Madaramonmari_

Point de vue extérieure :

Douma et Muzan, ivres et perdus dans leur désir, se laissent emporter par l'excitation de la foule autour d'eux. Ils se poussent contre le mur du placard, leurs corps se pressent l'un contre. Leurs lèvres se rencontrent dans un baiser fougueux, leurs langues s'entremêlent avec une intensité dévorante. Les mains de Douma explorent le corps de Muzan, tandis que Muzan gémit de plaisir, ses doigts se perdent dans les cheveux de Douma. La musique bruyante et les cris de la fête semblent s'estomper à mesure que leur passion s'intensifie.

Douma et Muzan, toujours enivrés par l'alcool et la fougue de la fête, se laissent emporter par leur pulsions. Ils se détachent du mur du placard et se dirigent vers un endroit plus intime, à l'abri des regards curieux. Leurs mains se cherchent, se caressent avec une urgence palpable. Douma pousse Muzan contre un canapé, leurs vêtements se froissent sous les assauts passionnés. Les baisers se font plus profonds, plus voraces, leurs souffles s'entremêlent dans un rythme effréné. Ils se dévorent mutuellement, perdus dans une transe sensuelle où le monde extérieur n'a plus aucune importance. Les gémissements de plaisir résonnent dans la pièce, mêlés aux sons de la fête qui continue de battre son plein à l'extérieur. Ils se laissent aller à leurs pulsions les plus primales.

Douma et Muzan, dévorés par leur désir, se débarrassent de leurs vêtements sans se soucier de l'endroit où ils se trouvent. Ils se retrouvent dans la chambre de l'hôte de la fête, prêts à assouvir leurs pulsions les plus intenses. Douma, cherchant des moyens de satisfaire Muzan, trouve du lubrifiant parmi les affaires. Muzan, impatient et avide, demande à Douma de le pénétrer sans préparation. Douma se lubrifie rapidement la bite, puis pénètre Muzan avec brutalité. Les gémissements de plaisir et les soupirs de désir remplissent la pièce, tandis que leurs corps s'unissent.

Les coups de reins de Douma s'abattent sur Muzan avec une force brute, pénétrant profondément en lui. Les sons de leurs corps se heurtant résonnent dans la pièce, mêlés aux gémissements de plaisir qui s'échappent de leurs lèvres. Chaque impact est marqué par une intensité dévorante, chaque claquement amplifiant leur excitation mutuelle. Ils se laissent emporter par la frénésie de leurs mouvements, perdus dans une transe de plaisir où le temps semble s'arrêter. Leurs corps se fondent l'un dans l'autre, fusionnant dans une symphonie de désir et de satisfaction. se fondent l'un dans l'autre, fusionnant.

Douma continue de donner des va-et-vient, enfonçant sa bite profondément en Muzan, les deux hommes se perdant dans une frénésie de plaisir. Les gémissements de Muzan se font de plus en plus intenses, signe qu'il approche de l'extase. Douma accélère ses mouvements, cherchant à le faire jouir. Finalement, Muzan atteint son point de non-retour, son corps se raidissant alors qu'il jouit violemment. Douma, ne pouvant plus se retenir, se laisse aller à son propre orgasme, remplissant Muzan de son sperme chaud et épais. Les deux hommes s'effondrent, épuisés mais comblés, dans un mélange de sueur et de satisfaction.

Fin.