Pour le rp de Unesadique !

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❝𝐈𝐥 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐫𝐚 𝐜𝐞 𝐝𝐨𝐮𝐱 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐠𝐞, 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐝𝐨𝐧𝐭 𝐢𝐥 𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐞́𝐭𝐚𝐜𝐡𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱. 𝐒𝐞𝐬 𝐝𝐨𝐢𝐠𝐭𝐬 𝐜𝐚𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞̀𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐭 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐧𝐚𝐛𝐥𝐞, 𝐥𝐚 𝐬𝐮𝐫𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐟𝐫𝐨𝐢𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐦𝐢𝐫𝐨𝐢𝐫❞

𝙴𝚣𝚑𝚒𝚜𝚝𝚎 𝚅𝚊𝚒𝚗𝚌𝚛𝚘𝚏𝚝 »»————>

𒆜 ռօʍ 𒆜
➹Vaincroft (adopté)

𒆜քʀéռօʍ 𒆜
➹Ezhiste

𒆜ǟɢɛ 𒆜
➹35 ans

𒆜ʀôʟɛ 𒆜
➹Roi (par alliance)

𒆜օʀɨɛռtǟtɨօռ𒆜
➹autoromantique (omnisexual)
»»——> si Ezhiste est attiré par tout les genre sans distinction, de manière romantique il n'est attiré que par... Lui-même. Oui oui.

𝟙𝕞𝟠𝟜 𝕡𝕠𝕦𝕣 𝟡𝟚𝕜𝕘

██▓▒­░⡷⠂𝙿𝚑𝚢𝚜𝚒𝚚𝚞𝚎⠐⢾░▒▓██

Un Roi, ça se doit d'être impressionnant. Et pour être impressionnant, Ezhiste ne laisse pas à désiré.

Il est grand, encore plus grand grâce à ses talons haut, pour être sûr que personne ne dépasse sa taille. Il est musclé, tonique, et une prestance sans pareille. Il intimide, que ce soit par son statut, où ses yeux bleus qui semble disséquer l'âme tant ils sont perçant. Ou peut-être que c'est juste sa façon de regarder tout le monde de haut, ou encore ses traits gracieux et élégant.
Il a des cheveux bi-color, la moitié supérieure de son naturel blond, un blond clair, presque blanc, et les pointes brun foncé, quasiment noir, faisant une nette délimitation. Ses cheveux sont plus court, à peine quelques centimètres à la nuque, plus long vers le haut, et deux mèche arrivant à ses clavicule encadre son visage de chaque côté.
Ezhiste n'a pratiquement pas de rides, il prend extrêmement soin de sa peau et n'hésite pas au chimiques : tout pour garder un beau visage. À une oreilles, une créole prends place, une boucle d'oreille tombante sur l'autre, et des piercings decor le reste de la peau pour les deux. Enfin, il met un léger maquillage, juste pour dissimulés les imperfections naturel de la peau, et un parfum luxueux occupe l'air autour de lui constamment.

Son corps entier est exemptes de cicatrices, ou d'autres marque. Il a un corps en V, avec des épaules large et une taille ainsi que des hanches fine. Ezhiste met constamment ses vêtements d'apparat, une cape border de fourrure qui tombe gracieusement de ses épaule, et des surcouche de vêtements qui tombe en robe. Dans des teinte doré, blanc et crème, il n'hésite pas à exhibé l'opulence dans ce qu'il porte, par de nombreux bijoux et dorure, de tissus précieux. À sa main dominante, il porte deux huzhi doré et richement décoré, ainsi que de nombreuses bagues et des ongles longs, peint en noir.
Enfin, à ses pieds il ne porte jamais en dessous de quinze centimètres de talons, avec lesquels il réussit pourtant à marcher gracieusement.

❝𝐌𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐦𝐨𝐢-𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐭𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́, 𝐣𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐟𝐞𝐫𝐞𝐳 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞𝐫.❞

██▓▒­░⡷⠂𝙲𝚊𝚛𝚊𝚌𝚝è𝚛𝚎⠐⢾░▒▓██

Il est... Imprévisible.
C'est le premier mot qui me viens à l'esprit, sadique aussi.

