bon on rentre. Je dit à footix de passer en pilote automatique et de te ramener à l'hôtel.

Je sourit et lui suis a l'intérieur de la voiture qui démarre aussitôt.

Pdv Sergio

Je ferme la porte de ma chambre en grimaçant. Putain il a pas louper mon épaule se connard. La prochaine fois que je le vois il va en voire de toute les couleurs.

Il a quand même fait foire se casse. Putain quelle soirée de merde. J'apprends que mon père a fait un arrêt, ensuite je suis obligé de me rendre sur se casse et enfin je fleuret avec un ennemi et je l'embrasse par dessus tout.

Oh oui merde le baiser. Mais quesquil la pris de l'embrasser se mec. Je le connais même pas. Enfin il me rappelle Didier. L'homme a qui je ne pourrais jamais dévoilé mes sentiments.

Bref je soigne comme je peu mes blessures puis je m'allonge dans mon lit. Je soupire je ne suis bien fait engueuler par alexender pour se baiser est la panne de courant.

Mais c'est pas ma faute à moi s'il ne sait pas visé l'autre connard ! Je souffle. Il m'a conseillé de me débarrasser au plus vite de se qui me gêne. Et c'est ce que je vais faire demain après l'entraînement et le repérage au stade de France.

Le lendemain

Nous venons de terminer notre entraînement et c'est au tour de l'équipe de France de s'entraîner. Je techk Raph karim grizou et les autres puis attend dans le couloir qui mène au terrain Didier.

Ce dernier sort des vestiaires et se dirige sur le terrain. Il relève sa tête et sourit en me voyant. Pitié non ne me lance pas se si jolie sourire je pourrais pas y résister.

Didier : Sergio. Justement je voulais te voire.

Moi : moi aussi.

On se regarde droit dans les yeux. Je ne montre aucune émotions alors que lui se mord la lèvre.

Moi : je t'écoute.

Didier : et bien... Comment dire.... Depuis que l'on se connaît et bien... Je ressens des choses.

Mon cœur loupe plusieurs battlements. Il n'est pas en train de faire qmce que je pense.

Didier : je ressens des choses que je n'est jamais ressenti auparavant pour quelqu'un. Je... Je crois que suis tombé amoureux de toi.

Mon cerveau bloqué sur ses derniers mots tellement j'avais espéré les entendre un jour. Il s'approche de moi et je le laisse prendre mes mains. Un sourire se forme sur mon visage et mon regard ne quitte pas le sien.

Il me sourit timidement et rapproche doucement nos visage. Nos front son colle ensemble, je sens son souffle contre mon visage et il réduit l'espace entre nos lèvres.

Je ne le repoussé pas. Je devrais mais je n'en ai clairement pas envie. Japprofondis se baiser et descend mes mains jusqu'à ses hanches. Ma main droite effleuré légèrement sa hanche gauche et il se sépare de moi en gémissait légèrement de douleur.

Moi : ça va?

Didier : oui.. Oui. Je me suis pris le coin du lavabo hier soir et j'ai un peu mal.

Je froncé les sourcils. Le coin du lavabo. Il me prend pour un con je vois bien qu'il ment avec mon deuxième métier je sais reconnaître les menteurs.

Mais attendez, la hanche gauche, c'est la que j'ai blesse le black Windower hier soir. Non c'est pas possible. Sergio tu devient parano. Mais tout concorde.

Didier : Sergio ?

Moi : hum oui excuse moi. J'espère que ça ira. Je dois y aller.

Et sans lui laisser le temps d'en placer une je rentre dans nos vestiaires. Je me rhabille tout en pensant à se que je viens de découvrir. Didier est il l'un de ses fils de pute de black Windower?

Je souffle et rejoins les autres dans le bus pour rentre à l'hôtel. Je dois en avoir le cœur net. Une fois arrivé je me dirige vers la réception et volé un badge permettant l'ouverture de toute les portes de chambre.

Je me rend à l'étage du staff de l'équipe de France et me rend devant la porte du sélectionneur. Je regarde autour de moi et passe le badge dans l'encoche. La porte s'ouvre et je me précipite à l'intérieur.

Tout est en ordre on dirait. Je vais fouiller dans ses affaires. J'ouvre l'armoire et tombe sur une photo de lui et antoine. Je sais qu'ils ont une relation particulière il considère Antoine comme son propre fils.

Je la pose sur le lit et regarde tout ses vêtements. Rien. Je deviens vraiment parano moi. Soupsonner mon crush c'est vraiment pas cool. Ou pas.

Dessous son lit une sac dépasse. Je le tire et l'ouvre. Je tombe des nu. C'est les armes que j'ai vu se mecs porté hier soir et juste en dessous le masque qu'il portait. Puis une tenu noire.

Alors j'avais raison. Didier et l'un des deux mecs. Alors qui est le deuxième. Pas Antoine. Il ne l'embarquerai pas la dedans. Bixente Lizarazu. Ils sont comme des frères.

Je m'assois sur le lit et réfléchis. Si je préviens les autres ils les tuerons sans que j'ai pu les interroger. Et puis hors de question qu'ils touche à Didier. Merde Sergio arrête il t'a trahi putain. Mais je suis fou de lui !

OK je sais se que j'ai à faire. Le temps qu'ils sont à l'entraînement je dispose sa tenu sur son lit et prend ses armes avec moi. Sécurité avant tout.

Bixente doit être avec Grégoire chez lui. Je sors de l'hôtel et me rend à leur appartement au moment où Grégoire rentre. Je me dépêche de le suivre en restant à bonne distance de lui.

Il rentre et Bixente lui saute au cou pour l'embrasser. J'aurai aimer que Didier me le fasse. Bon arrête de penser à lui est agi. Je sort le flingue de Didier et me poste devant eux.

Le Basque se figé. Son compagnon se retourne et se figé aussitôt. Un sourire mauvais se forme sur mon visage lorsque Bixente se rend compte à qui est l'arme que je pointe sur eux.

