Os 107 : " Drame" Bixente Lizarazu X Hugo Lloris#2

Pdv bixente

Nous arrivons à Clairefontaine avec tout l'équipe de Telefoot. Je souris. C'est aujourd'hui que l'on annonce à tout le monde ma grossesses et nos fiançailles.

Les techniciens préparent le plateau et j'en profite pour envoyer un message à Hugo pour lui dire que je suis bien arrivé. Il m'envoie un baiser et qu'il as hâte de nous voire moi et notre petite crevette.

Je sourit et je sens les regards de mes amis sur moi. Depuis que je suis arrivé ils doivent se demander se que j'ai à sourire comme un con. Je pose ma main sur mon petit ventre qui s'arrondit légèrement de mes 3 mois de grossesse.

Didier arrive en tenant la main d'Antoine et en souriant. Ils sont rayonnant. Nous serons sûrement comme ça après notre mariage. Mon meilleur ami me prend dans ses bras et me sourit.

Moi : comment ça va mon dd ?

Didier : très bien et je vois que toi aussi. Je ne t'es jamais vu si souriant.

Grégoire : depuis se matin il a se sourire coller au lèvres depuis se matin. Va savoir pourquoi.

Didier : tu cache quelque chose toi.

Moi : peut être.

Thomas : dit nous.

Moi : non.

Antoine : un caractère de Basque. C'est terrible.

Didier : dis donc je suis Basque aussi.

Antoine : oui mais toi bb ton caractère je vis avec parce qu'il fait parti de toi. Et que je l'adore.

Il l'embrasse et ça me fait rire. L'heure du direct arrive et Didier s'installe à coter de moi. La première partie se déroule sans across puis vient la pub.

Alors que Didier aller se lever pour laisser place à l'un de ses joueurs, mon fiancé arrive en souriant et vient m'embrasser tendrement.

Hugo : hello sweetheart. Tu M'a manquer.

Moi : on c'est vu hier chéri.

Hugo : peut être mais j'aime t'avoir contre moi.

Didier : je vous laisse.

Moi : non reste. On doit vous annoncer quelque chose de très important.

Tous nous regardent et avec Hugo on sourit. Il pose une de ses mains sur mon petit ventre. Il adore faire ça.

Moi : voilà Greg bientôt je ne pourrais plus être consultant sur cette émission ainsi que commenter les matchs de mars avec toi.

Grégoire : mais pourquoi ?

Je regard Hugo en souriant qui me fait un signe de tête.

Moi : je suis enceint de 3 mois.

Thomas : jure ???

Hugo : oui il est enceint de 3 mois.

Didier : oh mon Liza je suis heureux pour toi !

Lui et tout mes amis me prennent dans leur bras se qui fait rire Hugo.

Moi : merci mais ce n'est pas tout.

Je leur montre ma main où se trouve ma bague de fiançaille.

Frédéric : non... Tu...

Moi : oui je vais me marier.

Didier : mon Liza c'est merveilleux. Un enfant et un mariage.

Moi : je suis sur un petit nuage.

Hugo : bien sur vous êtes tous invités.

Thomas : on l'espère.

Grégoire : pour fêter ça Hugo reste à coter de bixente.

Didier : et vous resterez manger avec nous.

Il se lève pour laisser sa place à Hugo qui prend mes mains et m'embrasse à plusieurs reprises heureux comme tout.

2 semaines plus tard

Je viens de rentrer de mon petit séjour à Madrid où j'ai eu rendez vous pour le bébé en même temps que Didier.

Le fait qu'il est accoucher il y a plus de 20 ans sans rien se rappeler me fait mal à cœur. Quand je les ramener chez Antoine ce n'était pas le même Didier que j'avais en face de moi 1h plus tôt.

Je pose mon sac dans l'entrée et sort le petit paquet que j'ai acheté la bas. Je monte à l'étage ou Hugo se trouve. J'entre dans notre chambre et le voit entrain de monter un berceau.

Moi : tu sais il ne sera pas là avant 6 mois.

Il sursaute ce qui me fait rire. Il sourit se lève vient m'embrasser et me serrées contre lui.

Hugo : comment vont mon future mari et ma petite crevette ?

Moi : très bien. D'ailleurs regarde se que j'ai trouver dans une boutique à Madrid.

Je lui tend le paquet qu'il prend et l'ouvre. Il sort le petit body blanc au couleur de Tottenham.

Moi : je les trouvé dans une boutique à Madrid.

Hugo : il est trop chou bb. Merci.

Il m'embrasse et je regarde le berceau.

Moi : je n'arrive toujours pas à y croire.