Ezhiste est quelqu'un d'assez particulier. D'une bonne humeur presque constante, il est la définition même du "don't let them know your next move" (Ne les laisse pas deviné ton prochain geste, mais la phrase existe principalement en anglais) et effectivement, même en le connaissant extrêmement bien, il est impossible de savoir ce qu'il va faire ensuite. Quelques pas de dance ? Lancer un combat à mort ? Éclater de rire en claquant des mains ? Décider de mettre le royaume à feu et à sang pour son propre petit plaisir personnel ? Tout est possible. Je dirait même que, plus on le connais, moins on comprends la logique derrière ses agissements.
Peut-être parce qu'il n'y en a pas.
Assez feignant, il ne fait que ce qui lui plaît, évitant toute les tâches qui l'ennuie, les délégant à qui sera la première personne sur qui il posera les yeux. Il se fiche des conséquences ou si ces agissements causeront tord et douleur. Pour lui, ça ne compte pas.

Ce qui est sûr, c'est que sa petite personne compte plus que tout. Quoi, lui, avoir tord ? Impossible. Tout ce qu'il fait est forcément parfait (selon ses dires) et quiconque dis qu'il a tord EST en tord. De toute façon, qui oserai contredire un homme qui s'amuse à torturer d'autres personnes, ou même ses concubins (évidemment, quelqu'un comme lui aime avoir des personnes à disposition), lorsque qu'il s'ennuie ? Parce que c'est de son activité préféré.
Il aime voir la douleur, observé les gens souffrir, c'est l'un de ses petits plaisir quotidien. Il n'y a jamais de de trop bonne excuse, si même il prend la peine de se trouver une raison. Il n'hésite pas à participer activement au séance de torture, bien que c'est souvent pas une bonne nouvelle pour les pauvres victimes.
Malgré son égocentrisme exacerber et son attraits pour infliger la douleur, il peux montrer un en certaines affections envers certaine personne, ainsi qu'une certaine douceur. Bon, n'attendait pas des miracles non plus, mais c'est déjà ça.

Boudeur, extatique, erratique, surexcité, Ezhiste à en sommes une énergie presque illimité et le comportement tout sauf digne de la noblesse. Mais bon, c'est le Roi, personne ne dira rien, n'est-ce pas ?

❝𝐂𝐡𝐮𝐮𝐮𝐮𝐮𝐭. 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐝𝐢𝐬 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭. 𝐄𝐭 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐜𝐞 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐣𝐞 𝐧'𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬.❞

██▓▒­░⡷⠂𝙷𝚒𝚜𝚝𝚘𝚒𝚛𝚎⠐⢾░▒▓██

Il fixé ses pieds nus, sale, serré l'un contre l'autre. Il entendu la dispute de ses parents dans la cuisine et s'était concentrer sur son amie par terre. Allongé. Il regarda son museau allongé, son corps à moitié grignoter par le chat de maison, avant qu'il ne la rescousse pour l'amener dans sa chambre, au grenier. Il la regarder, inerte sur le parquet brute sur lequel il était lui-même recroquevillé. Elle était morte. Ça faisait plusieurs jours. Sa mère avait dis de ne pas se promener avec un rongeur, alors il l'avait cacher dans son placard.
Le lendemain, il la retrouva sur le flanc. Et il l'observait pour oublier, et lui parlais. Ses petits yeux noir lui manqué.

Mais son ouï ne pouvait ignoré plus longtemps les voix de ses parents, avant qu'il ne remette le cadavre de la souris entre ses vêtements, et se relève pour descendre à pas de loup.

-"Tu n'as pas envie qu'il est une vie meilleure que ce foutoir ?!" Gronder une voix grave.

-"Ce foutoir c'est la maison de mon père je te ferrai remarquer ! Et je ne compte pas envoyé mon fils s'armer comme un adultes pour se battre contre des problèmes qui ne sont pas encore les siens !"

Il observa le tatouage de dragon qui s'étalait sur le bicep de son père. Son père n'était pas souvent à la maison, il disait qu'il faisait en sorte que Ezhiste puisse devenir ce qu'il voudrais plus tard, mais le jeune garçon ne savais pas ce qu'il faisait exactement.
S'armer comme un adulte ?