Grégoire : Sergio... Que....quesque tu fais ???

Moi : ferme la toi. Salut Bixente j'attendais se moment avec impatience.

Bixente : de quoi tu parle Sergio ?

Moi : cet arme elle appartient à ton frère de cœur Didier avec qui tu joue au agents secret. Les black Windower.

Grégoire : de quoi il parle Bixente ?

Moi : tes pas au courant ? Ton lec et Didier sont des agents super entraîner qui me traque depuis quelque jours.

Bixente : le Mystérieux.

Moi : bien joué sherlock. C'est moi en personne.

Grégoire : ser...

Bixente : met toi derrière moi Greg !

Il sort un pistolet paralysant, se met devant son compagnon et le vise.

Moi : ouah. Joli engin. Enfin si tu sais aussi bien t'en servir que ton pote il te sera inutile.

Bixente : ça fait plus de 20 ans que je m'en sert contre des pourriture comme toi !

Grégoire : alors il a raison. Tu est vraiment un agent secret.

Bixente : j'ai arrêté en 2010 quand l'hispanique a failli tuer Didier ! Mais notre patron et revenu vers nous et a menace de s'en prendre à toi si je n'arrêtez pas se connard !

Moi : je suis flatté du nom que tu me donne.

Grégoire : ne joue pas la carte de l'amour bixente ! Tu aurais bien pu dire un non ferme !

Moi : bon c'est bien joli tout ça mais bixente vien avec moi.

Il charge son pistolet.

Bixente : sûrement pas ! Et met toi à terre tout de suite !

Moi : non.

Il tire mais j'esquive. Je tire ensuite à côté d'eux se qui met Grégoire en position de faiblesse. Je pointe mon arme sur lui alors que le Basque recharge son pistolet pour le pointer sur moi.

Moi : baisse ton arme bixente ou jte jure que j'hésiterais pas à tire.

Il regarde son compagnon et le regarde avec amour. Ce même regard que Didier m'a laissé 2h auparavant.

Moi : maintenant ! J'ai pas tout ton temps !

Il baisse son bras et retire son bracelet qui lance à mes pieds.

Moi : parfait. Greg rentre et donne moi les clés.

Bixente : ne lui fait rien !

Moi : quesque tu veux que je lui fasse ? Il a rien à voire dans cette histoire. Je vais juste le mettre à l'écart le temps qu'on règle tout ça. Les clés Grégoire !

Grégoire : tien. Et ne lui fait pas de mal. C'est le plus grand abruti du monde mais je l'aime.

Je prend les clés de ses mains et le pousse à l'intérieur. Je ferme la porte à clés et les range dans ma poche.

Moi : bien sur tu ne préviens personne ou Liza finira six pieds sous terre. Aller avance toi.

On sort de l'immeuble et je le traîne jusqu'à la voiture.

Bixente : tu m'emmène ou ? Et quesque tu as fait de Didier ?

Moi : Didier est avec son équipe pour le moment. Et tu vera bien.

Je démarre et rentre à l'hôtel pour terminer mon plan improvisé.

Pdv Didier

Je sors de la salle de réunion improvisé avec mon staff. Tout ça car Kylian avait une légère gêne musculaire. Je soupire mais sourit.

J'ai embrassé Sergio et ça m'a libéré d'un poids. Je vais me reconcebtrer sur la mission. Enfin avant je doit parler avec Antoine.

Je me rend à son étage et toque. Une voix me donne la permission d'entrée et je le voit assis en train de jouer sur son ordinateur. Il relève la tête et sourit en me voyant.

Antoine : papa ! Si tu cherches Hugo il est parti parler à Paul et karim.

Moi : non c'est toi que je veux voir.

Il perd son sourire.

Antoine : j'ai fait quelque chose de grave ?

Moi : non mon trésors. C'est moi enfin j'ai une chose à te dire.

Il me fait signe de m'assoir à côté de lui ce que je fait.

Antoine : je t'écoute.

Moi : voilà. Quand j'ai commencé le football j'ai était recrute avec bixente par les services secret : les black Windower. On nous a appris à nous battre ect.. Et ons à arrête de grand criminel durant plusieurs années jusqu'à ce jour de mai 2010. A Madrid un terroriste espagnol l'hispanique ma tire dessu. J'ai reçu la balle à quelque centimètres du cœur.

Je retire ma veste et mon maillot pour dévoiler ma cicatrice et certaines blessures du au combat d'hier soir. Antoine ouvre grand les yeux et touche du bout des doigts ma cicatrice.

Antoine : et... Et après ?

Moi : j'ai cru mourir mais je suis la. On a décidé d'arrêter et on c'est concentré sur nos vies. Lui les matchs a commenter avec Greg et moi l'équipe de France et mon fils. Toi.

Il me sourit.

Antoine : donc tu est un agent secret mais pourquoi tu a tout c'est bleus ?

Moi : j'allais y venir. Après que j'ai annoncer la liste pour c'est deux matchs mon ancien patron et revenu pour qu'on arrête le Mystèrieux un dangereux terroriste. J'ai bien sur refuser mais il a menacer de s'en prendre à vous et surtout à toi et à la mère porteuse si je n'acceptez pas la mission.

Je lâche quelque larmes et le regarde droit dans les yeux.

Moi : je ne me le pardonnerai jamais s'il t'arrivai quelque chose ou qu'un de tes projets sois anéanti par ma faute.

Antoine : oh papa.

Il se jeté à mon cou et je le sers contre moi.

Antoine : tu est le meilleur père d'adoption que j'ai pu rêvé et je te trouve courageux de venir m'avouer tout ça. Mais ne t'en fais pas il ne m'arrivera rien ni à la mère porteuse car tu est avec moi. Je me sens en sécurité avec toi. Je sais que tu veille toujours sur moi. Et puis je veux que tu m'emmène aux bras d'hugo le jour de mon mariage c'est la tradition le père de la marier doit l'emmener aux bras de son future époux.

