Viel ami
Au bord des falaises,
Pris d'un malaise,
Je regarde la vue.
Tel un ami perdu,
Il me salua,
Comme cette autrefois,
Où je l'avais dis,
D'une fois, dans un cri,
Ces mots transperçants,
Ces mots très blessants,
Pour, avec grands soins,
Assouvir mon besoin.
Je fus le premier,
À le remarquer,
Mon action terrible,
Mes paroles morbides,
Je l'avais vexé,
Mon ami doré,
Cette source sacrée,
Qui m'amenait unité.
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