Hugo : moi non plus amour. Comment va Didier ?

Moi : mal... Heureusement il peut compter sur Antoine.

Hugo : oh que oui. Bon j'essaie d'appeler marine. Elle doit me ramener les filles cette semaine.

Moi : cool.

Je regarde le petit berceau et mon compagnon revient en soufflant dans la chambre.

Hugo : encore sur messagerie.

Moi : ne t'en fais pas bb elle a sûrement oublier son téléphone chez elle est elle est en route pour la maison.

Hugo : tu as surement raison comme toujours.

Il m'embrasse et me pousse doucement sur notre lit. Il me regarde droit dans les yeux et m'embrasse dans le cou.

Hugo : je t'aime.

Moi : moi aussi je t'aime.

Hugo : dit le moi en Basque.

Moi : Nik ere maite zaitut.

Hugo : j'adore tentendre parler avec ton accent Nire bihotza.

Moi : oh pas mal tu t'améliore. Il ne te manque que l'accent.

On rigole quand son téléphone sonne. Il grogne, le prend et decroche.

Hugo : allo marine... Anna rose c'est toi ?!... Ma puce calme toi pourquoi es ce que tu pleure ?... Quoi?!! Martin a frappé ta mère... On arrive va te cacher avec gui !

Il raccroche et saute mettre ses chaussures.

Moi : quesquil y a?

Hugo : Martin s'en prend violemment à mâtiné devant les filles ! Il la frappe et les menace avec un couteau si elles veulent sortir !

Moi : on doit aller les sauver !

Hugo : je suis d'accord. Aller vient !

On court dans la voiture et mon compagnon qui démarre en trombe. Il conduit au dessus de la limite autorisée mais c'est pour la bonne cause.

Nous arrivons devant l'immeuble de l'ex compagne d'hugo et nous rentrons en courant. Il se jeté sur la sonnette et frappe à la porte. On entend les cries des filles et les hurlement de rage de l'autre taré.

Hugo : écarte toi bb je vais enfoncer la porte.

Je m'exécute et il foncé dabs la porte qui céde. Directement les filles court vers nous poursuivi par se fou. Hugo se jete sur lui pour l'éloigner des filles et je les prend dans mes bras.

Moi : c'est fini mes chéries on est là.

Anna rose : papa Liza... Il a frappé maman... Elle est par terre dans le salon.

Moi : ok. Anna prend mon portable et appelle les policier. Et tu emmène ta petite sœur avec toi dehors dans la voiture.

Anna rose : oui papa liza.

Elle prend la main de la plus petites et elles sortent. Je me dirige vers le salon où je vois Marine allongé au sol les yeux clos.

Je cours vers elle et la secoue. Aucune réaction. Je prend son pouls et je ne sens rien. Je m'apprête à sauter sur son téléphone exploser au sol quand hugo se fait éjecter dans le couloir et que se fou me lance un regard glaçant.

Martin : ÉLOIGNE TOI D'ELLE SALE TARLOUZE !!

Il sort son couteau et court vers moi. Heureusement Hugo le plaque au sol et ils se battent. Maxime prend le dessus reprend son couteau et s'apprête à poignardé hugo.

Moi : HUGO !!

Sans réfléchir je m'interpose entre eux et c'est moi qui reçoit le coup en plein ventre.

Hugo : BIXENTE !! NON !!

Mes jambes lâchent et je m'écroule au sol. Hugo se précipité sur moi en pleurs. Je respire de plus en plus vite.

Hugo : bixente... Bb.. Reste avec moi...

Moi : Hugo...

Hugo : chut....ne parle pas garde tes forces. Je vais appeler les secours. Reste avec moi. Putain ou j'ai mis mon téléphone.

Il cherche son téléphone et je sent mes yeux se fermer tout seul. Hugo revient vers moi et me prend le visage entre ses mains.

Hugo : non ne ferme pas les yeux je t'en supplie bixente ne ferme pas les yeux. Reste avec moi j'ai besoin de toi. Bixente....

Sa voix devient un écho jusqu'à se que je ferme les yeux.

Pdv Hugo

Je suis le brencard où se trouve mon fiancé. Il as perdu connaissance dans mes bras et ne c'est toujours pas réveillé. Tout comme marine qui est arrivée quelque inure plus tot.

Nous franchissons une énième porte sauf que l'on me bloque le passage Sois disant que je n'est pas le droit que c'est interdit au public. Les infirmieres me conduisent dans la salle d'attente. Je m'assois et me mord la lèvre.