Moi : mon trésors. Je t'aime tellement.

Antoine : moi aussi papa. Alors soit rassuré il ne m'arrivera rien tant que tu sera là.

Moi : d'accord. Je vais appeler mon patron et lui dire que c'est terminé qu'il se démerde car j'ai un fils à marier.

Antoine : et un petit fils à chérir.

Moi : oui. Aller je te laisse.

Antoine : papa.

Je me tourne vers lui en étant près de la porte.

Antoine : mon vrai père ne t'arrivera jamais à la cheville et j'ai la chance de t'avoir. Merci de t'être confier à moi. Tu m'a aider et moi j'ai pu t'aider à mon tour.

Moi : derien fiston. A tout à l'heure.

Antoine : a toute à l'heure papa.

Je sors et me dirige vers ma chambre décider à mettre un terme à tout ça. Plus jamais je ne mettrai en danger. J'ai une famille, une fils, un gendre, un petit fils et un amoureux.

J'entre dans ma chambre mais me stop en découvrant ma tenu, bien étalé sur mon lit mais sans mes armes. C'est quoi cette blague ?!!

Je m'approche et vois aussi des photo avec Antoine et que mon sac ou se trouver toute mes affaires a était fouiller.

Moi : c'est quoi ce délire ?

Un canon se pose dans mon dos et un bras passe autour de mon cou

... : c'est que tu m'a pris pour un con. Depuis le début.

Je me débat et lui met un coup dans les tibias. Il hurle je m'éloigne de lui près à me battre quand découvre Sergio habillé toute en noir avec mes armes.

Moi : Sergio... Quesque tu fais?

Sergio : ta toujours pas compris. Quand on c'est embrasser, que j'ai poser ma main sur ta hanche et que ta gémis de douleur. J'ai hésiter au début. J'ai cru à ton histoire de lavabo jusqu'à se que je trouve ça. T'es bien le mec que j'ai combattu hier soir.

Je me décompose. C'est... c'est impossible.

Moi : tes pas le Mystérieux...

Sergio : et si. Tu t'es bien foutu de moi depuis le début ! Tu m'a embrasser pour pouvoir m'affaiblir !

Moi : je te jure que je ne savais pas que tu était celui qu'on recherchais !

Sergio : ferme la ! Déshabille toi et met ta tenu ! Dépêche !

Je retire ma veste tout en le regardant. L'homme que j'aime et le terroriste le plus recherché du monde.

Je retire ensuite mon maillot dévoilant mon torse. Il s'approche de moi, toujours en me visant avec mon arme, et me prend le bras gauche.

Sergio : c'est quoi cette cicatrice ?

Moi : une balle. L'hispanique ma tire dessus en 2010. J'ai failli y passer.

Sergio : c'était toi que mon père croyais avoir tué....

Moi : ton père... L'hispanique et ton père ?

Sergio : oui mais ça te regarde pas. Dépêche toi de te rhabiller. Bixente nous attend.

Moi : comment ça bixente nous attend ?

Sergio : avant que tu revienne j'ai était cherchai ton coéquipiers chez lui.

Moi : dit moi que ta rien fait à Greg.

Sergio : il n'a rien à voir dans cette histoire tout comme Antoine. Aller dépêche toi.

Moi : quesque tu va faire de nous ?

Sergio : tu verra bien.

Je termine de mettre ma tenu et il me fait avancer devant lui.

Sergio : dirige toi vers ma chambre. Et pas de geste brusque sinon.

On se dirige vers sa chambre. Il ouvre la porte avec son badge et me pousse à l'intérieur. Bixente est assis sur le lit, les mains derrière le dos et du scotch sur la bouche.

Moi : Liza..

Je m'assois à coter de lui et retire délicatement le scotch de sa bouche.

Bixente : j'ai eu peur qu'il te soit arrivé quelque chose quand il c'est pointé chez nous avec ton arme.

Moi : je vais bien ne t'en fais pas.

Sergio : les mains derrière le dos Didier.

Je me tourne vers lui et le regarde droit dans les yeux.

Sergio : ne me regarde pas comme ça s'il te plaît.

Moi : depuis quand le plus grand terroriste du monde dit " s'il te plaît".

Sergio : Didier... Je.. fais ce que jte dit point.

Je m'exécute, il prend le rouleau de scotch et l'enrouleur autour de mes mains.

Sergio : maintenant. Vous aller me dire qui vous a embauché pour me courir après.

Je regarde Bixente et on sourit.

Bixente : on n'est pas des balances.

Moi : on dira rien.

Sergio : je vois.

Il se baisse et sort de sous son lit la mallette de sa ps4. Je regarde de nouveau mon ami qui hausse des épaules.

Bixente : tu veux nous faire parler en jouant à fifa ?

Sergio : pas exactement.

Il l'ouvre , sort sa console et en dessous je vois tout un tas d'outil de torture. Je me décale de Sergio le plus possible alors qu'il en sort un. Mon ami jure et le barbu sourit.

Sergio : tu crois toujours que l'on va jouer mon chère bixente.

Bixente : non plus maintenant.

Il s'approche de lui mais évite mon regard. On dirait que le plus grand terroriste du monde m'aime malgré le fait que je l'ai " trahis".

Il continu de s'approcher de bixente mais je me met devant lui et regarde droit dans les yeux le défenseur parisien.

Moi : si tu dois faire du mal à quelqu'un se sera à moi.

Il se stop. J'ai toucher un oint sensible la.

Sergio : écarté toi Didier.

Moi : tu as entendu se que je vien de te dire.

Sergio : oui mais...

Moi : alors porte tes couilles putain et fais le si t'es un homme !

Sergio : je peux pas le faire sur toi !! Je peux pas te faire du mal c'est au dessus de mes forces ! Alors écarté toi !

Moi : non ! Tu ne touchera pas a un seul cheveux de Bixente ! Lui aussi il a quelqu'un qui tient à lui ! Comme toi tu tiens à moi !