-"Il n'a jamais était question d'ar—" La voix de son père se tut brusquement, quand le plancher vermoulue grinca sous le poids d'Ezhiste. Ses deux parents se retournèrent vers lui.
Ezhiste eut l'atroce envie de courir.

-"Va jouer dehors Ezhiste."

Il aurait voulue répliquer, dire que ça le concerné, poser des questions, mais devant le regard désespéré de son père et suppliant de sa mère, il obéit et s'enfuit à l'extérieur de la petite maison.

Les gens fuyaient sur son passage. Beaucoup de personnes disais que son père était un criminelle, alors aucun n'enfant ne voulais s'approcher de lui. Au village, les regard noir et les méchanceté des enfants avait fini par le faire définitivement abandonné d'essayer de s'inclure dans les relations, et il avait fini par éviter totalement le village. Mais c'est pas grave, il se disait, il y a d'autres endroit chouette pour joué.
Ezhiste était arrivé dans une décharge. Ses pieds nus avancer douloureusement entre les debris coupant et métal froid, mais à part faire plus attention à là où il marcher, il ne pouvait rien faire.
Du coin de l'oeil, alors qu'il fouillé dans les déchets en quête d'un tresor quelconque, il vu un mouvement. Cela le fit sursauté, et lâché ce qu'il tenais dans la main, mais la curiosité pris le dessus sur la peur et la prudence, et il s'approcha.

Il découvri bientôt un enfant, comme lui. Avec des pieds sale et sanguinolant, avec de beaux yeux bleus. Un visage sale, des cheveux sale. Ezhiste resta fixe un moment, et l'enfant aussi.

-"Tu t'appelle comment ?"

L'enfant ne répondu pas.
Parce que l'enfant ne parlais pas.
Ezhiste fini par comprendre qu'il était muet à force qu'ils se rencontrent dans la décharge. C'était son ami, son ami qui l'écouter quand il parlait, qui le regardait avec ses grand yeux. L'ami qui partager ses peines et pleurer avec lui. L'ami qui avait des yeux pétillant quand Ezhiste lui parlais de ses passions. Ezhiste venait le voir tout les jours. Ils s'était mis d'accord sur leur point de rendez-vous, sur l'horaire et jamais, jamais, aucun des deux n'avais raté un rendez-vous.

Ezhiste avait dix ans, maintenant. Il grandissait bien, son corps se former pour les tâches de la ferme.
Ça faisait deux ans que son père n'était pas revenu, et que sa mère pleurer tout les soirs. Ezhiste ne savais pas ce qui lui était arrivé, mais il voyais sa mère au bout du rouleau, alors il l'aidait de son mieux. Son ami aussi grandissait, son regard devenait moins innocent, ses sourire pour assuré. Ça faisait cinq ans depuis qu'il s'était rencontrer, et Ezhiste n'imaginais plus sa vie sans lui.

Ce jour-là, Ezhiste revenais des champs, ses doigts sale était douloureux, des crampes parcouraient ses jambes. Mais il avait fini, la terre de toute la parcelle était retourné, chaque cailloux retirer, tout était prêt pour la semence. Sa mère serait fière de lui, oui, c'était sûr.
Quand il entra chez lui, sa mère était dans la pièce principal dos à lui. Elle je s'était pas retourné. Ezhiste se sentie étrange, il ne su pas pourquoi, plutôt que déclarait son travail à sa mère, ce jour-là, il s'était d'abord décalée pour savoir ce qu'elle faisait.
Elle pleurais. Il y avait du rouge partout, sur ses mains, sur ses vêtements, sur le couteau entres ses doigts. Sur le corps affaler sur la table. Ezhiste regarda le corps en sang, le dragon tatoué sur le bicep. Il regarda sa mère.
Elle le regardais aussi, les yeux rouge, écarquillés, apeuré d'elle-même. Ezhiste recula devant le meurtre de son père, et s'enfuit. Il voulait partir, loin, ne jamais revenir.
Mais il n'y a avait encore quelqu'un qui l'attendait.
Il se retrouva à la décharge.
Il criait le nom de son ami, dans l'espoir que celui-ci soit déjà là, plusieurs heures avant leur rendez-vous.
Et il était là. Effrayé, tremblant, pleurant. Ezhiste s'approcha et lui aussi, avant que la vision d'Ezhiste ne devienne flou et qu'il ne se laisse tomber par terre pour pleuré près de son ami.