Putain j'aurais du appeler les flics avant d'aller chez elle et comme ça bixente ne se serait pas pris ce coup à ma place. Deux personnes entre dans la salle et je froncé des sourcils.

Moi : Greg Fred quesque vous faites la ?

Frédéric : on était entrain de faire un reportage sur Londres avec harry quand tu la appeler pour qu'il prenne les filles. Comment il va ?

Moi : je sais pas. On m'a dit d'attendre ici. Putain je vous jure que j'ai était con de pas avoir appelé les flics. Ça ne serait pas arrivé.

Grégoire : peut être maus il y avait les filles Hugo. Elles était en danger. Il ne reste plus que à attendre est prie.

Frédéric : tu as prévenu Didier et les autres ?

Moi : non je... J'y ai pas pensé.

Grégoire : on va le faire ne t'en fait pas.

Les deux journalistes préviennent Didier et les autres quand je reçoit un coup de fils des flics me disent qu'ils n'ont pas pu arrêter se fils de pute. Putain il est en liberté alors qu'il a frappé mon ex femme et poignarde mon future mari.

Nous attendons tout les 3 pendant se qui me semble des heures quand enfin un médecin se dirige vers nous. Je me lève d'un bond.

Médecin : vous êtes de la famille de madame rivera ?

Moi : oui je suis son ex mari. Comment elle va ?

Médecin : messieur Lloris votre ex compagne n'a pas survécu à ses blessures. Quand nous sommes arrivés elle était déjà morte.

Je m'assois et prend ma tête dans mes mains. La mère de mes deux petites filles et morte... Comment je vais leur annoncer ça.

Moi : et Bixente. Dites moi que lui et le bébé vont bien.

Médecin : messieur Lizarazu va très bien. Il va s'en remettre facilement. En se qui concerne votre bébé messieurs il a reçu le coup et n'a pas lui aussi survécu.

Des larmes se mettent à couler le longs de mes joues.

Moi : vous voulez dire que... Qu'il a perdu le bébé...

Médecin : hélas oui. Le coup lui a était fatal.

Moi : mon dieu dites moi que c'est un cauchemar et que je vais me réveiller.

Médecin : je suis sincèrement désolé messieurs Lloris mais nous avons fait tout notre possible. La chambre de votre fiancé se trouve au bout du couloir à gauche. Il ne devrait pas tarder à se réveiller.

Frédéric : merci. Aller viens il aura besoin de toi à son réveil.

Je me relève tant bien que mal et suit les journalistes jusqu'à la chambre indiquée. Nous entrons et je le vois allongé qui semble dormir paisiblement. Mon dieu a son réveil il va être dévasté.

Je m'assois près de lui et lui prend la main gauche que je caresse doucement en laissant mes larmes couler en silence. Nos deux amis s'assoient et me regardent.

Moi : comment je vais lui dire.... Il se fessait une joie d'enfin avoir un enfant....

Grégoire : je sais que ça ne sera pas facile hugo mais dit lui calmement.

Moi : aujourd'hui j'avais déjà commencé à faire la chambre. Je venais de monter un petit berceau et lui d'acheter un body.... Putain l'autre si je le trouve je l'éventre.

Frédéric : et par contre tu te calme sur tes envies de meurtre. Ta deux filles et un mari je te rappelle.

Moi : futur mari....

Frédéric : c'est la même chose. Je crois pas que bixente ai envi d'aller te voir en prison avec tes filles toutes les semaines pendant 20 ou 30 ans.

Bixente : qui ira en prison ?...

On tourne tous nos regard vers mon compagnons qui a ouvert doucement ses yeux.

Moi : bixente... Bb comment tu te sens ?

Bixente : gazé mais ça va... Qui ira en prison ?

Moi : personne bb ne t'en fais pas.

Bixente : Hugo pourquoi tu as les yeux rouges et que tu est triste ?

Je me mord la lèvre inférieure et je sens de nouvelle larmes monté aux coins des yeux.

Moi : bb je dois t'annoncer quelque chose et ça ne va pas être facile à entendre.

Bixente : c'est Marine... C'est ça... Elle est morte.... Je suis désolé mon cœur...

Moi : oui mais chéri il y a autre chose.

Bixente : quoi ? Je ne pourrais plus marché ou...

Moi : ça concerne le bébé.

Je le regard droit dans les yeux et sert fort sa main. Je le sent se tendre est des larmes se forment aux coins de ses yeux.

Bixente : non... Hugo non... S'il te plaît non.... Ne me dit pas que...

Moi : on as perdu se petit bébé chéri. Je suis désolé.

Il me regard avec ses larmes qui dévale ses si jolies joues et tourne sa tête vers ses deux amis.