Il frappe un grand coup dans le mur et lâche son outil. Il s'éloigne de nous et s'approche de la salle de bain. Il entre et je sourit légèrement.

Bixente : attend Sergio... Il t'aime ?

Moi : oui et moi aussi...

Bixente : toi aussi ? Mec c'est le terroriste le plus recherché du monde.

Moi : je sais mais je le savais pas avant de tombé amoureux de lui.

Bixente : tombé amoureux carrément.

Moi : oui carrément. Comme toi t'es tombé amoureux de ton journaliste.

Bixente : oui mais Grégoire n'est pas un criminel ! Didier ouvre les yeux.

Moi : mais j'ai ouvert les yeux ! Sergio qui qu'il soit c'est lui l'élu de mon cœur. Peut importe ce qu'il a fait ou ce qu'il fera.

Des pats nous interrompt. Sergio sort doucement de sa salle de bain. Ses joues rempli de larmes.

Sergio : tu... Tu le pense vraiment ?? Hein...

Moi : bien sur que je le pense vraiment Sergio. Hier soir quand tu t'es comporte ainsi avec moi j'étais heureux comme je les était tout à l'heure quand on c'est embrasser.

Sergio : tu... Tu ne sais pas se que j'ai vécu... Et ce que j'ai fait...

Moi : oui mais je sais qui tu est. Et c'est tout ce qui compte à mes yeux.

Sergio : c'est... C'est vrai ?

Bixente : s'il te le dit ce que c'est vrai.

Je le foudroie du regard pour lui dire de se taire.

Moi : oui c'est vrai mon amour.

Un sourire se dessine sur son visage quand des coup de feu retentissent dans la pièce et que les fenêtre se brise.

L'espagnol saute sur nous deux et nous jeté à terre sauf que une balle a siffler trop près de mon oreille droite. J'hurle de douleurs.

Sergio : bb !! Et bb ça va ?!

Bixente : tu vois bien que non ! Il hurle a la mort !

Moi : j'entends plus rien de l'oreille droite.

Il passe sa main sur cette dernière et je voit du sang.

Sergio : le bruit de la balle à percé ton tympan !

Bixente : on fait quoi?! C'est malade nous tire dessus ! Mais riposte putain Sergio !

Sergio : non j'ai que deux armes et eux sont au moin 3 voir plus.

D'un coup je me rend compte d'une chose.

Moi : les joueurs...

Sergio : quoi les joueurs?

Moi : les joueurs des deux équipes sont dans l'hôtel Sergio....

Son visage se décompose.

Sergio : putain ! On doit quitter l'hôtel au plus vite !

Bixente : tu oublie une chose ! On n'a les mains scotché dans le dos par ta faute !

Le défenseur sort un couteau et coupe le scotch que j'avais autour des poignets. Il faut de même pour bixente.

Bixente : donne moi mon bracelet paralysant !

Sergio : et puis quoi encore ?! Tu va me tire dessus !

Moi: Sergio on doit y aller !

Sergio : ok. A 3 vous courrez vers la porte pendant que je vous couvre. 1. 2. 3 !!

Il tire en direction des coup et mon ami et moi courons sur la portes il l'ouvre et sort. Je regarde Sergio.

Moi : Sergio !

Il me regarde et court vers moi. Je me tient l'oreille droit qui et toujours en sang.

Sergio : ça va ton oreille bb ?

Moi : j'entends toujours rien.

Bixente : bon vous venez!

Sergio me prend la main et m'entraîne vers les escaliers de secours suivi de Bixente.

Sergio : on va prendre ma voiture et les conduire loin de l'hôtel.

Nous arrivons au parking souterrain et sautons dans sa voiture. Il démarre et roule à la sorti à toute allure quand un homme surgit avec un fusil mitrailleur.

Sergio : Alexender !

Il nous tire dessus et les pneus de la voiture sont toucher. La voiture fait plusieurs zigzag et on se dirige droit vers plusieurs autre garé.

Bixente : mais freine putain !

Sergio : j'essaie mais les freins ont lâcher !

La voiture foncé droit dessus.

Sergio : accrocher vous !

Il fait un drif mais malheureusement nous foncons droit dessus. On percuté la première ou toute les vitre se brise dans un fracas monstre. Je me protège comme je peut mais ma tête heurte quelque chose se qui m'assome.

Pdv Sergio

Je rouvre les yeux difficilement avec un mal de crâne horrible. Ma tête et appuyer contre le volant. Je la relève doucement et voit l'entend des dégât. 4 voiture bonne pour la fourrière.

Je souffle et Bixente reprend aussi connaissance en gémissent de douleurs. Je voit son arcade droite ouverte sur plusieurs centimètres.

Moi : ça va Liza?..

Bixente : ont va dire ça.

Un autre gémissement me fait tourné la tête sur le siège passager ou je voit Didier émerge doucement.

Moi : Didier ! Bb ça va ?

Je prend doucement son visage dans mes mains et voit ses yeux s'ouvrir doucement.

Moi : vas y doucement.

Je voit une grosse plaie le long de son front côté droit.

Bixente : Didier et ouvre les yeux.

Moi : laisse lui le temps. Ta vu la plaie qu'il au front.

Didier : Sergio...

Moi : oui bb je suis la.

Didier : je n' entend plus de l'oreille droite et j'ai mal à la tête.

Moi : on va te sortir de là avec bixente et...

Antoine : PAPA!!

Le petit blond court vers nous accompagner d'hugo. Je sors de la voiture et le stop.

Antoine : laisse moi passer Sergio !!

Moi : calme toi. Il est conscient mais on doit le sortir délicatement de là.

Hugo : mais appeler une ambulance merde ! Et cette fusillade c'était quoi ?!

Moi : he peux rien vous dire mais rentre à l'hôtel.

Antoine : tu te fous de la gueule de qui là Sergio ?! Mon père vient d'avoir un accident de voiture ! Et il c'est fait tirer dessus !

Bixente : Sergio ! Viens m'aider.