Ezhiste ne savais pas combien de temps il était rester là. Mais son ami était toujours là, toujours. À côté de lui, sans se levée une fois, sans émettre l'idée de partir. Il était toujours là. Ezhiste se sentie pris d'une affection pour lui qui dépassé de loin ce qu'on ressens envers un ami. C'est pas un ami, c'était un ame-sœur, quelqu'un qui ne quitterai jamais ses côté. Ezhiste avait tendu une main vers son ami, son amour, et celui-ci avait fait de même. Pourtant, jamais il n'avait esquissée un geste pour touché Ezhiste, auparavant.
Peut-être qu'il avait eu le même fil de pensé qu'Ezhiste. Leur mains se toucherent.
C'était froid.

Ce fut confus, à ce moment là. Il ne comprenais pas, alors qu'il tenta de pousser pour aller vers son ami. Il eut un craquement, un grincement, et l'image de son ami tomba en arrière suivi de plusieurs détritus. Son ami se brisa, ne laissant que le bleu pur du ciel visible. Ezhiste se pencha vers le verre brisé, mais le visage de son ami ne réapparu jamais.

-"Je sais presque lire, je travaille sans me plaindre, même les tâches difficile. Je suis grand pour mon âge aussi, je pourrais atteindre les étagère tous seul !"

Le regard du bijoutier se porta vers le petit blond mal habillé et sale, mais au regard hypnotisant. Il était apparue devant le comptoir, avec ses joues taché de crasse. Une fois propre, peut-être ramènera t'il des clients.

-"Et pour ton salaire ?"

-"Un toit et la potence m'sieur, je demande pas plus ! Je peux dormir dans un grenier, et un peu de pain me suffit largement."

-"... Eh bien, je me sens d'humeur charitable commence donc par rangé et balayer."

Ezhiste obéi au quart de tour.
Arrivé en ville quelques jours plutôt, Ezhiste pu rapidement comprendre qu'il ne survivra pas dans les rues. Des groupes était déjà créé entre les orphelins de son âge, et vivre seul se rapprocher du suicide, alors après trois nuit sans sommeille, il chercha du travail. Combien de boutique avait-il fais jusqu'à tomber sur cette bijouterie ? C'était un petit miracle qu'elle l'ai accepté.

Dormir dans la cave de la partie vivable de la boutique n'avais certainement rien de confortable. Ni même les bout trognon de pain qui ne le nourrissait réellement. Mais le pire c'était, et de loin, l'eau froide et les coup de brosse dur sur son corps, assis vulnérable sur les pavé d'une petite cour où on mettais les poubelles. La torture.
Mais visiblement, pour ces gens, la propreté importé beaucoup, on lui donna même des habits propre et beau.

Pourtant, il ne broncha jamais et travailler sans relâche. Après tout, c'était bien moins physique que l'était le travaille aux champs. Et il eut son petite effet, à la boutique.
Il fallait l'avouer, il était charmant. Il n'avait aucune notions de l'étiquette, mais il était encore assez jeune pour que ça ne pose pas trop de problèmes, et il complimentait les clientes, et il conseillé les clients, révélant un sourire adorable qui le rendue rapidement populaire auprès des bonnes famille.

-"Qui sont tes géniteurs ?"

-"Mes quoi ?"

Il faisait essayer une parure à une femme belle et qui sentais bon. Il l'aimais bien, elle était une cliente régulière qui lui donnait toujours des bonbon en guise de pourboire. Les yeux gris de la femme se tourna vers lui.

-"Tes parents." Elle repris

-"Oh ! Je suis orphelin." Il déclara.
Bon, ça ne répondais pas réellement à la question, mais ce n'était pas un mensonge non plus, après tout.

-"Mon pauvre enfant." Elle fit avec une expression peiné.

