Doyoung x Yangyang

Assit sur un banc dans un parc, Yangyang observait avec attention Doyoung qui se trouvait à côté de lui. Son petit-ami était entrain de lui expliquer plus en détails sa passion pour la cuisine, bougeant les bras dans tous les sens pour mimer ses paroles. Le châtain ne comprenait pas vraiment toutes les techniques et autres anecdotes de son amant mais ce n'était pas grave, le plus important pour lui étant de voir l'homme de sa vie heureux et pleins de vie. 

Le noiraud et lui étaient en couple depuis presque deux ans. Deux longues années de bonheur même si cela avait été un peu compliqué entre eux au début entre leurs différences de parcours et la dernière rupture très douloureuse du plus vieux. Yangyang avait dût prouver qu'il l'aimait réellement et l'avait ramassé à la petite cuillère plusieurs fois, il avait été blessé mais maintenant tout allait pour le mieux entre eux et ils vivaient le parfait amour. Le châtain ne regrettait aucun de ses efforts et était heureux de voir son compagnon en faire. 

Doyoung l'avait emmené au restaurant le midi même si il n'était pas un grand fan des sorties, préférant les rendez vous chez lui ou chez le plus jeune pour plus d'intimité. Après avoir mangé le noiraud lui avait proposé une petite balade dans le parc que Yangyang aimait tant pour digérer et profiter des dernières chaleurs de l'été, ce que le châtain avait accepté sans hésité. Ils étaient bien là sur un banc à l'ombre et un peu isolé du monde, dans leur petite bulle de confort et d'intimité. 

- Je suis désolé, je dois t'embêter avec la cuisine. 

L'allemand sorti de sa contemplation instantanément. Il prit les grandes mains de son amant dans les siennes et les serra doucement. Il se rapprocha encore un peu de Doyoung, plongeant son regard dans celui du plus vieux. 

- Tu ne m'embête jamais Dodo ! Je suis content que tu me parles de ta passion. Je suis désolé, je ne comprends pas toujours tout et je ne peux pas vraiment interagir avec toi mais ne te sens jamais coupable de me parler ! Je suis heureux que tu te sentes assez en confiance pour me dire tout ça. 

Le noiraud lui offrit un beau sourire avant de déposer ses lèvres sur son front. 

- Tu es un amour. Mais si tu veux je peux t'apprendre, comme ça tu pourras échanger avec moi. Tu vas voir, c'est addictif. 

- Tu as pas peur que je mette le feu à ton appartement ou au mien ? La dernière fois que j'ai voulu faire un gâteau on aurait put croire à une guerre dans ma cuisine. Le pire c'est que le gagnant c'était le gâteau. 

- On commence tous quelque part et puis je vais pas te faire faire des choses très compliqués, on va commencer doucement. 

- C'est pas le première fois que tu me dis ça. 

Le plus jeune haussa les sourcils plusieurs fois avec un sourire en coin. Doyoung libéra une de ses mains et lui frappa gentiment l'épaule. 

- T'es insupportable. 

- Mais tu m'aimes comme ça. 

- Mouais, à voir. 

Le châtain prit un faux air vexé et se tourna pour montrer son dos à son amant, faisant semblant de bouder. Il entendit le rire de son petit-ami avant de sentir deux grands bras l'encercler et le rapprocher du corps du noiraud. Ils restèrent un moment ainsi sans parler, profitant simplement de la présence de l'autre en ce bel après-midi ensoleillé. Finalement ils décidèrent qu'il était temps de bouger et de rentrer. Doyoung proposa de passer faire quelques courses avant de rentrer à son appartement ce que le plus jeune accepta. Le couple quitta son banc et entreprit de faire le reste du tour de parc afin de sortir de ce dernier. 

Yangyang parla de tout et de rien, son compagnon l'écoutant attentivement tout en lui tenant la main. Il quittèrent le parc et se dirigèrent à pieds vers la supérette la plus proche. Tellement prit dans sa tirade, le châtain ne remarqua pas la personne en face de lui et lui rentra dedans. Ils perdirent un peu l'équilibre mais aucun des deux ne tomba. Le plus jeune s'inclina pour s'excuser quand la voix de son amant lui parvint aux oreilles. 