Moi : je peux vraiment rien vous dire mais faites moi confiance. Rentré à l'hôtel et ne dites rien à personne d'autre. Bixente ton père et moi on a essayé de nous tuer. Et rien ne prouve qu'il ne vont pas recommencer alors rentre.

Antoine : mais mon père...

Moi : je vais prendre soin de lui. Je te le promet Antoine. Il ne lui arrivera plus rien.

Hugo : tu as intérêt à tenir ta promesse parce que pour le moment c'est de ta faute se qui arrive. Aller vient chaton.

Il lui prend la main et l'entraîne a l'intérieur de l'hôtel. Je me tourne vers bixente qui sort mon amour de la voiture.

Je court vers lui et l'enlace. Il a du mal à tenir debout. Je décide de le porter en princesse.

Bixente : on fait quoi maintenant.

Moi : on doit aller chez mon père. La bas je pourrais soigner Didier et trouver pourquoi Alexender a fait ça. Le problème on n'a plus de voiture et je me voit mal porter Didier dans tout Paris.

Bixente : On n'a une voiture. Je l'appel. Footix ici bixente vient nous chercher à l'entrée du parking souterrain.

30 secondes plus tard une voiture se gare devant nous sans conducteur.

Moi : wouah.

Bixente : je te présente Footix notre intelligence artificiel. Je vais monter côté conducteur si ça je dérange.

Moi : euh... Non vas y.

Il monte sur le siège conducteur et je m'installe à l'arrière avec Didier contre moi. Je l'installe confortablement même si je doute que se sois confortable vu les gémissement de douleur qu'il poussent.

Bixente : Footix emmène nous euh...

Moi : 40 rue des oliviers.

Bixente : 40 rue des oliviers. Et trouve le trajet le plus courts.

Footix : entendu messieurs Lizarazu. Mais qui est cette autre voix.

Bixente : Sergio Ramos. Un très bon ami de Didier. D'ailleurs il est en mauvais point donc dépêche toi.

Foitix : entendu messieurs Lizarazu.

La voiture démarre enfin et je me reconcentre sur Didier.

Moi : bb ça va?

Didier : hum... J'ai mal à la tête mais moin que toute à l'heure.

Moi : et ton oreille ?

Didier : toujours rien.

Moi : ne t'en fais pas ça va aller bb. On va te soigner.

Il me sourit doucement.

Didier : tu m'a appelé bb...

Moi : oui. Et j'aime ça. Repose toi un peu je suis là.

Didier : le terroriste le plus recherché de la planète se souci de moi.

Moi : parce que je t'aime.

Il sourit et ferme les yeux. Je vois bixente nous regarde dans le rétroviseurs et lève les yeux aux ciel. Nous arrivons devant la villa de mon père.

Il descend et m'aide à descendre Didier que je porte en princesse. Il m'ouvre la porte du jardin et la porte d'entrée. Bizarrement tout est plongé dans le noir.

Moi : Bixente prend le flingue.

Bixente : tu me fais confiance maintenant

Moi : non mais je porte Didier donc je peut pas m'en servir.

Annabelle : Sergio c'est bien toi ?!

Ma nourrice descend les grand escalier de marbre.

Moi : oui c'est bien moi. Pourquoi cet question ?

Annabelle : mon dieu mais Alexender nous avais dit que tu étais mort tuer par des black Windower.

Moi : mais non. C'est lui qui nous a tiré dessus dans ma chambre d'hôtel et après dans le parking où j'ai eu un accident de voiture.

Annabelle : et tu n'a rien ?

Moi : moi ça va. C'est Didier qui est le plus touché. Il faut le soigner à tout pris. Et je dois voire père.

Son visage se décompose et elle baisse la tête.

Moi : Anna quesquil y a?

Annabelle : tu père n'a pas supporter la nouvelle de ta mort. Il as eu une crise cardiaque. Je suis désolée.

Je n'arrive pas à y croire. Tout s'écroule autour de moi. Mon père adoptif celui qui m'a sauver est mort. Enfin je m'y attendait mais ça fait un choc.

Annabelle : si tu veux le voir une dernière fois il est dans sa chambre. Viens allonger ton ami sur le canapé du salon. Je vais prendre soin de lui.

Moi : merci.

Je marche jusqu'au salon ou je dépose délicatement Didier sur le canapé. Je me tourne vers bixente.

Moi : tu veux bien rester avec lui le temps que...

Bixente : oui. Vas y et prend le temps qu'il faut.

Je le remercie d'un mouvement de tête et monte dans la chambre de mon père ou je m'effondre totalement.

Pdv Didier

Je rouvre les yeux plus facilement que la dernière fois. J'ai beaucoup moin mal à la tête mais je n'entend toujours rien de mon oreille droite.

Je remarque que je suis allonger sur un canapé, Bixente dors sur un fauteuil ainsi qu'une vieille dame. Je ne vois pas Sergio.

Je le relève doucement et retire la couverture que j'avais sur moi. Je me lève doucement et sors de la pièce. Il fait sombre. Il doit être vers les minuit 1h du matin.

J'entends des sanglots provenir de l'étage. Je monte donc les marches du grand escalier et suit le bruit. J'arrive devant une porte entrouverte. Je la pousse doucement et voit Sergio assis sur une chaise à coter d'un lit ou se trouve quelqu'un allongé dessus.

Je m'approche doucement et voit l'homme qui m'a tiré dessus 12 ans plus tôt, les yeux clos, ammaigris, les cheveux tout blanc et le teint pale. Et Sergio qui lui tient la main en pleurs. Je pose ma main gauche dans ses cheveux et les caresse doucement.

Il relève la tête précipitamment et pose son regard rempli de larmes sur moi. Je pose mon autre main sur sa joue ou j'essuis ses larmes.

Sergio : bb... Quesque tu fais là?... Tu devrais te reposer...

Moi : je ne t'es pas vu a coter de moi quand je me suis réveillé alors je suis parti à ta recherche.