-"Vous avez des enfants ?"

-"Je n'ai malheureusement pas la possibilité d'en avoir. Mais j'adorerai."

La conversation resta longtemps dans la tête d'Ezhiste, qui vit de plus en plus régulièrement la femme venir, lui offrir des peluche ou des bêtises. Ezhiste ne s'en plaignait pas, il savait que cette femme était seule, et un certain lien c'était créé entre eux.

-"Tu voudrais venir habité chez moi, Ezhiste ?"

La question l'avais pris de court, quand un jour la femme, Madame Vaincroft, était venue, mais pas dans le but d'acheter cette fois-ci, "Quoi ?"

-"Cela va faire un moment que j'y pense. J'ai une grande chambre vide, et mes repas se font seul. Ce sera bien plus confortable qu'ici.... Évidemment, rien ne t'oblige à accepter."

Mais Ezhiste accepta.
Ainsi, il goûta au luxe, à la richesse, au caille rôti, au lit confortable, à une chambre rien que pour lui. Il ne fallut pas très longtemps pour que Madame Vaincroft lui propose de l'adopter légalement, ainsi il prendrais son nom et la maison serait également la sienne. Ezhiste n'eût absolument aucune réflexion quand il accepta, au point que la femme, sa nouvelle mère, l'oblige à prendre quelques jours pour réfléchir.

-"Pourquoi je dois me teindre les cheveux ?"
Ses yeux était fixé sur ses genoux, dans l'eau mousseuse du bain. Une eau fumante, des savon qui sentais bon, et des doux frottement d'un gant de toilette d'une servante. Il adorais les bains.

-"Madame à peur que vous vous intégrez mal à la haute société si vous ne ressemblez pas un peu à Madame. Ne vous en faites pas, ce n'est pas permanent, vos cheveux repousseront de leur couleur naturel."

Il adorais être vouvoyé, aussi.
Madame Vaincroft savais visiblement ce qu'elle faisait; le garçon fut rapidement intégré à coup de tea party où il était le centre d'attention. Et Ezhiste adorais la haute société. Lui qui avait été toujours rejetter par tout le monde, ici tout le monde était poli, bien élever, intéressant, et même si les enfants était des ordures pourri gaté, Ezhiste trouva rapidement une passion pour les échec, avec qui il jouait avec les anciens. Il appris à lire correctement, et dévora toute ouvrages qui lui tomba sous la main, du conte de fée au herbiers, et il intégra également rapidement l'étiquette, les sourire poli et hypocrite, qu'il réservait au garçon de son âge, la manipulation indispensable pour les bonnes relations de façade. Il était né pour ça, il en était sûr.

-"Aïe !"

-"Désolé, monseigneur," Se dépêcha de s'excuser la jeune fille maladroite qui bâtissait ses vêtements de soirée. Ezhiste lui lancer un regard impérieux, avant de se tourner vers sa mère adoptive.

-"Tout ça est vraiment obligatoire ? J'étouffe là-dedans."

-"Il faut être présentable pour la Couronne, mon coeur. C'est un événement important, tu auras peut-être même la chance de danser avec la princesse. "
Ezhiste fit la moue en réponse, et tourna son regard bleu vers le miroir en face de lui.
Son ami était là. Il avait grandit, c'était un jeune homme à présent. Les racines de ses cheveux noirs reprenais leur blond naturel, son regard était vif, vicieux, charmant. Son sourire était sûr.
Une vague d'affection le surpris; c'était la seul personne de sa vie d'avant, la seul familiarité qu'il avait pu jouir toute sa vie durant.