- Jeno ? 

Il ne fallut pas plus de temps à l'Allemand pour se relever et observer le jeune homme en face de lui. Jeno était l'ex petit-ami de Doyoung, celui qui lui avait brisé le cœur il y a un peu plus de deux ans. L'homme en face d'eux devait avoir le même âge que lui et Yangyang mentirait s'il disait qu'il n'était pas beau. Il était grand, musclé, son visage vide d'imperfection, bien habillé et ses cheveux décolorés à blanc lui allait parfaitement bien. Jeno était vraiment un très bel homme et le plus jeune n'eut pas vraiment de mal à comprendre comment le noiraud avait put tomber sous son charme. 

- Doyoung ? 

- Je ne pensais pas te voir ici. Je croyais que tu avais quitté la ville.

- Moi non plus honnêtement, j'ai dut retourner ici suites à quelques soucis. Je suis retourné chez mes parents d'ailleurs. 

- Je vois. Ils vont bien ?

- Oui ! Ils me demandent encore de tes nouvelles, ils aimeraient bien que tu passes les voir. 

- Je passerais à l'occasion. 

Yangyang se figea sur place. Il espérait avoir mal entendu et surtout il espérait que ce n'était qu'un cauchemar, que ça n'était pas vraiment entrain de ce passer sous ses yeux. Il serra un peu la main de noiraud mais ce dernier n'eut aucune réaction, son attention étant totalement porté sur son ex compagnon. 

- Je vois que tu as retrouvé quelqu'un. 

- Oui. Il s'appelle Yangyang. 

- Enchanté, je suis Jeno. Je suppose que tu sais déjà qui je suis. 

Le décoloré lui tendit la main mais le plus jeune ne la prit pas. Il resta figé, fixant bêtement ce garçon qui n'était pourtant pas hostile envers lui. Jeno ne sembla pas lui en tenir compte plus que ça, se tournant vers Doyoung. 

- Il n'a pas l'air très bavard. 

- Il est timide. Tu as retrouvé quelqu'un depuis ? 

- Honnêtement non. J'ai eu quelques relations mais sans succès, je crois que je n'établirais jamais rien d'aussi fort que ce que j'ai pu avoir avec toi. 

Le châtain crut qu'il allait s'évanouir. Alors oui il n'avait rien dit mais ce n'était pas une raison pour faire du rentre dedans à son petit-ami. 

- C'est toi qui est parti Jeno. 

- C'était une erreur. Je suis désolé pour le mal que je t'ai fait. Mais j'ai changé et j'ai reprit ma vie en main. J'aimerai qu'on puisse repartir de zéro et qu'on devienne amis, enfin si cela ne te dérange pas j'espère. 

Jeno s'était tourné vers Yangyang en prononçant sa dernière phrase. Le plus jeune se tourna vers son amant mais ce dernier ne le regardait pas, toujours concentré sur son ex.  C'était la première fois qu'il voyait une telle lueur dans le regard sombre de son compagnon et cette pensée lui brisa le cœur. Jamais Doyoung ne l'avait regardé comme ça. 

- On verra. 

- Je serais ravi de faire ta connaissance aussi. 

L'immense sourire sur le visage du décoloré l'énervait et sa fausse gentillesse envers lui lui donnait des envies de meurtres. Il resta là un moment, fixant Jeno qui discutait du bon vieux temps avec le plus vieux. L'Allemand avait l'impression de ne pas existé, d'être de trop. Il serra une nouvelle fois la main du noiraud qui le lâcha. Vexé, Yangyang se tourna et après s'être excusé quitta les deux autres. Doyoung le rattrapa quelques instants plus tard et voulu reprendre sa main dans la sienne mais le châtain ne se laissa pas faire. Ils allèrent tout de même à le petite supérette et dans le plus grand des silences prirent de quoi manger pour le soir. 