Sergio : excuse moi je n'avais pas vu l'heure qu'il était. Je...

Moi : tu n'a pas à t'excuser. C'est tout à fait normal de se recueillir.

Sergio : comment... Comment tu fais pour ne pas être rancunier ? Il as failli te tuer.

Moi : je le fais pour toi. Tu as besoin de moi dans se moment difficile.

Sergio : mon cœur... Merci. Comment tu te sens ?

Moi : he n'est presque plus mal à la tête mais pour mon oreille droite toujours rien de rassurant.

Sergio : bon viens te coucher. Il te faut du repos.

Moi : a toi aussi.

Il se relève, me prend la main et m'entraîne dans une autre chambre.

Sergio : allonge toi. Je vais te déshabiller.

Moi : ou la.

Il rigole et me sourit.

Sergio : mais pas pour ce que tu crois.

Moi : pourtant ça ne m'aurait pas déranger.

Je lui lance un petit sourire pervers et il vient m'embrasser chastement.

Sergio : moi non plus.

⚠️Passage lemon⚠️

Il me retire mon haut et mon bas et sourit plus en découvrant mon corps. Il siffle.

Sergio : pour un vieux de 54 ans.

Moi : vieux ? Répète si tu l'ose.

Sergio : je rigole. T'es plus beau que CR7.

Moi : carrément ?

Sergio : carrément.

Il m'embrasse et je retire son haut noir puis son jean. Il ne lui reste que son caleçon.

Sergio : vas y.

Sa sonne comme un ordre et j'aime ça. Je lui retiré donc son dernier vêtement et rougit en voyant son sexe.

Sergio : rougit pas comme ça bb. Bon tu ne bouge pas. Je veux pas que tu te fasse mal.

Il m'embrasse le cou puis descend petit à petit vers mon entrejambe tout en l'evitant ce qui me rend dingue.

Moi : putain... Gio...

Il prend un malin plaisir en plus. Jusqu'à enfin prendre mon sexecdabs sa bouche. Je sers les draps dans mes mains et ne peut retenir un long gémissement de plaisir.

Putain jamais je n'est eu autant de plaisir que se soir. Il faut de long mouvement de va et vient. Jusqu'au moment où j'allais jouir dans sa bouche il se retire.

Je grogne ce qui le fait rire. Il me présente 3 doigts que je prend dans ma bouche pour les sucer.

Sergio : je suis désolé bb mais d'habitude je ne prend pas de lubrifiant.

Je froncé mes sourcils se qui le fait rire.

Sergio : quand je coucher avec des femmes pour leur soutirer des informations personnelles.

Moi : et moi ? Tu veux me soutirer quoi ?

Sergio : ton amour.

Je sourit alors qu'il entre un doigt je gémis il m'embrasse pour le faire taire et rentre les deux autres doigts pour me dilater.

Sergio : putain tes serré.

Moi : tu est le premier à avoir le privilège de me faire l'amour.

Sergio : je suis flatté.

Une fois qu'il me sent prêt il rentre doucement son sexe en moi puis se stop pour que je m'habitue.

J'attends un peu avant de lui donner le feu vert en lui donnant un coup de reins. Il commence alors ses mouvements de va et vient doucement puis plus fort.

Je gémis de plaisir puis je jouis. Il ne tarde pas à me rejoindre, s'effondre sur moi en sueur et essoufflée.

⚠️ Fin du lemon ⚠️

Je caresse ses cheveux. Il m'embrasse le torse et me sourit.

Sergio : je t'aime.

Moi : moi aussi.

Sergio : aller dors. Demain on n'a du boulot.

Je lui sourit et ferme les yeux fatigué par cette journée et cet exercice.

Le lendemain

Je me réveille et me tourne vers Sergio qui me regarde.

Sergio : salut toi. Bien dormi ?

Moi : oui et toi?

Sergio : tu étais contre moi donc oui. Tu as faim ?

Moi : oui.

Sergio : alors habillé toi Annabelle fait les meilleurs petits déjeuner de Paris.

Moi : tu n'a pas de vêtements ?

Sergio : si prend dans mon armoire.

Il se lève et je l'imite. Je prend un maillot et un jean puis descend le rejoindre. Je vois mon ami attablé et m'approche de lui.

Moi : salut Liza.

Bixente : Didier putain tu m'a fait peur. Quand j'me suis réveiller t'était plus la.

Moi : j'ai dormi avec Sergio.

Annabelle : voici le petit déjeuner. Bonjour Didier c'est ça ?

Moi : oui c'est ça et vous c'est Annabelle la nourrice de Sergio.

Annabelle : nourrice a son age.

Sergio : c'est vrai que tu est ma nourrice a n'importe quelle age.

Annabelle : bon manger vous devez reprendre des forces.

Je me jeté sur les tartines sous les rires de Sergio et Bixente.

Sergio : tu sais ou est parti Alexender après avoir annoncer ma fausse mort ?

Annabelle : non hélas. Il a pris tout les dossiers de ton père et il est parti avec tout les hommes me laissant seule pour m'occuper des funérailles.

Moi : cet Alexender c'est lui qui a voulu nous tuer ?

Sergio : oui.

Bixente : mais pourquoi ?

Sergio : pour prendre ma place en tant que Mystérieux.

Annabelle : attendez il as aussi dit que tout devait être prêt pour demain soir avant de partir.

Bixente : donc se soir. Mais il y a quoi de spécial se soir.

Sergio : oh putain.

Je me tourne vers lui sans comprendre.

Moi : quesquil y a mon amour?

Sergio : je sais sur quelle dossier ils étaient. Le braquage du stade de France.

Moi et Bixente : le braquage du stade de France ?!

Sergio : oui. D'important personnalité doivent se rendre au stade pour assister au match et procéder à la vente de diamant. Imaginer le fric que sa vaut.

Bixente : un peut près 1 milliard d'euro.

Moi : bon on doit retourner à l'hôtel. Je doit reprendre une tenu pour être prêt pour se soir. Tu veux bien nous rendre nos armes chéri ?