Le bal arriva rapidement. Un bal pour l'anniversaire de la princesse visiblement, il avait pu comprendre qu'elle était ou aller être en âge de se marier, et c'est pourquoi un si grand événements était organisé, sur trois jours.
Ça n'intéressé pas Ezhiste. Il préféra se promener dans le château, les jardins, imaginant que tout ça lui appartenait. Après tout, il était née dans une étable, aujourd'hui il aller devenir duc dans quelques années. Alors pourquoi pas ? Pourquoi pas ?
L'esprit d'Ezhiste se mit à travailler à toute allure, comme une immense partie d'échec. Et fallait qu'il mange la Reine et fasse tomber le Roi pour gagner la partie.
Il se m'y donc à suivre discrètement des yeux la Couronne. Apprendre leur habitude, ce qu'il pouvait leur donner une faiblesse. Empoisonnement ? Il y avait des gouteurs pour chaque plat. Attaque direct ? Inutile d'y penser avec autant de garde, sans compter qu'il ne faisait pas le poids. Il voyais les deux monarques partir régulièrement se repoudré, mais c'est uniquement dans les jardins qu'une idée le frappa, alors qu'il tenais une plante qui poussait entre de deux rosiers. Il la connaissais, il l'avait vu dans l'herbier qu'il lisais chaque soir :une belladonne. En fruits.
Ezhiste cueilli rapidement les bais noir pour les fourré dans sa poche.
Plus qu'à en extraire le jus.

-"Monseigneur, vous êtes perdue ? C'est le quartier des domestiques ici." Fit poliment en servant, avant de se faire tut par le regard implacable d'Ezhiste. Au milieu du couloir du château, le garçon avancé menton relever avec une assurance qui avait dupé presque tous le monde sur sa présence dans cette aile du château. Presque.

-"Je sais exactement où je vais, malgré vos présomption. Il y quelques heures ma servante à était amener au cuisine, je vais voir si elle s'est correctement mis au travail."

-"Je pourrais—"

-"Je peux le faire moi-même."

Le servant n'osa pas continuer de soutenir le regard d'Ezhiste, et fini par s'incliner pour le laissé passé.
Trop facile, pensa Ezhiste. Tout ce passé parfaitement bien, peut-être trop bien pour être vrai, mais ça Ezhiste ne s'en rendu pas compte. Comme il ne se rendue pas compte que ses agissement n'était pas passé totalement inaperçue de tout le monde.

Il ne le compris qu'une fois qu'il s'était discrètement faufiler dans la chambre royale, commençant à dévisser les bouteilles de parfums pour y incorporés le jus toxique des fruits de la belladonne, et qu'il se senti observé. Il s'était retourner comme un chat, pour que son regard bleu ne se fixe sur la silhouette de la princesse. Il eut un silence pendant un moment.

-"Je ne sais pas si ce que tu t'apprêtes à faire est plus bête que inutile."
Ezhiste avait avaler nerveusement sa salive.

Les trois jours était passé en un éclair, perdue dans ses préparatifs de meurtre il n'avait pas vu le temps passé. Alors pourquoi il rentré avec le jus de Belladonne encore dans les poches ?

-"Pourquoi est-ce que la princesse n'est-elle pas déjà marié, ou au moins fiancé ?" IIl avait demandé en regardant sa mère adoptive.

-"Eh bien, peut-être que ses prétendant ne lui plaisait pas. Elle n'est pas encore trop âgé, elle a encore la possibilité d'être exigeante. Après tout, c'est son Roi qui dirigera le royaume."

Dans sa chambre, éclairé seulement par une petite lumière de chevet, Ezhiste réfléchissait. Il réfléchissait à ce que sa mère lui avait dis, à ce que la princesse lui avait dis. Pourquoi ne l'avait-elle pas dénoncé ? Il avait voulu attenté à la vie de ses parents, quand même.
Ses explications tourné dans sa tête.

S'il tuer la Couronne, n'importe quel autre noble aurait plus de revendications sur le trône que lui.
S'il tentait de s'imposer, sans armé de son côté, il ne pouvait même pas espéré tenir un jour avant d'être tuer.
Il avait besoin d'être légitimé pour monter sur le trône.
Pourquoi elle n'était pas encore marié, elle ?
"Après tout, c'est son Roi qui dirigera le royaume."
Il ne fallait pas qu'il fasse tomber le Roi ; il fallait qu'il fasse un échec et mat.

Ce soir là, Ezhiste sorti discrètement de la demeure et marcha jusqu'au château, prétextant au garde qu'il avait perdue sa chevalière de famille dans les jardins.
Et depuis les jardins, il grimpa au mur, jusqu'à atteindre une fenêtre. À cette fenêtre, il frappa, jusqu'à ce que la princesse ne lui ouvre.
Il eut un sourire carnassier.