Une fois de retour à l'appartement du plus vieux, l'ambiance déjà froide devint glaciale. Doyoung alla ranger ses courses sans parler à son compagnon, l'ignorant simplement. Yangyang alla à la salle de bain se passer un coup d'eau fraiche sur le visage et resta un petit moment enfermé dans la pièce, son cerveau bouillonnant tant il réfléchissait à toute vitesse. Le jeune homme sorti enfin et rejoignit son amant qui se trouvait sur le canapé, complètement immobile et le regard dans le vide. Le châtain prit place à côté de lui et ce geste sembla ramené à la réalité le plus vieux. 

- Yangie. 

Doyoung se pencha vers lui pour le prendre dans ses bras mais le plus jeune recula. 

- Tu vas vraiment aller voir ses parents ? Tenter de devenir ami avec lui après tout ce qu'il t'a fait ? 

- Yangie, j'ai pas vraiment envie de parler de ça. 

- Tu m'as ignoré, tu as fait comme si je n'existais pas. Tu m'as même lâché la main. Pourquoi ? 

- Vraiment, j'ai pas envie de parler de ça. On passait un bon moment ensemble et j'ai envie que cela continue. 

- C'est pas moi qui est resté à discuter avec mon ex. Bordel Dodo, dis moi pas que tu vas vraiment tenter de devenir ami avec lui. Pas après tout ce qu'il t'a fait. 

- Les gens changent et il me semble réellement différent. Je ne vois pas pourquoi tu t'inquiètes, tu n'as pas confiance en moi ? 

- C'est en lui que j'ai pas confiance. Tu as passé du temps à te reconstruire et je t'ai assez ramassé à la petite cuillère comme ça. Vous avez vécu beaucoup de choses ensemble et tu l'aimais vraiment énormément, j'ai tous les droits de m'inquiéter. 

- Notre relation ne sera jamais plus pareille et je t'ai toi maintenant. En plus il veut apprendre aussi à te connaître, je ne vois pas le mal à ça. 

- Pourquoi tu tiens tant à vouloir être ami avec lui ? 

- Il n'y a pas de mal à ça, la page a été tournée et je suis avec toi maintenant. 

- Si, il y a du mal ! Il est clairement intéressé par toi et tu vas me faire croire que tu ne vois pas ça ? Que tu sois avec moi ou pas ça a pas l'air de le gêner. Vous êtes ex, ça n'a pas marché en amour. Qui te dit que ça marchera en amitié ? 

- Tu fais un cinéma pour rien. Et puis ami ne veut pas dire coller aux basques l'un de l'autre tout le temps. Tu sais qu'il a été important pour moi et ...

- Et quoi ? Tu attendais quelle réaction de ma part au juste ? Je ne suis pas important, ou enfin moins que lui ? Je comprends pas que tu sois prêt à lui pardonné tout ce qu'il t'a fait et devenir ami avec lui. 

- Je ... Je peux pas rester dans le passé toute ma vie. 

- C'est pas pour autant que tu dois lui courir dans les bras quand il revient. 

- Mais arrête tes bêtises, je suis avec toi point final. 

- Au vu de votre discussion, j'ai presque eut l'impression que tu regrettais. Tu le regardais avec ... Je sais même pas comment décrire ton regard à ce moment là mais clairement, je n'existait plus à ce moment. 

- Ne ... Ne dis pas des choses comme ça. C'est blessant. 

- Parce que tu crois que je ne suis pas blessé ? Deux ans qu'on est ensemble et y'a un mec qui débarque de nul part et d'un coup je ne suis plus rien à tes yeux. Tu as parlé de votre couple avec lui devant moi ! Tu m'as même lâché la main quand j'ai essayé de te signaler qu'il fallait qu'on parte. Je ... Tu crois vraiment que j'ai passé un bon moment ? 

Doyoung ne répondit pas, fixant son petit-ami au bord des larmes sur son sofa. 