Sergio : je sais pas... Vous allez faire quoi de moi après ?

Moi : le Mystèrieux et Alexander. Toi tu est notre allié. Tu ne sera pas inquiété.

Bixente : Didier a raison. Fait nous confiance.

Sergio : j'ai confiance en Didier. Alors on rentre à l'hôtel et je vous les rendrais la bas.

Nous terminons le petits déjeuner puis sortont.

Sergio : je reviens demain t'aider à organisé les funérailles.

Annabelle : ne t'occupe pas de ça d'accord ? Prend soin de ton petit ami. Il a quand même perdu l'ouï de son oreille droite. Et fait attention à toi.

Sergio : ne t'inquiète pas je reviendrai en un seul morceau.

Il lui fait la bise et monte à l'arrière.

Moi : Footix ramené nous à l'hôtel.

Footix : bien messieurs deschamps et heureuse de vous entendre.

Moi : merci Footix.

Sergio : fais gaffe bb je pourrais être jaloux.

Moi : jaloux d'un robot ? Mon cœur tu est mille fois plus beau et intelligent.

Il sourit et nous rentrons à l'hôtel par la porte des cuisines. Je me dirige vers le hall suivi de bixente et Sergio, où tout le monde semble réuni est en panique.

Moi : quesquil se passe ici ?

Tous se tourne vers moi.

Eux : coach ! Vous allez bien ?

Moi : oui mais quesquil se passe?

Hugo : Antoine et Grégoire ont disparu.

Je le regarde les yeux exorbite et Bixente se pointe à mes côtés.

Bixente : comment ça?

Frédéric : je les eu au téléphone hier soir ou il m'a dit que Sergio vous avez agressé et t'avais emmener avec lui. Comme je n'étais pas sur Paris je ne suis pas aller le chercher. Mais quand j'ai était se matin a votre appartement tout était retourné et votre porte était defoncer.

Moi : et antoine?

Hugo : on a dormi ensemble cet nuit même s'il n'a pas dormi trop inquiet pour vous. Et il est sorti se matin pour prendre l'air et n'est pas revenu.

Frédéric : et on vient de trouver un mot pour vous deux d'un certain messieur V.

Moi : montre.

Il me tend une feuille de papier chiffonner.

Moi :" je vous avez prévenu que si vous abandonniez votre mission les personnes à qui vous teniez le plus auront des ennuis. Maintenant si vous tenez tant à les revoirs trouver ce Mystèrieux et abattez le. Messieurs V". Il a mis sa menace à exécution Bixente...

Bixente : putain!!

Sergio : attend bb ta bien dit messieur V ?

Moi : oui pourquoi ?

Sergio : c'est un de tuyau et plus grand collaborateur dans la police française.

Bixente : attend tu est entrain de nous dire que notre patron est un pourris ?

Sergio : oui.

Je souffle et ferme les yeux. Je rassemble chaque pièce du puzzle et tout ramène à une chose : les diamants.

Moi : tout concorde. Ils nous a recontacte pour qu'on démasqué Sergio et qu'ils nous tuent. Ensuite Sergio devait étudier tout le stade de France pour voir où seront placé les diamants. Puis ils l'aurai tuer en fessant passer ça pour un accident. Ensuite Alexender et les autres braquer le stade et messieurs V empocher tout en les arrêtent et en fessant croire qu'il avait disparu.

Sergio : et a lui les 1 milliards d'euro en diamant.

Frédéric : ok mais et Greg et anto dans tout ça ?

Moi : c'est pour nous force à tuer Sergio. Hier soir ils ont rater leur coup. On va devoir la jouer serré.

Paul : et comment coach ?

Moi : c'est vous qui allons braquer le stade ?

Eux : nous.

Sergio : bb tu délire?

Moi : pas du tout. Comme ça bixente et moi on trouve messieurs v et on libère Antoine et Grégoire.

Gérard, Hugo et Frédéric s'avance.

Hugo : on vous écoute coach.

Moi : ok alors voici le plan.

Le soir même

Pdv Sergio

Je descend du bus et le rend dans les vestiaires suivi de mes coéquipiers. Je le déshabille puis met mon arme et mes couteau contre ma peau. Je regarde Gérard après avoir mis mon maillot et on sort. On rejoint frex et hugo au bout du couloir.

Moi : tout est prêt ?

Frédéric : oui. Les lumières du stade sneteindront à 20h30 précise. On aura 5 minute pour prendre les diamants et les cacher dans les glacières de l'équipe de France.

Gérard : et Bixente et Didier sont en place ?

Hugo : ils ont repérer leur patron dans les tribunes. Ils pensent que Antoine et greg sont enfermé quelque part dans le stade.

Moi : mais où c'est une bonne question. Bon venez il est 20h25.

Nous montons les marches jusqu'au tribune réservé pour les grandes célébrité. Je repère vite la malette. A 20h30 toute les lumières de stade s'éteigne et je met les lunettes à freins rouge. Comme les amis.

Je cours récupéré la malette et on se dépêche de redescendre jusqu'au vestiaire des bleus ou je cache la malette dans une des glacière au moment où les lumières se rallument.

Hugo : ouf bien joué les gars.

Moi : je rejoins Didier et Bixente. Fred je compte sur toi pour retarder le coup d'envoi.

Frédéric : ça va pas être simple.

Gérard : t'inquiète on a eu une idée avec Paul. On va simuler une bagarre sur le terrain.

Moi : génial. A toute à l'heure.

Je sors des vestiaires et court rejoindre mon compagnon et son coéquipiers dans les gradins tout en haut du stade.

Moi : alors ?

Ils sur sautent se qui me fait rire.

Didier : tu m'a fait peur bb. Et pour le moment rien.

Bixente : si messieur v vient d'être informer du vol des diamants. Regarde.

En effet il se lève furieux. On se lève aussi et nous le suivont dans le parking souterrain du stade.