Bixente : Greg Fred non... Dites lui que....

Grégoire : on était là Liza quand il l'a annoncé à hugo.

Frédéric : on est sincèrement désolé pour toi bixente.

Il baisse les yeux puis nous regarde tout les 3 sévèrement.

Bixente : vous mentez....

Moi : bb....

Bixente : VOUS MENTEZ !! JE SUIS TOUJOURS ENCEINT !! JE N'EST PAS PERDU CE BÉBÉ !!

Il lâche ma main et je veux le prendre dans mes bras mais il me repoussé violemment.

Moi : bb calme toi...

Bixente : TU MENT HUGO ! JE N'EST PAS PERDU CE BÉBÉ !! JE NE VEUX PAS QUE...

Et il éclaté en sanglots. Je veux le reprendre dans mes bras mais il me repoussé en hurlant. Ce crie me brise le cœur. C'est celui d'une mère qui vient de perdre son enfant.

Le médecin de toute à l'heure rentre avec deux infirmières et se jeté sur lui. Je veux les séparer mais Grégoire me retien par la taille.

Moi : lâche moi!

Grégoire : ils ne lui veulent aucun mal hugo ! Juste l'endormir.

Et en effet le médecin injecté un produit dans le bras de mon compagnon que l'une des deux infirmières retient et il s'endort rapidement.

Je me défait de l'emprise de Greg pour courir vers bixente en pleurant. Je caresse son visage et lui embrasse la joue.

Moi : ça va aller mon cœur... Ça va aller je suis là...

Je m'allonge à coter de lui alors que les infirmières et le médecin sortent. Pendant des heures je regarde Bixente dormir contre moi et laissant mes larmes couler.

Au petit matin Frédéric et Grégoire qui ont dormir sur les sieges a coter se réveille et se dernier sort cherchez des cafés. Mon Basque dort coller contre moi avec une mine triste sur le visage.

Frédéric : tu devrais rentre chez toi Hugo.

Moi : pourquoi faire.

Frédéric : tu doit te reposer et Anna et gui on besoin de toi.

Moi : bixente aussi a besoin de moi.

Grégoire : et de nous.

Il entre suivi par Didier, qui tien la main à Antoine, de zinedine, de Christophe Dugarry, de Fran le bœuf, de Marcel Desailly et de aimé Jacquet.

Grégoire : Thomas et Marine arriveront vers la fins de soirée chez toi. Je viens de croisé le médecin. Il pourra sortir se soir.

Moi : merci.

Frédéric : maintenant tu te lève je te raccompagne chez toi. Et il n'y a pas de mais. Il est bien entouré.

Je sourit légèrement, me lève et embrasse une dernière fois Liza. Je salut tout le monde qui me sourient puis je pars avec Fred.

Pdv bixente

J'ouvre mes yeux et je pense voir Hugo à mes côté mais je suis surpris de voir certains de mes anciens coéquipiers et mon sélectionneur.

Moi : où est Hugo?...

Frank : Fred le ramène chez lui.

Marcel : il n'a pas dormi de la nuit préférant veiller sur toi.

Je sourit un petit peu mais le perd rapidement. Didier lâche la main de son mari et s'assoit prêt de moi. Je lui prend la main et il me l'a sert.

Moi : je...

Didier : chut ne dis rien... Je sais combien ça fait mal mon Liza...

Moi : tu n'a pas perdu ton bébé toi...

Didier : non mais c'est comme si.... Je ne me souviens même pas de lui...

Aimé s'approche de moi et pose sa main sur mon épaule.

Aimé : il te faudra du courage pour te relever de cette épreuve. Mais tu y arrivera.

Moi : coach.... C'est pire qu'une simple blessure avant une coupe du monde. J'ai perdu mon bébé et je ne pourrais pas en avoir d'autre.

Zinedine : et pourquoi donc ? Le médecin ne t'a pas dit que tu étais devenu stérile !!

Christophe : exactement donc tu pourra en avoir d'autre.

Marcel : on sait que ça fait mal la perte d'un enfant ma première lame mais il faut savoir avancer. Et tu avancera avec Hugo et vos deux petites filles.

Je sourit un peu plus puis regarde de nouveau Didier qui n'a rien dit.

Moi : c'est gentil de vouloir me remonter le moral les amies mais vous ne savez pas ce que ça fait d'attendre un enfant, de préparer sa venu avec la personne que vous aimez et de le perdre !

Didier : et vous ne savez pas ce que ça fait de vivre dans le dénis ! De ne pas savoir se qu'on a fait de son enfant 26 ans plutôt !