- J'ai tout donné pendant deux ans, même avant qu'on soit en couple. J'ai tout fait pour que tu t'en sortes et au final ton ex revient et bim, tous mes efforts partent en fumé. 

Le noiraud ne répondit pas une nouvelle fois, baissant simplement la tête. 

- Doyoung, est-ce que tu l'aimes encore ? Si Jeno te demande de revenir avec lui, tu le ferais ?

Le plus vieux ne releva pas la tête. Le silence dans la pièce était lourd, le châtain crut qu'il allait suffoquer. Voyant que son petit-ami ne réagissait pas il se leva et alla dans la chambre récupéré son sac. Il quitta l'appartement sans un mot, les larmes dévalant ses joues. Il rentra chez lui en courant et s'enferma à double tours avant de se jeter sur son lit. Yangyang laissa sa peine explosé.

Tout ce passait si bien pourtant. Ils passaient énormément de temps ensemble et le noiraud n'avait jamais reparlé de son ex après leur mise en couple officielle. Le fait de ne pas avoir de réponse à ses questions lui confirmait qu'au fond Doyoung n'avait peut être jamais réellement cessé de penser à Jeno et que peut être il ne l'aimait pas. Le châtain laissa son esprit établir des scénarios tous aussi blessant les uns que les autres, le faisant pleurer à en vomir. 

Une fois son estomac vide, il se déshabilla avant de revêtir son pyjama et se laissa tomber sur son lit. Le grand t-shirt qu'il portait avait l'odeur de son compagnon ce qui le fit à nouveau pleurer. Il se sentait stupide, nul, vide. Il avait l'impression de s'être énervé pour rien mais d'un autre côté il avait la sensation que son amant ne l'aimait peut être pas autant qu'il l'aurait imaginé. Le jeune homme se savait plus vraiment quoi en penser et son trop pleins d'émotions l'avait épuisé. Yangyang ferma les yeux et s'endormi rapidement, espérant se réveiller dans les bras de Doyoung qui lui assurerait que ce n'était qu'un cauchemar. 

Quand il ouvrit les paupières il constata que sa chambre était plongé dans le noir. Il attrapa son téléphone et vit qu'il était déjà vingt et une heure, il avait fait une sacrée sieste. Yangyang se leva sans grande conviction et avança avec lenteur jusqu'à sa salle de bain. Il se débarbouilla le visage et alla s'échouer une nouvelle fois dans son lit, son estomac criait famine mais il se savait incapable d'avaler quoi que ce soit. Le châtain reprit son cellulaire en main et vit qu'il n'avait aucun appel de son compagnon. Pas même un message. Il reposa son téléphone et se tourna dans son lit, remontant la couette jusqu'au dessus de son crâne. Il était triste et très déçu, il voulait simplement disparaitre. Il se rendormi rapidement, sa tête lui faisant aussi mal que son cœur. 

Ce fut des coups contre sa porte qui le tirèrent de son sommeil. Yangyang attrapa son téléphone et regarda l'heure, il était six heures du matin. Le jeune homme laissa sa tête retomber contre l'oreiller, il ne voulait voir personne et il voulait continuer à dormir toute la journée. De nouveaux coups se firent entendre mais il préféra les ignorer, faisant comme si il n'était pas là. Ce fut le bruit d'une clé qu'on tourne dans sa serrure qu'il le mit directement sur pied. Son crâne le lançait affreusement mais il fit abstraction de cela du mieux qu'il le put. Il se dirigea à l'entrée de son logement et à peine il arriva devant sa porte que cette dernière s'ouvrit. Le châtain n'eut pas vraiment le temps de comprendre ce qu'il ce passait qu'un corps se jeta sur lui, l'étouffant presque tant la personne le serrait fort. Le parfum de Doyoung lui parvint et une fois que son esprit eut assimilé qu'il n'y avait pas de danger il s'agrippa à la chemise de son compagnon. 