Il s'approche d'un van noire ou 4 colloses monté la garde. Les deux amis chargé leurs bracelets paralysant.

Messieur v : comment ça les diamants ont disparu ?!!

Alexender : on les aurait voler pendant la coupure de courant.

Messieurs v : mais qui les as voler ?!!

Moi : moi !

Je sors de ma cachette et tous braquent leurs armes sur moi.

Moi : molo rapido. Je les ai pas sur moi bien sûr. Tu penser me doubler Alexender et ben c'est rater.

Alexender : ou sont les diamants Sergio. Dit le nous et tu aura la vie sauvé.

Moi : je m'en fout de ma vie. Je vous dit où ils sont si vous libéré Antoine Griezmann et Grégoire Margotton sur le champs.

Messieurs v : pourquoi on ferai ça ?

Moi : pour rendre hommage à vous deux meilleurs éléments disparus tragiquement hier soir dans l'accident de voiture.

Messieur v : aller chercher les deux otages.

Deux colloses ouvre le fourgons et en sortent Antoine et Grégoire les mains liées derrière leurs dos. Je sais que bixente et Didier se mettent en place à se moment là.

Antoine : Sergio !! Ou est mon père ?

Moi : je suis désolé Antoine et Greg mais... C'est fils de pute on essaie de me tuer alors que sortait du parking avec Didier et Bixente. Et il m'ont canarder. Ils n'ont pas survécu.

Grégoire : quoi ?!! Non c'est impossible...

Messieurs v : c'est bien beau mais maintenant où sont les diamants ?

Antoine : c'est de votre faute si mon père est mort ! Vous l'avez tuer !!

Messieur : petit ce n'était pas ton vrai père.

Antoine : et alors ?! Je l'aimais comme mon père biologique ! Il allait être grand père !

Il le sera Antoine t'inquiète pas. Les deux amis sortent de leur cachette et paralysent 2 colosse et s'approche de des deux autres.

Alexender: ou sont les diamants Sergio.

Moi : vous voulez vraiment savoir. Et ben regardez derrière vous.

Ils se retournent et les deux amis paralyse les deux autres gars. Je sors mon flingue et tire dans la jambe d'Alexander. Messieurs v prend Antoine et colle le canon de son pistolet sur sa tempe.

Antoine : papa !!

Didier : bouge pas trésors ! Lâcher le tout de suite !

Messieurs v : les diamants contre sa vie !

OK c'est à moi de joué. Je sors un de mes couteau et l'envoi sur sa main qui tien le révolver. Il hurle de douleur et le lâche. Je court pout le récupère et le pointe sur lui.

Moi : plus un geste !

Antoine : papa !

Il court dans les bras de Didier et Bixente détaché son journaliste.

Didier : chut mon ange c'est fini je suis là.

Antoine : j'ai cru que tu étais mort.

Didier : je suis là bien vivant et tu n'a plus rien à craindre.

Bixente : ça va mon cœur?

Grégoire : putain le fait plus jamais cette peur là chéri.

Bixente : promis mon amour. On en a fini avec tout ça.

Moi : définitivement. Il ne vous emmerder a plus. Bon footix tu peux prévenir les autorités s'il te plaît.

Footix : tout de suite messieurs Ramos.

Moi : ligotons les et mettons les dans leurs fourgons. On n'a des diamants à redonner et un match à jouer.

Ils me sourient et m'aident. On rejoint ensuite le reste de l'équipe pour jouer se match très spéciale.

24 décembre 2022

Pdv Didier

Je termine de mettre la table avec Annabelle quand une voiture se gare.

Annabelle : ah Sergio est rentré de son entraînement.

Je cours à l'entrée et lui saute dessus pour l'embrasser passionnément.

Sergio : on dirait que je t'es manqué.

Moi : terriblement mon cœur. Alors des nouvelles.

Sergio : tous incarcéré à vie. On est tranquille. Quand hugo et antoine arrivent il ?

Moi : dans 2 h. Annabelle doit aller les chercher à l'aéroport. J'ai hâte de rencontre mon petit fils.

Annabelle : d'ailleurs j'y vais. Oh faites attention les enfants le rôtie et dans le four. Donc faites attention à se qu'il ne brûle pas.

Sergio : oui Anna.

Annabelle : et bien a toute à l'heure les tourteraus.

Elle sort et directement Sergio me saute dessus et commence à de bouton et ma chemise .

Moi : bb.

Sergio : on a deux heures devant nous voir même 1 h avant que bixente et Greg se ramène.

Moi : tu n'est pas possible.

Il me pousse dans le salon ou on copulle tranquillement jusqu'à se qu'un portail s'ouvre et deux personnes habiller assez bizarrement en sortent.

Moi : Sergio...

Sergio : quoi... Oh putain! Fait pas vous gêner et vous êtes qui ?!!

On se cache comme l'on peut.

... : excusez moi je suis Steven Strange et voici Wong. Nous cherchons un certain Didier Deschamps et Bixente Lizarazu.

Moi : pourquoi vous voulez les voir ?

Wong : l'univers court un grâce danger.

Sergio : ben... Didier vous l'avez sous moi et Bixente va pas tarder à arriver.

Moi : oui mais je suis à la retraite donc désolé.

Strange : vous êtes bien un Black Windower ?

Moi : était. J'ai arrêté y a quelque mois pour mon beau étalons qu'est Sergio.

Sergio : merci bb. Bon ben désolé.

Wong : si vous changez d'avis appeler nous.

Il me tend une carte que Sergio prend puis il disparaissent.

Moi : dit c'était bien des Avengers ?

Sergio : ouai bb. Bon on en était où ?

Moi : mais attend l'univers cours un danger.

Sergio : bon on en parlera à bixente.

Moi : yes. On peut continuer.

On termine notre petite affaire puis nous attendons les autres. Je regarde cette carte. Si les Avengers nous on approcher ça veut dire... Qu'ils nous veulent dans leurs équipes.

Didier Deschamps et Bixente Lizarazu avengers? Pourquoi pas.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top