-"Tu veux m'épouser ?"

❝𝐎𝐧 𝐩𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐯𝐞𝐮𝐱,𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐞𝐮 𝐪𝐮'𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐞𝐮 𝐝'𝐚𝐦𝐛𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧. 𝐎𝐮 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐦𝐨𝐢 𝐥𝐞 𝐩𝐞𝐮, 𝐡𝐚𝐡𝐚𝐡𝐚 !❞

█▓▒­░⡷⠂𝙰𝚞𝚝𝚛𝚎⠐⢾░▒▓██

𝙴𝚡𝚙𝚕𝚒𝚌𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚜𝚞𝚛 𝚕'𝚑𝚒𝚜𝚝𝚘𝚒𝚛𝚎 ➹

Ezhiste et la princesse ont négocier leur termes: Ezhiste ne monopolisera pas le trône et laissera à sa rein les rênes du gouvernement, en échange, la princesse le légitimerai sa place de Roi en l'epousant.

Ayant était toujours seul dans son enfance, avec uniquement ses parents, Ezhiste fut pris d'une grande affection pour son "ami", qui n'était autre que son reflet. Aujourd'hui, cette affection n'est pas partie, bien au contraire, se muant en amour... Pour lui-même.

C'est que bien plus tard qu'Ezhiste compris que son père était un rebelle. Il ne compris jamais le geste de sa mère, par contre. Et ne lui a jamais pardonné.
Il n'entretient aucune haine pour les Rebelles, mais aucune affection non plus ; c'est des gens, qui menaces ses magnifiques possession.

𝙳𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚕 𝚒𝚗𝚜𝚒𝚐𝚗𝚒𝚏𝚒𝚊𝚗𝚝 ➹

Ezhiste est accro à la drogue, plus précisément à l'opium. Il en fume ouvertement, que ce soit devant ses sujet ou même sa fille.

Il a fait souvent chambre à part avec la Reine, que ce soit pour profiter de ses nombreux concubins, des deux genres, ou bien se retrouver seul avec lui-même. Encore une fois, il ne s'en cache absolument pas.

Ezhiste a une fascination pour les miroirs. Ou plutôt, ce qu'il y a dedans, quand il est devant. C'est pourquoi, de sa chambre à la sa salle de bain, il y en a partout.

Il aussi une certaine tendance à ne jamais appelé les gens par le bon prénom, donnant des noms aléatoire sans s'embêter à chercher comment il s'appelle réellement.

Ezhiste à une voix grave, calme et impérieuse. Il a un ton qui ne laisse pas place à la discussion, bien qu'il peux devenir aussi très joueur et taquin.

𝚁𝚎𝚕𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 ➹

ғɪʟʟᴇ »»——> Ariane (Oc de onirisme-)
➹Ezhiste n'est pas un père très investi, avouons le. Et il aime répéter qu'il aurait préféré un garçon, pourtant, il lui arrive d'inculquer à sa fille certaines notions pour quand elle sera sur le trône.

ғᴇᴍᴍᴇ »»——> Solveig Larwen (Oc de Epine_)
Ezhiste porte évidemment aucun amour pour sa femme, mais il ne la déteste pas non plus ; il aime l'embêter, et puis elle est bien pratique pour refilé les tâches qui l'ennuie.

𝙰𝚗𝚎𝚌𝚍𝚘𝚝𝚎s ➹

Normalement c'est un Roi démon, d'où son nom assez fantasty

Il a une king Julian vibe que j'apprécie beaucoup

Est-ce que c'est un bon Roi ? Nope. Est-ce qu'il sera Roi/dirigeant dans n'importe quel univers ? Ouep !

Theme song:
➹The Greatest, par Reach
➹La gloire à mes genoux, par Le Noir et Le Rouge

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Et dis moi si c'est tout bon !
Je le posterai sur le rp (version réduite, je vais pas de copier coller l'histoire de quinze page, j'ai pitié de tes notif xD) quand Epine aura précisé deux trois trucs pour que je puisse rajouter les info