Antoine : chaton calme toi...

Didier : non. Je comprend la douleur de Bixente ! J'ai aussi perdu mon bébé Antoine !

Des larmes commence à couler le longs de ses joues. Je me relève et lui saute au cou en pleurant. On se calme tout les deux très vite. Il me sourit.

Didier : ça va aller mon Liza... Je serai là pour toi.

Moi : et moi pour toi.... Ton enfant tu va le retrouver j'en suis sur.

Médecin : messieurs Lizarazu!!

Il entre en trombe et essoufflée dans la chambre.

Moi : oui ?

Médecin : oh messieurs Lizarazu je suis tellement confus... J'ai commis une erreur ! Vous êtes toujours enceint !

Moi : comment ça?!

Médecin : vous attendiez des jumeaux ! Seul l'un d'eux et mort ! L'autre est en parfaite santé !

Des larmes de joie coulent toute seule.

Moi : c'est vrai?!!!

Médecin : oui messieurs Lizarazu. Vous attendiez un garçons et une filles. C'est la petite fille qui n'a pas survécu.

Didier : et vous êtes sur que le bébé va bien ?

Médecin : oui. Il a était protéger du coup par l'autre. Par contre le placenta et très fragile. Je vous recommande un maximum de repos.

Grégoire : donc je t'interdis de venir sur le plateau jusqu'à ton accouchement.

Didier : et moi je ne veux pas te voir aux match de mars ou sinon.

Moi : j'ai compris ne vous en faite pas.

Médecin : bien vous pouvez sortir.

Moi : merci.

Il sort et mes amis m'aident a me relever. Je m'habille et nous rentrons chez moi. Arrivé Thomas et marine me font un câlin et les filles courent vers moi.

Moi : mes princesse

Anna rose : ont est désolées le bébé papa Liza.

Giuliana : mais on voulait pas te perdre comme maman.

Moi : mes chéries je suis désolée pour votre maman.... J'aurai tellement aimé la sauver. Mais vous aurez quand même un petit frère à chérir dans quelque mois. Je suis toujours enceint.

Giuliana : c'est vrai?!

Moi : oui est c'est un petit garçon.

Anna rose : papa Liza on est contente pour toi.

Moi : merci mes amours. Ou est votre père ?

Frédéric : il c'est enfermer dans votre chambre.

Moi : je reviens mes trésors.

Je monte dans notre chambre et ouvre doucement la porte. Hugo est assis en face du berceau est semble pleurer.

Je m'assois à coter de lui et lui prend la main. Il relève sa tête vers moi et me sourit doucement. Il me prend dans ses bras.

Hugo : je pensais le donner à une association.

Moi : c'est une bonne idée mais attend un peut avant de le donner.

Hugo : pourquoi ? On va pas garder un berceau pour un bébé fantôme !

Moi: est calme toi.

Hugo : pardonne moi bixente mais... Ça m'a fait mal de te voir hurler comme tu l'a fait hier.

Moi : je comprends mais bb j'ai une nouvelle a t'annoncer et tu ne vas pas en croire tes oreilles.

Hugo : je t'écoute.

Je pose ses mains sur mon ventre et sourit.

Moi : le médecin et passer toute à l'heure et il m'a annoncé que j'étais toujours enceint parce que j'attendais des jumeaux et que seul l'un des deux et mort.

Hugo : toujours enceint ?... Bb c'est vrai !

Moi : oui !

Hugo : et ce petit bébé il va bien ?

Moi : très bien. Ce petit bonhomme est en parfaite santé.

Hugo : petit bonhomme... C'est un garçon ?!!

Moi : ouii !!!

Il se lève me prend dans ses bras et me fait tourner. Je rigole et il m'embrasse.

Hugo : un petit garçon...

Moi : oui un garçon. Et le bébé que j'ai perdu c'était une fille. Par contre le placenta et fragile donc....

Hugo : il te faut du repos. Donc allongé toi et

Moi : je resterez assis ne t'en fais pas.

Hugo : viens la messieur Lloris.

Il me prend dans ses bras et nous regardons le berceau.

Hugo : marine aurait était heureuse pour toi. J'espère qu'on retrouvera se fdp.

Moi : ne t'en fais pas. Quand sera l'enterrement ?

Hugo : la semaine prochaine à Nice. Si tu veux venir je veux que tu te repose un max.

Moi : c'est ce que je comptais faire.

On colle nos front ensemble et on s'embrasse. Très vite les filles nous rejoignent et je porte la plus petite qui se sert contre moi. On reste ainsi en famille pour se soutenir.

End

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