Ils restèrent un moment ainsi sans bouger, profitant juste de la chaleur de l'autre. Le noiraud avait la respiration saccadé et il tremblait, ce qui inquiéta Yangyang. Il se fit violence pour se détacher de l'étreinte de son petit-ami et ferma la porte d'entrée qui était toujours ouverte. Il eut à peine fini que les bras de Doyoung encerclèrent à nouveau sa taille pour le serrer contre lui. 

- Ne pars pas. 

Le châtain ne répondit rien mais se détacha une nouvelle fois de son amant avant de lui prendre la main et de l'emmener sur son canapé. Il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit que le plus vieux se jeta sur lui, le faisant basculer sur le sofa. Doyoung planqua son visage dans le cou du plus jeune et instinctivement Yangyang passa sa main dans la chevelure sombre de son compagnon. Ils restèrent ainsi attendant que l'autre prenne la parole. Ce fut le plus vieux qui se décida à enfin briser le silence. 

- Yangie, je suis désolé. J'ai eu si peur quand tu es parti, je n'ai pas su quoi faire. J'ai paniqué et j'ai réalisé à quel point j'ai été un abruti. J'ai été affreux avec toi, je ne sais pas ce qu'il m'a prit. Je ne ressens plus rien pour Jeno mon cœur t'appartenant à toi et toi seul. Je t'aime toi, c'est une évidence. J'ai merdé et je m'en veux terriblement. Ne me quitte pas par pitié, je ne me relèverais pas cette fois ci. J'ai besoin de toi, je ne veux que toi et personne d'autres. Je suis un horrible petit ami, pardon mon Yangie. Je suis prêt à tout pour que tu me pardonnes. 

- Déjà prévient quand tu viens, j'ai bien faillit faire une crise cardiaque quand tu as ouvert la porte. 

- Désolé, je savais pas comment aborder les choses et j'avais besoin de te voir et de te serrer dans mes bras. J'ai pas vraiment réfléchit. 

Doyoung se releva un peu et embrassa avec douceur son amant. 

- Je t'aime Yangie, toi et seulement toi. 

- Alors promet moi que tu ne vas pas être ami avec lui. 

- Je te le promet. Je te promet d'être toujours avec toi quoi qu'il arrive. 

Yangyang observa le plus vieux, cherchant à voir si il lui mentait ou non. La lueur dans sa yeux brillait avec tellement d'intensité, jamais son compagnon ne l'avait regardé ainsi durant toute leur relation. C'était peut être débile mais le châtain avait l'impression d'être la plus belle chose aux yeux de son amant, l'impression d'être aimé. 

- Je ne peux pas vivre sans toi. Je t'aime Yangie, vraiment. Je suis prêt à redoubler d'effort pour te le montrer. 

Yangyang passa ses bras derrière la nuque de Doyoung et le rapprocha de lui. Il déposa ses lèvres sur celle de son petit-ami qui répondit tout de suite au baiser. Le noiraud laissa ses mains se perdre dans les cheveux de son Yangie tandis que ce dernier passait ses jambes autour du bassin du plus vieux. Ils s'embrassèrent longtemps, chacun heureux de retrouver l'autre et de pouvoir le toucher à nouveau. 

Doyoung se détacha en premier et proposa de préparer un repas pour son amour, se doutant que ce dernier n'avait pas mangé. Le châtain accepta et une fois que son amant eut revêtit son pyjama pour être plus à l'aise il l'accompagna dans sa petite cuisine où le plus vieux lui apprit à faire des choses simples. Ils passèrent un moment à préparer le repas et une fois terminé ils le dégustèrent avant d'aller s'allonger sous les couettes dans les bras l'un de l'autre. Yangyang était heureux et il n'avait besoin de rien d'autre, il ne voulait plus jamais quitté son Dodo. Plus jamais. 





Voilà ! Désolée il a mit du temps à sortir celui là :/ En plus il est clairement pas terrible ... J'ai pas eut beaucoup d'inspiration avec ce pairing, j'espère que ça ira mieux pour le prochain ! 

Je vous laisse avec celui de Dalion pour le prochain :) Prenez soin de vous !

S~


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